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Steven Seagal

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  1. D'autant plus que fréquemment, lorsque des journalistes couvrent un "extrême politique", l'article convient invariablement une phrase du type : "Avec des titres aussi évocateurs que 'Supériorité de la civilisation blanche' ou 'Emeutes en France', les libéraux donnent le ton et se défoulent entre eux sur leur plateforme libéraux.org"
  2. Au risque d'enfoncer des portes ouvertes : langue =/= culture =/= ethnie Le fait que nous soyons des locuteurs de langues indo-européennes ne fait en tout cas pas de nous des descendants des Proto-Indo-Européens. Par contre en effet les Tadjiks ne sont clairement pas arabes...
  3. A ce stade toute façon, tout est bon à prendre. Sauf erreur de ma part le CC est la dernière chose qui ressemble à un contre-pouvoir effectif en France ajd.
  4. Faudrait voir de quelles sociétés traditionnelles on parle. Très peu de sociétés traditionnelles peuvent se targuer d'être moins violentes que Detroit (et encore, je parle de Detroit, la ville la plus violente du pays occidental le plus violent, dans son année la plus violente). L'arbitre dont tu parles est un genre de seigneur féodal qui doit faire preuve de violence pour parvenir à ses fins, sachant que n'en ayant pas le monopole, il est lui-même en proie à la compétition violente entre seigneurs féodaux dans son genre.
  5. Je partage votre point de vue. Pas de sang sur les mains = 37 ans de prison est injustifiable.
  6. +1000. Parce qu'on sait tous que le meilleur moyen de "lutter contre les inégalités", c'est de créer un ministère spécialement dédié aux droits d'une certaine catégorie de la population, pas vrai ?
  7. Intéressant. Peux-tu développer ? Coton celle-là . Sur le fond je ne vois pas trop quoi y redire si on s'en tient à la définition la plus généraliste à outrance du marxisme culturel (deux classes essentialisées, aux intérêts dits opposés, présence d'un jeu à somme nulle, etc...). Sur la forme, les tenants du marxisme culturel que je connais sont tous assez anti-individualistes et assez peu prompts à défendre ce genre de position. Cela dit, ici même je me souviens avoir lu des analyses Etat/individus qui n'ont rien à envier au schéma marxiste.
  8. Ton analyse me semble juste, mais la réponse que j'ai qualifiée de marxiste culturelle et que j'ai lu des dizaines de fois (ou entendu à la télé) ne rentre pas dans le cadre de ton analyse. Un exemple : j'ai lu un jour un membre d'une asso antiraciste (SOS Racisme ? je ne sais plus) reconnaître que des incidents anti-blancs existent, avant de s'empresser d'ajouter : "mais attention hein, la vie du français 'de souche' reste plus facile que celle de l'immigré, hein !" Comme on s'en doute, le journaliste ne lui a pas posé la question de la difficulté de la vie, mais strictement de l'existence d'un phéonmène. Et le représentant de l'asso' s'est quand même senti obligé de sortir son couplet à la moraline. C'est en lisant ces lignes que j'ai compris qu'il existe chez certains (les déviants dont tu parles) un câblage idéologique tellement puissant qu'il existe à ne voir les gens que sous des étiquettes essentialisées, quand bien même l'existence du phénomène était reconnue par ailleurs.
  9. A moins que je sois complètement à l'ouest, ce qui caractérise le marxisme culturel par rapport à "l'orthodoxie marxiste" c'est que le marxisme culturel a fait du marxisme une coquille vide en évacuant sa substance pour ne garder que le schéma général de l'analyse (dominants/dominés, classes de gens qui sont essentialisées à l'extrême) et l'appliquer à d'autres domaines (féminisme, "diversité" etc). Les points spécifiques décrits par Marx, les valeur-travail et autres, sont fréquemment passées à la trappe. A mon sens, le comble du marxisme culturel, c'est le rejet du concept de racisme anti-blanc, non pas sur la base d'études à valeur scientifique, mais sur la simple affirmation qu'il existe une classe dominante (les blancs) et que la classe dominante ne peut par définition pas être persécutée. Il me semble que le marxisme culturel est un aveu d'impuissance : puisque l'analyse est séduisante et intuitive (le cerveau humain a un puissant biais cognitif qui le pousse à voir des jeux à somme négative là où il y'a en réalité des situations gagnant-gagnant) mais que la théorie économique a été démontrée fausse, on bricole un peu autour en laissant les points doctrinaux qui posent problème. D'un certain côté, la "gauche sociétale" qui met le paquet sur le mariage gay pour camoufler son impuissance à endiguer la chimérique désindustrialisation est la fille bâtarde du marxisme culturel.
