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L'ile Des Naufragé De Louis Even


Eric

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Je suis heureux que des gens sur ce site connaissent le Crédit Social!

Ce système permettrait de mettre fin au conflit gauche-droite.

Un dividende pour tous devant le progrès avec libre marché.

Comme le disait Louis Even :

Vous êtes les mains vides devant des désordres de toute description, dans tous les domaines, hommes de droite, parce que vous refusez de corriger ce désordre majeur — le désordre de l'argent souverain.

J'ose employer le mot "refuser", parce que, il me semble, vous ne pouvez ignorer ce qui est présenté au monde depuis 46 ans — au Canada français, avec un zèle infatigable, depuis 30 ans — sous le nom de Crédit Social.

Ah ! Je sais bien que les 'grands moyens de diffusion ont tout fait pour taire ou dénaturer les propositions du Crédit Social authentique. Je sais bien que la formation d'un parti politique sous ce nom a contribué à assimiler une doctrine de vérité à une course au pouvoir, faisant du Crédit Social un clan d'hommes à combattre ou des discours de politiciens à ridiculiser.

Mais des hommes de droite devraient avoir appris, depuis longtemps, à chercher la vérité ailleurs que dans une presse, une radio ou une télévision infestées de gauchistes, de menteurs, de corrupteurs, ou que dans le bla-bla de politiciens. Puis, les préjugés, si vous en avez, doivent être mis au rancart : ils n'ont pas de place dans la recherche sincère d'une solution aux maux graves que vous savez reconnaître et dénoncer.

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Je suis heureux que des gens sur ce site connaissent le Crédit Social!

Ce système permettrait de mettre fin au conflit gauche-droite.

Un dividende pour tous devant le progrès avec libre marché.

L'allocation universelle se base sur une dangereuse argumentation : la liberté réelle exigerait que soit réparti de manière égale tout ce qui nous est donné, y compris les biens que nous obtenons, tout au long de notre existence. Cette thèse est que la liberté ne se comprend pas de manière négative, comme absence de coaction, mais comme possibilité d'action. Cela conduit les défenseurs de cette proposition à confondre liberté et opportunité. Une personne qui, pour quelque raison que se soit, ne dispose pas de l'argent nécessaire pour se payer une entrée au cinéma serait-elle moins libre ? Par contre, un détenu qui est logé et nourri gratuitement, serait-il plus libre ? Tout ceci est, évidemment, absurde.

La première étape, pour le liberticide, est de corrompre le langage. La gauche est experte en ce domaine. Hier, elle appelait le socialisme soviétique "démocratie réelle" ; aujourd'hui, elle appelle l'interventionnisme étouffant "liberté réelle". Avec la même absence de vergogne, les fondateurs de la Basic Income Earth Network déclarent que beaucoup de défenseurs du socialisme placent la supériorité de cette mesure dans l' "abolition de l'exploitation capitaliste". Mais, l'idée est d'augmenter la coaction étatique. Malgré tous les discours ronflants sur l'allocation universelle qui assure que celle-ci serait accordée indépendamment du niveau de revenus, cette mesure augmentera la pression sur les classes les plus productives, ce qui implique bien la destruction de la liberté.

Si l'on se penche sur le coût que supposerait la mise en pratique d'une telle mesure - pour abandonner l'enfer de la nécessité et entrer directement dans le royaume de la liberté -, il apparaît que certains de ses partisans l'estiment à 40% du PIB, concrètement l'ensemble des dépenses sociales de la plupart des États occidentaux. Disparue l'illusion, nous nous trouvons donc devant une proposition de création d'un nouvel impôt et d'augmentation de ceux existants, comme la TVA et d'autres qu'ils n'osent mentionner : celui des sociétés ou sur le revenu, c'est-à-dire la réduction nette des salaires. D'un autre côté, les partisans de l'allocation universelle ignorent la décapitalisation qui suivrait l'introduction d'un "salaire à vie", déclenchant une crise en cascade. D'abord, viendrait la hausse des taux d'intérêts, des hypothèques, dans un tourbillon d'inflation des prix qui provoquerait fermetures d'entreprises et licenciements massifs.

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L'allocation universelle se base sur une dangereuse argumentation : la liberté réelle exigerait que soit réparti de manière égale tout ce qui nous est donné, y compris les biens que nous obtenons, tout au long de notre existence.

