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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 11/01/2018 dans toutes les zones

  1. Fast Eddie : Le Monde - Mort d’Eddie Clarke, dernier membre historique de Motörhead Surnommé « Fast Eddie » en raison de son jeu de guitare, il avait quitté le groupe en 1982, en plein succès, pour monter sa propre formation, Fastway. http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2018/01/11/mort-d-eddie-clarke-dernier-membre-historique-de-motorhead_5240634_3382.html
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  2. Majuscule en début de phrase. J'aime bien corriger les fautes d'orthographes, rien de personnel.
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  3. qui s'en est occupé. J'aime bien corriger les fautes d'orthographe, rien de personnel.
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  4. Son idée de vouloir pénalement remplacer la "différence de degré" par "la différence de nature" est tout bonnement hallucinante : un homme qui ferait un bisou sur la joue d'une femme sans son consentement serait selon ses dires un porc au même titre que celui qui viole une femme (il y a certes une différence de degré, mais ce n'est pas ce qui compte selon elle car dans les deux cas c'est exactement la même nature qui s'exprime : celle d'un homme qui profite de sa position de domination pour poser un acte non consenti). Eh bien, je ne trouve pas exagéré de dire que les libertés sexuelles sont menacées par de telles idées délirantes (qu'elle n'a pas sorties de son chapeau à l'occasion de cette interview, puisqu'elle a écrit un article là-dessus). Quand elle explique un peu plus loin qu'il est impossible pour une femme de sortir de chez elle un jour sans subir au moins une agression verbale, tu comprends ce que cela signifie statistiquement : une écrasante majorité d'hommes se comportent comme des porcs. C'est de la misandrie, ni plus ni moins. Cette femme me semble déséquilibrée.
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  5. Oui tient maintenant que j'y pense c'est souvent mon impression aussi.
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  6. Assez directement, ça doit être Concept, non ?
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  7. elle simplifie et globalise à outrance, là où l'autre nana exprime son droit à ne pas en faire un plat, grosso merdo. Elle sait mieux que moi ce qu'il convient que je ressente, elle me fait aussi ch... que mon hamoniste avec ses leçons de morale de mal b..... (oups, je l'ai agressée verbalement dans sa féminitude, je m'autoclaque)
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  8. Ben, il se trouve que j'ai entendu Polony dans un débat de LCI sur ce sujet hier. Et justement, elle trouvait, elle, que cette tribune était très bien écrite et qu'elle était déçue qu'on ne l'ait pas contacté pour faire partie des signataires. L'argument qu'elle avançait, et que j'ai trouvé intéressant, et qu'elle estimait que ce qui se jouait autour de cette tribune n'était pas tellement le combat entre féministes et anti-féministes, ni entre progressistes et réactionnaires, mais entre ceux qui préfèrent le simplisme d'une pensée manichéenne et les gens qui acceptent la complexité du réel et revendiquent le droit d'exprimer de façon lettrée et instruite le sens de la nuance. Elle rappelait par exemple que "le droit d'importuner" revendiqué dans cette tribune n'est pas un "droit d'agresser". Mais pour comprendre cette nuance, qui n'est pas un détail, encore faut-il comprendre le sens des mots.
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  9. Je dirais plutôt que c'est une vision anti-essentialiste (la religion n’imprègne pas le sol hein. Et puis le monde change) et individualiste. Il y avait des croyants, et même beaucoup, en URSS et dans le bloc communiste. C'est d'ailleurs pour ça que parler de "bloc athée" comme le font certains me sidère. Consternant ce besoin de tout homogénéiser face à un réel complexe et évolutif. Parler de pays religieux, c'est non seulement faux et réducteur ; c'est aussi dangereux car c'est ouvrir la voie à une droite qui veut définir la nationalité par la religion (« Qui n'a pas vibré au souvenir du sacre de Reims [...] n'est pas vraiment Français. » -Marion Maréchal-Le Pen), avec tous les risques que l'on sait. Un tel anti-pluralisme est de toute façon anti-libéral. Les religieux libéraux devraient être de mon avis. Qui n'exclut pas que telle ou telle terre n'ait une "importance symbolique" liée à l'histoire religieuse (coucou Jérusalem). Mais ça n'en fait pas une terre de la religion X, comme si tous les non-X qui l'occupent étaient des intrus à dégager.
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  10. Je crois que ça se passe de commentaire. J'aime beaucoup. Edit : dommage que ce soit fake, je trouvais ça vraiment génial.
