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"La domination masculine"


Messages recommandés

Je ne conteste pas la priorité à la mère dans le cadre de la garde des enfants, et même au contraire je trouve grotesque la revendication de parité de certains hommes dans ce domaine. Il est évident que la garde doit à priori revenir à la mère, sauf cas particuliers genre mère indigne etc.

Mais tu n'as pas lu le message #44 de Rocou qui résume tout. Beaucoup de témoignages concordent rien que sur ce fil qui représente un échantillon d'hommes qui expriment leur sentiment vis à vis du féminisme. Lis aussi le message #76 de Jubal. Il y a donc fort à parier que tu ne comprends pas le problème parce qu'il t'est étranger mais l'accumulation de témoignages t'invitent à te demander si ceux qui parlent sont des loosers ou bien s'il n'y a pas une tendance sociale lourde derrière tout ça. D'ailleurs ta réaction est l'équivalent de ceux qui répondaient aux femmes malheureuses au XIXème siècle que "de toute façon, les femmes sont fragiles".

A vrai dire, je pense que le militantisme féministe a exactement le même effet que le militantisme antiraciste. Là où autrefois on avait une attitude naturelle vis à vis des femmes, on commence à se poser des questions parce que le droit a évolué et qu'on a peur de se faire piéger. Les gens se mettent à s'autocensurer et cela introduit du malaise là où avant il y avait des attitudes naturelles.

Il s'agit à mon avis d'un féminisme anglosaxon, tout droit venu des Etats-Unis. L'exemple des hommes qui ne se marient pas quand ils réussissent professionnellement parce qu'ils risquent gros en cas de divorce est emblématique.

J'ai lu le message de Rocou et je n'y ai pas vu d'exemples concrets. Concernant Jubal, c'est sa vie privée et je ne lui demanderai pas de s'étaler dessus mais je crois savoir qu'il a tout compris et qu'il est à présent marié avec une étrangère mais peut-être me trompé-je.

Bref, je ne nie pas toutes les attaques que les hommes et la virilité ont subi ces dernières décennies mais je pense juste qu'ils sont en grande partie complices de l'état de fait actuel (cf d'ailleurs le message de free jazz sur la pétition des hommes féministes). On joue aux metrosexuels, on prend pour argent comptant la façon dont se comportent les hommes au cinéma dans les comédies romantiques ou dans les séries (d'ailleurs, Sam Worthington, qui vient d'Australie, a déclaré dans un interview que si on le voyait si souvent en ce moment au cinéma, c'est qu'il n'y avait pas un seul acteur crédible à Hollywood pour jouer les tough guys) qui sont principalement des divertissements pour femmes et après on s'étonne de perdre du terrain dans "la guerre des sexes".

Et puisque tu fais un parallèle entre anti-racisme et féminisme, je peux t'assurer qu'à l'instar des anti-racistes qui ne représentent nullement les victimes de racisme, les féministes ne représentent aucunement l'immense majorité de femmes que j'entends régulièrement se plaindre du manque de virilité des hommes : "Ils me laissent toujours choisir le film au cinéma." ou encore "Ils me demandent toujours où je veux m'asseoir au restaurant.", etc

Pour finir, je me contenterai de citer Gandhi : "Be the change you want to see in the world." et arrêtez de vous plaindre des femmes qui ne cherchent en général qu'une chose : être protégée et dominée.

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Moi, j'ai connu mieux : pendant plusieurs années, c'était ma coiffeuse turque qui voulait m’accrocher à son palmarès. :icon_up:

Ca devait être la seule raison qu'elle avait de te couper les cheveux, vu la densité de ce qui te pousse sur le crâne. :doigt:

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Ca devait être la seule raison qu'elle avait de te couper les cheveux, vu la densité de ce qui te pousse sur le crâne. :icon_up:

La encore, la quantité n'est pas la qualité, méfions nous de la tentation du chiffre !

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J'ai lu le message de Rocou et je n'y ai pas vu d'exemples concrets. Concernant Jubal, c'est sa vie privée et je ne lui demanderai pas de s'étaler dessus mais je crois savoir qu'il a tout compris et qu'il est à présent marié avec une étrangère mais peut-être me trompé-je.

