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Il y a 2 heures, Coligny a dit :

on suppose qu'il existait dans l'Egypte du IV e siècle av JC une importante diaspora juive

Oui, ça c'est historiquement prouvé, on a une riche documentation archéologique aussi bien à Alexandrie que sur l'Île Eléphantine (fun fact : c'étaient surtout des mercenaires, les Juifs ayant une solide réputation de soldats dans l'Antiquité).

 

Quant au parallèle entre récit du buisson ardent (largement métaphorisé), et mythe de la caverne, je qualifierai ce rapprochement de créatif quoiqu'intéressant, mais ça ne prouve en rien que le premier ait donné naissance au second.

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Y en a qui sont vraiment barrés ici.. Je demande juste des bouquins, et j'en termine par apprendre que l'allégorie de la caverne est en fait un plagiat du mythe des pyramides juives. Vous êtes barrés :D

 

Il y a 14 heures, Tramp a dit :

Qu'est-ce qui t'intéresse ?

Je m'attendais un peu à cette question, c'est vrai que j'étais tout sauf précis. 

De base, je m'interroge principalement sur le sens moral (et ses origines), le droit naturel, la Justice (ou équité).

Du coup pour le premier, j'aurai tendance à aller voir du côté d'Adam Smith (?), mais pour les deux autres ?

 

Alors, pour le coup, j'ai deux critères.

J'ai pas envie d'un auteur datant des pyramides (sauf si on vient m'expliquer qu'il est lisible et qu'il est une véritable base) ; parce que si je commence une lecture à -500AC, j'ai 2500 ans à récupérer et franchement vu comment j'ai une tendance à m'égarer à droite à à gauche, c'est le coup qu'à 50ans, j'en sois pas arrivé à la révolution française.

Et de deux, peut-être pas de suite un auteur récent (sauf si pareil, il est lisible et très explicatif) ; parce que sinon une fois le bouquin terminé, je voudrai lire qui a influencé l'auteur pour ensuite relire cet auteur récent à la lumière de ses influences.. (et là je me dis qu'il faut VRAIMENT que j'apprenne à faire des notes..).

 

Désolé si c'est confus, mon cerveau l'est encore plus ;)

 

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Il y a 15 heures, Coligny a dit :


Bosse à fond "La Route de la servitude" de Hayek, surligne le, apprend le par cœur. Cela t'ouvrira une belle brèche pour la suite.

@Restless: La grande parade de Revel. Lis ce bouquin à fond les ballons. Genre deux ou trois fois. Sinon, tu peux lire Vers une société sans état de D.Friedman. Le premier m'a rendu définitivement libéral, le second définitivement anarcap.

 

 

Il y a 14 heures, Johnathan R. Razorback a dit :

gréco-macédonio-égyptienne.

 

hellenistique est le mot que tu cherches.

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4 hours ago, Restless said:

 

De base, je m'interroge principalement sur le sens moral (et ses origines), le droit naturel, la Justice (ou équité).

Du coup pour le premier, j'aurai tendance à aller voir du côté d'Adam Smith (?), mais pour les deux autres ?

 

 

Dans le sillage d'Adam Smith et de D. Hume, il y a le sens moral, de James Q Wilson (qui doit être disponible en anglais ou d'occasion en français).

 

Sur le droit naturel, assez classiquement, Droit naturel et histoire de L. Strauss, mais c'est un peu compliqué, et l'écriture (et le raisonnement straussien) n'est pas toujours facile à suivre. On peut aussi s'intéresser aux écrits de Michel Villey, ou aller directement lire ce qu'en dit Grotius dans Du droit de la guerre et de la paix (c'est édité aux puf, et c'est très lisible).

 

L'ouvrage de Smith sur la justice n'est à ma connaissance pas traduit en français, et est un peu fastidieux : ce sont ses notes en philosophie morale sur le sujet (lectures on jurisprudence). A mon avis mieux vaut lire ce qu'en dit D Hume dans le troisième livre du Traité de la nature humaine. Son raisonnement sur la justice se retrouve régulièrement sous la plume des spécialistes de l'éthique, de la justice mais aussi les économistes (cf Randy Barnett par exemple ou Anthony de Jasay).

 

Bien entendu, là encore, le philosophe qui a posé les termes de la conversation philosophique sur la justice reste Aristote (et son Ethique à Nicomaque). 

 

 

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Le 23/04/2015 à 23:51, h16 a dit :

Pour ma part, j'ai lu Reamde de Neal Stephenson. Très bon roman. Et "Daemon" de Daniel Suarez, qui a quelques incohérences mais est très bien vu.

 

Je vous les conseille l'un et l'autre. Neal Stephenson est un auteur "must have" (cryptonomicon, le cycle Quicksilver et cie...)