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  11. Définir les races socialement Il est désormais difficile d'argumenter qu'un concept est socialement construit tant la notion a été idéologiquement galvaudée. Cependant il arrive que le label soit correct. Les démarcations raciales telles que nous les connaissons nous semblent évidentes et solides, pourtant elles changent dans le temps et dans l'espace selon les buts politiques et les rapports de force. Ainsi, par exemple, le concept de race aryenne ne recoupait pas tous les européens ni tous les blancs. Durant le génocide au Rwanda les Hutus n'utilisaient pas comme critère la couleur de peau mais d'autres attributs comme la taille pour reconnaître les Tutsis. Aux États-Unis, une personne aux origines visiblement mêlées (peu importe la proportion) tend à être catégorisée comme non blanche (Ho, Sidanius, Levin, & Banaji, 2011) tandis qu'en Amérique Latine une personne tend à être catégorisée comme blanche dès qu'elle a des origines européennes visibles (Skidmore & Smith, 2005). Toutes les catégorisations raciales existantes sont réelles et utiles du point de vue de ceux qui les utilisent mais leur intérêt du point de vue scientifique se limite à leur rapport à l'Histoire et la société. Définir les races biologiquement Qu'en est-il alors des différences biologiques entre blancs et noirs ? Elles sont le signe que des sous-populations se sont retrouvées en relative isolation. Il faut noter ici que les processus d'évolution biologique ne se limitent pas à la sélection naturelle pour la survie, mais comprennent également des phénomènes sociaux non adaptatifs (sélection sexuelle) ainsi que des phénomènes réellement aléatoires tels que la dérive génétique (Hartl et al., 1997; Lande, 1976). Ces différences ne reflètent donc pas nécessairement des adaptations au milieu. Notons également que, statistiquement, deux groupes qui diffèrent selon n'importe quel critère arbitraire présenteront également un ensemble d'autres différences. À cet égard le critère "couleur de la peau" n'a aucun intérêt particulier justifiant de l'utiliser comme base pour définir des races. Fish (2002) propose par exemple un autre critère : les populations vivant dans des climats froids comme les Inuits tendent à développer des corps plus ronds pour conserver la chaleur. D'autres populations vivant dans des climats chauds comme les Masai tendent à développer des corps plus émaciés, ce qui maximise leur rapport surface/volume et leur permet d'émettre plus de chaleur. Selon cette nouvelle taxonomie les maigres et les gros sont deux races, chacune comprenant des individus blancs et noirs, et on pourrait trouver un grand nombre d'indices génétiques permettant en moyenne de les différencier. La légitimité scientifique d'une telle approche est exactement équivalente à celle s'appuyant sur la couleur de peau. Définir les races génétiquement La couleur de peau est un indicateur plutôt faible d'un point de vue génétique. La variabilité génétique est plus importante à l'intérieur de ces catégories qu'entre elles (Foster & Sharp, 2002), et elle est d'ailleurs beaucoup plus forte en Afrique par rapport au reste du monde (e.g. Tishkoff & Kidd, 2004; Tishkoff & Williams, 2002). Il y a 2% de différence entre l'ADN d'un humain et celui d'un chimpanzée, 0.1% de différence entre deux humains et 0.01% de différence entre les populations européenne, africaine et asiatique (Barbujani & Colonna, 2010; Jorde & Wooding, 2004), sachant que 98% de l'ADN humain est composé de régions non codantes (Elgar & Vavouri, 2008) et que dans les régions codantes les différences entre populations ne sont typiquement pas systématiques mais plutôt des variations de fréquences d'allèles. Lorsque de telles différences systématiques existent, elles concernent plutôt des traits simples comme la couleur de peau. Les traits comportementaux complexes comme l'intelligence tendent à dépendre de l'interaction entre un grand nombre de gènes, la contribution de chacun étant limitée (Chabris, Lee, Cesarini, Benjamin, & Laibson, 2015; Davies et al., 2011; Kirkpatrick, McGue, Iacono, Miller, & Basu, 2014). La recherche en génétique moléculaire et en imagerie cérébrale a pour l’instant échoué à détecter aucune relation entre les gènes et l'anatomie du cerveau d'une part, la race ou le quotient intellectuel d'autre part (Balaresque, Ballereau, & Jobling, 2007; Mekel-Bobrov et al., 2007; Richardson, 2011; Timpson, Heron, Smith, & Enard, 2007). QI et différences raciales Dans les études visant à lier race et intelligence, cette dernière est généralement définie suivant Boring (1923) comme "la quantité que les tests de QI mesurent". Une telle définition a le mérite d'illustrer l'absence d'accord théorique parmi les experts sur la nature de l'intelligence (Sternberg et al., 2005), qui se reflète également dans la multiplicité des tests de QI qui ne