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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 18/10/2017 dans toutes les zones

  1. Pour un club privé, seuls les membres du club peuvent le voir. Par contre une fois crée, pas vu d'option pour changer la confidentialité du club.
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  2. @Bisounours est dans le club et elle a pu poster dans un sujet. Je l'ai nommé modératrice du club d'ailleurs !
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  3. Alors moi je vois le club des lapins et le club test où Adrian m'a invitée Autrement, j'y comprends rien, donc rien de nouveau
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  4. Allez, je continue de partager ici jusqu'aux 1000 abonnés, plus que 8
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  5. Je n'ai jamais mentionné la majorité du forum. Mais dois-je rappeler que nous disposons d'une emoticon "canapé explosif" qui dénote une tolérance à la folie proche de la folie elle-même ?
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  6. Je ne pense pas qu'elles aient été qualifiées de menteuses. Des doutes ont simplement été émis sur la validité de la démarche de s'agiter sur les réseaux sociaux. Pour ma part, l'agitation, je souhaite la voir, mais auprès des services RH, de la Police et de la Justice. L'aide existe. Les procédures aussi. Et il n'y a aucune amitié pour les auteurs des faits de ce genre, de ce que j'en vois. Le seul cas difficile est celui des mandataires sociaux (les RH sont impuissants à agir contre leurs propres employeurs...) voire l'hypothèse où le harcèlement vient directement des RH. Mais dans ce cas, t'as la Police, l'inspection du travail, les syndicats, le CHSCT, le médecin du travail... Il n'y a aucune fatalité. Le harcèlement sexuel peut et doit être puni. Mais pour ça, oui, j'ai besoin qu'une victime se manifeste.
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  7. Je te parle du harcèlement sexuel, tu me parles de sperme. Première confusion. C'est dommage. Un harcèlement sexuel n'implique ni le même degré de choc/stress (même si c'est fort dégradant aussi, hein) ; et ce sont des faits (souvent) répétés, qui permettent de réagir. Seconde confusion : tu me considères comme étant déconnecté du réel. Je trouve cela agaçant. Je pense avoir eu à gérer beaucoup plus de cas (réels...) de harcèlements (ou pire) que toi. Et j'ai eu en face de moi, en contradiction, beaucoup plus de harceleurs, de harceleuses, de vraies victimes ou de prétendues victimes, que toi. Cela n'implique pas que j'ai raison. Mais tu pourrais, à tout le moins, prêter vaguement crédit à ce que je dis, qui ne repose pas sur un ressenti mais sur mon expérience professionnelle, avant d'écarter en bloc mon propos. Dernier point : tu écoutes les allégations sur les réseaux sociaux, OK...Et ensuite? Tu fais quoi? Les vraies victimes sont celles ayant subi des faits relevant d'une infraction. Les fausses victimes sont celles interprétant des faits qui ne relèvent pas d'une infraction. Exemple pratique : main aux fesses ==> vraie victime. Remarque sur les cheveux ==> fausse victime. Main dans la culotte ==> vraie victime. Donner la promotion au gars qui fait le taff plutôt qu'à celle qui donne la priorité à sa famille ==> fausse victime.
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  8. Quel fromage tout de même dans ce pays où la réaction à chaud est la règle, et qui génère des projets de lois débiles, comme cet allongement de la prescription. Du coup, ça brouille un débat pertinent, c'est con. Le délathon des porcs, c'est juste un défoulement où n'importe qui peut venir déposer ses doléances, ce qui ne sert à rien d'autre qu'à ça, au détriment de celles qui sont réellement des victimes. Mais x temps après des faits aussi flous, c'est juste impossible d'apporter des preuves. Tout ce que j'espère, c'est que les gorets vont garder leurs sales pattes au fond de leur poche.
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  9. Oh mon Dieu. Mon innocence. Elle vient de se briser en mille morceaux. Je suis tellement choqué... ... mais comment peut-on aujourd'hui accoucher d'un site si laid !
