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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 21/10/2017 dans toutes les zones

  1. C'est fascinant comment en 48h les choses peuvent tourner. Tout Hollywood crache à la gueule de Weinstein maintenant que l'omerta est brisée même si au final tout le monde savait et fermait sa mouille, voire était complice. Et tous ces pignoufs s'offusquent alors qu'ils font des standing ovations à Roman Polanski le violeur pédophile. Prodigieux.
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  2. Moi non plus, quelle soupe indigeste cet article. La seule chose que j'en retiens c'est qu'il s'agit d'une belle bande de névrosés
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  3. A mon avis, Hazlitt avait dit l'essentiel sur le sujet en 1966: https://fee.org/articles/income-without-work/
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  4. Euh... non Sauf dans des versions teen lib emo où de vagues platitudes tiennent lieu de principes.
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  5. Je ne vois pas à quel moment j'ai ecrit quelque chose qui s'approcherait même un peu de cela. Je dis qu'il faut choisir entre donner des passe droits et traiter tout le monde pareil.
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  6. Si une agression sexuelle d'une femme sur un homme est un comportement presque rigolo qui ne mérite pas plus que d'être légèrement repoussé, il ne faut pas s'étonner qu'à l'inverse des hommes trouvent qu'agresser sexuellement des femmes est un comportement presque rigolo qui ne mérite pas plus que d'être légèrement repoussé et qui donc ensuite, vont escalader dans la violence quand ils se sont fait plus que légèrement repoussé. Pour ce qui est du harcèlement, les collèges, lycées et universités sont remplies de filles qui harcèlent des garçons. Et ca se finit régulièrement de facon tragique.
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  7. Tout acte devrait susciter la même reaction lorsqu'il est réalisé par un homme ou par une femme. On ne peut pas s'octroyer des passes droits tout en se plaignant que d'autres fasse de même et en plus réclamer l'égalité de traitement. C'est tout le monde qui doit se comporter de manière civilisée. Je trouve assez aberrant la façon dont on parle avec légèreté de frapper un homme dans les parties - ce qui est au passage une agression sexuelle.
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  8. Suggestion: un "split", parce que maintenant il y a une discussion sur les différences entre viol et harcèlement, féminisme, agression, etc. je pense que c'est possible la création de un sujet pour discuter ça. Et ici reste la discussion de Harvey et Sodoma et Gomorra (Hollywood).
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  9. 1) repousser ce n'est pas baffer. 2) tu confonds harcèlement sexuel et agression sexuelle. Il y a 4 delits/crimes différents, si on pouvait arrêter de faire comme s'ils étaient interchangeables ce serait bien : - injure publique - harcèlement sexuel - agression sexuelle - viol
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  10. C'est surtout un moyen efficace rendre le permis encore plus cher et inaccessible alors que c'est pratiquement impossible de vivre sans aussitôt que tu sors des très grosses villes genre paris ou Marseille ou Lyon.
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  11. Dans ma grande naïveté, j'ai toujours trouvé ça simple. Si quelqu'un initie un contact physique non désiré, on est en droit de réagir. Dans les cas de mains baladeuses dans un lieu public, retirer la main un peu violemment et s'offusquer bruyamment suffit souvent à gêner le lourdeau qui croyait pouvoir faire son coup en douce. Dans le cas du tennisman, la journaliste aurait pu lui retirer sèchement son bras et repousser son visage, voire se permettre une petite claque qui a pour but premier d'humilier.
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  12. On m'a invité dans un club, je suis tout chose. Aujourd'hui ça, demain le monde
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  13. On peut arrêter deux secondes avec la judiciarisation totale de la vie quotidienne ? Un connard qui fait des gestes et ou remarques déplacés mérite une baffe. Si c'est une droite envoyé par Tyson OK mais bon ...
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  14. J'arrive même pas à croire que ce soit possible qu'il y ait débat sur la possibilité d'un revenu universel quand on part d'une position libérale.