mesurent jamais exactement la même chose (Mackintosh, 2011). Par conséquent, s'il est généralement admis que le score des américains noirs est environ 15 points (un écart-type) plus bas, en moyenne, que celui des américains blancs pour les tests de QI (Cottrell, Newman, & Roisman, 2015; Neisser et al., 1996; Roth, Bevier, Bobko, Switzer, & Tyler, 2001), il est utile de compléter le tableau par d'autres types de mesures. Par exemple l'écart entre noirs et blancs est beaucoup plus important pour les connaissances techniques comparé aux tests de mathématiques ou de rapidité cognitive (Alderton, Wolfe, & Larson, 1997; Hough, Oswald, & Ployhart, 2001;Kehoe, 2002; Outtz & Newman, 2010; Wee et al., 2014), sachant que le QI incorpore généralement les deux. Par ailleurs l'écart pour la performance au travail est trois fois moins élevé que l'écart de QI (McKay & McDaniel, 2006). En outre l'écart de QI semble diminuer aux États-Unis (Dickens & Flynn, 2006; Mackintosh, 2011; Nisbett, 2005; Nisbett et al. 2012), ce qui se traduit par une augmentation des performances scolaires (très corrélées au QI) des élèves noirs par rapport aux blancs (Hedges & Nowell, 1998). Pour finir Fryer & Levitt (2013) n'ont trouvé aucune différence significative chez des enfants entre 8 et 12 mois. QI et héritabilité L'héritabilité est définie comme la proportion de variation d'un attribut entre les individus d'une population corrélée à la variation génétique dans cette population. Si le QI a une héritabilité de .50 alors on peut dire que 50% de la variation des scores de QI est potentiellement attribuable à des influences génétiques. La corrélation entre deux variables étant indépendante de leur niveau moyen, augmenter tous les QI d'une population de 200 points ne changera en rien le score d'héritabilité. Cette mesure est donc muette sur l'évolution possible des scores de QI (leur modifiabilité). La taille est un exemple de caractéristique extrêmement héritable (à un niveau supérieur à .90) mais également très modifiable comme l’illustre l'augmentation de la taille moyenne des dernières générations. L'héritabilité étant toujours mesurée pour une population, elle n'a aucun pouvoir explicatif sur les différences entre populations. La différence de taille entre deux populations peut être complètement liée à des facteurs environnementaux (nutrition, maladies...) sans que le score d'héritabilité de ces populations soit affecté. L'héritabilité peut être calculée avec plusieurs méthodes, la plus récente et directe étant la "genome-wide association study". L'héritabilité du QI a été estimée par l'une de ces études entre .40 et .50 (Davies et al., 2011) et par une autre à .35 (Kirkpatrick et al., 2014). Un tel score n'est pas surprenant pour une mesure qui se veut aussi générale que le QI. En effet il est connu que les traits définis les plus largement sont les plus héritables (Johnson et al., 2011). À titre de comparaison, Polderman et al. (2015) ont passé en revue 2748 études sur les jumeaux et trouvé une héritabilité moyenne de .48 pour environ 18 000 traits complexes. L'âge de la population considérée peut altérer l'héritabilité. Par exemple l'héritabilité de la satisfaction au travail a été mesurée à .312 à 21 ans, .187 à 25 ans et .198 à 30 ans (Li et al., 2016). Dans le cas du QI elle tend à augmenter jusqu'à atteindre des valeurs autour de .70 à l'âge adulte, ce qui a été nommé l'effet Wilson (Bouchard 2013). Cela peut s'expliquer en partie par le fait que, lorsqu'ils ont la liberté de le faire, les individus tendent à avoir un parcours de vie correspondant à leurs capacités physiques et intellectuelles (Kristof-Brown & Guay 2010). D'autres facteurs tels que l'éducation et l'environnement familial peuvent également altérer l'héritabilité du QI (Bates et al. 2013, Taylor et al. 2010). QI et brassage génétique La proportion d'origines blanches dans la population noire américaine atteint 24% (Bryc, Durand, Macpherson, Reic, & Mountain, 2015). Un moyen d'établir directement l'influence raciale dans le QI est de vérifier que les noirs américains avec le plus de gènes européens ont en moyenne un meilleur QI que ceux qui n'en ont pas. Witty & Jenkins (1935) ont sélectionné parmi 8000 enfants noirs les 63 avec le plus gros QI, qu'ils ont ensuite classé selon leurs origines telles que rapportées par leurs parents. La distribution des origines était étonnamment similaire dans les deux groupes, avec notamment 14.3% d'enfants d’origines principalement blanches chez les haut QI contre 14.8% dans le groupe contrôle. L'enfant avec le plus haut QI du groupe (une fillette au score exceptionnel de 200) n’avait aucun ancêtre blanc rapporté. Scarr et al. (1977) ont reproduit l'expérience avec une méthode plus moderne : ils ont évalué les origines de 362 enfants noirs avec des marqueurs sanguins et n'ont trouvé aucune corrélation avec 5 tests d'intelligence (le