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Patrons agressés et sequestrés


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Et ? Libre à vous (pour combien de temps ?) de mieux rémunérer le capital ayant participé à la création de richesse que les salarié ayant participé à cette même création (ou l’inverse). […]

Et si l'entreprise perd de l'argent, faut-il demander aux salariés de rendre une partie de leur salaire?

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Une partie de nos divergences est du à une erreur sémantique de ma part, j’aurai du employé le terme « rémunération » plutôt que « salaire », la rémunération du salarié pouvant être composée du salaire + d’une participation au profit qu’il a contribué à créer.

Tout a fait, le salarié, par définition, échange son travail contre un salaire, ensuite on peut considérer que ce n’est pas le meilleur système pour motiver les ressources et pour les conserver, mais c’est ça le salariat.

Le problème est d’accepter un statut de salarié et d’exiger un changement de statut sous prétexte qu’on a participé aux profits… alors que cette participation a justement été vendue en échange du salaire.

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J’ai bien lu votre message et l’Etat agit envers vous exactement comme vous le faite avec les salariés de votre boîte, c’est bien ça le problème.

Certains hommes politiques raisonnent comme vous : « Le but est de trouver la martingale qui fait que chaque citoyen/contribuable/électeur ait l'impression de recevoir plus qu'il ne donne. »

Oui mais à la différence près que je ne vole rien aux salariés. Ce n'est pas une partie de bonneteau que je propose, c'est une prestation en échange d'une rémunération. Ces élément dépendent du marché pas de l'arbitraire folie d'un politique qui prétend disposer de haricots magiques.

Cependant, je suis d'accord avec vous sur cette citation qui, sortie de son contexte, sied merveilleusement aux politiques.

Les hommes politiques mette en place des mesures de redistribution de richesses parce que des citoyens les sollicitent, ils les sollicitent parce qu’ils pensent que cette distribution ne s’effectue pas de manière correcte.

Non, je n’estime pas que l'Etat sait mieux que l'entrepreneur et le salarié ce qu'est un "salaire correct". Ils se trouvent simplement que les salariés pensent qu’il est plus simple et efficace de demander à l’Etat de redistribuer que de demander à l'employeur de distribuer. C’est bien pour cette raison qu’une partie des salariés du privés seront dans la rue aujourd’hui, plutôt que dans le bureau de leur employeur pour négocier, il est de notre responsabilité de leur démontrer qu’ils ont tord.

Non. Ils descendent dans la rue parce qu'il est plus facile d'obtenir par la force ce qu'ils ne peuvent manifestement pas obtenir par leur travail. Ce sont les clientèles électorales des politiques qui descendent dans la rue, pas ceux qui paient.

Donnez aux citoyens la conviction que la distribution s’effectue correctement est un des meilleurs moyen de rendre illégitime l’action redistributive de l’Etat.

On en revient aux haricots magiques. Tant que râler permet d'obtenir toujours plus, il n'y aucune raison que cela s'arrête.

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C’est VOTRE conception du travail salarié, d’autres conceptions existent, par exemple « mon entreprise génère des bénéfices, je distribue ceux-ci à mes actionnaires et à mes salariés (j’en consacre une partie à l’investissement), dans des proportions respectives que j’estime être les plus judicieuses (ou dans des proportions que l’Etat m’imposera, Cf. la fumeuse distribution en 3 tiers évoquée par N.Sarkozy).

cadeau

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Et ? Libre à vous (pour combien de temps ?) de mieux rémunérer le capital ayant participé à la création de richesse que les salarié ayant participé à cette même création (ou l’inverse).

Pourquoi prétendre que le capital est mieux rémunéré que le travail? Qu'est-ce qui vous fait dire cela?

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Pourquoi prétendre que le capital est mieux rémunéré que le travail? Qu'est-ce qui vous fait dire cela?

Relisez moi, je n’ai jamais prétendu cela. J’ai écrit que l’on pouvait choisir (pour l’instant) de favoriser la rémunération du capital (en tenant compte, ou pas, des rendements exigés par les actionnaires) ou de favoriser la rémunération du travail (en tenant compte, ou pas, de la demande des salariés). Je ne décrit pas un état de fait, je décrit les choix qui s’offrent à nous.

