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gdm

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  1. Oui. merci de votre contribution à ma réflexion sur ma nouvelle idée. Vous verrez que je reprend un peu votre propos dans mon dernier commentaire sur mon blog. http://gidmoz.wordpress.com/2012/01/09/le-cout-nul-des-inondations-climatiques
  2. Mais non. Ne raisonnez pas sur "les" propriétaires. Envisagez un seul bien immobilier et un seul propriétaire. Cette méthode micro-économique avec un seul individu est efficace pour un raisonnement rigoureux. Supposons que la science ait permis de prédire avec une quasi-certitude que, dans 100 ans, telle maison serait inondée. Son propriétaire a intégré ce fait quasi-certain, ou très probable, dans l'estimation de son bien. L'acheteur aussi a intégré ce futur quasi-certain. L'acheteur de la maison achète, de fait, la jouissance d'un bien pendant une durée limitée. Un peu comme un locataire qui sait qu'il ne pourra plus jouir du bien après la location. Puisque l’acheteur du bien a acheté un droit de jouissance d'une durée limitée, il ne perd rien lorsque cette jouissance connue, acceptée s’arrête comme prévue. Il en est de même des acheteurs successifs de la maison. Aucun n'est lésé. Aucun acheteur n'a une jouissance qui serait inférieure à la jouissance limitée qu'il avait achetée. Puisque, justement, il n'a pas acheté la jouissance du bien au delà d'une certaine période limitée. Il savait que son droit de jouissance de la maison deviendrait alors nul. Aucun des acheteurs successifs ne subit donc le moindre dommage, ne subit la moindre perte. Vous parlez des risques de la maison inondée croulante. Chaque propriétaire a le droit, ou devrait disposer du droit, de renoncer à son droit de propriété en l'abandonnant. Le propriétaire fait alors savoir que son bien devient "abandonné", au sens étymologique du terme "donné au ban", donné au domaine public. Dès lors que chacun peut utiliser le bien abandonné à ses risques et périls. Un tel bien n'est plus à personne, n'a plus de propriétaire. Chaque promeneur se promène alors à ses risques et périls dans un tel lieu abandonné. L'ancien propriétaire n'est plus responsable du risque pris par le promeneur.
  3. Mais non! Quel propriétaire subirait la prétendue "perte" que vous évoquez? Personne. Le "dernier" propriétaire peut laisser son terrain à l'abandon sans rien déblayer, sans rien restaurer. Il ne perd rien. Il savait que son terrain ne vaudrait bientôt plus rien. Bien entendu, ce raisonnement ignore des foucades d'un Etat qui risquerait d'imposer des obligations ou des interdictions ou des taxes au propriétaire. C'est un raisonnement qui ignore l'Etat, et qui se limite au droit des propriétaires. Il faut toujours raisonner de cette manière, car c'est la seule méthode économique pertinente. Il faut se demander quel propriétaire subirait une perte. C'est la seule méthode économique rigoureuse de déterminer une éventuelle perte. Si l'acheteur sait que son terrain sera inondé dans 100 ans, il a des droits qui ressemblerait à celui d'un locataire d'un bail de 100 ans. Un locataire ne perd rien lorsqu'il quitte sa location au terme du bail.
  4. Je suppose que les Sénans sont les habitants de l'île de Sein. La future inondation climatique n'appauvrira personne. En effet, tout propriétaire connait, dès à présent le risque. Donc, le prix du marché actuel n'a pas baissé malgré les risques d'inondations climatiques. L'habitant conserve sa maison dans l'île, et ne la vend pas. Cela signifie qu'il a un avantage à garder sa maison et à refuser de la vendre pour acheter ailleurs. Dans cet avantage à garder sa maison, il a inclus le risque de la prochaine inondation climatique.