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  10. A mon avis tu es deconnecte du reel en disant cela, et c'est bien la preuve encore une fois que la justice ne s'adapte pas assez et reste dans la procedure purement administrative tels des robots. Bien souvent au moment des faits, les femmes n'ont pas le temps ni la presence d'esprit de sortir un telephone ou autre chose, et meme pour une agression qui ne serait pas de nature sexuelle, la victime n'a pas cette presence d'esprit. C'est comme quand on reproche a la femme de s'etre allee laver apres un viol en detruisant les preuves du viol, oui mais bon la plupart vont se laver parce qu'elles se trouvent sales, c'est un comportement assez commun dans ces cas-la qui -si on y reflechit une seconde- est plutot logique. Au moment d'un viol, beaucoup de femmes rapportent qu'elles sont tetanisees, beaucoup font automatiquement une sorte de black out, comme si elles s'extrayaient de leur corps pour endurer le choc psychologique. Si bien que parfois c'est comme si rien ne s'etait passe pour les personnes exterieures qui ne comprennent pas ce qu'il s'est passe. C'est apres un certain temps que les femmes se rememorent le choc, comme s'il ne pouvait que refaire surface, et donc la tout le monde dit "fallait le dire avant! comme par hasard cette salope elle le dit maintenant! menteuse! etc..." Alors soit on ecoute ces temoignages, soit on reste a la surface des choses en signalant la mechante presse et en parlant d'hysterie collective, c'est plus pratique mais c'est beaucoup moins intelligent.
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  11. Tu pars quand même du postulat qu'il s'agit de menteuses. Je rappelle que des acteurs ont confessé avoir subi des attouchements. MAIs les mecs ne mentent pas ? Ne sont pas des attention whores ? Quand tu vois les insultes que se prennent certains lorsqu'ils racontent ce qui leur est arrivé, tu ne peux que te dire une chose : il faudrait être complètement atteints pour en parler si ce n'était pas arrivé. Ton mot, même barré, est de trop.
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  13. Faire remonter leur "expérience" par un "autre moyen" ne sert à rien. Ce sont des allégations, autrement dit du vent. Ce qui n'est pas prouvé n'existe pas. Le fond de ma pensée, c'est que plutôt que de s'entre-motiver à geindre sur Twitter, il serait infiniment plus utile de prendre conscience que la preuve est essentielle et qu'en avoir n'a rien d'insurmontable. Autrement dit, que le changement de mentalité doit avoir lieu chez celles et ceux ne voulant pas être victimes : apprendre à enregistrer les discussions furtivement, avoir toujours à l'esprit quand on a affaire à un harceleur identifié de se ménager des preuves, voilà des réflexes utiles. Un hashtag anonyme, comparativement, reviens à pisser contre le vent : ça soulage un peu, mais ça laisse le goût amer dans la bouche. EDIT : j'insiste : avoir des preuves n'a rien d'insurmontable en matière de harcèlement sexuel. Il ne faut pas partir du principe que c'est foutu : non, c'est possible de prouver la chose. Non, l'impunité n'est pas une fatalité.
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  14. Évidemment, c'est pas lafeteduslip.org, ici.
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  15. Je sais. Parce qu'il y a de l'impréparation, de la stupeur, de la naïveté. Mais, en 2017, on a une chance incroyable : les smartphones existent. Avoir le bon réflexe (ce qui peut s'apprendre), voilà qui peut mettre fin à une impunité intolérable. Au-delà de ça, prenons le cas d'Harvey Weinstein. Isolément, chacune de ses victimes n'a guère d'autres preuves que sa parole (ce qui n'est pas une preuve, entendons-nous bien). Mais, grâce à l'enquête minutieuse du journaliste du NYT, on a pu réunir un faisceau d'indices ne laissant guère de place au doute. Cette enquête a été possible car des personnes interrogées ont parlé ; car des mails ont alerté sur ces faits ; car quelqu'un a commencé à agir, ce quelqu'un n'ayant aucune preuve au début de ses investigations. Le silence ou le pioupioutage sur les réseaux sociaux ne sont pas des solutions. Agir, enquêter, identifier : voilà ce que je veux. Les alertes sur Harvey Weinstein ont été nombreuses au fil des ans. Elles ont longtemps échouées. Mais c'est bien grâce à ces alertes, sans résultats immédiats, que l'enquête du NYT a pu prospérer. Et qu'une véritable enquête judiciaire va pouvoir prospérer à son tour.
