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J'aime bien Galbraith mais c'est un social-démocrate, pas du tout un libéral.

D'où "libéral au sens anglo-saxon du terme", bien qu'au sens écossais du terme aurait été plus juste ! Car il est de souche écossaise comme Mill et Keynes ! Et oui, les Ecossais ont toujours été plus étatistes que les Anglais ! Même la conception du rôle de l'Etat chez Smith était très ouverte, sauf à confondre main invisible pour les marchés du village en 1776 (la vraie catallaxie n'existe qu'au niveau du marché du village) avec main invisible et laisser-faire (Adam Smith n'a jamais dit laisser-faire) au niveau du marché boursier du village planétaire (la grosse cata laxiste) !

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Invité Arn0
D'où "libéral au sens anglo-saxon du terme", bien qu'au sens écossais du terme aurait été plus juste ! Car il est de souche écossaise comme Mill et Keynes ! Et oui, les Ecossais ont toujours été plus étatistes que les Anglais ! Même la conception du rôle de l'Etat chez Smith était très ouverte, sauf à confondre main invisible pour les marchés du village en 1776 (la vraie catallaxie n'existe qu'au niveau du marché du village) avec main invisible et laisser-faire (Adam Smith n'a jamais dit laisser-faire) au niveau du marché boursier du village planétaire (la grosse cata laxiste) !

Si tu veux débattre du "libéralisme au sens écossais" je te conseille d'aller ici.

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Si tu veux débattre du "libéralisme au sens écossais" je te conseille d'aller ici.

Ce lien ne m'intéresse guère ! Je n'ai rien à dire au PS français !

Assurément est-il facile pour beaucoup de membres de ce site, sans doute, de ne juger du rôle néfaste de l'Etat dans l'économie qu'à partie de leur expérience française ! Je suis wallon ! Un journaliste d'investigation français du nom de Claude Moniquet, proche de la fondation Hayek et résidant en Belgique depuis plusieurs années, disait de la Belgique : pays qui a les tares des Etats faibles et les tares des Etats forts ! Tare des Etats faibles, car chaos urbanistique, surpuissance des corps intermédiaires (systèmes de pillier liant chaque parti à une mutuelle et un syndicat) et provincialisme PS étouffant totalement l'initiative des PME, système maffieux de copinage, opacité totale de certains mécanismes sans contrôle de l'Etat, ce qui a fait fuir plus d'un investisseur potentiel en Wallonie ! Tare des Etats forts : bureaucratie lourde, pas forcément efficace car hyperclientilisée par le PS au premier chef.

Donc les raisons d'apprendre à penser avec la pensée libérale dans sa diversité ne sont pas les mêmes pour tous ! Je connais les effets pervers de l'Etat-Providence en Wallonie! Je sais ce qu'est une dépendance d'électeurs appauvris dans une région qui a connu un déclin industriel depuis les années 60. Je sais ce qu'est une religion de parti ! Je sais ce qu'est un rentier de l'électoralisme à gauche plus que beaucoup ne le savent ici, car à défaut de l'alternative dont ils rêvent, en France ils ont au moins droit à une alternance gauche-droite ! En Wallonie, le PS règne en maître depuis l'après-guerre de manière quasi ininterrompue ! Ils ont accumulé les saloperies les plus inimaginables ! Une vraie république bananière avec barons indéboulonnables sauf quand la justice intervient sur le tard, loi du silence, menaces de colleurs d'affiche payés par le parti. Je ne te donne donc pas le droit de considérer que parce que je ne rejoins pas les minarchistes sur bien des points et que je pense en politique avec les conclusions anglo-saxonnes d'Aron et de Mill, j'ai ma place avec Ségolène ! Je sais faire la différence entre pensée libérale et petit roquet tourne-broche de l'économisme-financiarisme le plus plat !

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Je sais faire la différence entre pensée libérale et petit roquet tourne-broche de l'économisme-financiarisme le plus plat !

Ceci n'étant pas une attaque ad hominem ! Je ne caricaturerai pas la pensée d'Hayek ! J'attends qu'on ne caricature pas celle d'autres tendances libérales immédiatement étiquetées "social-démocrate" parce que ne suivant pas le créneau du naturalisme économique…

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:icon_up: Oups, tu as raison. La trajectoire du Soleil autour de la Terre est bien circulaire, c'est la trajectoire des autres planêtes par rapport à la Terre qui ne l'est pas. Ma mémoire du système de Ptolémée m'a fait défaut. :doigt:

Pondéré par les masses des corps, je suppose. Vu les masses respectives de la Terre et du Soleil, le barycentre du système ne doit pas être très éloigné du Soleil.

