Aller au contenu

Caillassages et petits problèmes


Messages recommandés

Dépend de la viande que tu aimes… :icon_up:

Si c'est du porc je comprend, moi non plus je n'aime pas la charcuterie arabe, mais j'ignorais qu'il y avait une différence de gout pour les autres viandes.

Lien vers le commentaire
Si c'est du porc je comprend, moi non plus je n'aime pas la charcuterie arabe, mais j'ignorais qu'il y avait une différence de gout pour les autres viandes.

Je ne l'ai pas remarquée non plus, à vrai dire…

NB : Pas seulement le porc mais tout ce qui en contient (traiteur & charcuterie). D'une part pq les mets français n'existent pas forcément en version halal, d'autre part pq les substitut au cochon / vin modifient le goût par rapport à la saveur traditionnelle, forcément.

Lien vers le commentaire
C'est quoi l'intérêt de manger de la viande non halal ?

Le même que de ne pas manger de la viande kasher : pour ne pas payer une taxe a un clergé :icon_up:

Sinon pour le goût ça se discute, mais je trouve les viandes halal plus sèches et nerveuses. Et comme dit plus haut beaucoup de viandes soit disant halal ne le sont pas du tout, c'est juste de la basse arnaque de commerçant qui cherche à se faire une clientèle facilement.

Sondage halal

Lien vers le commentaire

France d'Après, halal: un autre article qui explique la mécanique de communautarisation/ghettoïsation à l'oeuvre

Les cinq dernières années ont été un enfer »

Publié le vendredi 22 janvier 2010 à 06h00

Martine et Jean-Luc Delcour ont tenu durant 30 ans, rue de Lannoy, une boucherie traditionnelle qu'ils ont fermée en novembre dernier. Martine et Jean-Luc Delcour ont tenu durant 30 ans, rue de Lannoy, une boucherie traditionnelle qu'ils ont fermée en novembre dernier.

Dans un « Clic-clac » du 1er janvier, une lectrice déplorait la fermeture de la boucherie Delcour rue de Lannoy. Les gérants nous ont contactés et expliqué les raisons de leur départ.

Cette lectrice s'interrogeait ainsi : « Il sera bientôt impossible de trouver à proximité une côte de porc ou du jambon de qualité. Est-ce parce que cela demande trop de travail que plus personne ne reprend ce genre de commerce ? » Il est exact qu'à Roubaix, les boucheries traditionnelles se comptent sur les doigts d'une main mais Martine et Jean-Luc Delcour ne se plaignent pas de la pénibilité de l'activité. Ils dénoncent un environnement hostile. Durant 30 ans, ils ont tenu la boucherie installée au 267 rue de Lannoy. « C'est vrai que notre clientèle, composée de personnes âgées, ne se renouvelait pas beaucoup , dépeint Martine Delcour. Mais la fréquentation restait suffisante. Nous aurions pu continuer… » Il est indéniable que les habitudes alimentaires ont changé. Jean Vincent, boucher traditionnel installé boulevard de Fourmies, le confirme. « Pour nous démarquer des grandes surfaces, nous proposons des produits de qualité donc plus onéreux.

Forcément, tout le monde ne peut pas se le permettre… » Dans ce secteur plus favorisé, lui n'a jamais subi de remarques désobligeantes.

De leur côté, les Delcour ont préféré fermer boutique en novembre 2009, vendre l'immeuble et tirer un trait sur le fonds de commerce. Ils ont emménagé à quelques dizaines de kilomètres, profitent de leur retraite mais gardent un goût amer de leur départ prématuré. « Des jeunes ont manifesté leur écoeurement parce que nous n'étions pas une boucherie hallal, relate Jean-Luc Delcour.

