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Eh ben vous ne déconnez pas quand vous dites que vous avez des problèmes d'attention...

tl;dw: il n'y a pas de différences entre la seconde vague de féminisme et le féminisme actuel, c'est une resucée des mêmes conneries sur le fond et sur la forme et les deux meurent exactement de la même manière bouffés par les politiques identitaires. Par ailleurs les féministes des années soixante sont bel et bien de leur propre aveu des marxistes dissidentes qui ont transformé la lutte des classes en lutte des sexes.

Ça laisse la première vague (qui a elle-même des tas de casseroles mais c'est une autre histoire) pour se réfugier à ceux qui veulent persister à utiliser le label.

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Citation

 

Egalité filles/garçons : et si on effaçait les terrains de foot des cours de récré ?

 

Entretien avec Edith Maruéjouls, géographe du genre, qui a travaillé dans une école primaire sur la répartition des filles et des garçons dans la cour de récréation.

 

L'une des élèves se dessine sous le préau, entourée de huit filles représentées par des "F" majuscules.

 

"Là il y a un terrain de basket où il y a plein de garçons", montre une autre. Sur sa feuille, elle a aussi tracé des "G" (comme garçons) répartis sur le terrain de foot adjacent. Ils occupent la majeure partie de l'espace central.

Et les filles ? Les "F" se trouvent sur les côtés : tout autour du terrain rectangulaire ainsi que sur les bancs. 

 

Dans cette classe de cinquième du collège Edouard Vaillant à Bordeaux, la prof de français, Sarah Rosner, et une géographe du genre, Edith Maruéjouls, ont fait travailler les élèves sur la manière dont ils se représentent dans la cour de récréation et sur la répartition des filles et des garçons dans cet espace.

 

Egalité entre les sexes

 

"En général, les garçons ont l'espace central avec le terrain de football, le terrain de basket, ou des jeux qui demandent de l'expression, c'est-à-dire de courir, de prendre de la place...

 

Ils s'organisent entre eux dans des jeux comme ça, et les filles, sans s'en rendre compte, vont se mettre sur les espaces qu'on leur laisse", commente la seconde.

 

La vidéo de cet exercice est en ligne sur Matilda, une plateforme de ressources pédagogiques sur l'égalité entre les sexes lancée début février 2017 par l'association v.ideaux et soutenue par les ministères de l'Education, la Culture et des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes.

 

Y a-t-il égalité entre les sexes dans le partage de la cour ? Edith Maruéjouls, féministe spécialiste des questions d'égalité dans l'espace urbain et créatrice d'un bureau d'études, a travaillé sur ce sujet dans sa thèse portant sur la mixité, l'égalité et le genre dans les espaces de loisirs pour les jeunes, soutenue en octobre 2014 [lire PDF]. 

 

Inégal partage de l'espace

 

Dans ses recherches, elle met en avant l'inégal partage des espaces de loisirs qui s'adressent essentiellement aux garçons. Elle pointe aussi leur inégale valeur : les pratiques de loisirs des garçons sont survalorisées et sur-portées par les collectivités. Tout cela légitime la présence masculine dans l'espace public et a tendance à reléguer les filles à l'espace privé ou à l'espace scolaire.

 

Pour Edith Maruéjouls, il est important d'apprendre aux enfants à partager l'espace dès l'école, à commencer par ce micro-espace public qu'est la cour de récréation.

 

La géographe du genre s'est appuyée sur un travail de terrain réalisé dans l'école élémentaire du Peyrouat de Mont-de-Marsan (Landes), en zone d'éducation prioritaire, qui a remporté en 2015 le prix académique du projet égalitaire « Filles/Garçons » pour son projet éducatif de sensibilisation aux notions de mixité, égalité et genre. 

 

 

:icon_surpris:

 

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En général, les garçons ont l'espace central avec le terrain de football, le terrain de basket, ou des jeux qui demandent de l'expression, c'est-à-dire de courir, de prendre de la place...



