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J'en profite pour dire que l'un des vices contemporains résite dans la dissolution de la ligne qui sépare les mineurs des majeurs. Ona tendance à vouloir donner tous les "droits" aux mineurs pendant que l'on tend de plus en plus à considérer les adulter comme des mineurs à vie.

+1. Ce n'est que la séquelle du projet nazi, considérant des animaux comme pourvus de droits humains, et d'autres humains comme des animaux nuisibles.

Les frontières s'effacent les unes après les autres, empêchons le mur de s'écrouler tant qu'il (si il ?) en est encore temps.

PS: Comme vous, je parle des drogues aux effets psychotropes.Les comparaisons avec la cigarette ou le chocolat… :icon_up:

La cibiche ? Franchement psychoactive. Il faut être dingue pour faire la moitié de Paris en peignoir, de nuit, pour trouver sa dose. Sinon, personne n'oblige un adulte responsable à consommer de drogue. La consommation d'une substance hautement psychoactive pourrait constituer une circonstance aggravante à un crime.

[…] il est parfaitement injuste de taxer des adultes responsables pour financer la persécution d'autres adultes responsables qui ne font de mal à personne. Si les drogués sont moins productifs, c'est le problème de leur employeur qui les paiera moins ou les virera, pas le votre.

Pas mieux. :doigt:

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Je n'ai jamais dit que quelqu'un qui ne buvait pas d'alcool à un tel âge était forcément mature (bien qu'il soit indubitablement bien moins influençable que ses comparses), j'ai seulement dit que la plupart des jeunes (mineurs) buvant sans modération étaient en revanche sans aucun doute immature, ce qui est très différent. Que le majeur se saoûle, peu m'importe, c'est son droit le plus absolu du moment qu'il ne le fait pas avant de prendre le volant, c'est aux gens de s'assumer et de décider de la manière dont ils veulent entretenir leur corps et leur santé, pas à moi.

Tiens, ça change de =>

vous seriez tout juste sorti du lycée comme c'est mon cas, vous auriez constaté que seule une infinitésimale partie de la jeunesse actuelle est capable de se comporter autrement qu'une bande de babouins obnubilée par l'alcool…"
Absence flagrante de modestie? En quoi ma remise en cause de modes de vie pour le moins particuliers, aimer boire à s'en rendre malade est en effet une curiosité à mes yeux, implique -t-elle que je me sente nécessairement supérieur?

Ce n'est pas ici le fond que je vilipende, mais bel et bien la manière. Les qualificatifs employés sont très clairs ("Babouins") et l'absence d'argumentation était pour le coup flagrante.

Vous ne me connaissez pas, je ne vous connais pas, il me semble donc un peu prématuré de distribuer des qualificatifs à tout bout de champ.

Je me base sur mon ressenti, mais il est vrai que je devrais éviter ce genre d'argumentation adhominem, mes excuses donc.

J'ai parlé d'une partie des jeunes, pas de la génération dans sa globalité,

=>

seule une infinitésimale partie de la jeunesse actuelle est capable de se comporter autrement…"

Infinitésimale, c'est 1 sur 1000 ? 999 ça me semble être une majorité, voire une quasi-globalité…

en conséquent si vous vous sentez concerné, c'est que vous avez certainement quelque chose à vous reprocher, quoique, je le répète encore, votre mode de vie personnelle ne me concerne pas le moins du monde.

Je vous renvoie à mon post pour ce qui est de mon mode de vie. Que vous pouvez critiquer sans employer de qualificatif animalier.

Après, libre à vous d'y voir ce que vous voulez et de spéculer à loisir, mais il me semble pour le moins un peu présomptueux de venir jouer les apprentis psychiatres ainsi.

Présomptieux, je le confesse volontier pour le coup, apprenti psychatre certainement pas. Relisez-vous. Je vous donne juste ma réaction à vos propos.

