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Domi

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À propos de Domi

  • Date de naissance 18/03/1978

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  1. Il faudrait mettre en parallèle l'évolution du patrimoine mondial en dollars constants sur la même période.
  2. J'ai acheté ce Week-end le magazine L'histoire qui faisait un dossier sur la transition entre la dynastie Ming (1368-1644) et la dynastie Qing (des mandchous) Geoffrey Parker explique : " Dans les années 1640, en même temps que la dynastie des Ling s'effondre en Chine, qui est alors elle aussi en plein "hyper-PAG" (= la phase la plus intense du petit âge glaciaire, au XVIIème siècle), les troubles se multiplient en Russie, la Fronde paralyse la France, le Sultan Ibrahim est assassiné à Istanbul, le roi Charles IX est exécuté à Londres" Selon Timothy Brook : "pendant le dernier demi-siècle de la dynastie Ming, une chaleur anormale n'est mentionnée qu'une année (1602) contre vingt-trois ans de froids exceptionnels, tout particulièrement à partir de 1629, tandis que la chine connait de 1637 à 1644, une phase de sécheresse d'une longueur telle qu'elle n'en a pas connu depuis un millénaire" et "sur les 777 prix de famine identifiés, au cours des deux siècles et demi, 316 datent du règne de Chongzhen, de 1627 à son suicide en 1644 !" Brook explique le sens des prix de famine dans ses recherches. Les prix sont mentionnés lorsqu'ils s'écartent de la moyenne, lors des épisodes de famines. La mention des prix de famine est ce qui permet de mesurer leur intensité car les morts ne sont pas comptabilisés dans les sources. Conclusion : les historiens voient le PAG comme un phénomène à la fois global et très intense.
  3. J'avais abordé le sujet dans le fil sur le réchauffement Résumé technique du groupe II du GIEC : P51 Donc les 20 millions sont des réfugiés des catastrophes météorologiques et non climatiques (augmentation des catastrophes liés au réchauffement). Quelle est la proportion d'augmentation ? Je pense que l'augmentation la plus forte concerne les sécheresses. Pour les ouragans, cyclone, c'est presque nul. Pour les pluies extrêmes, par exemple : Dommage que le pourcentage d'augmentation entre un ancien record sur un an et sur six ans ne soit pas précisé (la phrase en gras)...
  4. Domi

    Chanson franchouille

    Dans cette chanson de Henri Salvador sur le thème de Petite fleur de Sidney Bechet, la dédicataire de la chanson avait "seize printemps" (mais c'était aussi l'âge du narrateur)
  5. Domi

    Chanson franchouille

    Il y avait pas mal de chansons où l'âge évoqué était seize ans car cela restait légal (à mon avis). Dans Melody Nelson en revanche, l'âge de l'héroïne était "quatorze automne et quinze été"
  6. Deux valeurs sont consubstantielles à la démocratie : l'Etat de droit et la liberté d'expression. L'Etat de droit parce qu'à défaut le pouvoir en place pourrait arrêter arbitrairement les membres de l'opposition. La liberté d'expression parce que si le pouvoir peut contrôler les arguments auquel l'électeur peut avoir accès, sa souveraineté est de fait compromise.
  7. Domi

    Bar du football

    Au sujet de joueurs comme Giroud par comparaison avec quelqu'un comme Ronaldinho par exemple, c'est qu'il peut devenir aussi efficace pour son équipe en terme de buts et de passes décisives en travaillant plus que l'autre, en revanche, il ne pourra guère rattraper son aisance technique.
  8. Domi

