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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

Messages recommandés

il y a 48 minutes, Nathalie MP a dit :

Peux-tu préciser lesquels ?

Si tu veux, fait ceux sur les systèmes de santé et la dérégulation déréglementation en loucedé. Pour Black Liberty Matters, je m'arrange pour qu'il soit traduit. :)

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Il y a 10 heures, Rincevent a dit :

Si tu veux, fait ceux sur les systèmes de santé et la dérégulation déréglementation en loucedé. Pour Black Liberty Matters, je m'arrange pour qu'il soit traduit. :)

OK pour healthcare (https://fee.org/articles/if-american-healthcare-kills-european-healthcare-kills-more/) mais ce sera pour la semaine prochaine.

 

 

  • Yea 1
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Traduction de : 
If American Healthcare Kills, European Healthcare Kills More
https://fee.org/articles/if-american-healthcare-kills-european-healthcare-kills-more/

 

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Si le système de santé américain tue, l’européen tue encore plus

 

Mahdi Barakat, FEE, 27 octobre 2017.

 

On justifie généralement l’adoption d’un système de santé collectivisé de type européen par les décès qu’il permet d’éviter, mais les chiffres ne le confirment pas.

 

L’argument moral en faveur d’un système de santé universel est simple : si plus de gens reçoivent des soins médicaux, on aura moins de décès évitables à déplorer. Si un tel système, avec payeur unique notamment, débouche sur une mortalité en baisse, alors il devient à l’évidence le choix moral qui s’impose. Des hommes politiques comme Bernie Sanders vont encore plus loin en affirmant que la réduction de la couverture santé gouvernementale lancée par le parti Républicain tue effectivement des gens.

 

Et pourtant, que dirait-on si l’on disposait de preuves montrant que plus de gens mourraient dans le cadre d’un système de santé universel que dans celui qui prévaut aujourd’hui aux Etats-Unis ? Que dirait-on si, selon les standards de la gauche, le système américain se révélait moins tueur que le système européen moyen ?

 

Considérons le nombre de personnes décédées par manque de soins médicaux aux Etats-Unis. Le sujet est fortement polémique et les estimations varient de 0 à 45 000 personnes par an. Le dernier chiffre est évidemment celui que les progressistes aiment citer. Bien qu’il soit plus que douteux, admettons pour les besoins de la discussion que les décès annuels aux Etats-Unis seraient inférieurs d’environ 45 000 si tous les Américains avaient une assurance-santé décente.

 

Et maintenant, retournons la question : Combien de personnes meurent dans les autres pays en raison des déficiences de leur système de santé ? Et combien mourraient aux Etats-Unis si nous avions des résultats de traitement similaires à ceux des autres pays ?

 

Les systèmes de santé collectivisés coûtent des vies

 

Une étude du Fraser Institute intitulée L’effet des temps d’attente sur la mortalité au Canada estime qu’ « entre 1993 et 2009 au Canada, l’augmentation des temps d’attente pour les soins médicaux nécessaires a pu provoquer entre 25 456 et 63 090 décès supplémentaires chez les femmes, la valeur moyenne étant de 44 273. » Si l’on procède à des ajustements pour tenir compte du nombre d’habitants (les Etats-Unis en ont environ 9 fois plus) cette moyenne monte à 400 000 décès supplémentaires estimés chez les femmes sur une période de 16 ans. En d’autres termes, si les Etats-Unis souffraient de la même hausse de mortalité que le Canada en raison de l’augmentation des temps d’attente, on y observerait 25 000 décès féminins supplémentaires par an. Un système qui affecte les femmes de façon aussi disproportionnée ? Très progressiste.

 

Examinons maintenant le résultat des traitements. Selon le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), les accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont la cause de plus de 130 000 décès par an aux Etats-Unis. Cependant, le taux de mortalité à 30 jours d’un AVC y est significativement plus bas que dans tous les autres pays de l’OCDE à l’exception du Japon et de la Corée. Les données de l’OCDE suggèrent que les taux européens ajustés par l’âge et le sexe se traduiraient par des dizaines de milliers de décès additionnels aux Etats-Unis.