Exact.

Cependant, le terme "allocation universelle" est également employé par des libéraux ou assimilés, dans un sens totalement différent : il ne s'agit pas ici de créer une prestation de repartition de biens comme tu le décris Lucilio, mais de fondre toutes les transferts sociaux existants en une seule et unique prestation, déconnectée de la situation particulière du bénéficiaire (ainsi, plus de politiques ad hoc vers les mères célibataires, les anciens combattants, les veufs et veuves, les parents isolés, les "handicapés", etc…).

C'est une sorte d'étape intermédiaire, dans mon esprit, avant suppression pure et simple de toutes ces prestations.

Si l'on se penche sur le coût que supposerait la mise en pratique d'une telle mesure - pour abandonner l'enfer de la nécessité et entrer directement dans le royaume de la liberté -, il apparaît que certains de ses partisans l'estiment à 40% du PIB, concrètement l'ensemble des dépenses sociales de la plupart des États occidentaux.

Je ne crois pas une seule seconde à ce chiffre.

Il faut retirer des dépenses sociales dont tu parles les dépenses assurantielles (comme pour la maladie, le chomage), et ne laisser que la branche famille qui est du transfert social à 100%.

Puis rajouter les multiples RMI, RMA, RSA, API, APH, etc….

Mais je serais surpris qu'on atteigne un te niveau pour ce qui est des transferts sociaux.

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Le dividende ne viendrait pas d’impôt, mais d’argent nouveau sans intérêt à dépenser durant le mois. Il représenterait notre progrès qui ne nous appartient pas pour le moment. Pour ceux qui en veulent plus il y aurait le travail.

Lorsqu’une machine remplace des travailleurs, le dividende augmentera, nous serions alors libéré au lieu d’être des chômeurs mendiants.

Vous allez comment distribuer l’abondance si ça ne prend que 5% de la population pour faire produire les machines?

Les ressources naturelles, la technologie, inventions, à qui est-ce que ça appartient? Quand même pas au gouvernement, privés, travailleurs, mais à la population.

Si les techniques de production peuvent se passer de moins en moins de labeurs humains, alors le pouvoir d’achat doit aussi de passer de moins en moins de salaires.

Nous avons tous le droit d’avoir une part des biens de la terre, parce que nous sommes des humains et non de bétail. Alors vos politiques communistes d’embauchage intégral ne marche pas avec moi.

Si tout est privatisé et pu de taxes, il restera encore des produits services à consommer, comme des logements vides devant des besoins criant.

Si on est capable de se boucler la ceinture devant des accumulateurs de capitaux nuisibles, comme les banques et le gouvernements qui ne pondent pas d’œufs et ne produisent rien, alors on est capable de remplacer ceci par un dividende pour tous. Ça sera alors le consommateur qui subventionera l'industrie en partie.

Qu’elle est la grande nouvelle de la journée? À vendre! Il y a de la pub partout parce que la distribution est enrayée.

Que de perte de temps et d’énergie, tout cela pour faire travailler le monde. En plus ça se répercute sur les prix. Ceci pour permettre aux gens de se procurer des biens qui sont là et qui attendent.

Et qu'avez-vous à proposer pour que le progrès, la mécanisation de la production, l'automation, fassent des hommes libérés, au lieu de chômeurs totaux ou partiels, condamnés à vivre de demi-revenus extraits des enveloppes de paie de ceux que le progrès n'a pas encore déplacés ? Que proposez-vous ? Rien ?

Parce que vous êtes les mains vides, parce que vous n'avez rien de vraiment neuf à présenter, vous êtes réduits à vous taire, ou bien réduits à battre le même tambour que les hommes de gauche, à formuler les mêmes mesures conduisant aux mêmes fins

Communistes des pays soviétisés ou tenants du capitalisme du monde libre, hommes de gauche ou hommes de droite de chez nous, tous ne clament-ils pas la même politique devant le chômage : Politique de plein emploi, l'embauchage intégral.

Et comme le progrès dans les techniques de production demande de moins en moins de labeur humain pour répondre aux besoins normaux des hommes, on cherche une solution dans la promotion de nouveaux besoins matériels pour tenir la production en marche. Ce n'est plus la limitation des besoins qui conviendrait à des chrétiens, mais la création activée de nouveaux besoins qui enlise dans le matérialisme. Dans ce matérialisme dont la montée vous fait peur, hommes de droite. Vous y contribuez, parce que vous ne savez pas ou ne voulez pas préconiser une distribution des produits dissociée de la condition de l'emploi.