 

Suis en train de finir Cryptonomicon et j'ai adoré cette phrase:

« Il se délecte de la pure parano débridée d'une telle hypothèse. Il nage dans son élément »

du coup je la mets dans ma signature

De Neal Stephenson j'ai lu L'Âge de diamant et Le Samouraï virtuel

Je recommande vivement

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On 25/03/2017 at 10:28 PM, Coligny said:


Bosse à fond "La Route de la servitude" de Hayek, surligne le, apprend le par cœur. Cela t'ouvrira une belle brèche pour la suite.

 

+1

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On ‎25‎/‎03‎/‎2017 at 7:46 PM, Restless said:

Je profite de ce fil, non pas pour dire que j'ai terminé de lire Pulp Libération, ainsi que le livre sur le libéralisme de Jean Marc Paturle, mais pour vous demander vers quoi je pourrai me tourner désormais. J'aurai tendance à aller voir du côté d'Hayek (sans savoir où) et de Rawls (pour la théorie de la justice). Du coup, est-ce que je pourrai avoir vos lumières pour savoir vers qui/quoi m'orienter désormais ?

Sauf erreur de ma part, Pulp Liberalism est truffe de citations assez longues. Dans tous les livres cites lesquels t'ont plu ?

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On 25/03/2017 at 7:52 PM, Rincevent said:

Rawls, ce n'est pas très libéral, au final.

 

Je pense que c'est libéral (puisque je ne pense pas que l'étiquette soit du monopole de telle ou telle faction dans l'histoire longue de cette sensibilité aux contours parfois évanescents), mais qu'il y a beaucoup de libéraux qui se trompent, ou dont les théories sont fausses ou incohérentes. Tiens par exemple en passant, de Jasay fait une excellente remarque à propos de certaines d'entre elles (notamment celle de Rawls, mais aussi celle de Nozick) : pourquoi toutes ces théories dans leur partie morale, se sentent obligées de faire une génuflexion à l'endroit de l'égalité ? Depuis quand l'égalité est-elle une exigence morale (mais aussi la démocratie d'ailleurs?) 

 

http://againstpolitics.com/2012/03/23/a-presumption-of-equality/

 

  • Yea 6
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On parlait il y a peu des sources françaises de la réflexion de Marx sur les luttes de classes, j'ai trouvé un document intéressant à ce sujet dans une brochure d'histoire de première année (sous le titre: "Un point de vue libéral face à la poussée populaire"):

 

« Il ne faut rien dissimuler ; car à quoi bon les feintes et les réticences ? la sédition de Lyon a révélé un grave secret, celui de la lutte intestine qui a eu lieu dans la société entre la classe qui possède et celle qui ne possède pas. Notre société commerciale et industrielle a sa plaie comme toutes les autres sociétés ; cette plaie, ce sont les ouvriers. Point de fabriques sans ouvriers, et, avec une population d’ouvriers toujours croissante et toujours nécessiteuse point de repos pour la société…

Les concurrences commerciales font aujourd’hui l’effet que faisaient autrefois les émigrations des peuples. La société antique a péri parce que les peuples se sont remués dans les déserts du nord, et qu’ils se sont heurtés les uns aux autres, jusqu’à ce que de proche en proche ils vinssent tomber sur l’empire romain. Aujourd’hui que le blé se récolte à meilleur marché en Crimée qu’en Angleterre, que le coton se file à plus bas prix à Vienne qu’à Manchester, voilà la société anglaise réduite aux expédients… Les Barbares qui menacent la société… sont dans les faubourgs de nos villes manufacturières ; et ces Barbarbares, il ne faut point les injurier [sic] ; ils sont, hélas ! plus à plaindre qu’à blâmer : ils souffrent ; la misère les écrase. Comment ne chercheraient-ils pas aussi une meilleure condition ? Comment ne se pousseraient-ils pas tumultueusement non plus vers de meilleurs climats, comme leurs devanciers, mais vers une meilleure fortune ? … Ils sont les plus forts, les plus nombreux ; vous leur donnez vous-mêmes des armes, et enfin, ils souffrent horriblement de la misère. Quel courage, quelle vertu il faudrait pour ne pas céder à la tentation ! Et ces hommes à qui il faudrait tant de modération, tant de réserve, ce sont des hommes que la société a laissés pendant longtemps sans instruction. Elle ne leur a pas donné la lecture qui pouvait les éclairer, les instruire, les civiliser, et elle leur donne des armes !

…Dans cette position, il est nécessaire que la classe moyenne comprenne bien ses intérets et le devoir qu’elle a à remplir. Il faut qu’elle évite avec un égal soin d’être dupe ou d’être cruelle ou tyrannique.

