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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 15/07/2017 dans toutes les zones

  1. C'est quand même moins classe que de la peinture ces bâches. L'efficacité est reine. Ca me rassure quand même ; si l'armée trouve les peintures chères, c'est que les carrossiers ne sont pas trop des arnaqueurs. (et de mon temps, quand on voulait faire changer une unité de couleur, on disait WOLOLO ! et ça marchait) (au moins, je l'aurai faite)
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  2. Le système le plus adaptable que je connaisse fut le MERDC américain. 4 tons : 2 couvrant 35% de la surface chacun; 2 couvrant 15%. en changeant 2 couleurs sur le teintié disponible, il y a pleins de combinaisons pour suivre les saisons et les régions climatiques. Mais ce fut trop cher. Il faut savoir que plusieurs pays abandonnent les camouflages pour être en couleur unie (Canada, Norvège, Belgique...). Avoir deux lots de couleurs pose problème : la moitié du parc sera inutilisable à chaque projection. En France, il reste moins de 250 chars. Si la moitié est verte, l'autre sable, rajoutes à cela le taux d'indisponibilité et c'est l'horreur pour mobiliser 40 chars. En revanche, si tu as une couleur universelle, tu n'as plus à réfléchir. Tu as une contrainte de moins. Il faut savoir que même l'US Army envoie des chars sable en Europe ou en Corée du Sud. Ils n'arrivent pas à optimiser ce point. L'avenir (le présent en fait), c'est l'emploi de peau amovible. Celles-ci sont des kits de furtivité qui effondrent la signature visuelle mais aussi thermique et radar. Ces peaux ont un avantage énorme en plus d'être stockable longtemps. Elles limitent l'effet du soleil sur le véhicule. La température en désert/brousse est moindre avec que sans. Cela protège l'électronique du véhicule et les hommes qui souffrent moins.
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  3. je pense que les prix vont être hallucinants. Je pense que ton banquier va te virer de la banque...
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  4. Des libéraux qui fantasment sur un douanier. Vous vous sentez pas sales ?
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  5. Je ne pense pas pertinent, et ce n'était certainement pas mon intention, de faire le débat sur l'immigration dans ce fil. Mon point était avant tout de répondre a l'interrogation sincere de Nick sur le sujet de la position de Hoppe, et d'insister sur le fait que si bien entendu un débat est légitime sur ce sujet, prétendre qu'il y a une position libérale valide et évidente et une position anti-libérale a réprouver dans le contexte infiniment complexe de la crise des réfugiés actuelle, partiellement géopolitique, partiellement économique et dans un environnement d'état providence serait plus que présomptueux. Ca n’empêche pas chacun d'avoir un avis argumenté sur la question, mais il faut être clair, ça n'a que peu de rapport avec le libéralisme. Richard Spencer ne prétends pas que sa position soit une conséquence d'un quelconque libéralisme, ne s'en revendique pas, et a des arguments totalement indépendants de l'étiquette libérale, Tucker par contre prétends avoir la vérité libérale sur le sujet (et sur bien d'autres plus ou moins connexes qui franchement m'importent plus que la présence ou non de mexicains aux USA...), donc évidemment que ma critique, dans le cadre du libéralisme, porte sur Tucker. Et "l'esprit du libéralisme", ça me semble nettement plus dangereux comme boussole que des spéculations clairement branlantes sur ce que serait la société libre et la façon dont Leviathan pourrait l'imiter, spéculations qui au moins sont clairement contestables car argumentées et clairement du domaine de l'opinion et non du dogme.
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  6. Si Hoppe a raison sur les points 1 et 2 de son analyse (et encore), le point 3 non. D'abord dans un monde sans Etat, sur ta propriété ou la communauté de propriétaires où tu vis, tu peux exclure n'importe qui ça oui. Par contre le faire sur des critères essentiellement en rapport à un groupe et non individuels c'est contraire à l'esprit libéral qui considère chacun comme un individu et non un membre d'un groupe ou d'une classe a priori. C'est compatible par contre avec une société libérale. De toute façon les communautés fermées finissent toujours avec les conséquences de la consanguinité et la stagnation économique , il y a quelque part une justice. Dans un monde où les Etats existent par contre et où donc certains portions sont communes le consensus libéral depuis longtemps a voulu donner à l'Etat l'unique responsabilité de limiter l'immigration si et seulement si celle-ci constituait une menace à la vie, la propriété ou la liberté des habitants d'un pays. En somme l'Etat reste dans ses prérogatives minimales encore une fois sur ce point (et dans un monde anarcap, une communauté de propriétaires serait avisée d'en rester à veiller sur la sécurité et les risques ou non que pourraient apporter chaque nouvel individu indépendamment de son groupe d'origine). Mais Hoppe va bien au-delà de ce consensus avec un saut lacantique qui consiste à comparer un Etat à une copropriété.