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  16. C'est exact, ce qui minore le point 1, pas le point 2 ni la crainte derrière par contre.
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  17. Je sais que ce n'est pas facile. Je sais que la question probatoire est redoutable. Mais, à un moment, il faut se déniaiser et prendre conscience que personne ne peut mieux réagir que la victime elle-même. Je ne peux pallier une absence totale de preuves. L'Etat non plus. Ni la loi. A moins d'abandonner l'exigence probatoire, ce que je ne veux pas. Seule la victime peut réussir à enregistrer les faits, ou réussir à identifier des témoins possibles (le RH, averti, peut aussi vérifier qui pouvait être présent, qui sait, qui a pu subir la même chose...et il doit se bouger le fion ; mais force est de constater que la victime a une bien meilleure connaissance des faits et est la mieux placée pour dénicher de quoi améliorer son dossier), ou mieux : en parler au CHSCT (s'il y en a un) pour qu'une enquête soit diligentée. Bien sûr, ce n'est pas une chose à faire à la légère : s'il ne s'agit que de blagues (déplacées) et d'humour lourd, mieux vaut s'abstenir. Par contre, si on parle de mains aux fesses, de menaces pour avoir des relations sexuelles, de SMS à toute heure du jour ou de la nuit, d'être suivi chez soi, de caresses non consenties, de pelotages, d'humiliations ou que sais-je encore, oui, il faut trouver le courage d'alerter. Sans cela, l'impunité continuera. Ce qui est insupportable. Il faut aussi que l'enquêteur garde la tête froide, sans compassion pour la victime alléguée, sans amitié pour l'accusé. Etablir des faits. Identifier les doutes. Les dissiper, si possible. Si la situation est ambigu, mettre les choses à plat. Si cela ne fonctionne pas, trancher dans le vif (ce qui déplaira forcément à l'un ou l'autre). Bref, tout ça pour dire qu'il faut agir, pas pioupiouter sur Twitter. Agir, c'est dur. C'est douloureux. C'est incertain. Ca peut être violent. Mais c'est nécessaire.
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  18. Non, pas vraiment. Dans mon cas, deux choses me gênent dans le déballage actuel sur les réseaux sociaux : - le côté "délation/justice expéditive" qui ne permet pas d'aborder un problème visiblement sérieux de manière apaisée, - l'aspect soulevé par Flashy et Kassad et que j'ai pu observé dans quelques exemples relevés dans les journaux, à savoir que tout est devenu agression, qu'il y a confusion entre l'agresseur sexuel, qui doit être puni, et le type lourd, qui mérite juste d'être remis à sa place. Une crainte derrière : ce genre d'émotion populaire est propice à la mise en place de mesures stupides et/ou liberticides (généralement sous les acclamations de la foule en délire).
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  19. Le souci n'est pas, à mon sens, qu'il y ait des exagérations ou des mensonges dans ce beau concert. C'est qu'il ne sert à rien. Il faut dénoncer à la police ou aux RH si on veut de l'action. Tout le reste n'est que du spectacle qui ne fera pas évoluer la mentalité des principaux responsables. Tout au plus aura-t-on droit à des lois stupides qui ne changeront rien, par définition : le principal est que les faits soient dénoncés, toutes les lois du monde n'y changeront rien.
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  20. C’est tout simplement pas facile. Y’a plein de trucs qui les empêchent de faire ça : le manque de preuves, la peur d’être moqué, la peur de passer pour un menteur, le sentiment d’être sale et de l’avoir mérité, etc. Toujours est-il que tu (c’est un « tu » général) ne peux pas blâmer ce mouvement de masse d’une part et vouloir que les victimes parlent plus aisément d’autre part.