Bref, je ne nie pas toutes les attaques que les hommes et la virilité ont subi ces dernières décennies mais je pense juste qu'ils sont en grande partie complices de l'état de fait actuel (cf d'ailleurs le message de free jazz sur la pétition des hommes féministes). On joue aux metrosexuels, on prend pour argent comptant la façon dont se comportent les hommes au cinéma dans les comédies romantiques ou dans les séries (d'ailleurs, Sam Worthington, qui vient d'Australie, a déclaré dans un interview que si on le voyait si souvent en ce moment au cinéma, c'est qu'il n'y avait pas un seul acteur crédible à Hollywood pour jouer les tough guys) qui sont principalement des divertissements pour femmes et après on s'étonne de perdre du terrain dans "la guerre des sexes".

Et puisque tu fais un parallèle entre anti-racisme et féminisme, je peux t'assurer qu'à l'instar des anti-racistes qui ne représentent nullement les victimes de racisme, les féministes ne représentent aucunement l'immense majorité de femmes que j'entends régulièrement se plaindre du manque de virilité des hommes : "Ils me laissent toujours choisir le film au cinéma." ou encore "Ils me demandent toujours où je veux m'asseoir au restaurant.", etc

Pour finir, je me contenterai de citer Gandhi : "Be the change you want to see in the world." et arrêtez de vous plaindre des femmes qui ne cherchent en général qu'une chose : être protégée et dominée.

Eeeeeh bieeeeen … je suis d'accord avec toi. Les hommes ont leur part de responsabilité et tu reconnais que le combat féministe n'est pas une lubie. Nous sommes d'accord en tous points.

Je me permets quand même de verser une pièce supplémentaire au dossier, mais c'est un vrai pavé à lire … très intéressant

http://www.legraindesable.com/html/guerre-des-sexes.htm

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Quel genre de sites exactement?

Ils n'existent plus tellement malheureusement, je pense à FTS vers fin 2005, c'était l'âge d'or du game, le site était suffisamment mature pour proposer du contenu de qualité et c'était avant que ça parte en couilles. j'y repasse de temps en temps depuis, ça me fait vraiment mal au cœur de voir ce qu'est devenu le site qui ma dissuadé de vouloir passer sous un bus.

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Ils n'existent plus tellement malheureusement, je pense à FTS vers fin 2005, c'était l'âge d'or du game, le site était suffisamment mature pour proposer du contenu de qualité et c'était avant que ça parte en couilles. j'y repasse de temps en temps depuis, ça me fait vraiment mal au cœur de voir ce qu'est devenu le site qui ma dissuadé de vouloir passer sous un bus.

Ah, tu lui reproches quoi ? J'ai cru comprendre, vu de très loin, qu'il y avait eu un petit effort pour déjargonniser le truc, mais je suppose que tu ne parles pas de ça.

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Dans toute la littérature de cette « communauté » (franchement, ce n’est pas déjà mauvais signe qu’il y ai une communauté d’hommes en émulation si le but c’est de former un couple ?), il n’y a rien qui ai le moindre rapport avec former un couple, la séduction, ce n’est pas le couple.

Bof, ça me paraît un peu illusoire de dire que la séduction est complètement étrangère aux relations de couple. Au contraire, l'entretien du désir est important (et demande des efforts) dans la durée pour un couple et permet de rompre le train-train.

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J'ai regardé 15 minutes, ça m'a l'air pas trop mal. On voit des femmes qui disent ouvertement que l'homme doit les dominer, qu'il doit gagner +, que la femme doit être moins cultivée etc.

Ca ne nous explique pas que la femme est exploitée par l'homme à cause du capitalisme… ouf ! On voit bien que certaines femmes sont "sexistes" de leur propre volonté, personne ne les oblige.

Je ne sais pas si je le regarderai en entier… que la culture dominante (femmes = ménage, vaisselle, gamins, homme = salaire, virilité, intelligence) soit dominante et donc forme la mentalité des gens, ce n'est pas vraiment une nouvelle.

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Comme je suis à peu près sûr que personne ne va consulter le lien que j'ai posté, j'en mets un extrait qui est au coeur du sujet et qui parle des effets pervers de l'introduction de la contraception dans les sociétés occidentales, qui rend possible l'expression libre et entière de l'hystérie féminine, source de leur propre frustration ainsi que celle des hommes :