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  7. Régime high carbs low proteins ? Matin : petit dej dans l'avion boeuf nouilles fruits Midi : déjeuner dans le second avion poisson frit et riz Soir : thon grillé sur la plage de Sanur à Bali. 200g pour 4€. Je me sens riche et puissant là bas
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  8. Le comportement de personne n'aide à rien parce qu'il ne s'est rien passé du tout. Et quand on est quelque peu teinté, on ne remet pas le sujet sur le tapis des qu'on en parle. On y croit. Liborg penche sérieusement à droite, c'est pas une nouveauté. Et on trouve toujours moyen de justifier toutes ses lubies personnelles.
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  9. On parlait de Hoppe, donc je me positionnais dans une perspective purement anarcap, si on rentre dans le spectre minarchisme/libéralisme « classique », la défense du territoire contre l’invasion est justement un des rares domaines régaliens consensuels, et historiquement le premier domaine régalien tout court (en concurrence proche avec "aller envahir les voisins"). Evidemment, toute immigration n’est pas une invasion, capitaine obvious à la rescousse, mais toute invasion est une immigration, il doit bien y avoir une frontière quelque part, et c’est mécaniquement au souverain de la définir parce que c’est sa prérogative (et si ça ne l'est pas, c'est qu'on est un anarcap qui prétends etre minarchiste pour le lulz) De plus, "que ferait une minarchie" n'est pas forcément plus pertinent ou moins spéculatif que "que ferait une communauté de libre association" (si il y a une différence sémantique entre les deux, elle est tirée par les cheveux de toute façon) pour déterminer le moindre mal quand la question est "que doit faire une sociale-démocratie dans un cadre d'état-providence".
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  10. Il est pour moi particulièrement intéressant parce qu'il arrive à une vision de l'émergence des normes sociales par la compétition et la selection qui est en opposition avec la "société ouverte" tout en partant des memes postulats initiaux, et je trouve sa pensée non seulement plus solide théoriquement, mais également plus réaliste et humaniste dans le sens ou il tiens compte de la nature humaine et n'imagine pas un homme nouveau.
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  11. D'un point de vue anarcap, c'est évident, empêcher un particulier d'inviter un étranger chez lui est une violation claire de ses droits naturels. Le problème c'est les communs, SI on pouvait séparer le fait d'utiliser les communs et le fait d'aller dans un lieu privé dans lequel on est invité, il n'y aurai pas de conflit de connard. Mais quand les communs incluent l'état providence, restreindre l'immigration est manifestement une violation des droits naturels de ceux qui veulent des immigrants chez eux, mais la faciliter ou simplement ne pas la restreindre participe de fait à la violation des droits naturels de ceux qui ne le souhaitent pas dans les communs (sachant qu'évidemment, qu'ils ne la souhaitent pas chez d'autre particuliers n'a pas la moindre importance, ça ne les regarde pas). Chercher une solution liberhallal est bien entendu intéressant, mais il n'y a pas de solution liberhallal d'un cote comme de l'autre du débat sur l'immigration, comme dans tous les putain de "débats de societé" d'une sociale-démocratie, le libéralisme théorique n'est pas d'une grande utilité et n'a pas de réponse plus pertinente que de traiter tout le monde de socialiste au mieux ou de mélanger ses préférences personnelles (toutes légitimes soient elles) avec la politique publique et de voir plus de socialisme chez ceux qui sont de l'autre coté du débat que chez ceux qui partagent les memes préférences au pire.