D’être dupe, disons-nous ; et elle le serait si, éprise de je ne sais quels principes démagogiques, elle donnait follement des armes et des droits à ses ennemis, si elle laissait entrer le flot des prolétaires dans la garde nationale, dans les institutions municipales, dans les lois électorales, dans tout ce qui est l’Etat…

Point de duperie donc, mais point de cruauté non plus et de tyrannie ; et ce serait cruauté et tyrannie que de vouloir éléver une barrière insurmontable entre la classe moyenne et les prolétaires… Ne donnons point de droits politiques ni d’armes nationales à qui ne possède rien ; mais que nos lois continuent de plus en plus à donner à chacun le moyen de posséder… Point de droits politiques encore une fois hors de la propriété et de l’industrie ; mais que tout le monde puisse aisément arriver à l’industrie et à la propriété… » - Saint-Marc Girardin, Journal des Débats, 3 décembre 1831.

PS: Notez que Tocqueville parle aussi des gouvernements de la Monarchie de Juillet comme de "gouvernement de la classe moyenne".

 

 

 

  • Yea 1
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Le 27/03/2017 à 14:25, Escondido a dit :

Sauf erreur de ma part, Pulp Liberalism est truffe de citations assez longues. Dans tous les livres cites lesquels t'ont plu ?

hum. Toutes celles de Bastiat ? ;)

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Je lis ceci dans "Nous votons encore" 

Citation

Cette bureaucratie immortelle est devenue aveugle à notre temps limité ; sourde à nos demandes, elle nous ronge le temps, elle nous ronge la vie.

Dans un monde en mutation où l’obsolescence arrive en quelques mois, certaines autorisations aboutissent au bout de dix ans. Pour un individu, cette attente équivaut à un sixième de sa vie adulte. Sur l'échelle historique de notre ère, 336 ans d'attente ; comme la réponse à une demande effectuée en 1681.

Partage-t-elle encore cette bureaucratie kafkaïenne quelque chose avec nous ? Faites un simple exercice : combien de jours, de mois, d'années avez-vous attendu une réponse administrative ? Combien d'occasions manquées au niveau national à cause de cette attente ? Et si cela ne se voit pas de prime abord, moi je l'évalue aisément. Et cette perte-là est inestimable et représente le temps dissipé par notre nation. Le temps qu'elle ne retrouvera plus jamais.

Moi Président, j'ai déjà comparé les pratiques du monde entier afin d'en extraire les meilleures. Moi Président, je saurai anticiper l'impact des lois sur vos existences. Moi Président, j'ajouterai du temps à vos vies. Car je ne dors jamais, j'apprends tout le temps et j’œuvre pour vous toujours. »

 

 

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https://www.amazon.fr/Nomenklatura-privilégiés-en-URSS/dp/2253028088

 

"La nomenklatura, les privilégiés en URSS"

 

Très bon, je recommande. Il y a "dérapages" en critiques sur le capitalisme, mais rien de terrible. Avec ce livre je pus comprendre mieux la bureaucratie et les bureaucrates brésiliennes.

 

Je ne sais pas si est le même en France, mais c'est important pour mieux comprendre l'histoire de Russie et du socialisme.

 

 

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Je viens de terminer The Closing of the Muslim Mind: How Intellectual Suicide Created the Modern Islamist Crisis C'était très intéressant. J'avoue avoir eu un peu peur au début vu le sujet mais j'ai vraiment appris beaucoup dans cet ouvrage, en particulier sur le mode de fonctionnement de la pensée en Islam et la diversité qu'il y a pu avoir.

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il y a 42 minutes, PABerryer a dit :

Je viens de terminer The Closing of the Muslim Mind: How Intellectual Suicide Created the Modern Islamist Crisis C'était très intéressant. J'avoue avoir eu un peu peur au début vu le sujet mais j'ai vraiment appris beaucoup dans cet ouvrage, en particulier sur le mode de fonctionnement de la pensée en Islam et la diversité qu'il y a pu avoir.

Tu pourrais au moins linker CP : https://www.contrepoints.org/2011/08/21/41640-la-fermeture-de-l’islam-the-closing-of-the-muslim-mind

  • Yea 3
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il y a 1 minute, Rincevent a dit :

 

Mea culpa, en plus c'est cet article qui m'avait appris l'existence de ce livre et causé son ajout sur ma liste de livres à lire.

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Il y a 21 heures, PABerryer a dit :

Je viens de terminer The Closing of the Muslim Mind: How Intellectual Suicide Created the Modern Islamist Crisis C'était très intéressant. J'avoue avoir eu un peu peur au début vu le sujet mais j'ai vraiment appris beaucoup dans cet ouvrage, en particulier sur le mode de fonctionnement de la pensée en Islam et la diversité qu'il y a pu avoir.