  5. L'édification de digues est un argument faible dans le débat climatique. En effet, les réchauffistes prévoient que l’élévation du niveau des océans continuera encore plusieurs siècles. De plus, il soutiennent qu'une montée des eaux de plus de un et deux mètres en un seul siècle n'est pas exclue.
  6. Les rédacteurs, du rapport que je cite, soutiennent exactement l'idée que vous exprimez ici. Leur raisonnement considère que la valeur du terrain de bord de mer sera seulement déplacée, donc sans perte de valeur nette globale. Ils ont donc exclut cette perte de leur estimation de la perte globale. Mais, amha, leur raisonnement est erroné. Je soutiens qu'il ne faut pas raisonner en terme de valeur actuelle détruite. Mais il faut raisonner en terme de somme de pertes individuelles subies par chaque propriétaire, et non pas en termes de valeur globale. Un raisonnement économique ne peut pas oublier que chaque bien appartient à son propriétaire. Et c'est seulement son propriétaire qui gagne ou qui perd. Le raisonnement des experts gouvernementaux manque donc encore une fois de consistance, car la bonne manière de mesurer la valeur globale est l'addition des pertes individuelles de chaque propriétaire. Si le propriétaire d'un très bel endroit, avec une belle vue sur la mer, sait que cette zone sera inondée dans 100 ans, il le revendra pour trouver ailleurs un autre beau paysage qui lui conviendra mieux à lui. Il aura alors la joie de laisser ainsi un lieu durable et beau à ses arrière petit-enfants. Encore une fois, l'erreur des experts gouvernementaux, et des réchauffistes, est de ne pas raisonner en terme de droit de propriété individuel. Cette erreur est fréquente chez les économistes qui ne sont pas de l'école autrichienne d'économie.
  7. @xavdr Pour calculer la valeur totale détruite par une inondation, il est nécessaire d'additionner le cout subi par chaque victime. Or nul propriétaire n'est victime puisqu'il vend son bien avant que son bien ait perdu de la valeur. Il existe un paradoxe: les inondations climatiques vont détruire des maisons, des champs, des plantations. Et pourtant, je soutiens que le préjudice total subi serait nul. Je réfute l'existence de tout préjudice subi par quiconque dans une telle inondation. Donc je soutiens que le préjudice total des inondations est nul. Le raisonnement réchauffiste est holiste. Le réchauffiste raisonne implicitement comme s'il n'existait qu'un seul propriétaire et que ce propriétaire ne peut pas vendre. Il en conclue une perte égale à la valeur commerciale actuelle des biens. Ce raisonnement est statique. Ce n'est pas un vrai raisonnement économique. Une perte totale des propriétaires doit être évaluée en additionnant les pertes éventuelles subies par chacun des propriétaires. Le propriétaire d'un bien inondable dans 100 ans le vend, et sans moins-value, à un acheteur qui est indifférent à cette échéance. En effet, le droit de propriété permet une affectation optimale de l'utilisation d'un bien grâce à un changement de propriétaire. La propriété est un mécanisme automatique qui optimise la valeur d'un bien et qui joue, ici aussi, pleinement son rôle. L'erreur du réchauffiste est d'oublier le raisonnement économique, et de raisonner de manière statique. Pire, dans le rapport gouvernemental que j'ai cité, les experts raisonnent comme si la "France", pseudo-propriétaire, perdait une partie de ses biens par une inondation. Ce raisonnement holiste est erroné. Faisons un exercice de la pensée en raisonnant sur un seul bien. Soit un propriétaire apprend que son bien sera détruit dans 100 ans pour une obscure raison juridique. Cette échéance est certaine. Et de plus, il ne sera pas propriétaire des ruines. Tout sera rasé par le nouveau propriétaire dans 100 ans. Ce propriétaire met alors son bien en vente. Il trouvera des acheteurs intéressés, et indifférents à cette échéance de 100 ans. Il vendra donc son bien sans moins-value, ou alors avec une faible moins-value. C'est le succès des baux emphytéotiques de 99 ans. On y investit presque normalement alors que la jouissance du bien s'interrompra dans 99 ans.