seul résultat s'approchant de la significativité était une tendance pour les enfants les plus blancs à moins bien répondre sur un des tests). Loehlin et al. (1973) ont également utilisé des marqueurs sanguins chez deux groupes indépendants pour un total de 84 adolescents noirs américains, et n'ont trouvé aucune corrélation significative avec le QI. Moore (1986) a mesuré le QI de 46 enfants noirs ou de race mixte ayant été adoptés soit par des parents noirs, soit par des parents blancs. Les scores des enfants avec 50% d’ADN blanc étaient virtuellement les mêmes. Il y avait en revanche un avantage de 13 points en moyenne pour les enfants vivant dans des foyers blancs. Dans la même veine l'étude de Willeman et al. (1974) montre un avantage moyen de 9 points de QI pour les enfants d'une mère blanche et d'un père noir par rapport aux enfants d'une mère noire et d'un père blanc, les proportions génétiques étant le même dans les deux cas. Eyferth (1961) a étudié les Besatzungskinder, des enfants illégitimes de soldats américains (et quelques français) élevés par des mères allemandes suite à la Seconde Guerre Mondiale. Le QI moyen des enfants de père noir (96.5) et de ceux de père blanc (97.2) était encore une fois identique, sans avantage pour les enfants purement blancs. La Minnesota Transracial Adoption Study (Scarr & Weinberg, 1976) est parfois citée en contre-exemple des études précédentes. Elle s'intéressait à 145 enfants noirs, de parents mixtes ou blancs, entre 4 et 12 ans, adoptés par des familles blanches de classe moyenne. Les QI moyens des trois groupes étaient 96.8, 109 et 111.5 respectivement. Notons qu'il n'y a encore une fois pas de différence entre les mixtes et les blancs, en revanche le score des noirs est significativement plus faible. Cette différence est néanmoins expliquée dans l'article : les enfants noirs ont été adoptés plus tardivement et leurs parents (à la fois génétiques et adoptifs) étaient en moyenne moins éduqués que ceux des autres groupes. Les mêmes enfants ont été testés à nouveau 10 ans plus tard (Weinberg, Scarr, & Waldman, 1992) avec comme nouveaux résultats 95.4, 109.5 et 117.6. L'augmentation du score des blancs est encore une fois expliquée dans l'article : un nombre disproportionné d'enfants blancs avec les scores de QI les plus bas n'ont pas pu être re-testés, biaisant la moyenne vers le haut. QI et environnement Des études comparatives internationales, utilisant souvent comme proxy du QI des mesures comme les scores PISA qui lui sont très corrélées (Rindermann, 2007), montrent un lien significatif entre le QI moyen et divers indices de développement comme le PIB par habitant, le nombre d'années d'études, l'espérance de vie, le taux de pauvreté, la liberté économique et le degré de démocratisation (Lynn & Vanhanen, 2006). On peut dès lors s'interroger sur la causalité entre ces facteurs. Le QI tend à augmenter de génération en génération (les néerlandais ont par exemple gagné 20 points de QI entre 1952 et 1982), ce qui a été nommé l'effet Flynn (Flynn, 1999). Comme nous l'avons vu précédemment cela ne contredit en rien l'héritabilité du QI (Dickens & Flynn, 2001). Cet effet est surtout présent dans les pays en voie de modernisation et devient moins important, négligeable voire négatif dans les pays les plus développés (Nisbett et al., 2012; Meisenberg & Woodley, 2013). Il est connu que l'éducation a pour effet d'augmenter le QI (Neisser et al., 1996), un effet quantifié à plus de 3 points par année d'étude en Suède (Falch & Sandgren Massih, 2011) et en Norvège (Brinch & Galloway, 2012). Les longues périodes de déscolarisation causent au contraire un déclin (Ceci, 1991). Von Stumm & Plomin (2015) ont trouvé que, sur 14835 enfants, la différence entre statut économique et social haut et bas entraînait un écart moyen de 6 points de QI à 2 ans qui se retrouvait presque triplé à 16 ans. Bakhiet et al. (2018) ont constaté qu'entre 5 et 12 ans le QI d'enfants de pays arabes devenait de plus en plus bas par rapport à celui d'enfants anglais. Ils nomment ce résultat l'effet Simber et proposent une explication en termes de Life History Speed (Figueredo et al. 2006) : lorsque l'environnement est imprévisible et dangereux (stress, mauvaise nutrition, parasites...) la maturation est plus précoce, ce qui se traduirait par le ralentissement puis l'arrêt du développement du QI à un âge où il continue de progresser chez les enfants occidentaux. Cas pratique : l'Italie Il a été proposé (Piffer & Lynn, 2014) que la présence historique de populations phéniciennes et arabes dans le sud de l'Italie aurait entrainé un mélange avec des gènes nord-africains dans ces régions (détectable à l'aide de marqueurs génétiques) qui expliquerait l'écart de 10 points de QI en moyenne (dérivé des scores PISA) entre les italiens du sud et les italiens du nord et par suite les différences de développement