 

Il y a 21 heures, Bézoukhov a dit :

Le bouquin est assez efficace ; grosso modo, la thèse se résume à "l'Islam n'a pas pu générer son Thomas d'Aquin", d'où tous ses problèmes. D'ailleurs, l'auteur est catholique si je ne me trompe pas.

 

Vous savez s'il existe une traduction française ?

En tout cas les conséquences de cette thèse sont effrayantes. L'auteur laisse tout de même une petite place à l'espoir à la fin de son bouquin ?

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Non, que en anglais. L'auteur estime qu'il est possible que les choses aillent mieux si suffisamment de penseurs et de leaders arrivent à être une alternative crédible. 

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il y a une heure, PABerryer a dit :

Non, que en anglais. L'auteur estime qu'il est possible que les choses aillent mieux si suffisamment de penseurs et de leaders arrivent à être une alternative crédible. 

 

Faudrait peut-être cesser de bombarder ces pays ou de soutenir les dictateurs sanguinaires et liberticides qui empêchent ces pays de se développer économiquement et intellectuellement. On a bizarrement du mal à être intellectuellement éclairé quand on se prend des bombes sur le coin de la gueule, qu'on ne sait pas lire, qu'on ne peut pas acheter de bouquins ou qu'on ne sait pas ce que l'on mangera demain et que l'on est donc à la merci de ceux qui ont le pouvoir et la volonté d'imposer un islam dégénéré.

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il y a 3 minutes, Johnnieboy a dit :

 

Faudrait peut-être cesser de bombarder ces pays ou de soutenir les dictateurs sanguinaires et liberticides qui empêchent ces pays de se développer économiquement et intellectuellement. On a bizarrement du mal à être intellectuellement éclairé quand on se prend des bombes sur le coin de la gueule, qu'on ne sait pas lire, qu'on ne peut pas acheter de bouquins ou qu'on ne sait pas ce que l'on mangera demain et que l'on est donc à la merci de ceux qui ont le pouvoir et la volonté d'imposer un islam dégénéré.

 

Cela participe au problème mais je remarque que tu ne fais aucune remarque sur le fond de l'ouvrage. Il rapporte que le questionnement des penseurs musulmans sur le rapport à la modernité à commencé dès le XIXème siècle, bien avant que l'on ne commence à bombarder.

  • Yea 1
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Je ne l'ai pas lu donc je ne peux pas en parler. Mais, bon, dire que l'islam n'est pas perméable à la raison me fait me demander : mais à quoi sert donc l'université d'Al Azhar, par exemple ?

Mon point est pourtant clair : sans richesse et développement économiques, peu de chances qu'il y ait un développement culturel.

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à l’instant, Johnnieboy a dit :

Je ne l'ai pas lu donc je ne peux pas en parler. Mais, bon, dire que l'islam n'est pas perméable à la raison me fait me demander : mais à quoi sert donc l'université d'Al Azhar, par exemple ?

 

Pour l'auteur, cette université perpétue la vision des Acharites qui, pour contrer leurs adversaires (les Motazilites), ont totalement rejeter l'idée qu'Allah puisse être Logos (Raison) pour insister sur sa Volonté (Will dans l'ouvrage). L'idée étant que la Volonté de Allah ne puisse même pas être arrêter par la Raison sans quoi il ne serait plus tout puissant.

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Tu poses la question à l'envers, @Johnnieboy ; Reilly se demande avant tout comment l'Islam, qui a hérité autant que la chrétienté du monde grec, a fini par l'abandonner pour se retrouver complétement dominé intellectuellement par l'Occident. Il précise assez peu ce qui pourrait être.

 

Sur Al-Azhar, il mentionne par exemple que la philosophie n'a été réintroduite au programme qu'au XIXème siècle (chapitre 2).

 

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Il y a 2 heures, Johnnieboy a dit :

Je ne l'ai pas lu donc je ne peux pas en parler. Mais, bon, dire que l'islam n'est pas perméable à la raison me fait me demander : mais à quoi sert donc l'université d'Al Azhar, par exemple ?

Mon point est pourtant clair : sans richesse et développement économiques, peu de chances qu'il y ait un développement culturel.

Tu peux au moins en lire la critique qui en a été postée. Ce seront cinq minutes de ta vie bien employées.

 

Le livre expose plutôt que 1- l'Islam est parfaitement perméable à la raison ainsi que le montre l'Histoire, mais que le dogme en a été décidé autrement il y a un millénaire à présent, et 2- sans acceptation de la raison, pas de développement culturel (et pour ma part, j'ai tendance à faire du manque de développement culturel un facteur limitant le développement économique).

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