Le mal, ne le voyez-vous pas, hommes de droite, le mal est dans la soumission à un système financier dont les règlements conduisent à toutes les conditions que vous déplorez.

Toute notre vie économique est réglée par l'argent. L'argent est souverain. C'est la grande hérésie économique — et plus qu'économique — que les chrétiens sont trop aveugles pour voir, ou trop attachés pour dénoncer, ou trop lâches pour renverser.

Even

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Aussi, il est à noter que les dirigeants syndicaux se trouvent à constituer, même sans s’en rendre compte, les actifs les plus inestimables du contrôle financier de l’industrie. Ils ne sont pas représentants des individus mais du travail. Plus il y en a, plus ils sont représentatifs. Donc la bataille entre employeurs et syndicats est une façade. Ce que l’on demande est plus d’emploi. Rien de plus ressemblant au cuir que le cuir.

Si du jour au lendemain, tous travaillons, ça serait une catastrophe avec une extension militaire pour trouver des marchés d’exportation. Et pourquoi pas hausses de prix.

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J'ai déjà étudié un peu en économie et pas besoin d'être devin pour savoir que c'est de la fumisterie la base du système.

Purposeful Action and Animal Reaction

Ça promet peu si déjà on compare l'humain à l'animal.

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J'ai déjà étudié un peu en économie et pas besoin d'être devin pour savoir que c'est de la fumisterie la base du système.

Ça promet peu si déjà on compare l'humain à l'animal.

On les compare pour les différencier triple andouille. Maintenant vas et étudie.

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Alors il doit être pour le dividende social?

L'exemple de l'Allemagne qui exporte beaucoup est une conséquence du système. Le taux de chômage a finalement baissé, mais la consommation est encore frileuse, en plus qu'il y a de l'inflation.

Mais bon, ça doit être la faute des travailleurs qui ne sont pas assez mobiles.

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Alors il doit être pour le dividende social?

L'exemple de l'Allemagne qui exporte beaucoup est une conséquence du système. Le taux de chômage a finalement baissé, mais la consommation est encore frileuse, en plus qu'il y a de l'inflation.

Mais bon, ça doit être la faute des travailleurs qui ne sont pas assez mobiles.

Tu parles de quoi ? J'avoue avoir du mal à suivre le fil de ta pensée.

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Je parle du progrès qui désembauche. Le PIB peut augmenter avec le chômage. De même, passer son temps à exporter plus qu'à importer n'est pu du commerce, mais de la charité.

Un dividende pour tous, fruit du progrès serait alors mieux que toute autre assistance social, sans demander l'embauchage de milliers de personnes.

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Je parle du progrès qui désembauche. Le PIB peut augmenter avec le chômage. De même, passer son temps à exporter plus qu'à importer n'est pu du commerce, mais de la charité.

Un dividende pour tous, fruit du progrès serait alors mieux que toute autre assistance social, sans demander l'embauchage de milliers de personnes.

Le "progrès qui désembauche" nuit à quelques uns et profite au plus grand nombre, accroissant la richesse générale de la population. La destruction des emplois mal qualifiés est le pendant du progrès (copright Apollon).

Si on écoutait les critiques du "progrès qui désembauche", on en serait encore aux ateliers généraux, à l'agriculture et au tissage manuel.

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Je parle du progrès qui désembauche.

Or scenarii de sciences-fiction, le travail est rare. Le progrès ne désembauche pas, il libère de la main d'oeuvre pour des tâches qui ne pouvaient être remplies jusqu'à lors.

Le PIB peut augmenter avec le chômage.

Le chômage n'a rien à voir avec le progrès technique.

De même, passer son temps à exporter plus qu'à importer n'est pu du commerce, mais de la charité.

Certes.

Un dividende pour tous, fruit du progrès serait alors mieux que toute autre assistance social, sans demander l'embauchage de milliers de personnes.

L'embauchure ou l'embauchissement? Sérieusement il vient d'ou au juste ton "dividende". Les fruits du progrès on en profite tous les jours, avec des biens et services de consommation de moins en moins chers.

