Aller au contenu

Cara

Nouveau
  • Compteur de contenus

    41
  • Inscription

  • Dernière visite

À propos de Cara

  • Date de naissance 27/08/1995

Profile Information

  • Gender
    Female
  • Lieu
    Lyon

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

  1. Mais pas isolé. J'en ai parlé un peu, apparemment c'est comme ça dans la majorité des universités en France.
  2. @Lancelot, tu m'avais demandé des traces écrites quant aux consignes de rédaction à l'université. Je n'en avais pas en tant qu'étudiante, mais comme vacataire j'ai été ajoutée à la liste de diffusion des personnels et pu recevoir ceci :
  3. A l'oral pas encore ! Mais on m'a donné de ça à l'écrit sur messenger... On l'a fait en français, avant l'académie française... Je ne sais pas si c'était la norme, sachant qu'il n'y en avait pas vraiment à l'époque.
  4. *ellui, dit-on par les temps qui courent.
  5. Je vous tiens au courant si je vois quelque chose passer, là je n'ai rien.
  6. En tant qu'étudiants on est relativement libres, mais encouragés par certains profs à utiliser l'écriture inclusive. Au niveau administratif on est obligés de l'utiliser par contre - en tant que représentante étudiante à un conseil, c'est comme ça que je dois rédiger mes mails. Je ne pense pas que l'on va venir me frapper si j'oublie un e non plus, mais c'est la politique de l'université (malheureusement je ne sais plus qui m'a demandé d'écrire comme ça, je crois qu'un autre représentant étudiant m'a mise au courant de cette "consigne").
  7. Si on considère que le genre dans la langue n'est pas abstrait, et qu'on l'assimile au genre des personnes (?...), on peut considérer qu'il a un impact psychologique et social important. Sans être d'accord avec eux, je pense pas que ce soit complètement un rapport mutuellement consenti avec des personnes issu•e•s du règne animal. Le problème, c'est de vouloir imposer sa vision de la langue à tout le monde - surtout quand tout le monde s'en fout. A l'université on est déjà obligé•e•s d'écrire comme ça. Mais à Lyon 2, le•a responsable de tout ça ("Vice-Président en charge de l'égalité et de la vie citoyenne") est un•e prof•fe de grammaire : https://www.academia.edu/5264428/Approche_linguistique_du_genre_Gender_
  8. @Lancelot la phrase suivante définit la limitation du champ d'action. Je pense pas que ce soit redondant pour tout le monde. (pardon, par rapport à ce qui suit, j'ai mal compris le message)
  9. "n'est légitime que dans la mesure où" laisse entendre que tout Etat serait légitime à partir du moment où... Même si la phrase suivante contredit cette impression, je ne pense pas qu'elle soit bonne à laisser passer. Une formulation type "[le pouvoir politique] n'est légitime que pour défendre" (à améliorer peut-être) serait plus juste. Le "s" à "individuelles" est juste, l'enlever c'est dire que la responsabilité est individuelle, mais que la liberté ne l'est pas.
  10. C'est même très vague là... Je ne peux pas dire ce qu'il est le moins dangereux de faire, mais là si vraiment il faut prendre cette position je pense qu'il faut au moins mieux définir "idéologie dangereuse", pour fixer des limites.
  11. En l'occurrence le gars en question défendait un point du programme de MLP (s'assurer plus strictement de la conformité des écoles privées avec les valeurs de la république, je ne me souviens plus de la formulation), et c'est bien l'islamisme qui l'inquiétait. La liberté d'interprétation que laisse l'expression "valeurs de la république", par contre, pas du tout. Pour lui, il n'y avait rien de dangereux à donner à l'Etat le contrôle de l'éducation... Je ne sais vraiment pas quoi répondre à ça. Les gens craignent plus l'influence d'une minorité qu'un lavage de cerveau légal, obligatoire et généralisé. Du coup, quoi répondre, je dirais qu'un risque d'enfermement dans une condition/communauté/idéologie quelconque est préférable à l'assurance d'un enfermement collectif dans un même système de pensée. C'est simple, dans le premier cas ce n'est qu'une possibilité et on pourra toujours partir, dans le second c'est garanti et il n'y a nulle part où aller, sauf à s'expatrier. Et puis laisser de la liberté aux établissements c'est remettre les décisions éducatives entre les mains des parents ; quel parent a une si faible confiance en ses capacités de décision qu'il préfère que l'Etat choisisse à sa place ? (je ne suis pas sûre de vouloir savoir) Je crains de polluer le fil.
×
×
  • Créer...