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    Dogbert, Bender Rodriguez
  1. Fuir le pays ça sera fait pour moi dès février prochain prends ça Hollande
  2. eDoK

    Armageddon économique ?

    Bah ils peuvent pas taxer les produits financiers et autres capitaux, déjà ils y panent rien et puis les méchants se barrent à Londres. Alors ils taxent les produits de base préférés des beaufs qui peuvent pas s'enfuir. Bientôt une taxe sur les survet' et fifa 2013…
  3. eDoK

    Armageddon économique ?

    Et bientôt même plus du tout dans pas si longtemps http://www.planetbio...details/i/1237/ La biométrie dans ce secteur avance à une vitesse hallucinante (même si on ment encore un peu sur ses capacités…)
  4. eDoK

    Armageddon économique ?

    En quoi la guerre est la conséquence inéluctable de la faillite d'un Etat ? Pas compris là. Que la guerre soit bien pratique pour éviter aux politiques de perdre la tête, au sens littéral, je veux bien. Mais entre une guerre et la faillite d'un Etat… Aucun rapport. Et réduire le débat à une simple logique manichéenne "si tu veux pas l'inflation t'auras la guerre" (ah ouais tu veux pas que je te donne la peste ? Alors je vais te donner le choléra) c'est malhonnête.
  5. Bien possible j'étais dans les vaps, ce matin le texte ne m'a pas du tout fait la même impression que hier soir. Je laisse les gérants gérer =)
  6. Vendue =) c'est vrai que ça passe bien comme ça. Par contre tu es sûr pour le "basé sûr" ? =X Je n'ai jamais eu aucune remarque à ce sujet
  7. Je viens de lire l'article publié, "L'éolien c'est du vent". Les corrections sont bonnes (merci) mais j'ai juste deux remarques: « Il s'agit de celle que notre gouvernement a entièrement focalisée sur la conviction que nous pouvons » - cette correction n'a pas de sens =X - edit histoire de préciser un peu, le verbe "focaliser" me semble un peu malheureux en français ici, pas du tout la même utilisation qu'en anglais. En français on dirait plus "baser sur" pour une idée ou une politique. Juste après, vous avez remplacé "d'une façon ou d'une autre" par "en quelque sorte". L'original étant "somehow", je maintiens ma trad ! Nanmé
  8. La grande illusion du vent (si quelqu'un a un jeu de mot sur le parallèle illusion/vent c'est le moment) La cacophonie de notre politique énergétique nationale fait l’objet de la colonne de Booker (journaliste au Telegraph, Ndt) cette semaine. C’est celle à propos de laquelle notre Gouvernement se repose entièrement sur la croyance que nous pouvons, d’une façon ou d’une autre, laisser nos lumières allumées en construisant des dizaines de milliers d’éoliennes supplémentaires dans les huit ans à venir. Nous n’étions évidemment pas censés nous rendre compte qu’à un moment donné de la semaine dernière, les 3500 éoliennes britanniques ont contribué à hauteur de 12 mégawatts (MW) sur les 38000MW que nous étions en train d’utiliser. (le site Neta, qui prend en charge les statistiques officielles sur l’énergie, a enregistré une contribution de 0,0%). Et malgré le fait que l’immense bêtise de la nouvelle « course vers l’énergie éolienne » soit aujourd’hui bien connue, cela fait aujourd’hui quelques 10 ans que Booker a pour la première fois pointé la folie de tout ça. C’était se bercer d’illusion à l’époque et ça l’est encore plus aujourd’hui, alors que le gouvernement, dans son dernier rapport sur l’énergie, parle de fournir en moyenne 12300MW provenant d’énergies « renouvelables » d’ici 2020. Le côté illusoire de la chose ne peut être assez souligné. Nous avons un gouvernement qui déclare quelque chose qui ne peut être fait en tant que politique. Il est absolument impossible qu’ils puissent meme espérer construire une fraction des 30000 éoliennes requises pour atteindre cet objectif tordu. Et alors, comme nous l’ont montré les jours sans vent de la semaine dernière, nous devrons aussi construire des dizaines de centrales à gaz juste pour fournir un soutien pour toutes les fois où le vent ne soufflera pas à la bonne vitesse. Mais, déclare Booker, comme de plus en plus d’informateurs avisés l’ont fait remarqué, les ministres et les politiques du Département de l’Energie et du Climat (Department of Energy and Climate Change, DECC) semblent vivre dans une bulle irréelle sans aucune connaissance même basique de la façon dont l’énergie est produite. Ils sont imperméables aux arguments rationnels et guidés par une obsession qui ne peut finir qu’en arrêt progressif de notre économie basée sur l’informatique. La dernière tentative en date pour les faire se rendre compte de la réalité est signée du Pr Gordon Hughes, un ancient conseiller expérimenté sur l’énergie à la Banque Mondiale, aujourd’hui professeur d’économie à Edimbourg, qui a récemment témoigné sur l’énergie et le changement climatique devant le comité parlementaire sur l’énergie (‘Commons committee on energy’). Sa découverte la plus marquante nous prouve que dans notre poursuite de l’objectif de notre loi sur le changement climatique (‘Climate Change Act’), qui vise à réduire les émissions britanniques de CO2 de 80% d’ici 2050, nous coûterait 124 milliards de Livres d’ici 2020, soit 5000 Livres pour chaque foyer: pas seulement pour construire des dizaines de milliers d’éoliennes subventionnées jusqu’à l’absurde, mais aussi pour des centrales à gaz pour fournir du soutien. Alors que garantir le même montant d’énergie avec des centrales électriques à cycle combiné gaz (CCCG) coûterait 13 milliards de Livres, à peine un dizième de cette somme. De plus, comme l’explique le Pr Hughes, faire varier sans cesse l’intensité de production des centrales électriques de soutien à gaz impliquerait une utilisation très inefficace, et rejeterait tant de CO2 que nous finirions par augmenter notre niveau general d’émissions au lieu de le réduire. Et qui doit les construire ou les payer ? A noter toutefois pour casser l’ambiance que la probabilité pour qu’un seul de ces points ne soient compris par ceux en charge de notre politique énergétique peut être mesurée au fait que ce comité parlementaire soit dirigé par Tim Yeo, dont les intérêts commerciaux montrent que celui-ci a gagné, en plus de son