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Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 06/12/2017 dans toutes les zones

  1. La réponse de Macron relève du bon sens, ce qui est dingue c'est que personne ne s'en soit emparée par le passé. Pourquoi tous ces djeuns s'approprient des peines et des souffrances qu'ils n'ont jamais connues? C'est profondément révoltant vis à vis de ceux qui les ont vécues et ne sont plus de ce monde.
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  2. Autant que pour le BTC, c'est d'ailleurs l'essence même de toute crypto, et aussi leur plus grande faiblesse. Enfin, c'est ça ou la régulation. Après, il y a leurs masternodes qui peuvent agir comme juge de paix. Leur instance de décision est quand même assez intéressante.
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  3. Heureusement, Biolay prend la relève !
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  4. C'est plutôt bon signe. Le passé nous réserve tant de merveilles !
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  5. Je pensais justement à ces personnes âgées qui doivent vivre dans un monde dans lesuel elles n'ont plus aucune idole. Ça doit être assez étrange. Voilà pourquoi il faut cultiver sa curiosité. Afin de toujours faire de nouvelles découvertes. Déjà que 80% des écrivains de ma bibliothèque sont morts depuis longtemps...
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  6. L'Ethereum parce qu'il y a un éco-système financier derrière très puissant qui explose complètement. Le Dash parce que c'est une monnaie mature, qui est en train d'envoyer de très bons signaux sur le marché.
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  7. Je ne suis pas sûr. Pour ma part, je préfère rencontrer ce genre de créatures dans Diablo : au moins, elles peuvent dropper des objets intéressants.
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  8. Tu sais, je suis un sociologue avec une assurance vie, un compte SICAV, des BTC, des micros pièces d'or et des tableaux d'art contemporain
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  9. C'est dur de ne pas gloser sur le puritanisme US, particulièrement le féminisme US, avec un truc comme ça. D'ailleurs je ne me retiendrai pas. Ils ont un problème avec ça.
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  10. le musee qui dit non ca n'est pas la reponse la plus courante.Tout ce qui est academique, fonctionnaire et administratif d'etat, et corporate, repond generalement de facon a faire taire ces malades liberticides en leur donnant ce qu'elles veulent.J'aurais pu dire ce qu'ILS veulent mais la plupart du temps ce sont des femmes. C'est comme ca qu'on se retrouve avec des championnats sportif avec des mecs dans l'alterophilie pour femmes.
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  11. C'est quand même impressionnant Macron. Quand je l'entends parler, c'est souvent très bien constaté, il met le doigt où il faut. Et puis aussitôt qu'il faut prendre des décisions, c'est la catastrophe.
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  12. Au contraire, ça commence à s'attaquer aux œuvres d'arts. Bientôt une demande d'interdiction de Victor Hugo parce que c'était un salaud envers sa femme ? Oui je te rejoins sur le fait que tout est amplifié par la caisse de résonance qu'est Twitter / les réseaux sociaux, mais c'est pas ce qui est grave / important ici. C'est plutôt, selon moi, le premier exemple du puritanisme dont font preuve une partie des féministes et dont parlait @Johnathan R. Razorback y'a quelques semaines. Et ça rejoint la "polémique" par rapport au porno d'il y a peu.
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  13. Sinon, un truc marrant donc je viens de me rendre compte à mettre en face des gauchistes c'est que quand une femme arrive au pouvoir en europe non nordique, c'est souvent par la droite: Thatcher, May, Merkel....
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  14. @poney : https://www.monde-diplomatique.fr/2017/12/GALY/58188
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  15. Si le sociologue du coin commence à vous parler d'un placement financier, c'est que c'est une bulle. Après, si tu fais une analyse stratégique un peu bébé, tu as grosso modo deux options : - parier sur un "next big thing" qui prendrait le pas sur Bitcoin pour des raisons techniques (peu probable en dehors d'un fork et très peu de monde a les compétences techniques pour le voir) - et puis 95% de chances que ça arrive par un fork ; - aller sur une monnaie de niche qui répond à un besoin non résolu par le Bitcoin ; typiquement l'ethereum si tu as confiance en leur business model.
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  16. Well... un sans-faute sur le constat.