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  15. Elle s'en est platement excusée. Je comprends que ce genre de tribune suscite des reactions assez acides. Je ne sais pas si c'est de la maladresse de la part de l'auteur mais son texte n'est pas dénué d'un ton passif-agressif qui suinte le complexe de supériorité vis-à-vis des bimbos («J'ai un doctorat en neurosciences vous savez»). Je trouve qu'il y a quelques points assez valables pour Hollywood ; en jouant le jeu de la séduction on peut se retrouver sur une pente glissante et se voir suggérer que le rôle de sa vie n'attend plus que quelques dezippages de braguettes. Cependant, je suis persuadée que les femmes qui «gardent leur sexualité pour leur vie privée» comme le dit Bialik font aussi face à ce genre de propositions, peut-être moins, mais certains hommes ne verront toujours que la sexualité chez une femme. On peut agir sur la perception qu'a de nous autrui mais en aucun cas totalement l'influer et encore moins en être responsable. Par contre, je ne crois pas qu'on puisse appliquer la logique du crevard libidineux à quelqu'un capable d'agresser ou de violer. C'est un état d'esprit différent, et non un prolongement, d'une envie de baiser qui se passe de morale. Sur un point, je crois que Mayim Bialik évoque, maladroitement, dans son essai quelque chose qui rejoint ce que @Bisounours disait. C'est qu'il existe des attitudes pour faire face aux malotrus et aux harceleurs (les violeurs et agresseurs c'est bien autre chose), que ce soit avoir confiance en soi, confiance en ses aptitudes et non en son physique, avoir du répondant ou ne pas hésiter à afficher bruyamment les comportements de gros degueulasses quand ça arrive. C'est plus facile à dire qu'à faire et certaines personnes n'ont pas ou pas encore cette force de caractère. J'ai toujours eu l'impression que pour beaucoup dire ou affirmer que les victimes peuvent agir et se prémunir d'un risque reviendrait à les blâmer. Au contraire, je trouve ça plus libérateur et ça n'altère en aucun cas la responsabilité individuelle de ceux qui font du mal. Je lisais le témoignage d'une jeune femme qui avait fini par coucher avec son patron car elle n'en pouvait plus de son harcèlement et qu'elle trouvait plus simple de lui donner ce qu'il voulait. Je ne la blâme pas mais ça me fait froid dans le dos qu'on puisse avoir une estime de soi aussi basse et ça fait partie du problème. Un marché du travail plus libre qui nous donnerait plus d'emplois et plus de mobilité permettrait à bon nombre de ne plus supporter ces situations. Bien sûr, ce serait des effets macro pas adaptables à toutes les situations individuelles mais c'est un tel gâchis de voir tant de monde supporter des conditions de travail qui leur bouffent leur santé physique et mentale juste parce qu'ils n'ont pas la possibilité de gagner leur croûte autrement.
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  16. https://www.dailynews.co.zw/articles/2017/10/19/who-appoints-mugabe-global-health-ambassador#.Wej9mshdQNc.facebook L'OMS nomme Mugabe ambassadeur mondial de la santé.
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  17. C'est quoi les grands maux partagés par pleins de monde ? J'imagine que ça doit être: Diabète/cholesterol Migraines, maux de tête Crampes et brûlures d'estomac
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  18. 1): Ce point me paraît difficilement contestable, on te force bien à céder ta propriété sous la menace des armes et/ou de la privation de liberté. J'aurais d'ailleurs tendance à penser que c'est un point à mettre plus en avant, parce qu'il n'est pas niable même pas des gens qui sont à la base assez loin des idées libérales. Si on peut faire admettre à quelqu'un que le principe même de l'impôt est injuste, il aura du mal à ne pas en vouloir le moins possible. 2): +10. C'est tout à fait cohérent avec une logique collectiviste: l'individu a du seul fait de sa naissance des devoirs positifs envers la société*, et en échange la société lui doit des choses (en faite extorquées à d'autres individus). Ce n'est pas un hasard si l'idée de revenu minimum inconditionnel a été reprise à gauche par un André Gorz ou un Bernard Friot. Hamon aussi proposait de distribuer du pognon pendant la campagne, au motif (tellement marxiste orthodoxe, bizarrement) que les machines allaient faire disparaître le travail... *C'est typiquement ce que soutenait l'école contre-révolutionnaire et l'Action française, mais aussi les positivistes, les solidaristes...