  10. Je ne suis pas spécialiste, mais ça me paraît être une très bonne définition. En extrapolant au maximum, je dirais que tout système de pensée faisant référence à des classes sociales (ou ethniques, etc) essentialisées et classées de manière manichéenne soit en oppressés, soit en oppresseurs relève d'une forme de marxisme culturel. Si je me laissais aller à un commentaire plus personnel, on reconnaît entre autres un marxiste culturel à son degré de bullshitisme, de phrases incompréhensibles et d'idées tordues par les cheveux.
  11. Arrêtez moi si je me plante complètement mais aux USA il y'a aussi une impossibilité logique liée à la restriction du droit de détenir des armes. Toute initiative sérieuse devra faire plus que limiter la vente d'armes à venir (quelque soient les évolutions des lois sur la vente, il y'a déjà 200 millions d'armes en circulation, je crois). Ça impliquera donc la confiscation d'armes. Forcer des millions de particuliers à restituer des armes acquises légalement au préalable implique la mise en place d'un régime oppressif... Et prévenir cette mise en place est précisément une des des raisons majeures pour laquelle le Second Amendment existe. Bien sûr dans la pratique il doit y'avoir des moyens subtils de contourner ce piège. Mais d'un point de vue philosophique je vois pas comment on peut confisquer des armes de force sans donner raison à ceux qui précisément se sont armés afin d'éviter cette situation.
  12. Loin de moi l'idée d'un déterminisme social prédestinant les individus à commettre des crimes, mais sérieusement je pense que l'enseignement secondaire à l'américaine est davantage à remettre en cause que le droit de détenir des armes à feu. Et pour cause, on sait déjà que l'adolescence est une période délicate, mais quand on entasse des milliers d'ados au même endroit toute la journée pendant des années, avec une supervision limitée et aucune tâche réellement productive à faire (le contenu des cours du secondaire américain étant très médiocre, de toute façon)... Faut pas s'étonner que la seule activité qui ait du sens à leurs yeux soit un concours permanent de popularité, duquel tous ceux qui sont déjà un peu "spéciaux" à la base se voient exclus. L'exclusion étant le meilleur des cas puisque ça dégénère souvent en "bullying" et en abus verbaux voire agressions physiques. Dieu merci, tous les gosses qui ont été maltraités à l'école ne deviennent pas des tueurs de masse, mais parmi les tueurs de masse beaucoup ont été "bullied" et certains citent même explicitement ça comme le seul et unique motif du crime. Cela dit, évidemment les gens sont responsables de leurs actes et la corrélation ne prouve pas la relation de cause à effet. Mais c'est assez frappant pour qu'on creuse cette piste là, plutôt que de présenter comme une évidence la responsabilité du Second Amendment. Le fait que des gens mal intentionnés aient un accès facile aux armes n'est que le problème auxiliaire de la vraie question, qui est de savoir pourquoi des ados qui n'ont jamais été diagnostiqués comme des cas psychiatriques sont à deux doigts du passage à l'acte violent. Quand on pointe du doigt la lune, l'idiot regarde le doigt comme dirait l'autre..
  13. Je suis preneur d'un exemple
  14. Juste une petite précision au cas où, les études dignes de ce nom sur les taux d'homicide excluent les homicides légaux (euthanasie, peine de mort, et je présume auto-défense) des données finales. La légitime défense c'est quand même avant tout de la prévention et ça va rarement plus loin que brandir un flingue. Partant de là, je ne sais pas s'il est pertinent de parler de préférence entre taux d'homicide et taux de viol. Mon opinion personnelle sur les sociétés à fort taux d'homicide est qu'elles sont intrinsèquement pourries et que la violence qui y est présente ne se limite pas qu'aux meurtres.
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