Une fois, un adolescent a même craché sur mon comptoir… » Son épouse poursuit : « Nous recevions des jets de soda ou de yaourt sur notre vitrine. » Des comportements isolés ? « Je ne suis pas au courant de ces agissements , indique un travailleur social des Trois Ponts. Mais je ne peux pas dire que c'est impossible. Ça pourrait se produire car l'influence cultuelle est très forte dans les quartiers. » Un autre professionnel, exerçant dans les quartiers Est, et préférant conserver l'anonymat, complète laconiquement : « La situation est explosive… » Nathalie Desfrennes, présidente de l'association Commerces et Quartiers et de l'union des commerçants de la rue de l'Épeule, se souvient à son tour d'une anecdote : « Un client a protesté dans mon magasin parce que je mangeais une clémentine en période de ramadan ! »

Problème de voisinage

« Une partie de notre clientèle, vieillissante et dépendante, ne pouvait plus se déplacer , reprend M. Delcour. Certains ont arrêté, m'ont-ils dit, de commander des saucisses ou du jambon parce que leur auxiliaire de vie refusait de transporter des morceaux de porc. » (Lire notre encadré) Autre souci de taille rencontré par le couple Delcour : des voisins encombrants : « Ils nous empêchaient de dormir. Lorsque mon mari leur faisait des remarques, ils nous insultaient. À force, nous n'osions plus rien dire… » Les Delcour ont donc quitté l'appartement qu'ils habitaient au-dessus de la boucherie et se sont installés à 35 km de leur lieu de travail.

Lassitude et désarroi ont subrepticement pris le dessus : « Les cinq dernières années ont été un enfer ! » , résume Mme Delcour. Jusqu'au jour, le 30 août 2008, où elle a été agressée par un occupant non identifié de la maison voisine : « Nous faisions des travaux dans la cour. De l'eau a dû passer par-dessus le mur… Un homme a surgi perché sur une échelle pour nous menacer, puis a frappé à la porte du garage, j'avais toujours le tuyau d'arrosage dans les mains… » L'individu s'empare alors du tuyau, le coince dans la bouche de Mme Delcour et lui tord le bras, relate-t-elle.

« Si sa femme n'était pas intervenue, je serais morte ! » Cette agression vaudra à Martine Delcour trois semaines d'arrêt. Elle dépose plainte (procès verbaux et certificats médicaux ont été présentés à la rédaction, ndlr). La suite, elle l'ignore. « Pour notre part, nous avons continué à vivre dans la peur. » « C'est le procureur qui décide de la procédure. Les plaintes contre X sont difficiles à résoudre », indique-t-on au commissariat. « Nous avons également alerté la municipalité, relate Jean-Luc Delcour. M. Rousselle (maire adjoint des quartiers centre, ndlr) nous a rencontrés mais les problèmes ont persisté. » « Je les ai vus à plusieurs reprises, confirme Jean-Pierre Rousselle. À chaque fois, j'ai fait le nécessaire : appelé la police municipale ou nationale, sollicité les services municipaux. J'ai même organisé une réunion en mairie avec le propriétaire du bâtiment voisin ! » Des actions qui, selon l'élu, ont calmé temporairement les tensions. « Puis les problèmes ressurgissaient, les locataires changeaient… » Et le couple Delcour a baissé les bras… et le rideau.w

nordeclair.fr/Locales/Roubaix/2010/01/22/les-cinq-dernieres-annees-ont-ete-un-en.shtml

  • Sad 1
Lien vers le commentaire
« Une partie de notre clientèle, vieillissante et dépendante, ne pouvait plus se déplacer , reprend M. Delcour. Certains ont arrêté, m'ont-ils dit, de commander des saucisses ou du jambon parce que leur auxiliaire de vie refusait de transporter des morceaux de porc. »

Ca doit manquer de concurrence, dans le secteur des auxiliaires.

Lien vers le commentaire

Parmi les personnes que la mairie m'envoie pour mon maintien à domicile, il y a un jeune musulman qui passé cinq ans dans l'armée française. M'acheter du jambon ou d'autres viandes de porc ne lui pose pas de problémes. Il est vrai qu'il me fait mes courses dans un supermarché où tout est déja emballé.

Lien vers le commentaire
Lesquels ? En trouve-t-on en Europe ?

De fait, je ne pensais pas à l'Europe.

Ca dépends où. Dans certaines cités/ghettos autour de Paris par exemple, si, je pense qu'on en arrive à un problème militaire.

Pas d'accord. On a éventuellement un problème qui nécessite l'usage de forces de police anti-émeutes, ça oui, mais de militaires, non.

Et puis il faut bien que tu comprennes une chose : si on envoie l'armée sans lui donner carte blanche, elle sera plutôt moins efficace que la police, et si on envoie l'armée en lui donnant carte blanche, ce sera un massacre au sens propre, parce que c'est comme ça qu'on fait ce que l'armée est formée pour faire, la guerre.