Attention, le barycentre Soleil-Jupiter est situé à l'extérieur du soleil tant Jupiter est lourde.

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Oui, c'est vrai, un peu de discipline que diable.

Oh, ça va, je peux revenir sur un point important quand même ?

[…] Pondéré par les masses des corps, je suppose. Vu les masses respectives de la Terre et du Soleil, le barycentre du système ne doit pas être très éloigné du Soleil.

Ca n'est pas la définition du barycentre, justement ?

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Oh, ça va, je peux revenir sur un point important quand même ?

Ca n'est pas la définition du barycentre, justement ?

Oui, je crois. Si mes souvenirs sont bons, quand on fait abstraction des coefficients (donc = 1) on parle d'isobarycentre. Mais en physique on préférera parler de centre de gravité.

Et pour être encore encore plus précis, vu qu'il y a plus de 3 corps en interaction dans le système solaire, le mouvement d'ensemble est bien plus complexe et les trajectoires des planètes subissent des phénomènes chaotiques. Mais bon, à une certaine échelle de temps on admet des approximations bien sûr.

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:icon_up::doigt::warez: Je vais le buter cet enf….

Jacques Chirac lance un appel à "une vaste mobilisation internationale contre la crise écologique"

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Par Christine Ollivier, Canadian Press

Published: Saturday, February 03, 2007

PARIS (AP) - A moins de trois mois de la fin de son quinquennat, Jacques Chirac a tenté de promouvoir samedi la création d'une organisation mondiale sur l'environnement destinée à lutter contre un "certain libéralisme ambiant qui permet d'excuser tous les abus", lors de la clôture de la conférence internationale "citoyens de la terre".

Devant quelque 200 participants issus de 60 pays conviés à l'Elysée, le président français a lu "l'appel de Paris", qui réclame "une vaste mobilisation internationale contre la crise écologique", au lendemain de la publication du rapport alarmant du GIEC. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat conclut que le réchauffement climatique va entraîner une hausse des températures d'ici 2100 comprise entre 1,1 et 6,4 degrés Celsius.

"Le temps est venu de la lucidité", a martelé le président français. "Chaque jour qui passe aggrave les risques et les dangers". Il faut donc "être plus efficaces, plus rapides, plus cohérents".

Le président français plaide pour la transformation de l'actuel Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) en "Organisation des Nations unies pour l'environnement" (ONUE). S'inspirant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), "elle doit être un instrument pour évaluer les dommages écologiques et comprendre comment y remédier", pour "promouvoir les technologies et les comportements les plus respectueux des écosystèmes" et pour "soutenir la mise en oeuvre des décisions environnementales à travers la planète".

"Nous appelons tous les Etats, sans exception, à rejoindre ce combat (…) Il en va de l'avenir de l'humanité", conclut l'appel lu par Jacques Chirac.

Pour l'heure, 45 pays ont fait part de leur intention de participer au groupe pionnier destiné à promouvoir cette idée. Parmi eux figurent une vingtaine de pays européens, dont l'Allemagne, l'Italie, le Royaume-Uni, la Pologne, mais aussi le Cambodge, le Sénégal, la Tunisie ou encore l'Algérie. La première réunion de ce groupe pionnier est prévue au printemps prochain au Maroc.

Lors des débats à l'Elysée, le président français s'en est pris à "quelques grands pays, des grands pays riches, qui doivent encore être convaincus" de la nécessité d'agir contre le réchauffement climatique, visant sans les nommer les Etats-Unis ou le Canada. Ils sont "enfermés dans une espèce de mythe libéral" et "refusent en réalité d'accepter les conséquences de leurs actes", a-t-il accusé, fustigeant "un certain libéralisme ambiant qui permet d'excuser tous les abus et toutes les erreurs".

La tâche s'annonce ardue. "Il y a encore beaucoup à faire pour convaincre", a concédé Jacques Chirac, citant "certains pays riches et la plupart des pays émergents". "Mais cela ne doit pas nous décourager. Il faut donner l'élan nécessaire pour convaincre, à partir de la base, le sommet"

Le président français s'est néanmoins agacé du peu de succès rencontré par son initiative en faveur d'une taxe internationale sur les billets d'avion pour financer l'aide au développement. "C'était une expérimentation, dans mon esprit, mais même cela, nous n'avons pas réussi à convaincre une majorité de pays", a-t-il regretté. "Il y a un certain nombre de gens qui estiment que les principes de libéralisme sont des principes intouchables (…) C'est un sujet qui est agaçant de voir qu'on arrive pas à progresser suffisamment sérieusement".