Plus exactement, les femmes aimeraient jouir de cette altérité phallique mais sans en subir les contraintes. Transformer le phallus en simple objet de plaisir. Ce qui est une impossibilité ontologique : dès lors que le phallus devient objet de plaisir manipulable, il n’est plus phallique, puissant, et laisse donc les femmes dans la frustration. Un vibromasseur ne remplacera jamais un homme. Plus généralement, dès lors qu’une altérité n’est plus une contrainte, c’est qu’elle a été absorbée dans l’identité, et donc qu’elle n’existe plus. A vrai dire, c’est la notion même d’altérité, structurellement liée à celle de contrainte, que la contraception a fait perdre à la majorité des femmes. Ces dernières ne voudraient retenir du phallus que le plaisir qu’il peut leur apporter. Mais elles sentent également qu’un phallus qui ne donne que du plaisir n’est plus un phallus. Un vrai phallus c’est aussi une contrainte, une altérité puissante capable de s’imposer. Les femmes occidentales demandent donc deux choses contradictoires : que, pour en jouir, le phallus soit un vrai phallus, une altérité puissante, mais sans que ce phallus soit une contrainte, une altérité puissante. Les femmes occidentales sont donc bien des hystériques au sens de Lacan : « Elles cherchent un maître sur lequel régner », un phallus dominateur qu’elles puissent castrer, dominer. On comprend aisément que cette demande soit impossible à remplir car elle exige du phallus qu’il soit dans deux états contradictoires à la fois, un peu comme le chat de Schrödinger en physique quantique. Pour répondre au désir des femmes occidentales, le phallus doit être simultanément puissant et impuissant, il doit bander sans bander, les hommes doivent être dominants, érectiles, virils, mais en même temps dociles, dominés, manipulables et surtout ne représenter aucune contrainte.

Le désir féminin est donc fondamentalement une injonction paradoxale, à laquelle les hommes ne peuvent pas répondre et qui peut aller jusqu’à les rendre fous, violents, violeurs, impuissants ou homosexuels. La libre expression du désir féminin fabrique des serial killers. Le nombre croissant des célibataires des deux sexes et la chute démographique dans le monde occidental en sont d’autres conséquences. En gros, les femmes ne savent pas ce qu’elles veulent puisqu’elles veulent et demandent aux hommes deux choses absolument contradictoires et exclusives. Le désir féminin a donc la forme d’un double-bind, ou double-contrainte. Le double-bind, concept formulé à l’origine en psychiatrie par Gregory Bateson et ensuite repris par l’école de Palo Alto[6], est une injonction paradoxale, l’expression d’un désir contradictoire, illogique, pathogène car susceptible d’induire un trouble schizophrénique chez la personne à qui elle s’adresse puisque pour y répondre, il faut ne pas y répondre.

Le désir phallique impose une contrainte aux femmes : « Soyez dominées. » Mais le désir hystérique impose une double-contrainte aux hommes : « Soyez dominants mais aussi dominés. » En les délivrant de toute contrainte à l’égard du phallus, la contraception permet donc aux femmes d’exprimer en toute liberté leurs tendances hystériques, c’est-à-dire leur rapport ambivalent au phallus, mélange schizophrénique d’amour et de haine, de dépendance et de rejet, et de lui imposer la double-contrainte d’un désir contradictoire.

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Je souligne mon accord avec Rocou car c'est suffisamment rare.

On ne peut nier les apports positifs de l'amélioration féminine depuis l'époque peu envieuse de Theireise Desqueyroux, mais on ne peut non faire sembler d'ignorer les effets pervers.

- Le mariage et le divorce en pays anglo-saxon : le saviez-vous ? Aux Etats-Unis et en Angleterre, le nombre d'hommes qui restent célibataires par choix augmente parce que les lois sur le divorce sont tellement iniques et à l'avantage des femmes lorsque l'homme est en pleine réussite professionelle qu'ils préfèrent ne pas s'engager plutôt que de se faire piller d'une vie de travail par une greluche qui divorcera sur un coup de tête ("il ne me regarde plus comme au début" et autres fadaises).

- A New-York on assiste au développement de l'homosexualité dû au fait que les femmes sont tellement exigeantes et insupportables, disons qu'elle sont dans un univers et un contexte de société qui consacre le triomphe de leur hystérie naturelle, que du coup les hommes vont voir du côté des hommes. Bien sûr, ça n'empêchera pas les femmes de pleurnicher ensuite sur leur sort au travers de séries lénifiante telles que "Sex And The City".

- Les femmes nous ont tellement parlé des romans à l'eau de rose, que l'important, c'est l'amouuuuur … qu'aujourd'hui n'importe quel homme normalement constitué va automatiquement établir un contrat de mariage du fait du risque juridique et financier de plus en plus élevé inhérent au mariage grâce aux féministes. Du coup, l'aspect contrat du mariage reprend du poids alors même que les femmes rêvaient d'un mariage où c'est l'amour qui l'emporte sur la raison. Autant dire que la démarche féministe est grotesque. Et on oubliera pas de souligner en passant notre grande sympathie pour Hillary Clinton.