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Juste une question, si vous appreniez qu'un de vos proches (frère, soeur, fils, fille, père, mère) s'adonnait à la consommation de stupéfiants (héro, coke, etc.), qu'en penseriez-vous ? Quelque chose du genre : "Oh, ce n'est pas plus grave que de boire son petit verre de vin", vraiment ?

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Juste une question, si vous appreniez qu'un de vos proches (frère, soeur, fils, fille, père, mère) s'adonnait à la consommation de stupéfiants (héro, coke, etc.), qu'en penseriez-vous ? Quelque chose du genre : "Oh, ce n'est pas plus grave que de boire son petit verre de vin", vraiment ?

A titre personnel, j'en serais très préoccupé et j'essaierai d'aider cette personne à cesser. En fait, ce n'est pas du conditionnel puisque j'ai eu un proche dans ce cas et que je me suis comporté comme expliqué.

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Juste une question, si vous appreniez qu'un de vos proches (frère, soeur, fils, fille, père, mère) s'adonnait à la consommation de stupéfiants (héro, coke, etc.), qu'en penseriez-vous ? Quelque chose du genre : "Oh, ce n'est pas plus grave que de boire son petit verre de vin", vraiment ?

Non, c'est exact.

Mais je ne me permettrait pas non plus de m'en remettre pieds et poings liés à l'Etat pour combattre ce mal.

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Non, c'est exact.

Mais je ne me permettrait pas non plus de m'en remettre pieds et poings liés à l'Etat pour combattre ce mal.

Note bien que personne ici ne demande ça. Ce qui n'empêche pas certains de s'emballer tous seuls en insistant sur le parallèle idiot du chocolat et de toutes les drogues qui se valent.

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Ce qui n'empêche pas certains de s'emballer tous seuls

… dans le papier alu. :icon_up:

Oui la caféine est très utilisée lors de ces soirées. Et d'ailleurs qu'est-ce que vous avez contre ces "grandes soirées déjantées"?

Je ne suis pas sûr que la caféine explique le comportement du danseur en chemise blanche dans cette scène :

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Juste une question, si vous appreniez qu'un de vos proches (frère, soeur, fils, fille, père, mère) s'adonnait à la consommation de stupéfiants (héro, coke, etc.), qu'en penseriez-vous ? Quelque chose du genre : "Oh, ce n'est pas plus grave que de boire son petit verre de vin", vraiment ?

Ca dépend si c'est trois fois par an ou chaque jour au petit déjeuner.

In medio stat virtus

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Ca dépend si c'est trois fois par an ou chaque jour au petit déjeuner.

+1, et je dois avouer que j'ai toujours plus de mal à accepter la consommation d'héroïne qui casse litteralement l'individu à court comme long terme, que celle de cocaïne, qui ne devient problématique que si l'usage est très régulier, comme le dit walter-rebuttant. Et si c'est le cas, je suis l'attitude de Pan.

Sinon oui, fumer son petit joint d'herbe n'est pas plus problématique que déguster son petit verre de rouge.

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Collector !

On ne peut pas affirmer qu'il est plus dangeureux de conduire sous amphétamine par exemple, qui augmentent l'accuité et maintient en éveil, que sous alcool, qui a l'effet inverse. Chaque drogue est différente. Mais il est vrai que le raisonnement de Timur est tiré par les cheveux.

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D'une part, il ne faudrait pas en arriver à la situation ridicule où un père se fait arrêter parce qu'il a fait servir un verre de Bordeaux à son fils. D'autre part, je suis effaré de voir à quel point l'ignorance règne concernant les dangers comparés de l'alcool et du cannabis. Ils sont pourtant connus et documentés. S'il est certain que la conduite sous ivresse cannabique légère est plus dangereuse que celle sous ivresse alcoolique légère, les effets sur la santé sont absolument inverses, et ce de façon d'autant plus incomparable que la dose s'accroît. L'alcoolisme induit une dépendance physique et physchologique comparable à celle de l'héroïne ; il faut le voir pour le croire, mais c'est un fait. L'alcool détruit le foie de façon presque toujours irréversible : celui qui a bu et ne boit plus est endommagé à vie.