Si la quasi-totalité des participants de la conférence internationale ont rendu hommage à l'engagement personnel de Jacques Chirac dans la lutte contre le réchauffement climatique, certains ont mis en garde contre la création d'un nouveau "machin" onusien. "Nous ne devons pas créer une institution qui nous donnerait une excuse pour ne rien faire", a averti Sunita Narain, directrice du Centre pour la science et l'environnement.

© La Presse Canadienne 2007

http://www.canada.com/topics/news/en_francais/story.html?id=5cdbdebb-0feb-44b6-9db7-d543dbe7f604&k=15112

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Ca n'est pas la définition du barycentre, justement ?

Mathématiquement, un barycentre, c'est un point défini vectoriellement à partir d'un système d'autres points affectés de certains coefficients. En l'occurrence, dire qu'un point est un barycentre ne veut pas dire grand chose si on ne spécifie la nature du coefficientage. Or, il me semble qu'il y a plein de manières de le coefficienter. Après, je ne sais pas si, en physique, on parle par défaut de pondération par les masses lorsque l'on parle de barycentre. (Après vérification, c'est bien ce dernier sens que le mot a en physique.)

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:icon_up::doigt::warez: Je vais le buter cet enf…. […]

Je t'apporterai des oranges en taule, pour te féliciter. Par contre, essaie de t'entrainer avant, parce que le dernier avait un peu fait dans l'amateurisme.

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J'ai pu assister en mangeant mon boeuf bourguignon à cette saillie chirakienne. Quelle enflure. Il n'est ni libéral ni écolo alors il en prend l'un pour taper sur l'autre.

Mais l'info, c'était Juppé satisfait à côté de lui.

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Histoire de ravir tout le monde, quelques informations données par Sylvie Jussaume. J'ai mis en gras des choses qui m'ont fait un peu sursauter.

Quel est le bilan de la conférence sur le climat ?

LEMONDE.FR | 30.01.07 | 16h49 • Mis à jour le 02.02.07 | 17h06

débat avec Sylvie Joussaume, climatologue, membre de la délégation française à la conférence de Paris (extraits)

Denis : Le Gulf Stream ne risquerait plus de s'arrêter, d'après les dernières mesures. Qu'en pensez-vous ?

Sylvie Joussaume : Le Gulf Stream participe à un grand brassages des océans avec le réchauffement du climat. On s'attend à ce que cette circulation diminue. On ne prévoit pas en effet pour le moment, qu'elle s'arrête complètement.

De plus, même avec cette diminution du Gulf Stream, contrairement à ce qui est souvent dit, les scientifiques montrent que le réchauffement se poursuivrait.

Genove : Ne pensez-vous pas que l'activité solaire est en elle-même responsable du réchauffement ?

Sylvie Joussaume : Le Soleil est clairement la source d'énergie du climat, et la question de son rôle dans le climat est pertinente. Néanmoins, les nouvelles estimations du groupe 1 du GIEC viennent de redonner une nouvelle estimation de l'activité du Soleil montrant que son impact sur le bilan énergétique de la Terre est dix fois plus faible que celui qui résulte des activités humaines, lorsque l'on regarde le bilan entre maintenant et le début de l'industrialisation.

Icare68 : La fonte de la banquise est-elle plus rapide que prévu ? Dans ce cas, il me semble que les volumes d'eau libérés représenteraient une montée des eaux bien plus importante que celles annoncées par le GIEC. Qu'en pensez-vous ?

Sylvie Joussaume : Il est important de préciser la différence entre la banquise, qui est une couche de glace qui couvre les océans, et la glace, qui se trouve sur les continents et qui peut atteindre plusieurs milliers de mètres. La glace qui est sur les océans lorsqu'elle fond ne fait pas changer le niveau de la mer.

Par contre, celle qui est sur les continents fait changer le niveau de la mer. On observe déjà une fonte de la banquise (celle qui est sur la mer) ainsi que la fonte d'un certain nombre de glaciers dans les tropiques, les moyennes latitudes, autour du Groenland, un peu au bord de l'Antarctique. La fonte des glaciers est prise en compte dans les scénarios du GIEC conduisant en 2100 à des estimations allant jusqu'à environ 50 cm d'élévation du niveau de la mer. Des incertitudes restent cependant sur les mécanismes de fonte des glaciers qui pourraient accélérer leur fonte. Le GIEC estime que ces phénomènes pourraient augmenter la vulnérabilité des glaces et accroître le niveau des mers. Mais il est encore difficile de dire de combien. Ce que l'on peut dire, c'est qu'avec les estimations actuelles, il faut plusieurs siècles de réchauffement continu avant de conduire à des élévations de l'ordre de plusieurs mètres. La disparition complète du Groenland demanderait un millier d'années.