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  21. Moi, ce qui me dérange, c'est que ceux s'estimant victimes n'en parlent pas à ceux qui peuvent agir ; et que, pour certaines, elles estiment ne pas être écoutées. Mais comment veux-tu que j'enquête et que je sanctionne si je ne suis pas informé des faits? Est-ce juste d'être accusé d'inertie lorsque ceux-là même qui dénoncent l'inertie sont ceux qui ne dénoncent pas? Vouloir que les harceleurs et agresseurs changent, ou que par magie ceux chargés d'enquêter deviennent omniscients est puéril. Il n'y a pas mille solutions. Il faut dénoncer des faits précis aux autorités compétentes, que ce soit le service RH ou la Police. En cas d'inertie, il faut saisir la Justice. Oui, c'est fatigant ; oui, c'est à la victime de faire ces démarches. Personne ne les fera à sa place. Ni l'agresseur, ni ceux tenus dans l'ignorance.
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  22. C’est ton biais de le voir, ainsi. Le mien est de remarquer que le fait que des célébrités aient été touchées a permis à beaucoup de femmes, ainsi qu’à des hommes, de ne plus avoir honte. Le tien soupçonne le mal et la bêtise chez autrui ; le mien, non. De plus, mon biais est aussi nourri par mes expériences : parmi toutes les victimes de viol autour de moi, aucune n’a jamais porté plainte et la plupart ne l’ont confié qu’à très peu de personnes. J’imagine donc que le problème est encore plus grand que ce que je perçois car je ne suis pas intime avec tous les gens que je connais. Ce qui correspond à ce mouvement.
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  23. Je ne connais pas le triangle dramatique. Par contre, je constate dans mon boulot la tendance de certaines personnes à se poser toujours en victimes...et ce, alors même parfois que ce sont elles les harceleuses ! C'est un mécanisme qui me laisse perplexe. Deux exemples extrêmes : - un gars, directeur dans une entité touristique, s'occupe de la clôture de la saison. Dans le cadre de la clôture, il est avec son équipe. Dans l'équipe, une femme de ménage. Femme de ménage qu'il contraint quelque peu à des relations sexuelles. Les faits sont dénoncés par les collègues dès que leur collègue s'effondre, le lendemain matin. Il est viré. Il conteste en justice. Il se pose en victime...de l'alcool. Il est alcoolique. Ce n'est pas de sa faute. Cela m'a laissé perplexe. Surtout qu'il a eu droit à un départage. - une femme dénigre systématiquement ses collègues. Elle envoie deux courriers pour dénoncer des faits de harcèlement moral, courriers qui en réalité se résument à des persiflages et des appréciations (très) péjoratives sur la qualité du travail de ses collègues voire sur leurs tenues vestimentaires ("viennent en complément : des propos, tenues vestimentaires et comportements obscènes, ce qui favorise son soutien par la hiérarchie, très certainement" ou "Vous en conviendrez que le magasin ne peut pas être propre dans son intégralité, étant donné que le personnel, à son arrivée à 9h30, la siffle pour prendre le café, d’ailleurs j’en profite pour vous signaler qu’elle a à disposition une clé jaune pour le café, alors qu’à moi on ne me l’a même pas proposé, et je me demande où elle trouve le temps pour faire une pause-café, alors que moi je n’en ai même pas le temps ! "). La nana ne dit pas bonjour le matin. Elle rentre dans ses collègues avec son vélo et refuse de s'excuser. Bref, une grosse conne. Elle est licenciée, tant elle est insupportable. Elle agit en justice car elle est victime de harcèlement (mise à l'écart, ses collègues ne lui parlent plus, ne l'invitent pas à prendre le café, pas invitée aux pots...). Un dernier exemple : une femme enceinte apprend l'évolution de son poste en même temps qu'elle annonce qu'elle est enceinte (l'annonce lui a été faite au retour de son arrêt-maladie d'un mois, la décision avait été prise 15 jours avant son retour...). Elle est absolument persuadée que c'est lié (concomitance = causalité). Elle s'est braquée et s'est mise à crier à la discrimination à chaque fois que sa chef lui demandait d'effectuer une tâche, au point que sa chef a préféré ne plus rien lui demander par peur de ses réactions... Elle a agi en justice. Le fait que sa chef n'ait plus voulu lui parler démontrerait la discrimination et le harcèlement aussi... C'est pour cela qu'il me paraît sain de mettre le frein sur la compassion (ce qui m'est plutôt facile, mais je pense sincèrement qu'on devrait m'imiter à ce niveau-là) et de regarder les choses froidement pour éliminer les problèmes, quitte à tailler dans le vif. Par exemple, dans le premier cas, échanger une plainte au pénal par la femme de ménage contre un CDI et une augmentation. Qu'il aille expliquer à un juge pénal que son alcoolisme est une circonstance atténuante. Dans le deuxième cas, jouer sur la psyché de la nana pour la détruire à l'audience et la pousser à craquer, ce qui la décrédibilisera définitivement (c'est un dossier de ce mois-ci, j'ai hâte). Remettre en cause la qualité de son travail et la mettre systématiquement face à ses contradictions devrait la faire craquer aisément. Au pire, une ou deux plaisanteries juste avant l'audience devrait assurer l'effondrement au moment opportun. Dans le troisième cas, il aurait fallu virer la femme enceinte pour harcèlement moral sur sa supérieur hiérarchique avant son congé maternité. Histoire d'inverser les rôles et d'être dans un rôle offensif, et non purement défensif.