- Le phénomène exogamie : de plus en plus d'hommes occidentaux vont chercher l'amour - y compris le vrai c'est-à-dire la femme de leur vie - ailleurs qu'en occident : En Asie, en Afrique (maghreb et subsaharien), en Russie etc. pourquoi ? Pour échapper à la domination féministe, aux effets pervers dénoncés plus haut.

Je ne suis pas loin d'en conlure que l'homme d'occident n'est pas aussi dominant et tout puissant qu'on ne pourrait le penser, et j'ajouterais même, pour faire le lien avec les fils connexes dans lesquels je participe, que si on ajoute à cela toute la propagande métissolâtre en cours, que l'homme d'occident est un genre universellement combattu et méprisé.

Oula devenir homo pour ça, t'y vas un peu fort.

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Ils n'existent plus tellement malheureusement, je pense à FTS vers fin 2005, c'était l'âge d'or du game, le site était suffisamment mature pour proposer du contenu de qualité et c'était avant que ça parte en couilles. j'y repasse de temps en temps depuis, ça me fait vraiment mal au cœur de voir ce qu'est devenu le site qui ma dissuadé de vouloir passer sous un bus.

Ca marche vraiment ce genre de trucs ? J'ai vraiment du mal à y croire quoi.

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Au bout de 15 minutes, première question : s'agit-il d'un documentaire ou d'un reportage finalisé, ou suis-je par erreur en train de regarder les rushs?

Bon allez, ça me saoule, c'est tout pourri ce film.

7 minutes et j'en suis déjà à 2 contrariétés. En particulier le classique : "un plot ou une tour est là parce que c'est un symbole phallique".

Pourtant un plot en forme de vagin arrête tout aussi bien les voitures !

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Ca marche vraiment ce genre de trucs ? J'ai vraiment du mal à y croire quoi.

C'est la même réaction que tout le monde, moi y compris, quand on découvre l'existence du game. Le rejet.

Et pourtant, si tu prends un peu de recul, tu constateras que tu as jugé sans même savoir quel est "ce genre de trucs", puisque personne n'a abordé le contenu dans ce fil.

Ce rejet est pour à peu près tout le monde du même ordre que le plus connu "aller voir un psy ? Mais je suis pas fou !" C'est pour ça que Jubal a tort quand il pense être à part, sa réaction est la commune.

Pour la petite histoire, quand l'ami qui m'a parlé du livre "The Game" en premier en a parlé au reste de notre petit groupe d'amis, il s'est fait regarder comme s'il leur avait annoncé qu'il s'était mis à l'héroïne, puis copieusement insulté, puis mis à l'écart pendant quelques temps.

C'est là toute la puissance des archétypes masculins : l'aveu de faiblesse (celui qui s'intéresse à ça admet ne pas avoir suffisamment de succès auprès des femmes) a pour conséquence immédiate la mise au ban de la société. Et parmi les jurés se trouvent des gens tout aussi voir plus insatisfaits de leur succès, qui seront les premiers à jeter la pierre et à mentir en disant qu'ils n'ont "pas besoin de ça".

Mieux vaut garder sa "fierté" et se convaincre que sa résignation est en fait une sage acceptation. Ça a l'avantage de ne pas demander d'efforts.

Si les femmes ne sont pas un obstacle à franchir, il est bien évident que nos propres peurs en sont un.

Quant à la soi-disant nouveauté du truc, c'est n'importe quoi. Les hommes se sont toujours inquiété de leur succès auprès des femmes.

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Est-ce que le narrateur dit "un plot ou une tour est là parce que c'est un symbole phallique" ? Je l'ai pas entendu…

Sur les photos montrées, les plots et tours ont une forme de pénis. Avec un gland au bout. Et c'est tout à fait possible que ces formes soient influencées par la forme du pénis, non ? :/

Ils auraient aussi pu montrer des couvertures de magasines, avec des femmes à moitié nues, pour montrer la conception du corps de la femme/l'image de la femme dans nos cultures. Ou les rayons de jouets pour enfants. Ca veut pas dire que c'est mal ni que c'est bien…

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C'est la même réaction que tout le monde, moi y compris, quand on découvre l'existence du game. Le rejet.