Et ce, en partie parceque la police est limitée dans ses moyens d'actions, et n'a pas forcément un équipement suffisant.

Tu te trompes lourdement. Si l'équipement de la police "de commissariat" est limité, celui des unités anti-émeutes le sont beaucoup moins, et je ne parle pas des GM (gentils… heu, gendarmes mobiles).

Ne pas oublier aussi que dans certains autres pays, la police bénéficie d'une meilleure réputation auprès de la population, ce qui lui donne une plus grande marge de manoeuvre.

Il est humain de respecter la force. La police est souvent paradoxalement d'autant mieux respectée qu'elle en use. C'est triste, mais c'est ainsi.

Le prix : le label halal dépend d'une corporation de sacrificateurs et de contrôleurs certifiant que l'animal a bien été abattu selon le rite islamique, d'où une taxe, qui est répercutée sur le consommateur. Or cette corporation, qui détient un monopole, se livre à un véritable racket sur les boucheries.

La cruauté envers les animaux, égorgés au lieu d'être étourdis par un choc électrique.

Pareil pour le casher.

Lien vers le commentaire
Oui, je l'ai lu, H16. Il y aurait un créneau de presse à investir en matière de contre-information recensant les flics & pompiers victimes de criminels (et je ne parle pas ici d'identitaires).

Effectivement. J'ai une catégorie "pignouferies de presse" dans mon blog, mais plus ça va, et plus on devrait - contrepoints ? - régulièrement rappeler à la presse ce qu'elle fut jadis et ce qu'elle devrait faire.

Lien vers le commentaire
Effectivement. J'ai une catégorie "pignouferies de presse" dans mon blog, mais plus ça va, et plus on devrait - contrepoints ? - régulièrement rappeler à la presse ce qu'elle fut jadis et ce qu'elle devrait faire.

Si vous le faite, vous pourrez même envisager de devenir lucratif. Vous auriez des lecteurs. Après tout c'est le travail de la presse à l'origine que de faire ça. Si vous le faite plus efficacement et sans format papier (ce qui n'est pas très problématique étant donné l'existence de la NMPP et de l'informatique…), vous pouvez potentiellement rafler la mise.

Lien vers le commentaire

Onze personnes déférées au parquet pour leurs rôles présumés dans des attaques de distributeurs de billets

DERNIERE MINUTE - Parmi eux, huit mineurs…

Onze personnes, dont huit mineurs de 12 à 17 ans, ont été déférées au parquet de Paris pour leur rôle présumé dans 73 vols sur des personnes devant des distributeurs automatiques de billets (DAB) entre décembre 2008 et octobre 2009, préjudice total est estimé à environ 20.000 euros, a annoncé ce vendredi le parquet de Paris.

Une information judiciaire, confiée à un juge d'instruction, a été ouverte «à la suite de très nombreux vols commis par des groupes d'adolescents à l'encontre de personnes retirant de l'argent à des distributeurs automatiques de billets dans la plupart des arrondissements de Paris», selon un communiqué du parquet.

Des spécialistes

Les onze personnes, ont été dans la foulée présentées à un juge d'instruction. «Les personnes majeures, deux femmes et un homme, ont été mises en examen des chefs de non justification de ressources par personne ayant autorité sur un mineur délinquant et provocation directe de mineurs à la commission habituelle de délits». Les mineurs ont été mis en examen des chefs de vols et tentatives de vols en bande organisée, en état de récidive légale pour cinq d'entre eux.

Parmi ces onze personnes, huit ont été placées sous mandat de dépôt, conformément aux réquisitions du parquet, par un juge des libertés et de la détention (JLD). L'enquête, menée par le Service d'investigation transversale de la Préfecture de police de Paris, «a permis de caractériser l'existence d'une organisation d'individus, la plupart originaires d'une même ville en Roumanie, spécialisés dans les vols d'espèces auprès de distributeurs automatiques de la capitale», selon le parquet.