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  24. "We have a large public sector and the system needs taxpayers in the future." L'étape ultime de la biopolitique. Considérer les gens comme des machines où l'on insère des allocations à un bout et où à l'autre bout il sort de futurs contribuables.
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  25. C'était un très bon choix pour débuter ! J'avais eu des cours de stratégie militaire avec le Général Desportes. Il recommandait, en effet, les classiques de Liddell Hart et Clausewitz. (Sun Tzu, que tout le monde lit, c'est plutôt pour enfoncer des portes ouvertes). A ce propos, les livres de Vincent Desportes, notamment Comprendre la guerre, sont aussi très bien.
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  26. " Les généraux allemands parlent " de B. H. Liddell Hart, intéressant (mon premier livre de stratégie militaire), j'ai beaucoup apris (ou j'ai constaté que je suis ignorant au sujet). Je pense maintenant à lire Clausewitz.
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  27. J'ai recréé le club des lapin pour tester Pour voir ou créer un club c'est ici:
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  28. Cela me met d'ailleurs mal à l'aise. Les cas que j'ai pu voir de harcèlement sexuel étaient graves. Or, de plus en plus, je vois utiliser le vocable "violence sexiste", qui amalgame la violence véritable avec tout et n'importe quoi, au risque de la diluer. Par exemple, dans #balancetonporc, tu as la dénonciation du rédacteur en chef qui choppe la fille par la gorge et lui dit "je vais te baiser", mais j'ai aussi vu des dénonciations du fait qu'on ait demandé à une autre fille de se faire lisser les cheveux car ça lui irait mieux. Dans chaque cas, une "violence sexiste". Mais putain, ça n'a rien à voir ! C'est pour cela qu'il faut résister à l'air du temps, rester droit dans ses bottes, et se montrer absolument implacable avec les individus coupables de violences, et qu'il faut ignorer ce qui ne relève pas du harcèlement sexuel peu important le ressenti de la "victime" (qui, en ce qui me concerne, peut geindre tout son saoûl : si elle interprète mal, elle interprète mal, c'est son problème).
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  29. Soit. @Tremendo les arbitres laissent traditionnellement plus jouer en EPL que dans la Liga et protègent moins les attaquants. Ça permet d'être plus rugueux. Ça ne veut pas dire qu'il y a moins d'intensité physique, mais que l'agressivité y est sanctionnée différemment.
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  30. Etrange ce relativisme depuis le debut sur ce fil. Pourquoi minimiser plusieurs histoires d'agressions ou harcelement, soit en passant les filles qui denoncent pour des enjoliveuses, soit en leur reprochant de n'avoir rien dit jusqu'a present, ou quand elles disent rien elles sont coupables? Evidemment qu'il faut prendre des precautions comme dans toute histoire avec des accusations, mais bon c'est pas parce que Hollywood ce sont de mechants progressistes qu'il faut avoir l'esprit de contradiction bebete et mechant. Suite aux affaires de viol a Cologne par des migrants, le relativisme n'etait pas de mise par ici.
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  31. C'est pour décrire le fait qu'encore une fois ils mettent leurs gros doigts partout.
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  32. Et en plus c'est pas français, à moins qu'ils ne veuillent réguler ce qu'on fait avec nos mains
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  33. Les flics américains ne sont pas du tout mal payés.
