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  1. Peut-être une ringardisation volontaire visant à se donner une image de peuple moyen ?
  2. Je n'ai pas eu le courage de lire l'ensemble du topic qui est quand-même très long. Pour ma part, je suis favorable à la légalisation de la consommation de toutes les drogues sans exception. La consommation de drogues dépend du droit inaliénable de chaque individu à la propriété de son corps. Que ce soit clair, je ne consomme aucune drogue et cela ne m'attire pas, mais ce n'est pas pour autant que je souhaite imposer à autrui une morale excessive et liberticide aux autres. Je suis contre un État paternaliste qui contrôle la société et porte atteinte aux libertés individuelles. En ce sens, je pense qu'il faut tout dépénaliser et légaliser, et surtout stopper les opérations visant à enrayer la consommation de drogues, qui ne sont finalement que des procédés fascistes. Mettons donc fin au financement par l'État des opérations policières anti drogues, interdisons aux forces de l'ordre d'intervenir pour des faits liés à la prise de drogue. Si la drogue revêt un problème de santé publique, ce n'est pas à l'État d'intervenir mais aux individus d'engager une prise de conscience personnelle.
  3. Attention quand-même à Cambadélis, il serait tout à fait capable de parachuter en dernière minute un candidat PS face à Valls. Petit difficulté cependant : les comités locaux du PS sont tout acquis à la cause de Valls. D'où un besoin éventuel de parachutage ! Concernant Bayrou, sa proposition d'alliance avec Macron alors que tout semblait indiquer qu'il allait se lancer dans une nouvelle candidature présidentielle augurait de toute manière qu'il recherchait avant tout des sièges à l'Assemblée. Le MoDem a fait avec Macron ce que fait l'UDI depuis de nombreuses années avec UMP/LR : se cantonner dans un simple rôle de négociateur de circonscriptions pour avoir ne serait-ce qu'un peu de poids législatif... Quitte à trahir ses idéaux de base...
  4. En même temps, seuls 6 candidats MoDem ont été investis pour le moment. C'est franchement très peu, je pense qu'il devait s'attendre à avoir 20 ou 30 candidats au moins.
  5. Je n'ai pas vécu la première année du mandat de Sarkozy aussi positivement que vous. Je me souviens surtout d'un gouvernement autoritaire donc d'un État oppressant et excessivement présent dans le quotidien de chacun.
  6. Pour ce qui est de ne pas avoir investi de candidat face à Valls, je pense que le raisonnement est tout autre. Investir un candidat face à Valls revenait à offrir la victoire sur un plateau au candidat LFI, dans une circonscription où Mélenchon a fait 30%. Les dirigeants de la "République En Marche" préfèrent tout simplement avoir un Valls dans leurs rangs à l'Assemblée et qui vote leurs lois, plutôt qu'un emmerdeur de la France Insoumise qui fera barrage à tout. Pour une fois, le calcul est stratégiquement bon, même s'il s'agit d'une basse manoeuvre à visée électoraliste.
  7. Oui enfin dans le cas de Mélenchon, cela devient grave. Mélenchon, c'est le baroudeur opportuniste de la politique. Élu dans le Sud-Ouest, présenté dans le Nord en 2012 et maintenant Marseille... À quand une candidature dans les DOM/TOM ? Se parachuter dans une circonscription où le Front National est extrêmement faible, face à un député sortant contesté localement et très affaibli par le bilan de son parti... La facilité, la voilà.
  8. Super ! Un parti regroupant la crème du pire du pire du PS... Ça promet. Encore un parti bobo-moralisateur-collectiviste.
  9. Les deux, quand-même. De mon point de vue, quand on est libéral, il me paraît difficilement envisageable de supporter, en tant que militant, une organisation aussi oppressive et oligarchique que celle d'un parti politique traditionnel.
  10. La Une de Charlie Hebdo, je la trouve également pitoyable. Y voir de la misogynie, c'est sûrement extrapoler légèrement. Mais il n'en demeure pas moins que cette couverture, comme la plupart de celles de ce torchon d'extrême-gauche, est inutilement provocante. Vouloir faire son blé en sachant pertinemment qu'on va offenser de nombreuses personnes, c'est irresponsable et idiot. C'est du même acabit que la couverture post-attentats. Enfin dans tous les cas, on ne peut interdire ce genre de Une à Charlie Hebdo, il faut aussi respecter sa liberté d'expression.
  11. Je suis totalement d'accord avec toi. Ça m'a aussi l'air d'être un truc décidé à la louche pour recouvrer une position centrale entre Macron et Fillon. Les 500 000 fonctionnaires, cela n'avait pas été argumenté ni développé. Là, c'est pareil pour les 300 000 fonctionnaires. Je suis étonné qu'aucun journaliste n'ait la présence d'esprit d'interroger les responsables de LR sur la manière précise dont ils souhaitent procéder et pourquoi ce chiffre. De suite, cela témoignerait de leur inconsistance idéologique... Je dirais même que la volonté de LR est de permettre l'avènement d'un étatisme encore plus dur que celui que nous connaissons, tout-en feignant d'être favorable à une présence moindre. Ou comment vendre aux électeurs l'inverse de ce qu'ils souhaitent. Sarkozy en a été le meilleur exemple, oui. Ses trahisons, ses promesses non-tenues et son ingérence auraient dû ouvrir les yeux aux Français. Mais non. Il suffit de changer les visages - bien qu'ils portent exactement la même politique - et on est repartis pour un tour.