D'une façon générale, il n'y a pas de rupture significative entre la drogue et d'autres types de comportements à risques. Dans la bonne société victorienne, un certain nombre de gens se piquaient à la morphine ; ils n'en sont pas devenus des criminels pour autant. Je citerais notamment Sir Arthur Conan Doyle, l'auteur de la série des Sherlock Holmes. Personne n'a le droit de diriger la vie de son voisin. Il ne peut exister de crimes ni de délits sans victimes.

On peut déplorer la drogue autant qu'on veut, mais défendre sa prohibition sur un forum libéral est tout à fait hors de propos.

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Je donne un exemple personnel;

Quand j'avais entre 15 et 17 ans, j'étais un très gros fêtard.

C'était une bière sur le temps de midi avec les potes, des soirées ou concerts avec orgie de bières le samedi et le dimanche on cuvait. Un joint de temps en temps en semaine et le samedi c'était une alternance entre joints et bières.

Quand j'ai commencé à moins faire la fête, j'avais envie d'une bière sur le temps de midi comme une personne assoiffée à envie de boire. Mais les joints… J'en ai jamais eu envie. (peut-être tirer dessus quand quelqu'un en fumait un).

N'ayant pas été un grand buveur, et n'ayant bu des bières en semaine que pendant une année scolaire, j'ai su m'en débarrasser après 2 p'tits mois de sevrage. (avec quand même une de temps à autre). Mais même si on peut contenir sa soif, ça n'est pas agréable et quelqu'un ayant bu plus longtemps a du mal à se sevrer. Donc je confirme que la dépendance aux joints est ridicule face à la dépendance à l'alcool.

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Je donne un exemple personnel;

Quand j'avais entre 15 et 17 ans, j'étais un très gros fêtard.

C'était une bière sur le temps de midi avec les potes, des soirées ou concerts avec orgie de bières le samedi et le dimanche on cuvait. Un joint de temps en temps en semaine et le samedi c'était une alternance entre joints et bières.

Est-ce bien raisonnable ?

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D'une part, il ne faudrait pas en arriver à la situation ridicule où un père se fait arrêter parce qu'il a fait servir un verre de Bordeaux à son fils. D'autre part, je suis effaré de voir à quel point l'ignorance règne concernant les dangers comparés de l'alcool et du cannabis. Ils sont pourtant connus et documentés. S'il est certain que la conduite sous ivresse cannabique légère est plus dangereuse que celle sous ivresse alcoolique légère, les effets sur la santé sont absolument inverses, et ce de façon d'autant plus incomparable que la dose s'accroît. L'alcoolisme induit une dépendance physique et physchologique comparable à celle de l'héroïne ; il faut le voir pour le croire, mais c'est un fait. L'alcool détruit le foie de façon presque toujours irréversible : celui qui a bu et ne boit plus est endommagé à vie.

Un alcoolique, même s'il arrête de boire pendant 15 ans, restera bien souvent alcoolique toute sa vie malgré tout. Pareil pour le fumeur.

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Dans tous les cas, les consommateurs de drogues n'ont jamais attendu l'aval de l'Etat pour s'en procurer. Pour parler d'un coin que je connais, au centre-ville de Montréal, le cannabis se trouve littéralement à tous les coins de rues. Quant au reste, tout se trouve avec relativement peu de difficultés et de risques pour peu qu'on soit disposé à payer.

Je n'ai pas l'impression qu'une légalisation des drogues changerait sensiblement la consommation. Il s'agit surtout de ne pas punir un comportement qui, s'il n'est pas anodin, est bien souvent inoffensif pour autrui. Quant à l'argument de la nécessaire déchéances des consommateurs de drogue, il semble convaincant parce que pour les cas spectaculaires d'héroïnomanes aux bras turgescents, on ne fait pas de cas des gens -pour parler de mon entourage, des étudiants brillants en génie, médecine, maths, ou de tout ce que vous voudrez- qui s'accomodent sans problèmes d'une consommation régulière.