revenu de député, plus de 100 000 Livres en travaillant (à 800 Livres de l’heure) pour des firmes qui tirent des bénéfices à partir des énergies renouvelables. Quand le député Peter Lilley a montré les chiffres du Pr Hughes à la chambre basse, il a été écarté avec mépris par le ministre de l’Energie et du Climat Charles Hendry, qui a déclaré ne pas être d’accord avec le Pr Hughes (sur des faits qui montrent qu’il n’avait pas compris du tout l’objet du débat), en ajoutant « tout comme le comité sur le changement climatique ». Le nouveau président de ce comité, nommé par la loi sur le changement climatique (Climate Change Act), est Lord Deben (succédant à John Gummer), dont les activités lucratives variées incluent son poste de président de Forewind, un consortium international visant à la construction de la ferme à éoliennes offshore la plus étendue au monde, avec des milliers de turbines sur la Dogger Bank (immense banc de sable de la Mer du Nord, NdT). Ainsi donc, les promoteurs du business du vent ont réussi à occuper tous les postes de commandement de notre politique énergétique, et le seul retour possible à la réalité concevable passe par une attaque avisée et bien informée par un grand nombre de ceux élus pour nous représenter au Parlement. Mais comme les lettres du la loi sur le changement climatique récemment transmises à Brooker par ses lecteurs et rédigées par plus de 70 députés nous l’enseignent, ils semblent tout autant enfermés dans cette bulle de simulation de croyance que ceux qui ont visé ces politiques illusoires en premier lieu. Un point intéressant, une académicienne d'Oxford,spécialiste de l’interaction entre les sciences et la politiques, a demandé à Booker si elle pouvait entreprendre une analyse détaillée de ces lettres, pour voir ce qu’elles nous montrent du degré de compréhension des députés sur un des points les plus essentiels que notre pays doit affronter. En temps voulu, Booker espère publier un rapport sur les résultats mais, déjà, nous craignons qu’ils ne soient pas très encourageants. Nous savons déjà que ce Parlement à complètement échoué à faire son travail ici, fournissant une des raisons pour ne plus faire confiance aux députés. S’ils ne sont pas dignes de confiance sur cette question complètement folle, comment pourraient-ils l’être sur quoi que ce soit d’autre ? PS : j’ai cherché l’identité de « Booker » sur le net et n’ai trouvé qu’un journaliste masculin du Telegraph, mais l’auteur écrit « she » à son propos. J’ai esquivé le problème dans l’article sauf au moment de donner son identité au tout début, et pour des raisons de condtions physiques perso pour tourner ça joliment je me sens pas le courage de me lancer dans une recherche. Faudrait peut-être aussi un relecteur généreux pour cet article, même raison que précédemment. Egalement un lien présent dans l’article au tt début sur « la semaine dernière », mais le postage de lien étant impossible pour moi sur ce forum je laisse faire une âme généreuse. PS²: Brooker est bel et bien le journaliste du Telegraph, j'avais mal lu une phrase et mal compris le sens. Quand j'vous dis que je suis pas en forme… Relecture svp =X (article corrigé bien sûr)
  9. Les républicains viennent de se rendre bien plus éligibles Par Daniel Hannan Il y a trois ans, quand on leur a demandé quelle était la plus grande menace qui pesait sur les Etats-Unis, le Comité des chefs d’états-majors interarmées américain (« Joint Chiefs of Staff ») a répondu « le niveau de la dette ». Vrai alors, encore plus vrai aujourd’hui. Les gaspilleurs de l’actuelle administration ont dilapidé des milliers de milliards de dollars alors que le Trésor était déjà aussi nu que le Roy. La crise de la dette n’est plus seulement une affaire américaine : la banqueroute des plus grandes démocraties libérales du monde est une menace pour tout défenseur de la liberté. Laissez-moi partagez une petit rétrospective britannique avec les lecteurs américains. En 1945, nous avions vidé notre Trésor et épuisé notre crédit. Malheureusement, c’est à cette période que le gouvernement Attlee (Premier Ministre britannique de 1945 à 1951) décida d’entreprendre un programme ruineux d’expansion étatique. En guise de résultat, la Grande-Bretagne est passé en 30 ans du statut de première puissance mondiale à celui d’un pays tellement misérable qu’il cherchait le salut en Europe. Vous avez à peine besoin de moi pour faire le parallèle. Les programmes fédéraux de l’administration Obama et les plans sur la Santé auraient été un fardeau peu importe l’époque, mais dans les circonstances économiques actuelles ils menacent de provoquer une catastrophe. A côté de la crise des dépenses [publiques], aucun autre problème n’est important. Que les candidats prennent position sur le droit du port d’armes ou le mariage homosexuel est, honnêtement, aussi important que leur position sur l’identité de Jack l’Eventreur. La seule question que les américains devraient se poser jusqu’aux élections est celle-ci : « qui va restaurer le bon sens dans les dépenses fédérales ? » Comme beaucoup d’américains, je blâme les deux partis pour le désordre. Les packages pourris d’Obama suivent ceux de Bush, et les membres du Congrès des deux partis sont responsables. (Pour être honnête, les électeurs républicains ont viré certains de leurs coupables pour les remplacer par des « conservateurs fiscaux »). Il existe toutefois un membre du Congrès qui comprend non seulement la gravité de la situation de son pays, mais aussi du besoin d’un plan de relance plausible. Cet homme s’appelle Paul Ryan, du Wisconsin, et la bonne nouvelle est qu’il est nominé en tant que vice-présidentiable républicain. J’ai déjà posté la vidéo au dessus de l’article, mais elle mérite bien un nouveau visionnage. Ryan est dans la vie tout autant qu’il paraît dans cette vidéo : sincère, charmant, intelligent. Il est vrai que le Congrès fixe le budget, et je reste de ceux qui croient que les élections législatives de novembre prochain sont celles qui comptent le plus. Mais avoir un responsable politique qui voit dans la dépense fédérale un problème plutôt que la solution ne peut pas faire de mal.
  10. eDoK