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  19. Moi j'aime pas les clubs Si chacun blablate dans son coin, on va s'emmerder ici
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  20. je comprends pas trop ta phrase, à vrai dire : pour moi, c'est la réaction des nanas qui a changé, pas le comportement des mecs : là où il y a quelques années une fille réagissait par une bonne baffe ou bien qu'elle remettait le gars à sa place, aujourd'hui, la moindre drague lourde peut être interprétée comme du harcèlement ou une agression sexuelle.
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  21. Je ne sais pas dans quels cercles vous vivez quand vous dites que cela va en s’accentuant. Je ne constate absolument pas de changements à l’égard de la drague ou des hommes en général chez les femmes. Dites plutôt que vous ne connaissez soit que des féministes, ou alors effectivement vous êtes entourés de gros lourdeaux.
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  22. Le plus courant dans le milieu de travail n'est pas l'invention pure et simple, mais une interprétation différente des mêmes faits. Prenons le collègue lourd qui fait des blagues salaces. Il estime la chose bon enfant. Celle qui se plaindra appellera cela "harcèlement sexuel". Les mêmes faits, pas la même interprétation. Ensuite, il y a le problème de la matérialité des faits. La parole d'une personne est tout ce qu'on a, souvent, au départ. Ainsi, il faut un maximum de détails pour pouvoir enquêter : où, quand, qui était là, comment étiez-vous habillé, qu'avez-vous vu de l'agresseur, qu'a-t-il fait, qu'a fait la victime etc... Et, une enquête, c'est nécessairement violent. Si on t'accuse d'avoir violé, on te demandera si tu regardes du porno, ce que tu penses des femmes, comment se passe ta vie sexuelle, ta femme est-elle satisfaite? As-tu des penchants particuliers? Où tu étais, le 3 septembre à 20h? Tu aimes séduire? Tu es en contact avec des femmes dans le cadre de ton travail, que pensent-elles de toi? Que penses-tu d'elles? Qui sont tes collègues? Ta femme peut confirmer ce que tu faisais le 3 septembre à 20 heures? Pareil pour la victime, en mettant des formes : vous étiez à tel endroit pourquoi? D'où veniez-vous? Aviez-vous bu? Combien de verres? Vous alliez vers où? Vous étiez en train de faire quoi au moment des faits? Vous avez réagi comment? Pourquoi? Qu'avez-vous vu? Vous portiez quoi? Vous avez dit avoir un haut rouge tout à l'heure, à présent il est bleu : pourriez-vous nous confirmer la couleur du haut? Vous ne connaissez pas votre agresseur? Avez-vous où il est parti? Vous ne vous êtes pas débattue, pourquoi? Qu'est-ce qu'il a fait, exactement? Combien de temps ça a duré? A-t-il éjaculé? Où? Qu'avez-vous fait ensuite? Pris une douche? Etc etc.
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  23. de mon temps, une main indésirable aux fesses ça se traduisait par une bouffe direct, ou une bordée d'insultes. Faut arrêter de tout vouloir judiciariser ; bientôt il y aura un cerfa à compléter, sans déc ! Maintenant, il y a du boulot à faire au niveau des commissariats dans l'accueil des plaignantes, ils sont pas toujours fins, les pandores. Faut dire qu'ils ne sont pas non plus très gâtés en termes de locaux et de personnel. Le pognon cramé en subvention dans ces assos d'hystériques serait mieux utilisé dans des formations des flics à ce niveau, et dans l'amélioration de leurs condtions de travail.