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Quant à l'argument de la nécessaire déchéances des consommateurs de drogue, il semble convaincant parce que pour les cas spectaculaires d'héroïnomanes aux bras turgescents, on ne fait pas de cas des gens -pour parler de mon entourage, des étudiants brillants en génie, médecine, maths, ou de tout ce que vous voudrez- qui s'accomodent sans problèmes d'une consommation régulière.

C'est comme les fumeurs qui disent "moi j'arrête quand je veux et de toute façon je vis très bien avec la cloppe" jusqu'à ce qu'ils commencent à être malades et décident (d'essayer) d'arrêter.

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NON.Pour la simple et puissante raison suivante: Le drogué à cette facheuse tendance à devenir de plus en plus irresponsable.

La responsabilité.Je crois que ici, la plupart êtes pour donner la responsabilité à chacun dans le but qu'il puisse en tirer bénéfice ? Alors moi, j'aimerais bien savoir ou est le bénéfice d'une société composé d'individu qui se rapprochent chaque jour un peu plus de loque humaine irresponsables qui se foutent de tous, à commencer par eux même.Et dans une de ces société, je ne voudrais pas y vivre, et je dirais même plus, habiter sur la même planète que la leur.

Je remue un truc qui dérange.. la responsabilité envers son prochain.. Voilà tout.Mais pourtant, c'est pour votre bien ! :doigt:

sincèrement désoler si il y a des consommateurs parmi vous.Je ne vise personne.Nous parlons d'une société.

Donc, en somme, tu es contre la légalisation des drogues?

En quoi un produit avec une faible marge serait nécessairement peu répandu ?

Pas moins répandu, mais une production illégale moins répandue du fait d'un calcul coûts/avantages qui n'est plus intéressants, étant donné le risque encouru. En fin de compte, le but de la légalisation n'est pas de lutter contre la drogue, car le choix de consommer celle-ci dépend des individus et non de je ne sais quelle instance étatique supposément transcendante, mais d'amener la production de celle-ci au grand jour pour y exercer un minimum de contrôle.

Hop belle contradiction (ou contorsion) en une seule phrase : optimal mais pas supérieur. De la même façon tu ne t'estime pas supérieur à ces "babouins obnubilés par l'alcool" c'est ça ?

Oui, je m'estime supérieur à ces gens (note bien que ça ne veux pas dire que je le suis), mais là le mérite est faible, car entre des primates ivres qui ne savent plus comment ils s'appellent et répandent partout leur odeur infecte et quelqu'un de sobre et de "normal", il y'a toutes les différences existant entre un babouin et un être civilisé. C'est moi point de vue et je l'assume sans complexes, je me doute qu'il peut choquer, mais il n'engage que moi.

Et je m'abstiendrai de répondre à ceux qui comparent une dose de cocaïne à un Kinder Bueno, tellement la mauvaise foi est flagrante (et de très mauvais goût).

Là au moins nous sommes d'accord…

Tiens, ça change de =>

Quelle argumentation percutante! C'est l'hopital qui se fout de la charité quand vous m'accusez de ne pas argumenter!

Ce n'est pas ici le fond que je vilipende, mais bel et bien la manière. Les qualificatifs employés sont très clairs ("Babouins") et l'absence d'argumentation était pour le coup flagrante.

J'aime la clarté et ce terme précis n'était pas fait pour argumenter, mais pour exprimer ma perception personnelle d'un groupe particulier. Quand je parle de légalisation des drogues, j'argumente (cf. le premier post), quand je veux dire mon aversion pour une bande de demeurés qui n'ont d'autre horizon que de se saoûler à longueur de journée, nul besoin d'argumenter étant donné que cela relève d'un point de vue qui est exclusivement le mien (tant que personne d'autre ne l'a exprimé).

Je me base sur mon ressenti, mais il est vrai que je devrais éviter ce genre d'argumentation adhominem, mes excuses donc. Présomptieux, je le confesse volontier pour le coup, apprenti psychatre certainement pas. Relisez-vous. Je vous donne juste ma réaction à vos propos.