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1. Les richesses sont crées puis distribué à ceux qui ont concouru à leurs création.

Il est temps pour toi de comprendre que la richesse ne se distribue pas, mais qu'elle se gagne.

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Il est temps pour toi de comprendre que la richesse ne se distribue pas, mais qu'elle se gagne.

Parce que cela est incompatible ? Bien sur que non.

Les dividendes (donc une partie de la richesse créée) sont distribués aux actionnaires, de la même manière lorsque l’on fait participer ses salariés aux résultats de son entreprise, on distribue de l’intéressement (donc une partie de la richesse créé).

Dans les 2 cas cette richesse a été « gagné » (mérité me semble être un terme plus approprié).

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Relisez moi, je n’ai jamais prétendu cela. J’ai écrit que l’on pouvait choisir (pour l’instant) de favoriser la rémunération du capital (en tenant compte, ou pas, des rendements exigés par les actionnaires) ou de favoriser la rémunération du travail (en tenant compte, ou pas, de la demande des salariés). Je ne décrit pas un état de fait, je décrit les choix qui s’offrent à nous.

Hé bien, manifestement le choix a été fait et ne vous satisfait pas. Prenons par exemple les entreprises du CAC40. D'après une étude récente, elles ont dégagé 117 milliards de profits en 2008. Là-dessus, elles ont distribué 39 milliards de dividendes et réinvesti 78 milliards. Pour les salariés: nakache bono (vieille expression boursière synonyme de ceinture). Que comptez-vous faire?

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Hé bien, manifestement le choix a été fait et ne vous satisfait pas.

Le choix a effectivement était fait, qu’il me satisfasse ou non cela n’a aucune importance dans ce débat.

Prenons par exemple les entreprises du CAC40. D'après une étude récente, elles ont dégagé 117 milliards de profits en 2008. Là-dessus, elles ont distribué 39 milliards de dividendes et réinvesti 78 milliards. Pour les salariés: nakache bono (vieille expression boursière synonyme de ceinture).

Oui pour confirmer vos propos il me semble que, en France, la répartition est environ la suivante : 56% à l’investissement, 38% aux actionnaires, 6% aux salariés.

Que comptez-vous faire?

Moi ? Absolument rien, si ce n’est en débattre avec vous, l’Etat en revanche…

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Oui pour confirmer vos propos il me semble que, en France, la répartition est environ la suivante : 56% à l’investissement, 38% aux actionnaires, 6% aux salariés.

Lesdits salariés reçoivent des salaires dont le montant total s'élève déjà à 60 % de la valeur ajoutée des entreprises. Alors pourquoi toucher au reliquat ?

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[…] Oui pour confirmer vos propos il me semble que, en France, la répartition est environ la suivante : 56% à l’investissement, 38% aux actionnaires, 6% aux salariés.

Moi ? Absolument rien, si ce n’est en débattre avec vous, l’Etat en revanche…

Donc, si on suit l'état et sa fameuse théorie du quatre-quarts (car n'oublions pas que l'état a prélevé son tiers avant tous les autres), on va diminuer massivement les investissements dans les entreprises, qui sont déjà trop bas. Il ne faudra pas être surpris si le chômage augmente encore plus.

L'état pourrait commencer à donner l'exemple avec les entreprises qu'il contrôle encore, par exemple France Telecom?

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Donc, si on suit l'état et sa fameuse théorie du quatre-quarts (car n'oublions pas que l'état a prélevé son tiers avant tous les autres), on va diminuer massivement les investissements dans les entreprises, qui sont déjà trop bas. Il ne faudra pas être surpris si le chômage augmente encore plus.

Vous avez parfaitement raison.

En tant qu’actionnaire nous ne touchons pas l’intégralité des profits générés, nous sommes parfaitement capable de comprendre qu’une partie doit être consacré à l’investissement, de la même manière nous devrions comprendre qu’une partie peut être consacré à l’amélioration de la rémunération des salariés.