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  24. Ça me fait bien marrer cette histoire. A ma formation, le chef, qui était ingénieur dans l'agro-alimentaire avant de bosser à la ddt, nous a expliqué la crise du lait et comment on a installé les quotas de lait. L'anarcap au fond de mon cœur avait envie de brûler la commission européenne de toute son âme. Cest juste la plus belle brochette de mauvaises incitations et effets pervers imaginables. L'intégrale des pompiers pyromanes et de "je règle un problème par un autre problème" sur lequel plaquer le macro du processus de la loi consternante à la H16
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  25. @Flashy Lu dans un commentaire du FT, Sharon Waxman, une journaliste du NYT se serait faite virer pour avoir essayé de parler de Weinstein. En 2004.
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  26. Ce n'est pas comme ça que fonctionnent les rumeurs. DSK est un exemple typique. Une bonne partie des journalistes politiques savait et n'a rien dit. A part Quatremer qui a fait une note de blog en...2007 ! http://bruxelles.blogs.liberation.fr/2007/07/11/dsk-tempte-dans/ En 2007. C'est croustillant, n'est-ce pas? C'est sûr et certain que les journalistes proches d'Hollywood connaissent les ragots sur les uns et les autres. Se planquer derrière le "mais on n'a pas de preuves lol" alors que ton boulot c'est très justement de mener l'enquête, c'est soit du je-m'en-foutisme caractérisé, soit de la lâcheté/du cynisme. EDIT : le cas de Quatremer est d'autant plus typique qu'ayant signalé le comportement "pressant" de DSK, ses confrères lui sont tombés dessus. Par contre, dès que DSK n'a plus eu le moindre pouvoir, là...ils ont retrouvé leur courage. Pignoufs.
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  27. Stephen Hawking est-il un être vivant?
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  28. Justement, il n'accuse personne de racisme (en tout cas pas ici). Il accuse l'alt-right de se réclamer des «valeurs occidentales» sans être capable de dire lesquelles et sans se rendre compte que les valeurs occidentales héritées de Locke ou Smith vont à l'encontre de leur idées. Je trouve ce point assez juste et je ne comprends pas ta critique.
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  29. Oui, mais deux petites remarques : 1) Les valeurs humanistes en question, pour plein de gens, ça fait références à des trucs de gauchistes. Charge à nous de changer la donne ; il faut définir clairement ce que nous, nous entendons par là et le faire connaitre. Gros travail, long et qui n'ira pas sans polémiques internes. 2) Je reste convaincu qu'il nous faut tout autant éviter de passer pour des cyniques que des utopistes. Ainsi, notre discours moral devrait, à mon avis, être accompagné de réalités parfois dures à entendre pour certains (et moins pour d'autres) : nécessité de mendier l'aide dont on a besoin, possibilité de subir des discriminations, etc... Okay pour le premier point, totalement en désaccord avec le second. 3) Pour la prise en compte des conséquences, il est à mon avis important de ne pas focaliser sur l'économique. Et le gros problème, c'est que les conséquences, on ne les connait pas. Un libéral, c'est avant tout un mec qui accepte de vivre dans un monde imprévisible et qui, si c'est là son désir, ne peut qu'espérer que les choses se stabilisent un jour. La liberté, c'est ouvrir le champ des possibles. 4) Pour le côté leçon de morale, je pense qu'il nous faut sortir de l'image d’affreux cyniques qui est la notre et même devenir les nouveaux curés de la société. Je n'imagine pas qu'une société puisse rester libre sans que des gardiens veillent aux grains. A mon avis, la majorité des personnes n'attendent que ça et c'est précisément ce qui selon moi explique le succès du socialisme. Je crains plus l'image de l'utopiste que celle du moralisateur.
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