Et pourtant, si tu prends un peu de recul, tu constateras que tu as jugé sans même savoir quel est "ce genre de trucs", puisque personne n'a abordé le contenu dans ce fil.

Ce rejet est pour à peu près tout le monde du même ordre que le plus connu "aller voir un psy ? Mais je suis pas fou !" C'est pour ça que Jubal a tort quand il pense être à part, sa réaction est la commune.

Pour la petite histoire, quand l'ami qui m'a parlé du livre "The Game" en premier en a parlé au reste de notre petit groupe d'amis, il s'est fait regarder comme s'il leur avait annoncé qu'il s'était mis à l'héroïne, puis copieusement insulté, puis mis à l'écart pendant quelques temps.

C'est là toute la puissance des archétypes masculins : l'aveu de faiblesse (celui qui s'intéresse à ça admet ne pas avoir suffisamment de succès auprès des femmes) a pour conséquence immédiate la mise au ban de la société. Et parmi les jurés se trouvent des gens tout aussi voir plus insatisfaits de leur succès, qui seront les premiers à jeter la pierre et à mentir en disant qu'ils n'ont "pas besoin de ça".

Mieux vaut garder sa "fierté" et se convaincre que sa résignation est en fait une sage acceptation. Ça a l'avantage de ne pas demander d'efforts.

Si les femmes ne sont pas un obstacle à franchir, il est bien évident que nos propres peurs en sont un.

Quant à la soi-disant nouveauté du truc, c'est n'importe quoi. Les hommes se sont toujours inquiété de leur succès auprès des femmes.

En fait j'ai remarquer que les mecs qui ne scorent pas sont, les plus timides, ceux qui ont peur de l'échec et qui savent mal mentir. En somme c'est typiquement le mec dont on dit :il est gentil, il est sympa. Après y a le physique dont l'impact est loin d'être négligeable.

Mais si c'est pour se faire de la pouffiasse de base, ça sert pas à grand chose cette méthode.:icon_up:

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Tu as déjà vu Tom Cruise dans Magnolia, Randian Shithead?

Est-ce que le narrateur dit "un plot ou une tour est là parce que c'est un symbole phallique" ? Je l'ai pas entendu…

Ben en tout cas il le pense très fort.

N'empêche, pour faire un phare d'une hauteur donnée, par exemple, il aurait fallu faire un truc cubique en gaspillant 90% de matériau de construction juste pour pas que ça ait l'air d'une teub? Non mais franchement… :icon_up:

A ce moment là, les doigts aussi mine de rien, ça fait dix symbole phalliques aussi. Et quand on dit "mon petit doigt m'a dit", est-ce que c'est le petit zizi de notre inconscient refoulé qui parle? Quand on dit "j'ai mis le doigt sur", c'est un fantasme de domination par le zgeg?

Perte de temps cette vidéo… Je la garde provisoirement dans la corbeille de mon PC si l'un d'entre vous trouve un truc drôle, tenez-moi au courant.

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Tu as déjà vu Tom Cruise dans Magnolia, Randian Shithead?

On m'a déjà montré ces vidéos, oui.

Ça n'a rien à voir avec le style des PUA les plus reconnus. (Il faut préciser que Mystery, qu'on critique tellement ici, est considéré comme complètement obsolète dans la communauté du game, et ce depuis un bon moment).

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Oui, il est vrai que j'ai un peu laissé sa chance au produit… :icon_up:

Bon allez j'ai zapouillé un peu : c'est encore un film militant qui essaye de se faire passer pour un documentaire.

Aucune cohérence dans le traitement du sujet, à aucun moment (il me semble, si j'ai manqué, dites moi) on n'explique quel pourrait être le rapport entre la présence de femmes dans les directoires, les violences conjugales ou le tueur fou du campus de Montréal.

On ne sait jamais qui parle, d'où sortent les informations, ça joue à fond sur le pathos, et surtout on n'apprend rien de nouveau. Je ne vois pas ce qu'il y a d'innovant là-dedans.

Et zut quoi, qu'est-ce que l'écriteau "place du bûcher" vient faire sur le "mur de la honte" du film. Nos documentalistes ne sont pas au courant qu'on y brûlait aussi des hommes à l'occasion ?

Suite à ce documentaire j'ai la forte impression qu'on peut diviser le féminisme au moins en deux :

- féminisme militant puérile à la manière des gay militants qui emmerdent tout le monde et n'ont, dans le fond, pas grand chose à revendiquer puisque s'ils ne faisaient pas ch… ils pourraient vivre leur gaytitude comme ils l'entendent. On est dans une logique causaliste et un jeu à somme nulle qui divisent hommes et femmes.