Fromveur : Pourquoi le GIEC annonce-t-il que le processus de réchauffement durera un millénaire ?

Sylvie Joussaume : Même si on arrêtait les émissions de gaz carbonique maintenant, il faudrait plus d'un millier d'années avant de retourner aux valeurs préindustrielles.

La_Oz : Quels sont les points qui posent encore de grandes difficultés dans la modélisation du climat ?

Sylvie Joussaume : La modélisation du climat représente la circulation de l'atmosphère et des océans et les échanges d'énergie qui les régissent. Un des points les plus difficiles réside dans la représentation des nuages, en

particulier dû au fait que les modèles découpent l'atmosphère en boîtes d'une taille de l'ordre de 200 km. D'autres difficultés résident dans la représentation de la complexité du système qui fait intervenir, au-delà de la physique, la biologie, comme la végétation ou la biologie dans les océans.

La_Oz : Ce nouveau rapport de 2004 est-il plus ou moins pessimiste que celui de 2001 ?

Sylvie Joussaume : Le rapport de 2004 renforce les conclusions de 2001. Il donne une meilleure estimation des changements déjà observés et des changements à venir. Il apporte de nouveaux éléments sur des phénomènes extrêmes, comme le fait qu'on observe dans certaines régions une augmentation de l'intensité des cyclones tropicaux, et annonce que cette intensité va vraisemblablement encore augmenter dans le futur.

Raymond : A partir de combien de degrés le réchauffement deviendra-t-il dangereux ?

Sylvie Joussaume : C'est une question difficile. Il est important de se rendre compte qu'un changement d'un seul degré correspond à un climat assez différent, mais que plus la température s'élève, plus évidemment ces changements auront d'impact. La notion de seuil de dangerosité dépend aussi de la rapidité des phénomènes et de notre capacité à nous adapter. Elle peut aussi être très relative suivant les régions. Le chiffre de 2 degrés est souvent avancé. Il s'appuie sur les travaux des autres groupes de travail du GIEC en 2001. Il peut être un ordre de grandeur raisonnable. Le présent rapport ne donne pas de seuil d'acceptabilité, de dangerosité. Il précise quels sont les changements possibles dans le futur. Si le niveau d'émission reste élevé, l'estimation donnée comme la meilleure est de 4 degrés mais pourrait même atteindre 6,4 degrés. Si, au contraire, les émissions diminuent, la meilleure estimation serait de 1,8 degré et éventuellement aussi basse que 1,1 degré.

Ganz : Quel est aujourd'hui le poids de ceux qui contestent la réalité du réchauffement ?

Sylvie Joussaume : Il y a un très fort consensus dans la communauté des climatologues, la position du GIEC impliquant plus de 600 scientifiques. Il peut rester certains sceptiques, souvent en dehors de la communauté des climatologues, et n'ayant pas à ce jour donné d'arguments très convaincants.

Jessica : Que pensez-vous du film d'Al Gore ?

Sylvie Joussaume : Le film d'Al Gore est excellent. Il reflète bien l'avis de la communauté scientifique et arrive, de plus, à bien sensibiliser les gens. Le seul bémol que je mettrais, c'est que lorsqu'il parle de la fonte des glaces, il ne donne pas d'échelles de temps. Lire plus haut l'une de mes premières réponses.

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Histoire de ravir tout le monde, quelques informations données par Sylvie Jussaume. J'ai mis en gras des choses qui m'ont fait un peu sursauter.

Je me demandais… Ne s'agirait-il pas là de publicité mensongère pour le GIEC?

N'y a-t-il pas une loi contre ça en France? :icon_up:

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Il est temps qu'il claque ou qu'il s'en aille, de façon générale. A lui seul, il aura fait plus de dégâts que le réchauffement climatique, et ces dégâts là sont clairement politicotropiques.

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Ca convainc en effet que c'est une conne compacte et probablement précontrainte, utile pour les linteaux horizontaux de longue portance, ou dans des ouvrages architecturaux audacieux, comme les échaffaudages théoriques sur des doutes.

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Et puis dans la catégorie "pan dans les dents" sur le RC :

http://www.canada.com/nationalpost/story.h…f8763c6&k=0

In another study, directly relevant to today's climate controversy, Dr. Shaviv reconstructed the temperature on Earth over the past 550 million years to find that cosmic ray flux variations explain more than two-thirds of Earth's temperature variance, making it the most dominant climate driver over geological time scales. The study also found that an upper limit can be placed on the relative role of CO2 as a climate driver, meaning that a large fraction of the global warming witnessed over the past century could not be due to CO2 -- instead it is attributable to the increased solar activity.
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