    Bar du football

    Je pense que tu as bien posé le problème. Le souci au départ c'est que les points de travail et de talent sont arbitraires. Si je définissais mes points de travail et de talent pour te dire que le talent vaut plus que le travail, par exemple, tu pourrais définir ta propre échelle où la quantité de travail qui vaut 1 point chez moi n'est que de 0,1 chez toi. Du coup, dans ton échelle 1 point de travail correspond à plus de travail et 1 point de travail pourra l'emporter sur un point de talent. Pour essayer d'objectiver la comparaison entre travail et talent (et c'est probablement ce qu'on tend à faire spontanément s'en sans rendre compte quand on se lance dans cette comparaison), on peut tenter de comparer par exemple, le premier sur 100 sur le plan travail et 50ème sur 100 sur le plan talent au premier sur 100 sur le plan talent et 50ème sur 100 sur le plan talent. Et là on peut avoir des pistes, des exemples mais comme tu l'as dit dans un cadre prédéterminé, le monde professionnel, ce qui signifie une double contrainte : - il y a déjà eu en amont une sélection naturelle des talents, le plus souvent à l'adolescence, - ils suivent tous un entrainement professionnel, même s'ils sont tous plus ou moins rigoureux en dehors, Avec Neymar, Hazard et Ronaldinho, on a des exemples de joueurs talentueux mais peu travailleurs. Ils ont quand même pu être au top quelques années mais leurs performances ont décliné ensuite à l'approche de la trentaine et même avant. S'il fallait citer un attaquant qui aurait été un top joueur mondial avec un talent médiocre au départ, je ne vois pas trop, il faudra que je cherche.
  9. Même vidéo qu'il y a 3 ans sur cette même page 😉
  10. En acceptant, les résultats de l'étude on trouve, en gros 100 000 morts en plus sans confinement par an. En début d'épidémie, j'avais retenu une perte d'espérance de vie de 2 mois pour 10.000 morts (A actualiser éventuellement). Donc cela préserverait 2 ans d'espérance de vie. Cela signifie en réalité qu'en vivant toute notre vie avec les mêmes conditions virales et les mêmes confinements, on vit au final deux ans de plus grâce aux confinements. L'espérance de vie projette l'effet sur la durée de vie d'une population si une situation était prolongée et non la durée de vie de cette population avec une mesure appliquée une seule année. Donc ce n'est pas du tout évident, même d'un point de vue utilitariste que les confinements aient été une bonne chose.
  11. Ces gens sont grotesques, incapables de définir une doctrine différente de la leur à partir de la manière dont la perçoivent ces adeptes. Libre à eux ensuite de montrer que la mise en application n'aurait pas le résultat voulu ou que les adeptes obéissent à des impulsions qu'ils se cachent à eux-mêmes.
  12. Donc il faut contraindre les agriculteurs à faire ce qui est bon pour eux. Au vu de ses effets, une telle mesure devrait être décidée à l'échelon des communes rurales ou à l'échelle cantonale (en France)
  13. Il y a un autre aspect, c'est que les personnes à faible revenus et/ou niveau d'études meurent plus tôt et donc la représentativité de leurs opinions dans la catégorie "retraités"
  14. Domi

    Bar du football

    Sur un mode sérieux : on pourrait dire que les talents naturels des deux joueurs étaient proches et que la différence de leurs trajectoires correspond à la volonté et au travail.
  15. Il y a une mesure qui me semble particulièrement critiquable, c'est les fameux 4 % de jachère. Cette mesure me semble doublement absurde. Premier point : L'objectif de la mesure consiste dans la protection de la biodiversité. Mais la surface "forestière" de la France par exemple (non agricole et non aménagée) représente environ 30 % du territoire (c'est l'ordre de grandeur, je n'ai pas vérifié les chiffres). Si la surface agricole représente elle-même 30 % du territoire, ces 4 % vont représenter 1,2 % du territoire qui s'ajouteront au 30 % de biodiversité. Là où je trouve que c'est absurde, c'est que si tu t'intéresses à la biodiversité, ce qui compte c'est le résultat global et non ce que tu ajoutes. Ex soit un pays A consacrant 10 % de sa surface à la forêt et à la biodiversité, et 10 % à l'agriculture, alors on demandera à ce pays A d'ajouter 0,4 % de biodiversité au 10 % précédent. Soit un pays B consacrant déjà 50 % de sa surface à la biodiversité et 30 % à l'agriculture, ce pays devra ajouter 1,2 % de sa surface à la biodiversité. On demande à celui qui en fait le plus d'en faire encore plus. Evidemment si l'on devait fixer des objectifs de ce type à chaque pays, il faudrait tenir compte des densités de population. Deuxième point : s'il y a un intérêt commun de l'ensemble de la population à préserver la biodiversité, c'est l'ensemble de la population qui devrait le payer. Il faudrait alors créer un impôt permettant d'acheter aux agriculteurs 4 % de la surface qu'ils utilisent afin de consacrer ces surfaces à la biodiversité. Un impôt réparti sur tous est préférable à un impôt réparti sur une seule catégorie de population. Cela va sans dire mais va encore mieux en le disant, l'objectif de consacrer davantage de surface à la biodiversité n'a rien d'évident par lui-même.
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