économique et social. Ce raisonnement a aussi été appliqué par exemple pour l'Espagne (Lynn, 2012). Daniele (2015) met en évidence qu'entre 2003 et 2013 le score italien moyen au PISA augmente de 19 points pour les mathématiques et de 14 points pour la lecture, une tendance portée quasi-exclusivement par les régions du sud tandis que dans les régions du nord la variation est négligeable ou négative. Une évolution similaire a existé en Allemagne où, après la réunification et sans qu'on puisse l'attribuer à la génétique, un écart de QI existait entre les régions de l'est et de l'ouest qui a été comblé par une augmentation de 0.5 points par an à l'est (Roivainen, 2012). Concernant l'influence des gènes arabes sur le développement économique, il est aisé de trouver des régions d'Europe avec une haute fréquence de marqueurs génétique nord-africains (Gérard et al., 2006) (par exemple la Sardaigne ou la Sicile) ayant un niveau de prospérité égal ou supérieur à d'autres régions où ils sont absents (par exemple le Kent). Au sujet du QI on peut noter que la proportion d'ancêtres africains est importante dans les populations juives, incluant les Ashkénazes (Moorjani et al., 2011). Références Alderton, D. L., Wolfe, J. H., & Larson, G. E. (1997). The ECAT battery. Military Psychology, 9, 5–37. Bakhiet, S. F. A., Dutton, E., Ashaer, K. Y. A., Essa, Y. A. S., Blahmar, T. A. M., Hakami, S. M., & Madison, G. (2018). Understanding the Simber Effect: Why is the age-dependent increase in children's cognitive ability smaller in Arab countries than in Britain? Personality and Individual Differences, 122, 38-42. Balaresque, P. L., Ballereau, S. J., & Jobling, M. A. (2007). Challenges in human genetic diversity: demographic history and adaptation. Human Molecular Genetics, 16, R134–R139. Barbujani, G., & Colonna, V. (2010). Human genome diversity: frequently asked questions. Trends in Genetics, 27, 285–295. Bates TC, Lewis GJ, Weiss A. (2013). 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  12. Vous connaissez la sociologie du droit? C'est rigolo. On peut y découvrir que lorsqu'on parle du droit, et notamment du droit pénal, il faut nécessairement s'interroger sur son effectivité -et ne pas partir du postulat qu'un bon droit est un droit nécessairement appliqué-. Là où je veux en venir, c'est qu'un acte pouvant recevoir une qualification délictuelle peut être un non-événement. Les infractions pénales, quoique précises quant à l'élément matériel et intentionnel, sont imprécises quant aux cas concrets auxquelles elles sont destinées à s'appliquer. Prenons le cas des violences physiques. Une bagarre absolument identique quant aux coups portés peut avoir des conséquences très très différentes pénalement : on va de la contravention à la réclusion criminelle à perpétuité. Pourquoi? Parce que la sanction dépend de la gravité des blessures de la victime. Ainsi, un coup de poing, s'il est mal reçu/si le gars tombe très mal/s'il est fragile (leucémie en rémission, au hasard) peut vous valoir une contravention ou des années de taule. C'est vrai pour les délits, c'est également vrai pour les crimes (quoique ces derniers ne sont, pour ainsi dire, jamais des "non-événements", au contraire de certaines circonstances pouvant être qualifiées de délit). C'est pareil en matière sexuelle. La qualification de "viol" recouvre un très large spectre, qui va de l'infâme insoutenable à la bêtise de soirée. Idem pour les agressions sexuelles, où cela va du traumatisant à l'incivilité. Si le procureur a le pouvoir de trier les dossiers, ce n'est pas pour couvrir les politiciens mais bien pour pouvoir différencier le sérieux de l'accessoire. C'est là le prix de la vie en société -le droit doit refluer, parfois : inutile de foutre en geôles toutes les personnes qui se sont déjà bagarrées, par exemple, ou qui ont pu avoir une parole, un geste (une pensée?) répréhensible-. De même pour les agents, qui font eux-mêmes ce tri : tel événement nécessite-t-il que j'y consacre énergie, peurs, angoisses, argent? Parfois, la réponse sera négative. C'est aussi intéressant pour la notion de victime -est-ce un statut, un état transitoire, un simple constat...-.
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  13. Je ne suis pas d'accord avec toi sur ce point : un texte doit être jugé sur son contenu, sur la thèse qu'il défend et les arguments qui la soutiennent, pas en fonction de ses auteurs et de leurs positions passées (sans compter que celles-ci peuvent évoluer). Ce n'est peut-être pas tant la disparition de la liberté sexuelle qui craignent les signataires (du moins, disparition directe) qu'une évolution des rapports homme-femme vers quelque chose de plus rigide, de plus puritain, de moins spontané, où l'erreur d'interprétation et la maladresse deviennent condamnables. Crainte de voir les femmes enfermées dans le rôle d’éternelles victimes peut-être aussi.