Ils s'organisent entre eux dans des jeux comme ça, et les filles, sans s'en rendre compte, vont se mettre sur les espaces qu'on leur laisse

"En général les voitures ont l'espace central avec la route. Les piétons, sans s'en rendre compte, vont circuler sur le trottoir"

 

Je suis impressionné qu'on finance des doctorats sur "Mixité, égalité et genre dans les espaces du loisir des jeunes" et que ça mène à un emploi public dans l'urbanisme d'une mairie de droite. Le paysage intellectuel français s'enrichit chaque jour de spécialistes aussi pertinents qu'elle !

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'géographe du genre' :icon_confused:

Expérience intéressante: dessiner une marelle sur le terrain de foot, puis observer le combat quotidien pour le contrôle du territoire :popcorn:

C'était comme ça dans mon école et ça a donné lieu à des guerres de genre épiques :D

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Il y a 2 heures, Astha a dit :
Citation

[..]

Dans ses recherches, elle met en avant l'inégal partage des espaces de loisirs qui s'adressent essentiellement aux garçons. Elle pointe aussi leur inégale valeur : les pratiques de loisirs des garçons sont survalorisées et sur-portées par les collectivités. Tout cela légitime la présence masculine dans l'espace public et a tendance à reléguer les filles à l'espace privé ou à l'espace scolaire.

[..]

:icon_surpris:

 

Le problème c'est que tout ça repose, in fine, sur un argument d'autorité. C'est une spécialiste qui le dit, donc c'est vrai, donc il faut se battre pour rétablir l'égalité.

 

Les journalistes se sont tellement habitués à faire de la propagande qu'ils ne savent même plus comment diffuser de la connaissance ...

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Le 19/02/2017 à 23:47, FabriceM a dit :

 

Le problème c'est que tout ça repose, in fine, sur un argument d'autorité. C'est une spécialiste qui le dit, donc c'est vrai, donc il faut se battre pour rétablir l'égalité.

 

Les journalistes se sont tellement habitués à faire de la propagande qu'ils ne savent même plus comment diffuser de la connaissance ...

 

C'est surtout essentialiste de penser que c'est des loisirs de "garçons"

 

Polylogisme

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il y a 5 minutes, Atika a dit :

C'est surtout essentialiste de penser que c'est des loisirs de "garçons"

Le mot que tu as zappé est essentiellement (ce qui signifie ici, selon toute vraisemblance, principalement -et non par essence).

 

De fait, je n'ai pas souvenir d'avoir vu des filles "faire un foot".

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27 minutes ago, Johnathan R. Razorback said:

Le mot que tu as zappé est essentiellement (ce qui signifie ici, selon toute vraisemblance, principalement -et non par essence).

 

De fait, je n'ai pas souvenir d'avoir vu des filles "faire un foot".

 

Le soccer est le sport collectif des filles outre atlantique.

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Comment une poche de jeans a mené à du harcèlement en ligne, ou le sacerdoce des journalistes féministes

 

Bon déjà l'enquête qui met à jour la collusion entre l'industrie du jeans et celle des sacs... :icon_lol:

Ensuite, je suis assez désespérée du niveau du débat sur le sujet. On a des journalistes martyres qui se croient investies d'une mission contre les forces démoniaques parce que face à elles ne se trouvent que des trolls hideux qui pour le coup sont dans une logique de harcèlement tout à fait gerbante. Mais ces journalistes en profitent pour faire, ou font malgré elles, l’amalgame entre opposition à leurs idées et déversement trollesque.

C'est assez dingue l'hystérisation autour de ces sujets qui ne sont pourtant pas nouveaux. Le sujet de comment l'industrie s'adresse différemment aux femmes ou les manipule selon les points de vue est loin d'être récent. On en parle déjà dans the Feminine Mystique qui date de 1963 et peut-être même avant.

Je ne sais pas si tout est imputable aux réseaux sociaux mais c'est de mauvaise augure pour ceux qui ont une position plus nuancée ou veulent rationnellement contrer leurs arguments.