Si nous ne l’intégrons pas dans nos raisonnements, c’est l’Etat qui imposera sa vision de la "juste" réparation, concrètement cela se fera principalement au détriment de l’investissement, ce qui n’est bon ni pour l’actionnaire, ni pour le salarié.

L'état pourrait commencer à donner l'exemple avec les entreprises qu'il contrôle encore, par exemple France Telecom?

Effectivement, l’Etat a touché plus de 5 milliards d'euros de dividendes pour l'année 2007. Ce chiffre devrait grimper à 5,6 milliards au titre de l'année 2008. Les entreprises gérées par l'Etat distribuant des dividendes de façon comparable à ce qui se pratique dans le secteur privé on peut en conclure que ce n’est pas moins de 2,5 Milliard d’euros que l'Etat pourrait distribuer, au nom de la règle des trois tiers, à ses salariés, soit autant que le plan annoncé lors du "sommet social" :icon_up:

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[…] Si nous ne l’intégrons pas dans nos raisonnements, c’est l’Etat qui imposera sa vision de la "juste" réparation, concrètement cela se fera principalement au détriment de l’investissement, ce qui n’est bon ni pour l’actionnaire, ni pour le salarié.

D'un autre côté, puisque quoiqu'on fasse, l'état trouvera toujours que la répartition des profits ne lui sied pas, que les salariés sont toujours mal payés et qu'il ne gagne pas assez d'argent avec les impôts, on peut aussi s'en fiche et continuer à se goinfrer de profits énormes, non? C'est juste une idée. Je vais en parler à mon prochain Conseil d'Administration.

Effectivement, l’Etat a touché plus de 5 milliards d'euros de dividendes pour l'année 2007. Ce chiffre devrait grimper à 5,6 milliards au titre de l'année 2008. Les entreprises gérées par l'Etat distribuant des dividendes de façon comparable à ce qui se pratique dans le secteur privé on peut en conclure que ce n’est pas moins de 2,5 Milliard d’euros que l'Etat pourrait distribuer, au nom de la règle des trois tiers, à ses salariés, soit autant que le plan annoncé lors du "sommet social" :icon_up:

Exactement: que l'état donne l'exemple. C'est tout de même le plus gros patron et actionnaire de France et de Navarre.

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Lesdits salariés reçoivent des salaires dont le montant total s'élève déjà à 60 % de la valeur ajoutée des entreprises. Alors pourquoi toucher au reliquat ?

La valeur ajoutée est une notion bien différente du bénéfice.

Objectivement on peut observer que les bénéfices réalisés par les entreprises se divisent en deux gros blocs, l’un pour les actionnaires, l’autre pour les investissements, et que les salariés ne reçoivent qu’une très faible part de ces bénéfices.

Donc, si on suit l'état et sa fameuse théorie du quatre-quarts (car n'oublions pas que l'état a prélevé son tiers avant tous les autres)

J’ai cru comprendre que cette fumeuse règle des trois tiers était censée s’appliquer aux bénéfices après impôts, il n’y a donc pas de quatrième tiers :icon_up:

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Tout a fait, le salarié, par définition, échange son travail contre un salaire, ensuite on peut considérer que ce n’est pas le meilleur système pour motiver les ressources et pour les conserver, mais c’est ça le salariat.

Le problème est d’accepter un statut de salarié et d’exiger un changement de statut sous prétexte qu’on a participé aux profits… alors que cette participation a justement été vendue en échange du salaire.

Voilà.

Le salaire est un accord contractuel qui permet de garantir au salarié un certain niveau de rémunération (en partie indépendante de la richesse créée). Évidemment, cet accord peut intégrer un intéressement aux résultats globaux de l'entreprise ou aux résultats propres du salarié (chiffre d'affaires généré, production, …).

Le capitaliste lui n'est rémunéré qu'en cas de richesse créée.

A noter qu'il est courant pour un salarié d'acquérir des actions comme une part de sa rémunération. Dans ce cas, le salarié est aussi un capitaliste.