  8. @Kuing Yamang Quand on est propriétaire d'un bien, on préserve sa valeur afin de l'utiliser, de le revendre, ou de le transmettre à ses héritiers. De ce point de vue, le propriétaire se comporte comme s'il était immortel. Mon raisonnement à 100 ans serait donc le même si le délai était de 20 ans ou de 200 ans. Imaginons maintenant que le risque d'inondation par le niveau des océans soit prévu dans un délai de 10 ans. L'assureur paye 10% de la valeur du bien assuré si l'eau monte du 10% de la hauteur qui rendrait la maison impraticable. La prime annuelle d'assurance coute 10% de la valeur du bien. L’assureur ne verse le dédommagement à l'assuré lorsqu'il vend sa maison. L'assureur peut alors préempter si le prix est moins cher que le prix initial du bien immobilier. Ces clauses sont très approximatives, mais elles montrent qu'un tel contrat d'assurance est envisageable. Le propriétaire est alors plus un locataire qu'un propriétaire de sa propre maison. Du moins en ce qui concerne ses choix d'entretien et d'utilisation. Dès lors que le risque est connu, le propriétaire peut revendre la maison après une année. Il aura perdu 10% de la valeur de la maison, perte remboursée par l'assureur. Mais l’acheteur ne perdra rien. Lui se comporte exactement comme un locataire d'un bien périssable. Et les acheteurs suivant ne perdront rien non plus qu'ils auront anticipé la baisse de valeur de la maison dans leur prix d'achat. Si le délai de l'inondation prévisible est de 10 ans, le propriétaire supporte une perte de10%. Mais si le délai est de 100 ans, le propriétaire supporte un cout de 1%. Dans les deux cas, les acheteurs successifs ne subiront aucune perte du fait de l'inondation prévue. En effet, ils sont comportent comme des locataires. Ce raisonnement montre que le cout réel pour chacune des prétendue victime des inondations est de l'ordre de 1% de la valeur de leur patrimoine. Chaque propriétaire s'adapte au cout des inondations en vendant son bien pour en acquérir un autre. Son bien est alors acheté par un nouveau propriétaire qui se comporte comme un simple locataire du bien, sachant son risque de destruction future de son bien immobilier.
  9. @Dniz Le métier de l'assureur est de couvrir un risque. Le terme "menace" ne convient pas au vocabulaire de l'assureur. Un assureur sait couvrir un risque de survenance d'un évènement naturel. Il sait aussi aussi couvrir le risque de cambriolage. Mais, un assureur ne sait pas bien couvrir un assureur d'un risque lié à au seul comportement de l'assuré. Vos objections de "menace naturelle" et de "phénomène d'origine humaine" ne sont donc pas un obstacle à ce qu'un assureur couvre de tels risques. Si l’assureur accepte de vous rembourser 100% des dégradations d'un cambriolage, cela signifie que le cambriolage ne coutera rien à l'assuré, hormis la prime d'assurance. Si l'assureur accepte d'assurer l'inondation de la maison, ou d'humidité excessive, sur le long terme, cela signifie que l'inondation ne coutera, à l'assuré, que la prime d'assurance. La maison risque de perdre chaque année, en moyenne, un pour cent de sa valeur. Lorsque les impôts sont de 50% du revenu, 1% de diminution de la valeur d'une maison est une charge très supportable par le propriétaire de la maison inondable. cette diminution de valeur est un cout d'utilisation et non pas une réelle perte. Cette cout d'utilisation se matérialise à chaque changement de propriétaire d'une même maison. La somme des couts du réchauffement climatique, supporté par chaque individu, est donc, non seulement invisible, mais encore négligeable. Chacun dépense plus de 1% de la valeur de sa maison pour l'entretenir. S'il sait que sa maison disparaitra dans 100 ans, le propriétaire dépensera moins d'argent pour l'entretenir.