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  14. Il y a les gestes, la main au cul, le tripotage de boobs, la tentative foireuse de fourrage de langue, tous ces trucs là, je les ai vécu, et quantité de nanas également. À cette époque là, si j'avais été déposer plainte, franchement, il ne se serait rien passé, que dalle de que dalle. J'ai aussi couché avec des mecs sans forcément être d'accord, dans le sens où j'étais bourrée et pas trop dans le discernement, le mec non plus d'ailleurs. Donc, nous nous sommes violés mutuellement, à la lumière des définitions d'aujourd'hui. So what ? Je ne me suis JAMAIS considérée comme une victime, je ne veux pas de ça, et je ne veux pas que quelqu'un me dise que je l'ai été parce que c'est écrit dans le code. On ne se définit pas seulement en fonction des actes que l'on subit, au risque de se trimballer toute sa vie un tombereau de merde sur les épaules. Aujourd'hui, avec ce goût pour le chougnage, les femmes prennent le risque de devenir des petites choses toutes mignonnes et fragiles, à protéger à grands renforts de lois. Cette dérive me fait flipper davantage que le frotteur du métro auquel je peux balancer un grand coup de genou dans les burnes (c'est ce que je conseille à ma fille d'ailleurs)
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  15. Oui, la femme est reconnue comme une victime au plan du droit, elle peut porter plainte, mais rien ne l'y oblige, elle n'est pas dans l'obligation de se considérer comme une victime aux yeux de son entourage. Je te garantis que autour de moi j'ai un grand nombre de femmes qui ont eu à subir des assauts de gros lourdauds, et qui ne sont pas senties victimes dans le sens où il convient de l'entendre aujourd'hui. À commencer par moi.
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  16. Aujourd'hui, j'ai peut-être sauvé deux vies l'une canine et l'autre humaine En attente chez le véto, une dame arrive avec son toutou, on blablate et - elle me raconte les misères de son chien : il est diabétique, prise de sang mensuelle et insuline chaque jour depuis x années.... je l'interroge sur le régime alimentaire de la pauvre bête, qui ne mange plus de croquettes, mais suit le régime prescrit par le toubib à savoir viande blanche (moins grasse....), haricots verts et pâtes mais pas trop cuites.... WTF ???????? je lui déroule le texte sur l'alimentation barf, les glucides et patati et patatate. Elle a une amie qui nourrit ses chiens comme ça, sans déconner, demande lui ce qu'elle pense des pâtes pour ton clebs, ma poule ! - elle a du cholestérol et du diabète et bouffe de la statine depuis 30 ans : rebelote et exemple de bibi J'ai laissé mon 06 afin qu'elle me tienne au courant, j'espère qu'elle va tenter. C'est quand même triste, toutes ces personnes qui croient dur comme fer leur toubib sans se demander comment ça se fait qu'au bout de 30 ans t'as toujours le même souci de santé avec un traitement de cheval.
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  17. Dégenrons le débat, tu te fais agresser dans la rue, mais tu n'as pas de séquelles physiques, il vaut mieux que tu psychotes toute ta vie sur cet évenement ou bien que tu essaies de l'oublier (plus ou moins consciemment)? Certains ('peut ' 'voire') préfèrent la deuxième solution. Ce n'est pas une négation de l'agression elle-même. C'est ce que je comprend de ce texte.
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  18. C'est bien ce que je dis : tu ne veux pas comprendre le texte. Tu isoles un bout de phrase sans considérer le sens qu'il peut avoir dans l'ensemble du paragraphe. Il ne s'agit pas de dire qu'un délit est un non-événement. Il s'agit de dire qu'une femme peut considérer le délit comme un non événement, ce qui lui permet de passer à autre chose et de ne plus rester traumatisée, de se relever de l'agression, la résilience, toussa...
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  19. Et vous pensez qu’ils comptent y arriver comment ? En suscitant des réactions stupides causées par la peur. D’une part, en faisant passer de plus en plus de lois vexatoires pour les populations musulmanes de nos pays, ce qui crééera un terreau fertile pour leur recrutement. D’autre part, en nous poussant à intervenir ou créer des conflits armés déstabilisant des régimes ce qui leur permettra d’agrandir leurs territoires. Les immenses territoires qu’ils ont pu conquérir en Afghanistan (cas à part car cela est le résultat de la Guerre Froide), en Irak, en Syrie et en Lybie, on leur a servi sur un plateau.
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  20. Ca me rappelle les histoires où un mec est envoyé au goulag, on se rend compte qu'il est pas le bon. Mais bon, dans les bonnes histoires, il reste quand même au goulag.