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Aussi, il est à noter que les dirigeants syndicaux se trouvent à constituer, même sans s’en rendre compte, les actifs les plus inestimables du contrôle financier de l’industrie.

Mouah ah aha hahah ah.

Merci, je vais me coucher joyeux.

Tu parles de quoi ? J'avoue avoir du mal à suivre le fil de ta pensée.

Y'a pas de fil, y'a pas …

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Me semble que le but est de faire plus avec moins de labeur humain.

Même si les prix baissent, il reste quand même que la somme des salaires n’est pas suffisante pour acheter la production globale. Il faut quand même payer les intérêts et profits.

Alors on fait quoi? Danser la jig? Fabriquer des trombones pour les bureaucrates crées afin de tous nous occuper et distribuer l’abondance avec taxes et interventions, tout en se syndicalisant?

Le système fait du progrès une punition. On cherche alors des échappatoires dans l’embauchage intégral pour n’importe quoi, car nous ne sommes pas sûr de lendemain, même si progrès, alors bon pour le syndicat socialiste qui fulmine contre les dividendes(liberté) et exalte les salaires(labeur).

De même, les ressources naturelles de la population ont une valeur, il faut bien avoir le pourvoir d’achat y allant.

Et comme en tant qu’humain, être doué de raison, nous avons un droit naturel à une part de cette richesse, sous forme d’un dividende social.

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Me semble que le but est de faire plus avec moins de labeur humain.

Oui, c'est le but.

Même si les prix baissent, il reste quand même que la somme des salaires n’est pas suffisante pour acheter la production globale. Il faut quand même payer les intérêts et profits.

Non, quand je dis les prix baisse c'est par rapport aux salaires. Ca ne rien dire "payer les interets et profits", qui paye quoi quand pourquoi ?

Alors on fait quoi? Danser la jig? Fabriquer des trombones pour les bureaucrates crées afin de tous nous occuper et distribuer l’abondance avec taxes et interventions, tout en se syndicalisant.

Tu as tout ce que tu désires dans la vie? Tu as le temps de faire tout ce que tu veux? Non ? Et bien le travail est donc utile et a de beaux jours devant lui.

Le système fait du progrès une punition. On cherche alors des échappatoires dans l’embauchage intégral pour n’importe quoi, car nous ne sommes pas sûr de lendemain, même si progrès, alors bon pour le syndicat socialiste qui fulmine contre les dividendes(liberté) et exalte les salaires(labeur).

De quoi tu parles ? Serieusement tu cherches à tenir un discours cohérent ou tu mets juste des mots bout à bout ?

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  • 3 weeks later...
Le progrès ne désembauche pas, il libère de la main d'oeuvre pour des tâches qui ne pouvaient être remplies jusqu'à lors.

Évidemment, ça doit se faire automatiquement, sinon la faute du travailleur qui n’est pas assez mobile.

Le chômage n'a rien à voir avec le progrès technique.

Pourtant enlève du progrès et nous allons travailler comme des bœufs, comme nos ancêtres.

Sérieusement il vient d'ou au juste ton "dividende".

Et où prendre les produits?

Comme revenus nous aurons, les salaires (travail), profits, dividende privé (capital privé) et dividende social (capital social : sciences, ressources naturelles qui appartiennent à personne en particulier).

En passant, on ne se nourrit pas avec de l’argent ou du travail, mais avec de la nourriture.

Donc plus on produit avec moins d’effort humain, alors le droit au produit doit venir avec moins de salaire.

Les fruits du progrès on en profite tous les jours, avec des biens et services de consommation de moins en moins chers.

Pas toujours, il y a du gaspillage et aussi de l’inflation.

Je présume que vous êtes de la mode Libertarien?

Donc pour vous on ne fait qu’abolir les taxes et tout privatiser. De même le problème doit être la banque centrale et non la formule de création monétaire qui n’est qu’une simple convention.

Et bien le travail est donc utile et a de beaux jours devant lui.

Ça je le sais, mais pas une raison de tomber dans le matérialisme, nous ne sommes pas du bétail.

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Donc plus on produit avec moins d’effort humain, alors le droit au produit doit venir avec moins de salaire.

Tiens, un nouveau droit.

Le Droit Au Produit. Il sera décliné en

- droit au produit vaisselle

- droit au petit chocolat avec le café

- droit au whisky on the rocks après 18h.

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