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  34. En même temps, qu'attendre de la part de quelqu'un qui écrit "cauchemard".
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  35. J’aimerais bien que l’on me dise où se trouvent les passages intéressants de la vidéo de Hoppe, en effet. Car je ne les ai pas trouvés. Sinon, ce qui est écrit en arabe n’a tout simplement aucun sens et n’est certainement pas la traduction de Marseille. Putain, qu’est-ce qu’ils sont cons, quand même. Edit : en fait, ils sont encore plus cons que ce que je croyais. Sur le panneau à échelle normale, on décèle qu’il ne s’agit probablement même pas de Marseille d’inscrit !
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  36. Bah quand il y a un flingue dans toutes les maisons, c'est facile à imaginer 127 flics morts en 2013, 34 par gunshot, dont deux accidentels https://www.odmp.org/search/year?year=2013 Voir le fil sur la gamine qui a un rapport sexuel avec un homme de 28 ans. Le problème, c'est que ce principe doit être absolu pour avoir un sens. C'est important que des gens le fasse, cela permet de confronter ses certitudes pour les rendre encore plus fortes ! Sinon, je comprends le padamalgam!! à propos des flics. Ce ne sont pas tous des trafiquants, des proxénètes, des voleurs ou des assassins. Mais deux choses : Déjà, au vu de leur profession, ils sont sensés être exemplaire, et pour garantir cela on est sensé leur tomber deux fois plus fort dessus au moindre soucis. Ensuite, pour lutter contre le blue code of silence, il peut être important de faire cet amalgame. Que les honnêtes flics en aient marre de se faire traiter d'assassins et commencent à dénoncer leurs collègues ! A coté de ça, je me rappelle dans The Wire, une des raisons des Blue Code of Silence, c'était l'absence de moyens : on va pas se séparer d'un "bon" flic quand y'a pas le budget pour le remplacer/reformer etc. Quand je dis des moyens, c'est des moyens humains. Faire que le boulot attire aussi pour l'argent que tu gagne sans en voler (voir la vidéo "civil forfeiture, ça donne envie de vomir) c'est peut être une chance d'avoir de meilleurs profils. Plus d'argent à la clef, plus de candidats, plus de sélection, de meilleurs officiers. Malheureusement, l'état américain préfère filer des tanks aux flics plutôt qu'une augmentation. A ce propos, toujours édifiant :
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  37. On gagne un achievement pour arriver à se faire censurer par PAB?
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  38. On sombre dans le ridicule complet. Je cite des témoignages recueillis par l'Immonde : « Il faut mettre en évidence, face à l’Europe, le fait que l’Espagne est un pays antidémocratique », assure, quant à lui, Joan Rosell, électricien de 34 ans. Il s’interrompt pour cinq minutes de recueillement, jusqu’à ce qu’un cri retentisse : « Visca Catalunya lliure ! » (« Vive la Catalogne libre ! ») Les manifestants y répondent en chœur : « Visca ! » Cela illustre ce que je disais, à savoir que nous sommes davantage dans le romantisme que dans la lucidité. La Catalogne est une colonie? Ils s'attendaient à ce que l'Europe s'ingère dans les affaires intérieures d'un pays membre, pour soutenir une région contre l'Etat membre, en soutenant une coalition minoritaire et hétéroclite ne disposant d'aucun plan précis (semble-t-il), en soutenant un référendum qui n'est pas vraiment un modèle de respect du droit? Sinon, illustration également du fait que la stratégie, à défaut d'avoir le droit de son côté ni même une quelconque légitimité à faire valoir, est une stratégie médiatique et de storytelling : ils vont jouer la carte de l'opinion publique (les gouvernements nationaux ne vont certainement pas reconnaître la Catalogne). Comment certains catalans peuvent-ils croire que les spectateurs de ce désolant spectacle vont se dire "l'Espagne est antidémocratique" alors même que leur gouvernement ne respecte pas la Constitution (Constitution qui leur donne leur pouvoir), ne respecte pas leur propre charte régionale et proclame l'indépendance pour la suspendre aussitôt (ce qui serait risible si on ne parlait pas d'un sujet si sérieux...)? A mon avis, c'est un espoir vain. Ni l'opinion publique espagnole, ni la plupart des opinions publiques européennes, ne vont soutenir l'aventure catalane. Certains pour des raisons culturelles (les français ont une tendance hostile au régionalisme), d'autres pour des raisons pragmatiques (cette aventure menace l'UE, ce qui peut déplaire -tout comme l'incertitude déplaît-).