Fort bien, veuillez accepter les miennes aussi pour vous avoir traité de "psychiatre"! :icon_up:

=> Infinitésimale, c'est 1 sur 1000 ? 999 ça me semble être une majorité, voire une quasi-globalité…

Libre à vous de spéculer sur la quantité incluse, pour ma part, je constate parmi mon expérience que l'alcool touchait près de 75 % de mon lycée, voire plus si vous prenez en compte ceux qui ont déjà été ivres avant 18 ans mais qui ne sont pas des consommateurs "réguliers". Une majorité, sans aucun doute, rien qu'officiellement on estime à 26 % le nombre de jeunes ayant des ivresses répétées, pour moi, il ne fait pas l'ombre d'un doute que cette statistique est très sous-estimée. D'ailleurs on me parle toujours de ces fameuses études, mais je n'ai jamais été abordé personnellement, de même que la plupart des personnes que je connais.

Je vous renvoie à mon post pour ce qui est de mon mode de vie. Que vous pouvez critiquer sans employer de qualificatif animalier.

Je n'ai pas critiqué votre mode de vie, j'ai dit très clairement qu'il ne me concernait pas, tant que vous n'attentez pas à ma sécurité. En revanche, ce n'est pas mon problème que mes termes choquent, beaucoup de gens préfèrent l'hypocrisie à la franchise, ce n'est pas mon cas.

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… et il y a aussi ceux qui s'arrêtent un jour parce qu'ils ont mal à la gorge, et hop! terminé.

J'en connais un, c'est le cousin du voisin du père de l'oncle de … oups, c'est moi-même.

C'est comme ça, y a pas d'égalité.

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Pas moins répandu, mais une production illégale moins répandue du fait d'un calcul coûts/avantages qui n'est plus intéressants, étant donné le risque encouru. En fin de compte, le but de la légalisation n'est pas de lutter contre la drogue, car le choix de consommer celle-ci dépend des individus et non de je ne sais quelle instance étatique supposément transcendante, mais d'amener la production de celle-ci au grand jour pour y exercer un minimum de contrôle.

Légaliser un marché pour mieux le contrôler …pas très libéral comme attitude ca.

Oui, je m'estime supérieur à ces gens (note bien que ça ne veux pas dire que je le suis), mais là le mérite est faible, car entre des primates ivres qui ne savent plus comment ils s'appellent et répandent partout leur odeur infecte et quelqu'un de sobre et de "normal", il y'a toutes les différences existant entre un babouin et un être civilisé. C'est moi point de vue et je l'assume sans complexes, je me doute qu'il peut choquer, mais il n'engage que moi.

C'est un peu hors sujet ce que je vais dire mais …Il faut garder à l'esprit que l'ivresse est (la plupart du temps) un état temporaire qui met à peu prés au même niveau le génie, l'idiot, le réservé ou l'expansif.

On peut pas juger quelqu'un sur un état temporaire.

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Légaliser un marché pour mieux le contrôler …pas très libéral comme attitude ca.

Vous croyez que dans un marché libre il ne peut y avoir de contrôle et que les clients préfèreront acheter leur drogue ou leur médicament sans qu'une entité étatique ou non n'en assure le contrôle et la qualité?

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Vous croyez que dans un marché libre il ne peut y avoir de contrôle et que les clients préfèreront acheter leur drogue ou leur médicament sans qu'une entité étatique ou non n'en assure le contrôle et la qualité?

Quand on est bien dépendant et fauché on regarde pas les labels, on prend le premier prix pour avoir sa dose. Point barre.

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Dans un marché libre les prix de la drogue seront bien plus bas que maintenant puiqu'il n'y aura bien moins d'intermédiaires coutant fort cher.

Et donc la différence de prix entre une drogue avec label et sans label sera minime.

Et par conséquent les fabricants n'ayant pas de label ne survivront pas.

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