 

Si l’Amérique avait le taux de mortalité à 30 jours du Royaume-Uni, par exemple, nous pourrions nous attendre à 38 000 décès de plus chaque année. Pour le Canada, ce nombre serait de l’ordre de 43 500. Et ceci ne vaut que pour les décès se produisant dans le mois qui suit l’attaque, lesquels ne représentent que 10 % des décès liés à un AVC.

 

On retrouve ce résultat dans les données sur la mortalité globale des AVC : aux Etats-Unis, pour 1000 AVC qui se produisent chaque année, on compte environ 170 décès liés à un AVC. Ce dernier nombre monte à 250 au Royaume-Uni et 280 au Canada. Etant donné qu’aux Etats-Unis, le nombre annuel d’AVC est de 795 000, l’écart de mortalité lié à un AVC est faramineux. Mais ne vous attendez pas à ce que NPR (audio-visuel public des Etats-Unis) vous propose une émission bien larmoyante sur un Canadien victime d’un AVC qui aurait pu survivre dans un hôpital américain.

 

De la même façon, les taux de survie au cancer sont considérablement plus élevés aux Etats-Unis que dans d’autres pays. Examinez ces données citées par le CDC. Elles viennent de l’étude CONCORD qui fait autorité sur les taux internationaux de survie au cancer. On constate que les Etats-Unis dominent tous les autres pays pour les formes de cancer les plus mortelles.

 

Si l’on ramène les taux de survie donnés par le CDC pour chaque forme de cancer à leur contribution dans la mortalité globale du cancer, on déduit que le taux de survie du Royaume-Uni produirait 72 000 décès supplémentaires par an aux Etats-Unis. Ce nombre serait de 21 000, 23 000 et 31 000 en se basant sur les taux de survie du Canada, de la France et de l’Allemagne.

 

Comment sauve-t-on des vies ? D’abord, bien sûr, grâce aux excellents résultats des différents types de traitements médicaux qui sont souvent l’apanage des Etats-Unis. Ensuite, il ne faut pas oublier toutes les vies sauvées chaque année dans le monde grâce aux innovations médicales que le dynamisme des marchés américains rend possibles. Selon la logique « Le système de santé américain tue », toute augmentation des impôts, en pesant sur la productivité et donc en ralentissant le rythme de l’innovation, équivaut à tuer – une conclusion à l’évidence absurde.

 

Le débat sur la santé a été mal cadré par des démagogues

 

Je suis le premier à le reconnaître, notre système de santé est loin d’être optimal. Entre autres préoccupations, l’augmentation des coûts de santé a certainement besoin d’être contrôlée et l’assurance contre le désastre de la maladie devrait être beaucoup plus abordable. Mais les mesures exigées par Sanders et consorts ignorent complètement les déficiences massives qui sont la marque des systèmes de santé universels collectivisés. Ils entonnent en permanence la complainte des 45 000 vies enlevées chaque année par l’avidité des dirigeants des compagnies d’assurance et leurs amis du Congrès américain, mais restent totalement ignorants du fait que les systèmes européens qu’ils fétichisent sont moins humains selon leurs propres termes.

 

Si nous devons qualifier Paul Ryan de tueur pour avoir coupé dans les dépenses de Medicaid, nous devons logiquement recourir à la même expression pour tous les politiciens qui se font les avocats des systèmes de santé européens – vous savez, ces systèmes dont les résultats signifient des dizaines de milliers de morts en plus aux Etats-Unis chaque année. Paul Ryan est peut-être champion olympique de l’homicide involontaire, mais Bernie Sanders n’est pas loin de battre le record du monde.

 

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Nouvelle traduction demandée par le Ayn Rand Institute:jaifaim: pour publication exclusive chez nous : https://ari.aynrand.org/blog/2017/11/06/the-anti-intellectuality-of-donald-trump-why-ayn-rand-would-have-despised-a-president-trump

Comme la dernière fois, l'auteur souhaite relire la traduc qu'on proposera.

@Rincevent ? Ou quelqu'un d'autre ?