  12. Si l'existence d'un bureau est obligatoire (effectivement j'avais omis ce point), alors pourquoi ne pas proposer un renouvellement très régulier de ses membres et la possibilité de dissolution si une majorité des adhérents du parti le souhaitent ? Pour ce qui est du porte-parolat tout comme des prises de décisions stratégiques, j'avais pensé à une organisation similaire à celle proposée par Nous Citoyens, pour ceux qui connaissent. En gros, ce sont les adhérents du mouvement qui votent et décident l'ensemble des stratégies qui sont mises en place par le mouvement, ce par le biais d'une plateforme collaborative qui propose des sondages. Finalement, le bureau en est réduit au rôle d'exécution des décisions prises par les militants. Un tel fonctionnement serait-il envisageable ?
  13. Il n'y a pas de légitimité particulière à détenir pour mettre sur pieds un parti politique. Du moins, pas dans la perception libérale qui est nôtre. Légitimité de quoi : CV ? Relations personnelles ? Justement, notre parti ne sera pas un parti traditionnel empreint d'un fonctionnement bureaucrate et élitiste. Tu as toute la légitimité, comme n'importe qui d'autre, pour créer ce parti du moment que tu le fais par conviction. Pour ce qui est du recrutement, il suffit de faire le contraire de ce que font les partis classiques (ce qui ne fonctionne pas, donc). En effet, on ne doit surtout pas tomber dans le piège d'une stratégie pure player, qui nous écarterait bien vite de la réalité du terrain. Si l'utilisation du virtuel est nécessaire, ce n'est pas par là qu'il faut commencer. L'implantation locale peut se faire par l'organisation de débats-conférences, une présence dans les conférences politiques et pourquoi pas un travail commun avec des associations locales. Pour fidéliser le militant, effectivement il faudra que notre organisation en elle-même ne soit pas liberticide et verticale. C'est le propre, je pense, d'un mouvement qui se veut libéral. Il nous faudra être cohérents pour ne pas décevoir nos militants. Et également leur assurer accompagnement et animations réguliers.
  14. En effet, la question du financement se pose et doit être étayée, mais concrètement les mesures que je propose permettront de mettre fin à des dispositifs aussi liberticides que coûteux et inefficaces. Je ne pense pas exagérer en avançant que les économies que cela pourrait engendrer se chiffreraient en dizaines de milliards... Mais quoi qu'il en soit, je suis favorable au chèque éducation comme la plupart des personnes ici, dans sa forme telle qu'évoquée par M. Friedman dans Capitalisme et liberté. Les familles pourront utiliser l'argent en question librement, étant les seules arbitres de l'éducation de leurs enfants, choisissant ainsi leurs établissements. La présence de la police dans les établissements scolaires est la peinture atroce de l'immixtion de l'État dans toutes les dimensions de la vie quotidienne. Pour moi, c'est quelque-chose de liberticide. Par ailleurs, je la trouve coûteuse et particulièrement inutile : nous n'avons pas les moyens de déployer des effectifs suffisants pour protéger l'ensemble des établissements. De nombreux faits-divers plus ou moins graves se sont déroulés dans les enceintes scolaires depuis la loi Fillon de 2005, et dans la majorité des cas il n'y avait pas de présence policière au moment des faits et les établissements concernés n'avaient jamais fait l'objet d'une telle présence. Dernier exemple en date, la tentative de tuerie de Grasse... Concernant l'éducation civique, il s'agit d'un cours inutile qui préformate les jeunes à l'amour d'un État excessif, omniprésent et nationaliste. On nous le peint comme une manière d'inculquer les valeurs de la République aux collégiens mais au final, cela s'avère être un outil de propagande politique qui n'a aucunement sa place dans un programme scolaire. En ce qui concerne le redoublement, il s'agit tout simplement d'offrir la possibilité (ou non donc) aux élèves de rattraper un retard qu'ils ont accumulé. Le coup de l'interdiction du redoublement ne poursuit qu'une logique de chiffre à mon sens. Histoire de dire que l'enseignement en France est parfait et qu'aucun élève ne souffre de difficultés scolaires. Je ne suis pas pour redonner la possibilité aux établissements d'imposer ce redoublement : pourquoi ne pas plutôt confier cette décision aux parents d'élèves ? Et évidemment non, je ne faisais pas allusion au chèque éducation qui, pour moi, est le seul moyen de financer de façon transparente et libre l'école. Je parlais plutôt d'aides publiques accordées à la louche par des collectivités territoriales, souvent plus importantes quand le président de l'entité copine avec certains responsables d'établissements... L'argent du contribuable est mis en de mauvaises mains, ce n'est pas aux directeurs d'établissements de saupoudrer l'argent à leur guise, mais aux parents d'utiliser librement ce dernier en choisissant l'éducation la meilleure pour leurs enfants. L'école de droit privé, c'est différent. En aucun cas une autorité publique ne devrait avoir droit de regard sur ce qui est dispensé dans les écoles privées. Les financements sont différents (partenariats, investisseurs) donc la logique scolaire à poursuivre l'est de même. L'État ne doit pas avoir le pouvoir de contrôler le fonctionnement internes des établissements privés, tout comme des entreprises, en fait.
  15. En effet, le fait qu'En Marche fonctionne comme un parti traditionnel, c'est bien le problème. Le mouvement a vendu tout autre chose à ses militants au moment d'adhérer. Beaucoup sont tombés de haut en pensant intégrer un mouvement citoyen éloigné de toute forme d'opportunisme politique et de recherche avide de responsabilités... Et aussi, un mouvement où chacun aurait sa place et une certaine marge de liberté d'expression...
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