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  12. Si on voit bien la cohérence théorique et la rigueur axiomatique dans les deux premiers points, la 3e étape du raisonnement est un magnifique "saut lacantique". Par on ne sait quelle magie, une décision de l'Etat-nation approximerait les souhaits d'une communauté (laquelle ? la "société" française n'est pas une "communauté"...). Ou comment réintroduire la notion de "volonté générale" que des pans entiers de littérature libérale avaient démonté... Si c'est là la position de HHH, elle permet de justifier n'importe quelle mesure liberticide.
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  13. Hoppe est un anarcap conséquent, du coup il n'a pas grand chose à dire de formel et de théorique sur les actions étatiques de restriction ou de facilitation des migrations autre que qu'elles sont illégitimes et violentes. Je résumerai sommairement la position de Hoppe en 3 parties, avec mon commentaire en italique. La propriété privée implique la notion de frontière, le "chez moi" et le "pas chez moi", la liberté d'association exige logiquement la liberté de non association ou de discrimination, donc l'imposition de règles arbitraires de qui est autorisé à pénétrer dans sa propriété et qui ne l'est pas. Cette position est une conséquence logique directe de toute position propriétariste, elle ne fait globalement pas débat hors situations "de canot de sauvetage" assez artificielles Dans un monde ou la liberté d'association et la propriété sont respectées, l'organisation la plus fréquente/probable sera la communauté de personnes proches partagant une idée de ce que doit etre une bonne vie sociale, ces communautés mènent nécéssairement à l'existance de communs cogerés par la communauté et donc a des règles communes, ces règles communes étant une simple délégation de droits individuels, elles peuvent exclure pour les memes raisons que les individus le peuvent, et avec la meme légitimité. Dans ce cas, si les conséquences en terme de légitimité sont théoriquement solides, le modèle de société envisagé est nécessairement spéculatif, il n'a pas plus de validité a-priori que les modèles assurentiels, l'inéxistance totale de communs (toute ressource commune étant fournie par une societé commerciale et non par une mise commun) ou d'autres modèles, par contre, d'un point de vue anthropologique il semble bien plus réaliste. Si l'on doit avoir une action étatique illégitime, il est préférable qu'elle approxime autant que possible ce qui existerait légitimement, par conséquent si les habitants d'une communauté sous le joug d'un état souhaitent restreindre l'accès aux communs, comme dans une société libre ils en auraient le droit et le pouvoir, il est sinon légitime, du moins un moindre mal que l'état approxime cette action. Ici on est dans l'opinion, il n'est pas si évident que ça que l'approximation étatique de l'état de nature civilisée soit une bonne chose (mais c'est un postulat partagé par la majorité des libéraux néanmoins), il est évident qu'en l'absence d'état providence les préférences des habitants seraient différentes, et on ne peut que spéculer sur la société qu'ils souhaiteraient et ces spéculations sont un peu faiblardes pour justifier l'usage de la force. Pour ma part, je n'ai aucun doute sur la pertinence du point 2, il est une certitude pour moi que les hommes libres ne souhaitent pas l'absence de frontières, mais au contraire souhaitent des niveaux de frontières plus ou moins étanches pour protéger ce qui leur est cher. Bien évidemment, a partir du moment ou l'on essaye de déterminer le moindre mal dans un monde de domination étatique, il n'y a pas de position ou l'on a les mains propres, toute action de l'état viole la propriété voir la vie d'innocents, je tiens juste a rappeler que l'inaction dans un domaine alors qu'il est massivement présent dans tous les autres n'est pas innocente, la déformation de marché existe aussi d'un point de vue migratoire. A partir du moment ou l'on choisis l'action étatique ou meme son inaction dans un domaine en particulier alors qu'il est massivement actif dans des domaines connexes, on n'est plus dans la pureté théorique mais dans le compromis politique, et il est de mon point de vue assez malhonnête de juger son adversaire idéologique du moment selon les critères de pureté théorique quand les deux protagonistes sont clairement dans le domaine du compromis politique et du flou artistique et un peu dégueulasse qui va avec. Tl;Dr: on ne peut pas être anarcap consistant et "no-border", mais on peut tout à fait l’être et être opposé aux frontières étatiques existantes, c'est meme la position par défaut.