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  17. Si tu as peur d'une chute du XBT, évite les autres cryptos : le risque de baisse est encore plus fort. Si tu veux limiter ta perte potentielle sur XBT tu peux acheter un floor. Si tu veux du potentiel de hausse il y a les ICO (ou les coins qui viennent d'être mis sur marketplace et qui se sont pris une taule juste après leur introduction). Mais ça demande un boulot colossal d'analyse fondamentale. Le problème étant qu'il n'existe pas de modèle pour valoriser les coins (mon sujet de mémoire, que je ne finirai pas avant 18 mois). Sinon tu peux trouver quelques débuts d'analyses conjoncturelles ici et là https://steemit.com/bitcoin/@kingscrown/top-cryptos-for-today-suggestions-and-reasons-to-buy-or-sell
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  18. Le musée a dit non à la pétition, fausse polémique. Pour rejoindre l'histoire de l'insécurité culturelle, le problème c'est que la moindre indignation d'une asso ou d'un twittos sans importance est relayé généreusement par les médias/réseaux sociaux créant un climat d'hystérie à base de requêtes ultra-minoritaires/marginales.
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  19. C'est Laurent Gerra qui est mal, il perd la moitié de son répertoire en deux jours. Johnny a son obituary sur le WSJ. La classe.
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  20. Ce live, ça fait des années que je l'écoute en boucle, on jouait déjà deux titres de Johnny avec mon groupe de rockab', on va en ajouter 5 ou 6 dans notre set.
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  21. Johnny Hallyday http://m.leparisien.fr/culture-loisirs/musique/johnny-hallyday-est-mort-a-l-age-de-74-ans-30-11-2017-7424988.php
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  22. En bref, ils n'aiment pas les pauvres, ils détestent juste les riches.
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  23. Un truc pro comme ça. Surtout avec le Comic Sans.
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  24. Les logiciels PC sont open-sources. Le firmware du legder n'a qu'une partie publiée, mais on a certains documents de conceptions (dont l'architecture, qui est saine). En terme de sécurité, c'est incomparable à une simple clé USB. Une clé USB, tu la branches sur un PC vérolé, le pirate copie son contenu, récupère ton mot de passe avec un keylogger, et il te reste des yeux pour pleurer. Si tu ne la connecte que sur un PC non connecté à internet, comment tu fais des transactions? préparées depuis un PC connecté à internet sur une deuxième clé, copiées sur le PC isolé, signées avec la clé privée, retransférées sur le PC connecté et diffusées. Faisable, mais extrêmement peu pratique. Face à ça: - il est impossible d'extraire les clés privées d'un ledger. Donc tu peux le brancher sur le PC le plus vérolé du monde, personne n'aura tes clés - il a un écran et des boutons. donc le PIN est entré directement sur l'appareil (pas de keylogger possible), et tu peux vérifier la transaction sur l'écran (pas de modification de la transaction en douce pour te voler des BTC lors d'une transaction, quand tu crois signer une transaction légitime). - ça reste pratique à utiliser - il existe un PIN d'urgence qui efface entièrement le ledger, comme protection contre un braquage dans la rue ou contre un homejacking - il existe un PIN leurre qui ouvre un wallet secondaire, sur lequel on peut avoir déposer une petite somme par réalisme - bonus, on peut l'utiliser comme 2e facteur d'authentification pour des trucs comme gmail En terme de sécurité, le ledger nano S et son pote le trezor (même principe, autre boîte) sont donc l'équivalent d'un PC non connecté à internet, mais en restant pratique.
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  25. Bien, Vektor terminal Redux, Chtulhu
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  26. Je n'ai jamais lu le moindre de ces livres mais je l'ai toujours trouvé élégant, classe, ... à la télévision; il avait l'air cultivé et intelligent. En ne l'ayant jamais lu, j'avais beaucoup de tendresse pour ce p'tit vieil aristocrate qui parlait si bien.
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  27. encore mieux: pas de patates et tu tartines ton pate sur du gruyere lol
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  28. Les femmes sont aussi compétentes que les hommes pourvu qu'on leur explique avec des mots simples et qu'on les poussent un peu. Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que la femme imite naturellement ses congénères, c'est pour ça qu'il faut leur donner des modèles à suivre, leur montrer des femmes très féminines en train de coder des trucs, de couler du béton et toute cette sorte de chose.
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  29. C'est clair, et même chez les historiens d'ailleurs, et même quand c'est écrit par de grands historiens ça peut tourner au nimp. Je me rappelle des mots d'un historien qui avait dit à une conference: le problème c'est qu'on essaie d'apprendre aux enfants à critiquer les documents alors même qu'ils n'ont aucune culture historique. On essaie de former des historiens avant même de les former à l'histoire. Je pense qu'il a mis le doigt sur quelque chose.
