"Il faut abandonner le néolibéralisme"

[José]

Et je tiens à saluer son honnêteté car sachant que j'étais anarcocapitaliste, elle a quand même noté correctement mes copies.

Seulement parce qu'elle ne savait pas ce qu'est un anarcap.

[john_ross]

Seulement parce qu'elle ne savait pas ce qu'est un anarcap.

Elle m'a elle même traité d'anarcocapitaliste, et je lui ai même répondu que Milton Friedman était un social démocrate quand elle a osé affirmer que c'était le plus grand économiste libéral du XXeme siècle.

[José]

…Milton Friedman était un social démocrate quand elle a osé affirmer que c'était le plus grand économiste libéral du XXeme siècle.

Ah ouais… vraiment une grosse ignare.

[john_ross]

Ah ouais… vraiment une grosse ignare.

Elle connaissait même pas Molinari!

[h16]

Milounari ? Le chien de Tintinari ?

[Tremendo]

Elle m'a elle même traité d'anarcocapitaliste, et je lui ai même répondu que Milton Friedman était un social démocrate quand elle a osé affirmer que c'était le plus grand économiste libéral du XXeme siècle.

, anarcocapitaliste signifiant trafiquant de drogues.

[je raconte ma life]Ma prof d'espagnol en prépa était une vraie militante de gauche tendance Aubry voire Mélenchon, pas de chance quoi, elle aussi nous incitait à lire alternatives économiques, déjà à l'époque.

Toutes les dissertes abordaient des thèmes sociaux-économiques, un jour je me suis lancé et dans une copie traitant de la situation en Amérique latine j'avais affirmé qu'entre Allende et Pinochet c'était kif kif dans le pire (et encore c'était plutôt soft ), rien que ça la bouleversa, je me suis tapé une sale note, mais en persistant dans toutes mes copies à prendre le contre-pied en argumentant, elle ne put me noter qu'objectivement et de manière professionnelle, c'est-à-dire en ne jugeant que la structure de la synthèse, mon espagnol et la plausibilité des arguments . Il y en a eu d'autres comme ça, c'était marrant d'ailleurs de prendre le contre-pied des profs socialistes et jouer les rebels de salon[/je raconte ma life]

[Atika]

Oui je confirme pour Alternatives économique, je suis en Première ES et mon prof nous a aussi conseillé de nous abonné à cette revue en disant que c'est débile de pas la lire pour son côté de gauche keynésien, et que si les libéraux n'étaient pas content ils avaient qu'à en faire une, de revue

[Chitah]

[jeracontemalife]Moi je me suis inscrit en je ne sais plus quelle année d'économie à la fac de Tolbiac à Paris pour ceux qui connaissent, j'ai bien évidemment abandonné au bout de deux cours, tellement c'était naze.[/jeracontemalife]

[Invité]

[jeracontemalife] J'ai une prof a Utrecht qui nous avait demande de faire un rapport sur l'Afrique, elle nous avait dit : vous pouvez soutenir ce que vous voulez tant que c'est un minimum coherent, que vous soyez pour le libre marche, la plannification, ou un peu des deux. Du coup je ne me suis pas retenu, contrairement a tous mes amis, sauf un ou deux, qui avaient fait un truc fluffy a souhait, je voyais bien l'esprit ambiant, et je demontrais ensuite exactement le contraire. Marrant, pour une fois j'avais pondu une dizaine de pages en une seule nuit. Et bien sur il y avait le mot magique anarcapitalism.[/jeracontemalife]

[JackieV]

Oui je confirme pour Alternatives économique, je suis en Première ES et mon prof nous a aussi conseillé de nous abonné à cette revue en disant que c'est débile de pas la lire pour son côté de gauche keynésien, et que si les libéraux n'étaient pas content ils avaient qu'à en faire une, de revue

Il a pas tort cela dit.

[john_ross]

Il a pas tort cela dit.

Il faut juste faire imprimer la revue par les NMPP.

Donc on comprend aisément qu'aucun libéral ne se risque à créer une revue papier d'autant plus qu'Alternative eco ne survit que par les abonnements des établissements publics d’enseignement.

[Yul]

Il faut juste faire imprimer la revue par les NMPP.

Donc on comprend aisément qu'aucun libéral ne se risque à créer une revue papier d'autant plus qu'Alternative eco ne survit que par les abonnements des établissements publics d’enseignement.

vive internet ! sérieux. Bon, les gauchos peuvent déblatérer à longueur de blogs engagés sur leurs théories fumeuses et paranoïaques, mais au moins on est sur un pied d'égalité avec eux. Quant à la presse traditionnelle en papier, la France sera sans doute le premier pays où elle disparaîtra, grâce aux NMPP et à la capacité du marxisme à transformer tout ce qu'il touche en merde. Le socialisme commence toujours par bousiller une activité, puis il la transforme en junkie en lui filant des subventions, mais la dure réalité économique signifie que toutes les bonnes choses ont une fin. Passé un certain point, c'est le libéralisme ou la collectivisation.

[Invité jabial]

Disparaîtra jamais. Vivra de subventions.