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  14. Ah bah avec ça je suis bien d'accord. Mais ça ne signifie nullement que l'étatisation est un phénomène universel et inéluctable. Encore une fois, tendanciellement c'est même l'inverse qui se produit : à l'échelle de la planète et sur longue période ce sont les libertés individuelles qui l'emportent. A mon humble avis, tu commets ici la même erreur d'analyse que ceux qui n'arrivent pas à percevoir la dynamique à l’œuvre dans le phénomène de "destruction créatrice" : ne voir que les nombreuses destructions à l'instant présent et rester aveugles sur les créations tendanciellement plus importantes que les destructions sur longue période.
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  15. Quelle hypocrisie. Tucker/SFL/whatever aurait foutu dehors avec des pieds au cul des gars d’extrême gauche qu'on aurait vu les mêmes qui chougnent ici applaudir des deux mains. Au passage, le libéralisme est par définition un mouvement anti fasciste.
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  16. D'ailleurs on le voit bien, le libéralisme déchaîne les foules. #Pas du tout. La manière dont tu le lis on s'en bat la race. Ce qui est important c'est de lire ça avec les yeux du mec moyen et le mec moyen tolère beaucoup mieux les anti-fasciste que les nazis. C'est triste mais c'est comme ça. Et se montrer côté à côté avec des antifa sera encore longtemps bien mieux vu que de se montrer à côté de supremacistes ou de nazis. Arrête ton char. Ca ne gêne personne habituellement que l'on mette des coups de pieds au cul de l'alt right, les gens ne vont pas subitement se dire "ha la la les libertariens quels zintolerants" alors que la moitié des gens aux us n'aimerait rien de mieux que de les voir disparaître.
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  17. Vous savez, l'intérêt du libéralisme historiquement c'est q'il est sensé être orthogonal à la scission droite /gauche. Si il faut, pour porter l'étiquette, accepter les délires marxistes culturels de tucker, je veux bien que ça soit bon pour la cause. Mais si dans le même mouvement il faut dénoncer Hoppe et faire son autocritique devant les camarades pour manque de progressisme, l'étiquette libérale perds un peu de sa spécificité et passe de "grande tente inclusive mais avec un petit socle commun" a "branche libertaire de la nouvelle gauche". Si c'est dans ces conditions q'il faut choisir son camp, faudra pas vous pleindre des conséquences sur le mouvement.
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  18. +1, absolument Mais le goût en général, que le caprice de l'enfant ne soit plus ce qui dicte le goût, pour les abats, qui sont délicieux, par exemple. L'esthétique, ça s'apprend, mais plus dans notre époque où "gnan ! zveupa !" est devenu le guide
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  19. Imagine le poids que ca fera en bœuf et en poulet pour nourrir tout ce monde.
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  20. Matin : foie humain accompagné de foin et arrosé d'un excellent Chianti Midi : morue aux fraises avec chantilly aux câpres, le tout flambé au pastis, accompagné de vase de rivière séchée et salée à la sylvinite Soir : rôti de dindonneau au caramel et gruyère fondu au chocolat chaud et à l'huile d'olive accompagné d'émincés de cactus au vinaigre d'alcool
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  21. Bon j'avais promis de faire un long post pour détailler ma propre position donc allons-y. Par contre je vous préviens que ça risque de ne pas être très élégant parce que pour l'instant je détaille plusieurs niveaux de problématiques morales auxquelles s'appliquent différents principes. Un premier niveau que je pourrais qualifier d'éthique personnelle concerne la manière dont une personne choisit de mener sa vie, et recoupe dans une certaine mesure le "développement personnel". À ce niveau je tendrais à défendre une éthique des vertus qui insiste sur la connaissance de soi (d'esprit plutôt jungien) dont découle la vie en accord avec cette connaissance de soi (d'esprit plutôt schopenhauerien) et le travail permanent pour s'améliorer (d'esprit plutôt nietzschéen). En gros découvre ce que tu peux faire et ce que tu aimes faire, fais de ton mieux, si tu échoues mets à jour tes connaissances de toi, deviens meilleur et recommence. Le second niveau est moins solipsiste. Il concerne la vie avec les autres humains et peut donc être qualifié d’éthique sociale. C’est de ce niveau qu’on parle généralement quand on discute