    Armageddon économique ?

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202197242306-espagne-la-catalogne-coupe-les-subventions-sociales-349208.php Le gouvernement catalan, en proie à de graves difficultés financières, a annoncé mardi qu'il ne verserait pas en juillet les subventions aux organismes sociaux. Il s'agirait de 400 millions d'euros, destinés aux hôpitaux, centres pour handicapés, résidences pour personnes âgées ou centres d'accueils pour mineurs. Hajime !
  11. eDoK

    Propositions pour Contrepoints

    Sur cet article : http://www.contrepoi…n-echec-annonce Ce plan propose d'augmenter les "bonus" pour les véhicules émettant du de gaz carbonique La soutien aux véhicules hybrides profitera à ceux qui ont les moyens de les acheter
  12. eDoK

    Propositions pour Contrepoints

    Va pour ça ça mettra à profit ma lecture matinale quotidienne =)
  13. eDoK

    Exil fiscal et des talents

    "j'ai l'habitude d'apprendre des choses nouvelles dont je ne connaissais rien" Oui comme tous ceux qui ont fait des études. Le mythe de l'ingénieur qui peut tout faire c'est un peu français comme truc… Et heureusement j'peux vous dire, parce que pour bosser dans une boîte dirigée par des ingé pur jus j'vous dit pas les dégâts…
  14. eDoK