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  39. Tiens, c'est bizarre, mais c'est ce que je pense. Et à mon avis, BCH va ramasser les morceaux. Mais bon, tout ceci est de la prospective, ça pourrait très bien se passer mieux que ça. En la matière, je suis assez médiocre, je me garderai bien de trop y croire. On verra donc.
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  40. la meilleure proposition d'interprétation du message de Paddock, jusqu'ici et jusqu'à preuve du contraire, http://thehayride.com/2017/10/think-mark-steyns-correspondent-las-vegas-massacre-figured/
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  42. Cette contradiction n'est qu'apparente car je pose une dualité de nature au sein de la justice (je préfère parler de morale mais bref). L'immoralité constitue à nuire aux droits individuels d'autrui, le vice consiste à nuire à autrui (et/ou à soi-même) sans que cela viole ses droits (calomnies, certains mensonges, etc). On peut dire que l'Etat contribue à la justice en ayant pour fonction de préserver la moralité, mais pas qu'il réalise la justice ou qu'il devrait anéantir le vice. Soutenir cette dernière thèse n'est pas compatible avec le libéralisme.
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  43. Pour la enième fois, je ne suis pas objectiviste. Mais je préférais de loin discuter avec des objectivistes qu'avec des gens qui préfèrent les sentences laconiques aux réponses argumentées.
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  44. C'est vicieux et même répugnant, mais ça ne signifie pas pour autant que ce soit interdit ou que ça devrait l'être. Les vices ne sont pas des crimes. Et c'est trop demander à l'Etat que d'essayer rendre les individus vertueux. Dans le même ordre d'idée, je vois mal comment on pourrait légitimer de pénaliser le chantage, dès lors qu'il n'inclut pas la menace de violence. Le consentement est à la base d'une société d'individus libres et responsables. Si X estime que coucher avec Y est préférable à subir les calomnies que Y pourrait répandre sur lui, hé bien, c'est son choix. Et vouloir que la loi empêche les situations de chantage, c'est vouloir confier à l'Etat la tâche d'augmenter la puissance des individus (qu'il leur confèrent la propriété d' "être à l'abri du chantage"), plutôt que de préserver leur liberté. Il semble donc bien que ce soit créer un "droit à" de plus.
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  45. En l'occurence la plupart des témoignagesne portent pas sur ce cas de figure, puisqu'elels nous disent avoir repoussé Weinstein après avances et/ou attouchements. Pas de regrets post donc semble-t-il. Quand aux cas de viols (au moins 3 selon le New Yorker, pas forcément des actrices d'ailleurs + Argento et peut-etre McGowan) on manque de détails. La plupart des messages ici sont hors-sujet à coté des faits connus.
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  46. Ceci dit, si mes souvenirs de géographie sont exacts, Hollywood est en Californie. Un Etat ou les lois anti-harcèlements peuvent faire licencier et condamner un type qui sourit à une collègue. Dans la mesure ou la relation entre HW et les actirces et de nature professionnelle, on peut espérer que ce type soit lourdement condamné pour harcèlement sexuel, ainsi que sa société Pour le reste, celà ressemble énormément à l'affaire DSK. Un gros pervers sexuel dont les "habitudes" étaient un secret de Polichinelle dans son milieu professionnel. C'est surtout là que ce situe le scandale IMHO
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  47. Je découvre qu'il existe des transcriptions des cours donnés par Leo Strauss (en anglais uniquement). Ils sont disponibles ici (pour ceux que ça intéresse).
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  48. Pour les même raisons qu'on a pas jugé utile de mettre un genre de second amendement à l'américain dans la DDH Française de 1789.
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  49. Article très intéressant sur les origines socio-historiques du mythe romantique de l'écrivain maudit: https://contextes.revues.org/1392
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