d’éthique normative. Ici je défendrais plutôt une éthique déontologique subjectiviste (au cas où ça ne se serait pas vu j’utilise les termes sans rapport avec la littérature existante). Ça se présente sous la forme d’une arborescence de principes/exceptions familière aux juristes. Dans cette arborescence le principe le plus fondamental est "à Rome fais comme les romains", en d’autres termes il faut suivre par principe les règles du groupe social dans lequel on se trouve à l'instant t. Par exception on peut invoquer des systèmes de normes reconnus comme ayant une autorité supérieure (par exemple la loi) et qui s’imbriquent donc naturellement dans l’arborescence. À l’autre extrémité l’exception qui a toujours le dernier mot en pratique est le jugement moral subjectif de l’individu, mais l’application de ce jugement moral en opposition à d’autres normes peut amener à faire l’objet des jugements d’autrui avec des conséquences morales/légales. Enfin un troisième niveau concerne ce qui est bon à long terme pour la condition humaine en général, ce que j’appellerais l’éthique civilisationnelle. Et c’est à ce niveau que j’adopterais une position téléologique en disant qu’il faut encourager la concurrence des normes pour que les meilleures survivent et prospèrent et se généralisent au second niveau pour le bien de tous. C’est le discours évolutionniste hayekien que nous connaissons bien. Voilà, je vous avais prévenu que ça serait le bordel, d'où cette discussion pour essayer d'y voir plus clair.
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  22. Il est hautement improbable pour les pays africains d'exporter en Europe, j'ai personnellement participé à des démarches pour exporter de l'alcool béninois vers l'Europe, tout est fait pour t'en empêcher et ça coute horriblement cher parce qu'il faut qu'un organisme européen vienne voir ta marchandise, et quand ça coute 15 000€, ou plus, (je parle d'etre agréé par la CTB) dans un pays ou le salaire moyen est de 30€, je te laisse imaginer la suite. Et de l'autre côté, on exporte là bas des produits agricoles chinois ou européens à prix tellement bas à cause des subventions que ça empêche tout développement d'une filière locale. Certes le lait en poudre est abordable et les tomates en boite chinoise également. Mais les conséquences c'est que personne ne va tenter de développer des filières de transformation de produit sur place. On a donc une économie qui ne se développe pas parce qu'on a d'un côté un monde paysan qui ne crée que des matières brutes pour consommation locale (riz, mais, soja, ...) et qui ne peut pas être transporté et de l'autre, une consommation qui dépend de l'importation ou de l'aide internationale. Aucune base économique ne peut se développer dans ces conditions. Tu rajoutes à ça le racket des autorités locales, l’ingérence de l'internationale, les soucis induits par le développement qui a du mal à masquer ses réussites, un droit inexistant ou à la tête du client, une corruption dont on a pas idée qui empeche toute initiative pour les gens normaux, ... l'"Africain moyen", pour peu qu'il existe, tout ce qu'il aspire c'est devenir agent de l'etat parce que c'est là qu'il sera le moins emmerdé et il est a peu près sur de pouvoir faire bouffer sa famille le soir, faut pas s'en étonner.
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  24. Avoir une vague image de la réalité, plutôt que de déblatérer sur des principes abstraits? Parler d'intégration alors que tu as des enclaves ethniques n'a aucun sens. Dès lors, trois choix : tu mesures le phénomène et tu agis ou tu casses le thermomètre et tu nies le problème, ou tu l'admets du bout des lèvres mais tu te trouves dans l'incapacité d'agir à partir de données. Avoir peur de faire monter le FN ne peut pas être le guide pour toute action politique. On s'en fout du FN. La seule chose qui importe est de faire les choses les plus logiques permettant d'atteindre un résultat optimal en fonction d'un contexte donné. Pour ça, tu dois connaître le contexte. J'ajoute : la peur que ce soit mal utilisé n'est pas, non plus, un motif valable à l'interdiction. Exemple : photo sur le CV, droit de vote aux femmes, avortement.
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  25. Les femmes, j'en ai rien à foutre.En revanche, si tu ouvres les frontières, que se passe-t-il ? Le nombre de libéraux augmente en France ?
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Ce classement est défini par rapport à Paris/GMT+01:00
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