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La valeur ajoutée est une notion bien différente du bénéfice.

Objectivement on peut observer que les bénéfices réalisés par les entreprises se divisent en deux gros blocs, l’un pour les actionnaires, l’autre pour les investissements, et que les salariés ne reçoivent qu’une très faible part de ces bénéfices.

Ce qui est normal vu qu'ils touchent déjà un salaire.

J’ai cru comprendre que cette fumeuse règle des trois tiers était censée s’appliquer aux bénéfices après impôts, il n’y a donc pas de quatrième tiers :icon_up:

Donc on retrouve la fameuse règle du quatre-quarts de Raffarin: un quart pour l'état, un quart pour les salariés, un quart pour l'investissement, un quart pour les dividendes. Mais Sarko n'a pas voulu qu'on l'accuse d'avoir pompé Raffarien.

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Relisez moi, je n’ai jamais prétendu cela. J’ai écrit que l’on pouvait choisir (pour l’instant) de favoriser la rémunération du capital (en tenant compte, ou pas, des rendements exigés par les actionnaires) ou de favoriser la rémunération du travail (en tenant compte, ou pas, de la demande des salariés). Je ne décrit pas un état de fait, je décrit les choix qui s’offrent à nous.

Dans ce cas, je n'arrive pas à comprendre l'intérêt de vos interventions. Pardonnez moi mais les choix qui s'offrent à moi en tant qu'entrepreneur, je les connais et les pratique au quotidien.

Vous disiez que si les entrepreneurs ne réagissaient pas en rémunérant davantage leurs salariés, l'Etat se chargerait de modifier de force la distribution de la valeur ajoutée. ça c'est un point de vue intéressant que je ne partage néanmoins pas du tout. C'est nourrir l'ogre en espérant être mangé le plus tard possible.

Néanmoins, c'est exactement l'ignoble stratégie mise en place par la clique Sarkozy: "modifiez la donne et soyez convaincant sinon nous la modifierons nous même et la ferons appliquer de force".

Il faut constamment plaider coupable avec cet abject personnage. :icon_up:

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Objectivement on peut observer que les bénéfices réalisés par les entreprises se divisent en deux gros blocs, l’un pour les actionnaires, l’autre pour les investissements, et que les salariés ne reçoivent qu’une très faible part de ces bénéfices.

Objectivement, on peut observer que les risques pris dans la création d'entreprise se divisent en un gros bloc, l'un pour les actionnaires et voilà.

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Vous disiez que si les entrepreneurs ne réagissaient pas en rémunérant davantage leurs salariés, l'Etat se chargerait de modifier de force la distribution de la valeur ajoutée. ça c'est un point de vue intéressant que je ne partage néanmoins pas du tout.
c'est exactement l'ignoble stratégie mise en place par la clique Sarkozy: "modifiez la donne et soyez convaincant sinon nous la modifierons nous même et la ferons appliquer de force".

:icon_up:

Ce n'est pas un point de vu, c'est un pronostique, vous semblez d'ailleurs le partager puisque vous prêtez à N.Sarkozy l'intention de le réaliser.

C'est nourrir l'ogre en espérant être mangé le plus tard possible.

En quoi rémunérer d’avantage ses salariés ce serait « nourrir l’ogre » ? (Différentiel de niveau de taxation entre revenu du travail et revenu du capital ? A la lecture de vos contributions il serait surprenant que vous en concluiez qu’un rééquilibrage soit nécessaire :doigt: ).

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:icon_up:

Ce n'est pas un point de vu, c'est un pronostique, vous semblez d'ailleurs le partager puisque vous prêtez à N.Sarkozy l'intention de le réaliser.

Je ne pense pas. Quand on regardera les chiffres et qu'on se rendra compte que primo, cela ferait baisser les investissemens et secundo, l'état devrait abandonner certains de ses dividendes aux salariés, Sarkozy reculera et le bouzin sera rangé dans le placard-des-trucs-mal-foutus-dont-personne-ne-veut.