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  31. C'est un sujet qui me passionne, alors je vais essayer de faire court et simple. En sciences humaines, je pense qu'il est totalement vain et illusoire de faire quelque chose qui ne soit pas un tout petit peu, même marginalement, le reflet de la vision du monde qu'a le scientifique. Tout l'enjeu est d'en avoir conscience et d'essayer de garder la maîtrise du travail, c'est une question de volonté propre au chercheur, une question d'honnêteté intellectuelle. Ca passe par plusieurs choses qui vont d'un cadre théorique conséquent et cohérent, une démarche réflexive bien conçue, une tentative de trianguler un maximum ses données, jouer le jeu de la transparence, savoir reconnaître ses limites. Je ne pense pas que les sciences humaines soient par défaut plus sujette à problème que les sciences dites "dures" (pour la blague, j'aime bien dire "sciences inhumaines"), il suffit de voir tout ce qui se trame dans la nutrition, la biologie, le climat et peut-être ailleurs dont je n'ai pas conscience. Par contre, elles sont devenues un lieu de bataille politique après guerre parce qu'elles furent investies par l'idée d'ingénieurisme social, c'est à dire l'idée que, armés de leur savoir, les sociologues et autres pouvaient résoudre les problèmes qu'ils analysaient : la pauvreté des classes populaire, la situation coloniale et j'en passe. C'est évidement plus difficile d'essayer d'améliorer le monde en analysant les étoiles. Pour répondre à tes questions, Flashy ("comment faire quand l'object d'étude est foncièrement politique"), je peux parler de mon travail pour donner un exemple de ce que je pense être une bonne maîtrise de l'approche politique d'un travail que je crois être scientifique. Ma spécialité c'est l'esclavage, c'est déjà un sujet politique à partir du moment ou j'y suis opposé. Plus encore, ma spécialité c'est l'esclavage domestique ouest-africain qui s'est constitué dans le sillage de la traite atlantique. Dans les premiers paragraphes de ma thèse, j'explique que mon travail est une volonté de donner une place à ces millions d'esclaves que l'histoire à oublié, ils sont au moins aussi nombreux que les esclaves atlantiques. C'est éminemment politique, c'est un sujet qui demain peut être brandi par une certaine droite pour dire "ah vous voyez, c'est pas la faute qu'aux Blancs, tralalalère" (alors que ce n'est pas ce qui est dit) et pris en grippe par les militants afrocentristes et autres qui nient cette situation et qui par là participent à l'euphémisation de rapports sociaux extrêmement violents et à la négation de l'existence de ces anciens esclaves, et quelque part, la négation de l'histoire de leurs descendants aujourd'hui. D'ailleurs, ces esclaves ont disparu de la vue des gens pour des raisons politiques, une sorte d'alliance improbable du colonialisme et des abolitionnistes. Mais ça va plus loin, je me bats pour assoir une définition de l'esclavage qui soit juridique, c'est à dire, j'essaie -je ne suis pas le seul bien sur- de définir l'esclavage par le statut qui leur est réservé dans une société donnée. Au contraire de beaucoup, je pense qu'il est vain de définir l'esclavage par un ensemble de phénomènes, car on en fait jamais le tour et surtout parce que dire ce qu'une chose fait ou subit n'est pas dire ce qu'elle est. Pourtant, cette définition phénoménologique de l'esclavage est la plus répandue, aussi bien dans la doxa populaire que savante, c'est la définition du BIT, de l'UNESCO, et j'en passe. Pourtant, si on dit que le mariage forcé c'est de l'esclavage, on doit dire que les reines du moyen-age étaient des esclaves, ce qui est ridicule. Ou si on parle de condition de travail difficiles, on ne distingue plus l'esclave, du serf, du paysan pauvre ou du travailleur forcé. Or, ces définitions sont massivement défendues par des chercheurs qui naviguent entre étude et militantisme : le travail forcé et la traite des êtres humains devient de l'esclavage. Moi je défends que ce sont des choses différentes, je ne les hiérarchise pas, je les distingue. Bien entendu, le fait que je sois libéral et défenseur d'une certaine forme de capitalisme n'y est pas étranger : je ne pense pas que les travailleurs soient exploités, je ne crois pas que les petites mains d'Amazon soient des esclaves. Je veux bien admettre qu'il puisse s'agir de travail forcé, de traite d'être humains, de conditions de travail dégradantes, mais je pense que c'est différent de l'esclavage pour un tas de