    Propositions pour Contrepoints

    Pour faire les relectures ? Il faut quoi ?
  15. "It's started – get rid of the fudge" C’est parti – Débarrassons-nous de cette blague Richard North, 3 July 2012 Avec la fièvre rampante des referendum, l’Independent (journal britannique de centre-gauche, ndt) est déjà prêt et nous sert des arguments en faveur du maintien dans l’ UE, explicités par Ben Chu. Les éléments avancés sont tous très prévisibles, et ont été utilisés jusqu’à saturation auparavant. Toutefois, ce n’est pas sur ce terrain que la bataille aura lieu. A mesure que la situation avance, les chances de faire face à non pas un, mais deux referendum augmentent. Come évoqué dans un scénario imagine dans un de mes précédents articles, nous faisons face à la possibilité d’un référendum sur un Traité quelque part en 2015, vers ou pendant les élections législatives—si l’UE survit jusque là. Il est possible que ce ne soit pas un référendum « dedans/dehors », mais plutôt un référendum qui demande si nous approuvons un nouveau Traité qui donne considérablement plus de pouvoirs à l’UE. Quelle que soit la réponse, le Royaume-Uni aura négocié de multiples clauses d’exemption, et une pression sera mise pour accepter le Traité sous le prétexte que le refuser mettra l’euro en danger. Toutefois dans ce scénario, une réponse affirmative placerait le Royaume-Uni dans la position de cinquième roue du carrosse dans une Union Européenne transformée en Etats-Unis d’Europe, centrés autour des pays restants de la zone euro. Donc il doit y avoir un lien entre le « oui » au Traité et un référendum pour rester ou sortir de l’UE, ce dernier conditionnant le premier. Ce que nous pourrions voir est un Cameron (Premier Ministre britannique, ndt) qui nous confronte a un referendum sur le Traité avant les elections legislatives, tout en faisant campagne pour le “oui”, avec une promesse d’un referendum pour rester ou sortir après les élections. C’est, en effet, ce que Cameron déclarait hier à la Chambre des Communes. Le status quo en Europe est “inacceptable”, a-t-il dit, ajoutant “je crois que nous devrions faire preuve d’une patience stratégique et tactique ici”. Ce qu’il voulait voir était « un nouvel accord pour lequel nous recherchons un nouveau soutien ». Vint ensuite le cœur du problème. « Le bon moment pour déterminer les questions à propos des referendums et le reste se trouve après que nous ayons eu ce nouvel accord. C’est ce que nous devrions faire ». Ce scenario mettrait le parti travailliste et les libéraux démocrates sur le grill, et pourrait bien donner aux conservateurs l’avantage décisif dont ils avaient besoin pour gagner. Cela détruirai également « UKIP » Ensuite, et seulement ensuite, viendrait la tâche de se batter contre le vrai referendum mais, dans le nouvel environnement, ce serait largement possible de gagner—en fournissant aux partisan de la sortie de l’UE une occasion de s’unir, et de commencer à réfléchir à leur campagne maintenant. Pour le premier round, je propose que nous abandonnions les termes d’eurosceptique et euroréaliste, pour adopter « outer » (partisan de la sortie de l’UE) et « inner » (partisan du maintien dans l’UE). Cela clarifierait les choses. C’est ce qu’essaye de faire Philip Johnston ce matin, et il a partiellement raison. Il n’y a qu’une seule question, dit-il, « sommes-nous dedans (« in ») ou dehors (« out ») ? Mais il ajoute ensuite « tout effort pour renégocier les termes d’une adhésion du Royaume-Uni à l’UE n’est qu’un écran de fumée ». Ici, j’ai un léger désaccord, et cette affirmation ne peut pas être laissée telle quelle. De facto et de jure, un retrait implique une négociation, et l’accord proposé entre le Royaume-Uni et l’UE doit définir le champ de bataille. La plupart, si ce n’est tous les points soulevés par Ben Chu peuvent être résolus dans des négociations de départ, conformément à l’article 50. Nous devons abandonner l’idée qu’un départ correspond à une « mort subite ». Mais Johnston a totalement raison à propos d’une chose. Tout essai pour vendre une renégociation avant un départ serait une escroquerie. Nous devons nous débarasser de cette blague. Oublier la renégociation. Le problème à résoudre est en effet “dedans ou dehors”. Ensuite, et seulement ensuite, on commence à parler avec les « collègues ».
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