  10. On peut exprimer autrement cette intégration du risque dans le prix du bien inondable. Pour raisonner simplement, on suppose une diminution régulière de la valeur du bien. La valeur du bien inondable décroit de 1% de sa valeur initiale tous les ans pour être nulle après un siècle. Au bout de 10 ans, la maison inondable a perdu 10% de sa valeur. Le propriétaire est néanmoins satisfait car il a utilisé sa maison en tenant compte de cette diminution de valeur. C'est comme pour une voiture. On sait qu'elle perd de la valeur chaque année. Le coût principal du réchauffement climatique est, selon les réchauffistes, les inondations causés par l'élévation du niveaux des océans. Ce raisonnement détruit entièrement leur principal argument économique. Et le rapport des experts remis au gouvernement français est donc erroné. Un raisonnement analogue s'applique également aux zones qui risquent, selon les réchauffistes, de subir des cyclones. Là encore, les gens peuvent quitter une zone dangereuse pour s'installer ailleurs. Le coût de ce déménagement est d'autant plus faible qu'il est anticipé sur une plus longue période. Ainsi, même si le réchauffement engendrait des cyclones, il ne produirait aucun destruction à quiconque. Toujours en supposant que chacun est informé, ou a pris une assurance contre cette éventualité. La seule durée d'un siècle de ce risque prévisible rend, à lui seul, infime, voire nul, le coût économique d'un hypothétique réchauffement climatique. Ce raisonnement, certes un peu abstrait et théorique, me semble suffisant pour revoir autrement le coût humain réel d'un réchauffement climatique.
  11. La rapport cité évalue la perte annuelle à 420 milliards d'euro. Milliards et non pas millions. C'est donc énorme. Mais bien inférieur à l’impôt annuel. Les destructions liées aux inondations coûteraient moins cher que l’impôt. Et comme je le mentionne, le coût pour les victimes est nul. En effet, chacun est, dès à présent, informé de ce risque. Il peut donc vendre dès aujourdhui. Il n'y a encore aucune moins-value de sa maison à ce risque d'inondation des océans. Donc, la valeur de sa maison inclue nécessairement la moins-value d'un risque accepté d'inondation future. Cette prime de risque d'inondation est incluse dans le prix de la maison. Donc une éventuelle inondation n'appauvrit pas le propriétaire, puisque ce risque était prévu dans le prix d'achat. Aussi bizarre que cela puisse paraître, le coût des inondations par les océans sera nécessairement nul pour chacun. Cela change complètement l'estimation du coût du réchauffement climatique, du moins dans le cas d'une totale inaction des Etats.
  12. Le rapport que je cite parle du coût de construction des digues. Dans mon bref résumé, j'ai choisi de ne pas en parler pour simplifier la question. Mais, sans même parler du coût des digues, la responsabilité individuelle de chaque propriétaire, et de son assureur, est largement suffisante pour absorber la totalité du problème financier. Le coût social d'une élévation d'une augmentation du niveau des océans est donc NULLE. Si on croit que la mer montera, on revend sa maison. Si on y croit pas, on assume son risque et son profit. Le propriétaire de la maison investira moins en travaux durables sans sa maison inondable.