En quoi rémunérer d’avantage ses salariés ce serait « nourrir l’ogre » ? (Différentiel de niveau de taxation entre revenu du travail et revenu du capital ? A la lecture de vos contributions il serait surprenant que vous en concluiez qu’un rééquilibrage soit nécessaire :doigt: ).

"Nourrir l'ogre" signifie céder au chantage de l'état: "soit vous le faites de vous-même, soit on vous l'imposera".

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Le salarié moyen est stupide, paresseux, négligeant, incompétent et pleurnichard. Vivement que les progrès en robotique nous délivrent de ce mal aujourd'hui inévitable.

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:doigt:

Ce n'est pas un point de vu, c'est un pronostique, vous semblez d'ailleurs le partager puisque vous prêtez à N.Sarkozy l'intention de le réaliser.

Oui. Mais Sarkozy n'a pas l'intention de le réaliser, il le fait.

En quoi rémunérer d’avantage ses salariés ce serait « nourrir l’ogre » ? (Différentiel de niveau de taxation entre revenu du travail et revenu du capital ? A la lecture de vos contributions il serait surprenant que vous en concluiez qu’un rééquilibrage soit nécessaire :mrgreen: ).

Nourrir l'ogre c'est céder à la force, cela n'a rien à voir avec le niveau de rémunération des salariés. 'Tain, vous avez la comprenette difficile.

NB: L'ogre c'est l'Etat, pour éviter tout malentendu :icon_up:

Quant au "rééquilibrage" des revenus du travail et du capital, c'est une vision socialiste qui est à côté de la plaque. J'offre aux salariés une rémunération que je juge optimale afin de maximiser mes profits. Il est arrivé qu'un commercial salarié gagne plus de 15 fois mon propre revenu. Je me fiche de savoir si cela est "correct" ou non, l'essentiel étant que cette rémunération exacerbe la productivité du salarié. La notion de "rééquilibrage" est un fantasme idéologique absurde dont la "logique" économique mène à la ruine des deux parties (des trois si l'on tient compte de l'ogre)

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Le salarié moyen est stupide, paresseux, négligeant, incompétent et pleurnichard. Vivement que les progrès en robotique nous délivrent de ce mal aujourd'hui inévitable.

Je ne crois pas m'avancer beaucoup en disant qu'il y a plus de salariés voyous que de patrons voyous. Par exemple ceux qui agressent et séquestrent leurs patrons.

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Je ne crois pas m'avancer beaucoup en disant qu'il y a plus de salariés voyous que de patrons voyous. Par exemple ceux qui agressent et séquestrent leurs patrons.

Les grandes entreprises sont très majoritairement dirigées par des salariés (quasi exclusivement pour celle du CAC 40), donc si ce que vous dites est vrai (je n’ai pas de chiffres la dessus) il y a donc plus de "salariés" voyous que de "salariés de luxe" voyous :icon_up:

Les dirigeant de petites entreprises, les artisans ou les commerçants, qui eux sont des patrons, se font rarement traiter de patron voyou.

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Les grandes entreprises sont très majoritairement dirigées par des salariés (quasi exclusivement pour celle du CAC 40), donc si ce que vous dites est vrai (je n’ai pas de chiffres la dessus) il y a donc plus de "salariés" voyous que de "salariés de luxe" voyous :icon_up:

Euh, à ma connaissance non. Les grosses entreprises sont généralement dirigées par des mandataires sociaux avec le statut de Travailleur Non Salarié. Une différence essentielle avec les salariés est qu'ils n'ont pas droit aux allocations chômage s'ils perdent leur job.

Les dirigeant de petites entreprises, les artisans ou les commerçants, qui eux sont des patrons, se font rarement traiter de patron voyou.

Je pense que tu écris cela par provocation. Ce n'est pas parce que ça ne passe pas à la télé que ça n'existe pas. Le petit patron est considéré comme une vache-à-lait tout juste bonne à cracher du fric dans tous les organismes sociaux et autres entreprises mafieuses, qui sont eux les vrais voyous.

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