Diversion pendant le retrait

«Les délinquants, tous mineurs, entouraient la personne en train d'effectuer un retrait d'argent, plaçaient une feuille de papier, telle une pétition à signer ou un journal gratuit à acheter sur le clavier, pendant que d'autres, profitant de l'attention détournée de la victime, tapaient un montant de plusieurs centaines d'euros» a expliqué le parquet.

«Lorsque la victime récupérait sa carte bancaire, un des individus s'emparait des espèces sortant du distributeur et les voleurs prenaient la fuite en courant», a-t-il ajouté. Pour finir, «les mineurs ramenaient le butin dans un camp situé aux portes de Paris où ils étaient basés et remettaient l'argent à des adultes, dont certains sont leurs propres parents poursuivis dans cette procédure».

Lien vers le commentaire

Les Egyptiens habitués du « Centre culturel et social-association pour les enfants de l'ouest » de la rue Jospeh-Dijon, situé à deux pas de la Porte de Clignancourt (XVIIIe) ont plutôt gardé en mémoire des jets de pierre et de bouteilles de verre.

Jeudi vers 22 h 30, une trentaine d'Algériens, plus voyous que supporters de football ont dévasté ce local associatif égyptien où l'on aime discuter en fumant la chicha.

« Ils sont arrivés un peu avant la fin du match, témoigne l'un des Egyptiens présents dans ce bar jeudi soir. Nous avons vu la vitrine se briser… ils ont même lancé une bombonne de gaz.

Il y a des témoignage de gens qui disent avoir vu l'attaque, dans las commentaires de lecteurs.

http://www.leparisien.fr/paris-75/un-bar-e…2010-796758.php

Lien vers le commentaire

Footeux pacifiques et débonnaires.

Terrain envahi à Monaco

Des supporters qui se donnent des coups de pieds, des coups de poings, sur la pelouse. Voilà comment s’est terminée la soirée à Monaco, à l’issue de la victoire de l’ASM face à Nice. Des fans niçois ont envahi le terrain quelques minutes après le coup de sifflet final. Juste avant, la rencontre s’est conclue sur une échauffourée entre joueurs. Djimi Traoré et Drissa Diakité ont notamment quitté le terrain en s’insultant. Si Frédéric Thiriez a assisté à ce spectacle, les choses ne devraient pas en rester là.

Samedi, une personne a été blessée et deux autres ont été interpellées à la suite des incidents provoqués par les supporteurs niçois à la fin de la rencontre Monaco-Nice (3-2).

http://www.20minutes.fr/article/380539/Spo…-les-stades.php

Lien vers le commentaire

http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/t…2010-799111.php

Trente-neuf personnes, 23 mineurs, dont certains âgés de 13 ans à 16 ans, et 16 majeurs, ont été interpellées, samedi soir, aux abords de la gare RER de Boissy-Saint-Léger après une violente rixe opposant une centaine de personnes. Des affrontements qui ne sont pas liés à des rivalités entre bandes ou entre cités, comme le département a pu en connaître, mais seraient le fruit d’une rencontre fortuite entre plusieurs groupes de jeunes.

Certains témoignages recueillis peu après la bagarre faisaient état d’un spectacle donné l’après-midi au centre aéré de Boissy, auquel bon nombre de jeunes n’auraient pu assister. Ils se seraient retrouvés désœuvrés dans les rues de Boissy., Mais l’enquête de la sûreté départementale n’a pas encore permis d’étayer totalement cette hypothèse.

Reste que, en début de soirée, une centaine de jeunes gens se croisent autour de la gare.

3 fois rien.

(avec pour échelle 1 Rien = 13 personnes armées qui se tapent dessus)

NB : on n'en parle quasiment pas. 5 articles dans google news.

En comparaison, 195 articles relatifs aux déclarations de MAM contre Hortefeux et ses réponses. Les bisbilles entre ministre sont donc 39 fois plus importantes que des émeutes sur le territoire.

Lien vers le commentaire

Si aucun blessé n’a été à déplorer, l’une des interpellées, une femme de 35 ans qui détenait le couteau de cuisine, a tenté d’en asséner un coup à un gardien de la paix, ce dernier réussissant de justesse à éviter l’attaque.

A 35 ans, la majorité des femmes élève des mouflets.

Lien vers le commentaire
Elever des enfants c'est du ressort de l'état, espèce d'affreuse conservatrice rétrograde, soutenant l'aliénation de la femme par l'enfant.