  13. valeur des biens français inondés par un mètre l'élévation des océans source : rapport http://www.developpe…G/pdf/001-3.pdf résumé de la page 73 et mon commentaire. résumé: On évalue la valeur totale des biens qui seraient détruits par une élévation de 1 mètre du niveau des océans. On fait la somme des logements définitivement perdus en raison de la montée du niveau moyen de la mer. Pour les pertes permanentes, il y a 104 500 logements entre 0 et 1m d’élévation. Ce qui représente une valeur de construction de 100 000 euros chacun, soit un total de 10,5 milliards d’euros. On ne tient compte ici que de la valeur de construction. On ne tient pas compte et pas de la valeur du terrain de bord de mer. En effet, on suppose que la valeur tirée de la proximité de la mer est simplement transféré à un terrain un peu plus élevé. Le logement est reconstruit à l’intérieur des terres, définitivement hors de danger. On supposant que les entreprises représentent la même valeur que les logements. On suppose aussi que les infrastructures publiques ont la même valeur que le patrimoine privé. Avec ces suppositions, on obtient une valeur totale de 42 G€ entre 0 et 1 mètre. Soit 42 G€ =42 000 milliards d'euros. En cas d'élévation régulière de 1 mètre sur un siècle, on a donc 42 G€ / 100 = 420 milliards d'euros de perte annuelle de perte pour la France. Ce chiffre "officiel" de 420 milliards d'euros annuels ne tient pas compte des digues qui pourraient être construites. Ce point est étudié ailleurs dans le rapport "officiel". mon commentaire: Un tel cout de 420 milliards annuels seraient principalement supportées par les particuliers et par les entreprises du littoral. Mais rien n'empêche ces propriétaires de vendre dès maintenant à un prix encore très convenable sans moins-value. Si le propriétaire accepte le risque d'inondation, c'est son problème.
  14. Je me posais une question sur le coût économique chiffré du réchauffement climatique en ce qui concerne les inondations du à l’élévation du niveau des océans. Et aussi le coût du réchauffement sur la valeur des terres dans tous les pays. Ou plutôt, je recherche un ordre de grandeur de ces coûts. Je découvre un article de Bélouve dans Contrepoints.org http://blog.turgot.o….php?post/Stern Selon cet article, le coût du réchauffement climatique serait de 84 milliards, c'est à dire presque rien à l'échelle du Globe. Et le coût des combats contre le réchauffement serait de centaines de milliers de milliards. Vu sous cet angle, il existe un débat économique, lequel est bien plus important que le débat scientifique lui-même. J’espère que Dniz acceptera de continuer à alimenter ce débat et aura des informations sur ce débat strictement économique. Sur ce site http://www.actu-environnement.com/ae/news/cout_rechauffement_climatique_8406.php4 , je lis que le coût de l'inaction en matière de climat coûterait 5000 milliards d'euro. Ou bien des centaines de millions d'euros par an. Les bêtises annuelles d'un seul gouvernement de pays riche dépasse largement cette somme. Le débat économique me semble plus simple, que le débat scientifique. C'est probablement la plus grande faiblesse des thèses du GIEC. J'ai encore trouvé un blog sur le coût du réchauffement si on ne fait rien. http://www.rncan.gc.ca/sciences-terre/produits-services/publications/changements-climatiques/changements-climatiques-impacts-adaptation/33
  15. Moi aussi, j'apprécie le sérieux scientifique de Dniz. Je continue à croire que le débat scientifique n'est pas clos. Je refuse donc de croire au réchauffisme. Xavdr avait un bon argument sur la température moyenne des océans sur un siècle qui n'augmenterait pas plus que 0,001°C par an, soit 0,1°C par siècle. Or la température des océans commande la température moyenne de l'air sur un siècle, puisque l'air est 1000 fois moins lourd que l'eau. Je ne connais pas assez le dossier scientifique pour avoir un avis tranché. Il n'est pas impossible que la Terre se réchauffe. Mais, les conséquences économiques recommandées par le GIEC montrent une grave incompétence en science économique. Si le GIEC est aussi compétent en climatologie qu'en économie, la totalité de leur rapport est erroné. Aucune évaluation des coûts financiers du réchauffement n'a été fait. Or cette évaluation serait infiniment plus facile que les recherches sur le climat. Il me semble que le coût d'adaptation de l'Homme au climat serait très inférieur aux taxes destinées à interdire le réchauffement par une action concertée des Etats du Monde. L'inefficacité d'un Etat est trop grande pour lui confier un tel projet scientifique et financier.
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