Une caractéristique du pauvre c'est de préférer une misère sûre et connue
à une amélioration possible mais qui implique une sortie de sa zone de confort.
Vu que ce type de comportement est subventionné/encouragé à mort par l'état depuis 2 ou 3 générations,
la France est devenu un vrai vivier.
On constate aussi un fort biais pour enfiler les mauvais choix.
Cela n'a rien à voir avec le hasard.
Cela traduit juste un refus obstiné de poser un seul orteil en dehors de la zone de confort.
Et oui, je connais des pauvres.
Je connais aussi des pauvres gauchistes pour lequel la notion de risque ne trouve même pas place dans leur cerveau. C'est un angle intellectuel totalement mort. A la place il y a la prédestination (salauds d'héritiers) et la chance. Et ça s'arrête là.
L'idée de forcer les choses, forcer son destin, n'est ni admissible, ni réalisable.
Et cela est parfaitement cohérent avec le fait de n'être (quand on est pauvre) responsable de rien.
Seul celui qui possède, le riche, du fait de sa richesse (imméritée et obtenue par chance), devient alors responsable.
C'est d'ailleurs marrant d'observer, dans un groupe de gauchos, celui qui a la fâcheuse idée de s'en sortir.
Il dégage aussi sec.