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  21. Tiens ça voudrait dire que le contexte peut changer l'appréciation que l'on a d'une phrase? Mais... ce n'est pas ce que twitter m'avait appris... Maintenant, va falloir écouter l'ensemble de l'interview de Millet avant de la traiter de tous les noms..
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  22. Ah cette remarque on la voit partout. Mais c'est une déformation du propos du texte. La tribune indique simplement qu'une femme peut "ne pas se sentir traumatisée à jamais par un frotteur dans le métro", en prenant le soin de préciser que "cela est considéré comme un délit". Bref, faire dire exactement l'inverse de ce que dit un texte, telle est la technique des idéologues forcenées, comme l'explique très bien un article de CP du jour.
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  23. Je n'y vois pas une plainte et même si c'était previsible qu'elles ne fassent pas le poids face au rouleau compresseur du féminisme officiel, elles ont bien le droit de répondre à Haas et consoeurs. Peggy Sastre relève juste qu'on reproche plus à son opinion d'exister (traitrise à son propre à sexe) que d'être ce qu'elle est.
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  24. http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/01/10/31003-20180110ARTFIG00186-peggy-sastre-le-feminisme-policier-refuse-la-contradiction.php «Je suis quand même sidérée que les mêmes qui se félicitent d'une libération de la parole nous demandent de nous taire! Elles nous disent que notre point de vue est «indécent», qu'il ne fallait pas en parler maintenant, nous accusent d'être de vielles bourges blanches. La libération de la parole est donc à sens unique [...] Ce féminisme policier fondé sur le chantage affectif et la manipulation des statistiques ne supporte même plus la contradiction. Ce mouvement est antilibéral, au sens politique du terme: il refuse le pluralisme et la coexistence de sensibilités différentes au sein du débat public, qui est, il me semble, l'un des acquis les plus précieux des sociétés occidentales. Elles sont persuadées d'avoir le vent de l'histoire dans le dos... ça me fait bien rire! » Dans le mille.
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  25. Si ce point-de-vue est certes stupide, il n'a pas été défendu dans le cadre de la tribune. S'en servir pour la critiquer, c'est plutôt malhonnête intellectuellement, non ? ------ Tel que je le comprends, le texte rappelle juste que deux personnes confrontées à une même situation ne la vivront pas nécessairement de la même façon. Je n'y vois en tout cas aucune injonction à considérer ça comme un non-événement (sentiment renforcé par l'utilisation du terme "voire"). ------ Je ne vois pas ce qu'il y a de faux dans cette assertion si on limite l'orgasme à une réaction purement physique. Ce n'est absolument pas la preuve que la personne violée était, au final, consentante ou que le viol soit une bonne chose.
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  26. Je ne crois pas que ceux qui utilisent le terme de "survivantes" alors que leur vie n'a jamais été en danger ne soient dérangées uniquement par la facon de l'amener.
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  27. Va dire ça aux familles des gens heurtés de plein fouet par des gens bourrés en voiture! Je répète : statistiquement, c'est nul. zéro. Que dalle. Psychologiquement, c'est énorme. Le but même du terrorisme, combat asymétrique s'il en est un, c'est non pas de remporter la victoire ni-même de déstabiliser l'adversaire, mais de semer la terreur. Tant qu'on n'aura pas compris ça et qu'on réagira de manière émotionnelle, on a perdu. Dommage, la réaction émotionnelle est le cœur de métier de nos politiciens, voire le gagne-pain.
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  28. Je ne supporte plus ces convocations : s'il y a quelque chose d'illégal, c'est le boulot de la justice. Y en a marre du gouvernement qui se comporte en monarque. Les gens n'ont pas de compte à rendre au gouvernement. Jamais je ne me rendrais à une convocation du gouvernement. Y a que la justice qui a le droit de me convoquer. Le Monde - Lait contaminé : Bruno Le Maire convoque la grande distribution et Lactalis à Bercy Le ministre de l’économie veut déterminer les responsabilités dans les failles du rappel des produits concernés par la contamination à la salmonelle. http://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2018/01/11/lait-contamine-bruno-le-maire-convoque-la-grande-distribution-et-lactalis-a-bercy_5240422_1656968.html
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  29. La statistique n'a que faire des intentions. Le fait est que le terrorisme en France est, même avec les attentats de ces dernières années, TOTALEMENT éclipsé par d'autre phénomènes, en terme de décès. Et c'est fatiguant de devoir le répeter aux gens qui, comme tu le dis, voient ou croient voir du terro partout. L’éternel débat émotionnel vs raisonnement. Et c'est précisément ce qui fait le succès du terrorisme (c'est même dans son nom).
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  30. Ah oui, ça c'est quand on n'a plus d'arguments. Mais ça fait un peu boomer / génération X. Aujourd'hui on dit plutôt "J'arrive pas à croire qu'en <current_year>". C'est l'étape avant le "facho" (boomers et génération X) ou le "littéralement un nazi" (générations suivantes).