raisons que je ne vais pas citer ici, mais que d'autres chercheurs défendent aussi. Je crois fermement que mon approche est la plus neutre, parce qu'elle évite le mélange des gens et surtout, elle permet de voir toutes les formes d'esclaves : certains esclaves n'étaient pas mal traités et bénéficiaient de statuts sociaux très enviés (par exemple, les devins royaux), si tu t'arrêtes sur le travail forcé, tu passes à côté de ces gens là. Par contre, si tu analyses l'esclavage comme un statut juridique, tu peux les retrouver dans ton étude. Je crois que mon travail rend justice aux esclaves et à leurs descendants, et j'y tiens, mais tu vois, en disant ça, je suis déjà une démarche politique. Mais ça ne sera pas écrit comme ça dans mon travail, il sera plus neutre, ça sera les conclusions à en tirer. ESt-ce qu'il est possible d'arriver sur un sujet d'étude sans en avoir des préjugés ? Je suis persuadé que non, j'ai longuement réfléchis à cette question. On a tous des préjugés. Si on en a pas sur l'objet en question, parce qu'on est libéraux, parce qu'on est fils de paysan ou fils de cadre du cac 40, parce qu'on a des parents militants socialistes ou des parents qui se foutent de la politique, parce qu'on a fréquenté une bonne ou une mauvaise école, parce qu'on a lu tel livre ou tel autre livre, on a tous une vision propre du monde. On a tous des idées sur ce qui fonctionne ou pas et sur ce qu'il devrait advenir du monde. Rien que ça suffit à comprendre qu'on a des préjugés sur n'importe quel sujet, même si on pense ne pas en avoir. Mais cette grille de lecture au monde, si on en prend conscience, je crois qu'il est possible de la neutraliser un maximum. Ou alors, on s'appelle Eric Fassin et on pétitionne toutes les semaines pour des sujets à la con dans Libération et on se couvre de ridicule, et toute la discipline avec.
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  32. j'avais partagé cet article sur facebook, c'est un bon résumé de l'état actuel de la socio, même si y a quelques trucs limites. en général, je dirais même 100% du temps, les gens "étudiés" ne se retrouvent jamais dans ce que les sociologues en disent, j'ai encore vu ça ajd sur le fil facebook de vol west a propos des survivalistes, y a plusieurs raisons, les deux principales étant que les gens confondent un caractère généralisant et leur cas particulier, et ensuite que très souvent les gens n'ont que peu de recul sur ce qu'ils font/disent/sont et n'aiment pas trop avoir le nez dans la merde. Or, les sociologues ont la manie de pointer ce qui va pas, un peu partout et sur n'importe quel sujet, du coup, ça se passe souvent mal. Donc, oui, ça a mauvaise presse. Le truc sur les inégalités n'es tpas faux non plus, le problème c'est que comme c'est le dada des sociolgoues, ils font a peu près que ça. Et pas que passke c'est des vilains gauchistes, le président du plib belge, un certains patrick smets, à écrit une thèse de socio qui utilise marx ou giddens pour défoncer le management merdique des entreprises hein Sur le bouquin de Bronner, je l'ai acheté, je l'ai pas encore lu. Ce que j'en ai entendu dire ici et là me fait penser qu'il pointe quelques trucs justes mais enfonce pas mal de portes ouvertes ailleurs et participe à rendre le débat encore plus gogol au contraire de ce qu'il promeut.
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  33. Quoi de mieux que des tables rondes pour lutter contre la grossophobie.
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  34. Uhuh, elle est grosse et encartée au PCF. C'est une boule coco.
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  35. C'est un gang le nypd, ni plus ni moins, surtout la brigade des stups (ie le boulot le plus nuisible possible).
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  36. Pour etre flic il faut une mentalité de collabo : Police in Trump-supporting towns aid immigration officials in crackdown http://uk.reuters.com/article/uk-trump-effect-immigration-police-insig/police-in-trump-supporting-towns-aid-immigration-officials-in-crackdown-idUKKBN1DR16R
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  37. J'attends la réaction outragée de ces féministes libérales dont on m'a tant parlé.
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  38. @Cthulhu Merci pour Black Fast, ça envoie !
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  39. C'est donc ce qu'on appelle dans le jargon nord-coréen une exkimmunication.
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