 

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Il y a 7 heures, Romy a dit :

Comment une poche de jeans a mené à du harcèlement en ligne, ou le sacerdoce des journalistes féministes

 

Bon déjà l'enquête qui met à jour la collusion entre l'industrie du jeans et celle des sacs... :icon_lol:

Ensuite, je suis assez désespérée du niveau du débat sur le sujet. On a des journalistes martyres qui se croient investies d'une mission contre les forces démoniaques parce que face à elles ne se trouvent que des trolls hideux qui pour le coup sont dans une logique de harcèlement tout à fait gerbante. Mais ces journalistes en profitent pour faire, ou font malgré elles, l’amalgame entre opposition à leurs idées et déversement trollesque.

C'est assez dingue l'hystérisation autour de ces sujets qui ne sont pourtant pas nouveaux. Le sujet de comment l'industrie s'adresse différemment aux femmes ou les manipule selon les points de vue est loin d'être récent. On en parle déjà dans the Feminine Mystique qui date de 1963 et peut-être même avant.

Je ne sais pas si tout est imputable aux réseaux sociaux mais c'est de mauvaise augure pour ceux qui ont une position plus nuancée ou veulent rationnellement contrer leurs arguments.

 

 

Quand on n'a plus de combat et pas assez d'intelligence pour passer à autre chose, on se trouve des escarmouches de plus en plus connes. Le féminisme moderne, c'est ça. L'égalité en droit étant peu ou prou obtenue entre les hommes et les femmes dans les sociétés modernes, les féministes, dépourvues de réel combat, se sont retrouvées à chercher la petite bête partout. A l'aune de leurs "analyses", tout est sexiste, tout est inégal, tout est méchant et tout est fait contre elles.

 

Et à force, ça finit par lasser. Le retour de manivelle sera d'autant plus puissant que la liberté d'expression aura été muselée auparavant (ce que se sont empressé de faire les médias et l'intelligentsia pour qui le combat féministe était forcément juste puisque féministe). 

 

Le truc des poches de jeans est si tellement sidéralement intégralement con qu'il ne mérite ni un article, ni une ligne de tweet, ni même un commentaire. Putain mais si elles veulent des grosses poches, qu'elles achètent des jeans avec des grosses poches ou qu'elles s'expriment en disant "on veut de grosses poches", pas en disant "ouin ouin c'est trop injuste les hommes ont des grosses poches et pipanoudabor". Le marché, c'est ça. Elles ont un immense pouvoir, celui de la carte de paiement, et ne savent pas s'en servir. Les réactions rageuses sont évidemment violentes et probablement bien trop fortes, mais quand on lit l'article, on est effectivement pris d'une envie de pousser la scribouillarde sous un bus à pneus cloutés tellement ses chouineries sont grotesques. Des gens sont morts pour la liberté d'expression, et voilà à quoi ça sert : donner la parole à des abruties.

 

Monde de merde.

  • Yea 1
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4 hours ago, fryer said:

+1 la liberté d'expression aux abrutis, c'est totalement ça.

 

Il n'y a pas que ça : il y a aussi le fait de n'avoir rien à glander dans sa vie. Parce que pour passer du temps sur de tels sujets c'est qu'on est pas trop concerné par mettre de la nourriture sur la table. L'hystérie nait aussi de ce désoeuvrement qui rend la moindre aspérité de la vie semblable à un Everest. Une génération de tafioles ? En tous cas ça milite pas pour le revenu universel tout ça (un monde remplie de snowlfakes chialant sur leurs smartphones à longueur de journée voilà une dystopie qui fait peur).

 

 

15 minutes ago, G7H+ said:

En même temps, les petites poches symboliques qui ne peuvent rien contenir (pantalons) ou l'absence de poche (manteaux) dans bcp de vêtements pour femmes, j'ai toujours trouvé ça couillon.

 

Mais les femmes portent un sac pour tout ça. 