- (celui des québécoises du début du film) féminisme intellectuel basé sur une analyse complexe de la société occidentale et qui se fixe des objectifs clairs, finis et réalistes. Une fois atteints, le mouvement n'a plus raison d'être, si ce n'est pour prévenir (en silence) une rechute. On est dans un jeu à somme non nulle (voir le témoignage de l'ancien mari violent, aux 3/4 du docu) où l'idée est d'attirer l'attention sur un effet système.

Donc là c'était le doc venant du féminisme militant puérile, il est où celui avec une analyse et tout et tout ?

loin d'être socialisant

Ahah, très drôle. Et les beaufs de gauche autour d'une table qui tiennent lieu d'autorité intellectuelle pour ce film, ils sont pas socialisants ? (à 34 mn)

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Ce rejet est pour à peu près tout le monde du même ordre que le plus connu "aller voir un psy ? Mais je suis pas fou !" C'est pour ça que Jubal a tort quand il pense être à part, sa réaction est la commune.

Je ne parlais pas de ma reaction face au game quand je disais que j'etais minoritaire, mais face a la prostitution.

Dans ma famille je n'ai jamais vu personne dire "tient hier je suis alle aux putes", je n'ai pas l'impression que ca soit accepte socialement.

C'etait mon propos: aller voir des prostituees n'est pas toujours une solution, car on risque de se faire mal voir par son entourage.

Sinon les techniques du game en elles-meme ne me choquent pas, et je sais bien qu'elles sont efficaces. La plupart reposent sur l'experience et la connaissance, rien de mal a ca. Ce qui me gene c'est plus les mensonges que beaucoup proferent pour arriver a leur fin, les declarations d'amour explicites ou implicites notamment.

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Invité jabial

Sans vouloir être méchant, boubou, tu racontes vraiment nimp.

Dans la vraie vie, des injonctions paradoxales, il y en a tout plein, et un homme peut tout à fait être en mode "puissant et dominateur" lorsqu'il est dans son rôle de mâle (c'est-à-dire dans les moments de plaisir pris ensemble, et ce n'est pas un euphémisme pour parler du sexe mais un terme général) et en mode "associé égal" lorsque doivent être prises des décisions sérieuses qui impactent le couple en tant qu'entité économique et sociale, même s'il s'efforce de rester force de proposition.

Et au passage, au sujet des films romantiques, j'aimerais rappeler que les féministes aussi les détestent à peu près pour la raison inverse. Ils ne doivent donc pas être si gynocentrés que ça.

Tant que j'y suis, j'aimerais rajouter une chose sur la "domination". J'ai déjà vu de nombreux couples où l'homme domine mais où la femme décide. Dans un cas extrême d'amis d'amis ça va loin. C'est-à-dire que dans la façon de se comporter il est clair que l'homme "porte la culotte" (par exemple, sa compagne ne l'interrompt jamais quand il parle, fait ses adieux quand il fait mine de partir, ne le contredit jamais directement, etc) mais par contre si tu connais l'histoire du couple tu sais que tout, du lieu de vacances jusqu'aux changements de jobs de l'homme (si, si), a été choisi selon les préférences de sa femme. Même la montre qu'il porte en fait.

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Bon allez j'ai zapouillé un peu : c'est encore un film militant qui essaye de se faire passer pour un documentaire.

Aucune cohérence dans le traitement du sujet, à aucun moment (il me semble, si j'ai manqué, dites moi) on n'explique quel pourrait être le rapport entre la présence de femmes dans les directoires, les violences conjugales ou le tueur fou du campus de Montréal.

On ne sait jamais qui parle, d'où sortent les informations, ça joue à fond sur le pathos, et surtout on n'apprend rien de nouveau. Je ne vois pas ce qu'il y a d'innovant là-dedans.

(…)

Donc là c'était le doc venant du féminisme militant puérile, il est où celui avec une analyse et tout et tout ?

Ahah, très drôle. Et les beaufs de gauche autour d'une table qui tiennent lieu d'autorité intellectuelle pour ce film, ils sont pas socialisants ? (à 34 mn)

Voila c'est aussi ce que j'ai pense du film, mais je n'ai pas su aussi bien le dire.

Le cote socialisant ne ressort d'ailleurs pas qu'a la minute 34, il revient a plusieurs reprises.

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