Obscurantiste de surcroît. :icon_up:

ménon, pas quand ce sont des djeunzs.

Ben c'est-à-dire que les femmes entretiennent un lien étroit avec leurs gamins ou ceux des autres (bonjour cpt Obvious) et voilà ce que les bambins et djeunz côtoient comme exemple…

Lien vers le commentaire

Un policier blessé par un tir de plomb à Villiers-le-Bel

FAIT-DIVERS - Son Unité territoriale de quartier a été prise pour cible dimanche soir…

Un policier en patrouille a été légèrement blessé dimanche soir à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise) «par un tir de plomb» et une enquête a été ouverte, a-t-on appris lundi de sources policières.

Une patrouille de l'Unité territoriale de quartier (UTeQ) a été prise pour cible par des jeunes gens qui ont notamment jeté des engins incendiaires en leur direction dimanche vers 22h.

Un policier de l'UTeQ aurait également été visé au jugé «par un tir de plomb», sans doute une arme à feu, selon les sources, et touché légèrement à la main. Il devait être hospitalisé lundi, selon une source proche du dossier.

Agresseurs présumés mis en fuite

Les policiers ont répliqué «avec leurs armes de défense et mis en fuite leurs présumés agresseurs», ont indiqué les sources. Deux douilles d'une arme de calibre 9mm ont par ailleurs été retrouvées sur les lieux.

Le 25 novembre 2007, la mort de deux adolescents, tués dans une collision entre leur moto et une voiture de police avait été suivi de deux jours de violences entre jeunes et forces de l'ordre à Villiers.

Une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu, un commissaire roué de coups, des bâtiments publics et des commerces détruits.

http://www.20minutes.fr/article/380868/Fra…iers-le-Bel.php

Lien vers le commentaire

Tiens, H16, tu vas aimer.

(badurl) http://www.ventoux-magazine.com/actualites/actualite/pourquoi-les-voitures-brulent-a-carpentras/x1740ax3VSDWj9vrtJV.html (badurl)

Pourquoi les voitures brûlent à Carpentras

Actualitépublié le mercredi 03 février 2010

Au pied du mont Ventoux, depuis la nuit de Noël, plus de 90 voitures sont parties en fumée à Carpentras. Un chiffre très inquiétant dans cette commune de près de 30 000 habitants d’autant que la source ne semble pas être prête à se tarir.

Au cœur de la population, un ras le bol s’installe et d’aucuns n’hésitent pas à montrer du doigt la nouvelle municipalité socialiste pour tenter de trouver une explication à ces incendies volontaires à répétition qui seraient l’œuvre de jeunes des quartiers déçus par les promesses de la campagne électorale. « On leur a promis des emplois qu’il était impossible d’honorer » explique Pierre, un habitant excédé qui souffre de voir « sa » ville noircir à nouveau les pages des Faits divers.

Dans l'équipe du maire Francis Adolphe, on est bien conscient du problème à l’instar de l’adjointe à l’enseignement qui reconnaissaitt dans les colonnes du journal la Povence que ces incendies sont « la réaction de ceux à qui on a refusé un emploi. »

Le boomerang des promesses reviendrait-il en pleine face des élus? Dans tous les cas, il semble avoir pris une bien mauvaise direction et depuis plusieurs mois déjà, visant principalement le maire et son premier adjoint, les tags injurieux qui ont fleuri dans certains quartiers sensibles en écrivent long sur les relations qui opposent aujourd’hui les jeunes des quartiers aux dirigeants de la ville.

Dans ce bras de fer qui sent la poudre, un retour au débat semble plus que jamais urgent. Carpentras n’avait pas besoin de cette flambée de violence pour redorer son blason sensiblement terni depuis la triste affaire du cimetière juif. Un retour au calme s'impose. De vraies solutions aussi ! Car au-delà de la mise en place d'un dispositif renforcé de la part des autorités veillant à la sécurité, il semble être temps d'apaiser les tensions pour faire retomber le soufflé. Il en va de l'image de la ville, de la tranquilllité de ses habitants mais aussi de son attractivité touristique.

Quand j'y pense, je suis au chômedu depuis un bout de temps. Afk cramer quelques bagnoles, je reviens.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...