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  31. Tu dis ça tu penses "nouarobophobie", non ? Tu sais qu'on est nombreux à être islamophobe sans faire de lien racial.
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  32. Les "taxes locales" sont légalement des impôts. Probablement comme au Canada ou aux USA : ils amènent à manger. Tu peux avoir un lieu pour te restaurer sans que la nourriture soient décidée par la mairie.
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  33. J imagine assez facilement que des sociétés privées pourraient facturer Directement aux parents des services de cantines sans passer par quelconques collectivités. Certains enfants mangeraient hallal, d autres vegan, ou du poisson le vendredi en fonction des choix des parents.
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  34. Y a pas de culture mercantiliste fermement ancrée en France ? C'est aussi grâce à ca que la fonction publique et le capitalisme de connivence prospère. Y a pas que les fonctionnaires qui sont des sangsues en France.
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  35. Les vieux votent pour les trucs gratuits. L'électorat de Fillon s'est envolé le jour où il a dit qu'il ne voulait plus rembourser les bobos, les lunettes, prothèses dentaires et auditives. C'est ce qu'on appelle en France la solidarité intergenerationnelle : payer relativement peu d'impôts toute sa vie, matraquer ses enfants et petits enfants pour avoir des trucs gratuits, épargner en dette publique sur leur dos pour pas prendre de risque, les empêcher de se loger pour préserver la valeur de son bien immobilier acheté à taux fixe quand y avait 10% d'inflation par an (et au passage en spoliant l'épargne de ses parents) et se faire payer pleins de trucs gratuits par le maire, le département et la région.
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  36. Alors ici http://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1979_num_34_2_18072?pageid=t1_415 ils donnent 28 pour les hommes et 24 pour les femmes en moyenne au XIXème.
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  37. Y a vraiment des gens qui y jouent ? On avait la boîte dans mon école et c'était devenu une sorte de running gag. Sinon, un que j'avais beaucoup aimé qui est entre le coop' et le chacun pour soi, c'est Res Publica Romana. On gère une famille romaine ; le but est de devenir empereur (donc de poutrer les autres familles), tout en évitant de se faire poutrer par les gaulois/carthaginois... (donc en ne poutrant pas trop les autres familles).
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  38. Macron quoi... Excellent en discours, à chier en acte.
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  39. Selon lequel critère ? Le record de depenses publiques ?
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  40. Le frenchcoin est backé par 5 milliards de baguettes et autant de fromages. Une valeur sure!
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  41. Le plus simple reste la suppression des cantines scolaires dans les écoles publiques.
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  42. Merci de passer largement à côté d'un des éléments que j'ai mentionné et qui me semble important pour avoir une réflexion intéressante sur ce sujet. Au cas où tu l'aurais involontairement omis, je le rappelle ici : une proportion de plus en plus importante des musulmans semble accorder une importance de plus en plus grande à la pratique religieuse (ou à une certaine forme d'icelle), beaucoup plus qu'il y a vingt ou trente ans. C'est un fait qui appelle la réflexion.
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  43. Très dur en effet. Et j'aime pas les coop. J'aime bien Carcassonne mais il y a quand même un facteur chance qui joue beaucoup. Avec moins de hasard, Citadelle est pas mauvais du tout. Sinon j'ai joué une fois à un jeu ou on fait deviner des trucs à son partenaire en utilisant des concepts élémentaires représentés sur des tuiles. J'ai oublié le nom mais j'avais trouvé l'idée sympa.
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  44. Je ne crois pas non plus que les conforter dans leur mentalité de victime aide beaucoup. Quand on parle de survivantes, de traumatisme et de cellule psychologique pour une main aux fessee... Au passage, on ne va pas plus au tribunal pour un poing dans la gueule.
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  45. Saône-et-Loire. Un SDF condamné à du sursis pour s'être servi dans les poubelles d'un magasin Atac Donc on condamne les supermarchés quand ils laissent de la bouffe périmée dans leurs poubelles, puis on pond une loi anti-gaspillage alimentaire, et maintenant ca. Ce pays de fous.
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  46. Le jeu unique du parti unique : Soviet System. https://fr.wikipedia.org/wiki/Soviet_system Alors niveau jeu, ce n'est pas très bon. Mais niveau incentive à la corruption c'est magistral. Et c'est fun la première heure.
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  47. C’est simplement une question d’éducation, de courtoisie, d’intelligence sociale comme le dit NoName. Tout ce que l’on peut faire, c’est de dire que ce mec est un con car c’est le cas. Essayer de justifier ne serait-ce qu’un petit peu sa bêtise, c’est quoi que l’on dise, se ranger un peu du côté de sa connerie et de sa méchanceté.
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