 

Où c'est l'inverse comme les femmes portent des sacs alors pas la peine de leur faire des poches grandes. Ou n'importe quelle autre raison de mode à la mord moi le noeud (je veux des pantalons moulants mais les poches ça fait moche mais sans les poches ça va pas ouin).

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il y a 57 minutes, Kassad a dit :

 

il y a aussi le fait de n'avoir rien à glander dans sa vie. Parce que pour passer du temps sur de tels sujets c'est qu'on est pas trop concerné par mettre de la nourriture sur la table. L'hystérie nait aussi de ce désoeuvrement qui rend la moindre aspérité de la vie semblable à un Everest. Une génération de tafioles ? En tous cas ça milite pas pour le revenu universel tout ça (un monde remplie de snowlfakes chialant sur leurs smartphones à longueur de journée voilà une dystopie qui fait peur).

 

Plus un, évidemment, tant pour la génération de tafioles que pour l'explication du ventre plein.

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En tout cas, les trolls leur donnent exactement ce qu'elles veulent: Le sentiment d'être en mission divine contre le patriarcat.

Elles sont tellement binaires que si face à elles il y a des cons c'est qu'elles ont raison.

Je vais aller travailler pour avoir de quoi payer ma "taxe rose" au lieu de lire des chouineries :icon_wink:

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il y a 29 minutes, h16 a dit :

Plus un, évidemment, tant pour la génération de tafioles

En tant que représentant de facto de ladite génération de tafioles je demande des arguments permettant d'isoler cette génération des précédentes au même âge, sinon je me verrai dans l'obligation de vous accuser de viellistes grincheux (à part Rincevent, ça lui ferait trop plaisir).

 

Cordialement.

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14 minutes ago, Romy said:

En tout cas, les trolls leur donnent exactement ce qu'elles veulent: Le sentiment d'être en mission divine contre le patriarcat.

Elles sont tellement binaires que si face à elles il y a des cons c'est qu'elles ont raison.

Je vais aller travailler pour avoir de quoi payer ma "taxe rose" au lieu de lire des chouineries :icon_wink:

 

  C'est la disparition du milieu. Les deux camps ont besoin l'un de l'autre pour exister. Ce sont des adulescents qui n'existent pas en tant que tels mais comme partie d'un groupe. Le fight structure le groupe et donc est intrinsèquement vital pour eux.

 

 

10 minutes ago, Neomatix said:

En tant que représentant de facto de ladite génération de tafioles je demande des arguments permettant d'isoler cette génération des précédentes au même âge, sinon je me verrai dans l'obligation de vous accuser de viellistes grincheux (à part Rincevent, ça lui ferait trop plaisir).

 

Cordialement.

 

  Quand j'étais jeune le principe de précaution n'était pas inscrit dans la constitution. On n'appelait pas les flics quand un gamin trainait pour jouer dans la rue (et encore moins de descente de SWAT qui abattent un chien qui aboit. Je n'avais pas le droit à la fin de chaque pub à un lavage de cervau sur le mangibougisme et encore moins sur le fait que je doive m'hydrater quand il fait chaud et me couvrir quand il fait froid. On ne mettait pas une ville en lockdown comme ce fut le cas à Boston pour deux pauvres terroristes, en colo de ski c'était un bonnet jaune et rouge que je devais porter pas un casque en Kevlar. Etc.

 

Notre société est devenue allergique au risque. Ce terme lui même tend à prendre une connotation purement péjorative. Toute la partie espoir recouverte par ce terme a disparu.

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En fait c'est le même mouvement que pour l'étatisme.

Au départ l'Etat s'est là pour assurer la sécurité et le droit. Maintenant que la guerre n'existe plus chez nous et que la violence générale de la société est en chute libre, l'Etat s'occupe en s'occupant de nous. C'est la paternalisation de l'activité politique.
Pas plus tard que hier, un reportage sur l'inutilité des élus au niveau des provinces en Belgique, une députée provinciale s'exprime : "enfin, vous ne pouvez pas dire qu'on se sert à rien ! On fait plein de choses, on s'occupe d'un tas de problème, je déborde de travail, donc on sert à quelque chose". C'est rigolo de voir que ces gens, parce qu'ils sont occupés, pensent qu'ils sont utiles et comme il n'y a plus ni guerre à gérer ni droit à vraiment assurer, on s'occupe du reste.

Ben les féministes, les sjw, les convergeursdeluttes, c'est pareil.

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il y a 9 minutes, Alchimi a dit :

Tu tends une perche là.

Je suis curieux.

il y a 3 minutes, Kassad a dit :

Quand j'étais jeune le principe de précaution n'était pas inscrit dans la constitution. On n'appelait pas les flics quand un gamin trainait pour jouer dans la rue (et encore moins de descente de SWAT qui abattent un chien qui aboit. Je n'avais pas le droit à la fin de chaque pub à un lavage de cervau sur le mangibougisme et encore moins sur le fait que je doive m'hydrater quand il fait chaud et me couvrir quand il fait froid. On ne mettait pas une ville en lockdown comme ce fut le cas à Boston pour deux pauvres terroristes, en colo de ski c'était un bonnet jaune et rouge que je devais porter pas un casque en Kevlar. Etc.

 

Notre société est devenue allergique au risque. Ce terme lui même tend à prendre une connotation purement péjorative. Toute la partie espoir recouverte par ce terme a disparu.

Tout ça ce sont des réalisations des générations précédentes : la crainte irrationnelle du terrorisme, le mangerbougisme, la charte de l'environnement n'ont pas leurs origine chez les post-'92.

C'est une cause possible mais je ne vois pas de tafiolisation particulière dans ma génération. Pas à côté de soixante-huitards, de grands marcheurs contre le racisme, de manifestants anti-CPE etc.

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 Mais ce genre de conneries met du temps à s'installer et les post-92 n'ont vécu que dans ce monde justement. La première fois que j'ai lu 1984 je me disais que vraiment il exagérait Orwell, mais son trip sur la novlangue est vraiment bien vu. 

 

 Un exemple frappant est dans l'éducation, la caricature suivante n'est pas si loin de la réalité, et les enfants s'adaptent à l'éducation qu'ils ont reçu:

 

580960_487513441303218_188263451_n.jpg

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il y a une heure, Neomatix a dit :

Je suis curieux.

Tout ça ce sont des réalisations des générations précédentes : la crainte irrationnelle du terrorisme, le mangerbougisme, la charte de l'environnement n'ont pas leurs origine chez les post-'92.

C'est une cause possible mais je ne vois pas de tafiolisation particulière dans ma génération. Pas à côté de soixante-huitards, de grands marcheurs contre le racisme, de manifestants anti-CPE etc.

 

Justement, les générations qui ont mis ça en place ont créé des enfants qui n'ayant connu que ça, sont maintenant des petits flocons fragiles, parce que précisément, rouler en voiture sans ceinture, vous n'y pensez pas, faire du vélo sans casque, mon dieu c'est troporibl, ne pas avoir de petit logo "femme enceinte barrée" sur le vin, ce serait criminel, etc... Et ce sont ces enfants qui viennent maintenant chouiner sur l'absence de grosses poches de pantalon parce que... 

 

 

troporibl.jpg

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il y a 14 minutes, h16 a dit :

 

Justement, les générations qui ont mis ça en place ont créé des enfants qui n'ayant connu que ça, sont maintenant des petits flocons fragiles, parce que précisément, rouler en voiture sans ceinture, vous n'y pensez pas, faire du vélo sans casque, mon dieu c'est troporibl, ne pas avoir de petit logo "femme enceinte barrée" sur le vin, ce serait criminel, etc... Et ce sont ces enfants qui viennent maintenant chouiner sur l'absence de grosses poches de pantalon parce que... 

 

 

troporibl.jpg

 

j'ai l'impression que ça a généré les deux courants : les speshul snowflake ET les ultra-turbo-trolls altrightesques qui réagissent à la fragilité ambiante

 

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