 

 

C'est important pour que nous gardions un bon contact avec cet auteur. Merci d'avance.

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Le 10/11/2017 à 14:54, Nick de Cusa a dit :

dans mes bras 

 

euh, non

 

euh, je veux dire, en tout bien tout honneur 

 

:lol:

 

En version Word: https://framadrop.org/r/9K_OsunB5Z#H5ROFWTCYlaaq7jVXOgaV9IA7rhFK95wmxyFaxvyEy0=

 

Citation

Un marché du travail libre est la meilleure défense contre le harcèlement sexuel

 

 

Par Jeffrey A.Tucker

 

https://fee.org/articles/the-best-defense-against-sexual-harassment-is-a-free-labor-market/

 

 

Un marché libre, c’est un premier pas pour mettre fin à toutes formes d'exploitation au travail, y compris concernant le harcèlement sexuel.

 

Lin Farley est la femme qui inventa l'expression "harcèlement sexuel" en 1975. Aujourd'hui, elle est profondément mécontente de la tournure que prend le mouvement qu'elle a lancé et pense même qu’il a échoué.

 

« Au début, on avait l'impression que ce terme avait le pouvoir de tout changer», écrit-elle. « Les femmes actives ont immédiatement adopté cette expression qui, enfin, décrivait la coercition sexuelle qu'elles subissaient quotidiennement.»

 

Il est vrai qu'en donnant un nom à cette pratique, ajoute-t-elle, les règles régissant la vie des entreprises et de l’Etat ont commencé à changer. Les programmes de formation contre le harcèlement sexuel sont devenus courants. Les femmes jouissant d’un certain degré de réussite professionnelle, disposant de ressources et d’alternatives ont désormais accès à de nouvelles procédures pour demander réparation. La loi a changé. Les avocats ont gagné gros.

 

Cependant, en ce qui concerne la femme active lambda, Lin Farley est moins convaincue que beaucoup de choses aient réellement changé dans la pratique. Mettre des mots sur ce phénomène « a beaucoup moins encouragé la parole que je ne l’avais imaginé en 1975, je pensais que cela contribuerait à un vrai changement dans notre culture», écrit-elle. « Pire encore, le terme "harcèlement sexuel" a permis à tous ceux qui prétendent que la culture et les dynamiques de pouvoir ont évolué de citer les nouvelles règles pour preuves."

 

Les lois sont inefficaces

 

Ce n'est pas la première fois que de nouvelles lois ne donnent pas l'effet escompté. Que propose alors Lin Farley ? Excepté recommander plus de discussions, plus de visibilité, plus de hashtags #metoo, elle ne semble pas avoir de solution si ce n’est écrire des articles d'opinion rageux dans le New York Times.

 

Demander plus d'intervention étatique revient seulement à combattre la coercition avec davantage de coercition – ne voilà pas une voie très prometteuse.

 

Je propose une alternative: un marché du travail libre comme meilleure défense possible contre toutes les formes d'exploitation sur le lieu de travail, y compris celles qui prennent une forme genrée ou sexuelle. Les lois, les obligations et les règlements qui emprisonnent les individus dans certains emplois, industries et parcours professionnels rendent les salariés plus vulnérables aux abus de la part des employeurs. Un marché du travail hautement concurrentiel est le meilleur moyen d'équilibrer le pouvoir entre les propriétaires/directeurs et la main d’œuvre.

 

Plus nous nous éloignons de la réalité d’un marché libre, plus l'exploitation du personnel devient un problème majeur.

 

Précisons tout de suite qu'il n'y aura jamais de solution utopique. Notre monde ici-bas ne verra jamais régner une sainte morale universelle. Il nous faudra toujours compter avec les trolls, les abrutis et les patrons qui exploitent. La véritable question qu’il faut se poser est la suivante: comment réduire le pouvoir qu’ont les personnes néfastes sur les gens biens d'une manière causant le moins de tort possible aux individus et à la société? Au minimum, les victimes et les victimes potentielles ont besoin d'un moyen de s'échapper. L'issue de secours doit être claire, peu coûteuse et non préjudiciable.

 

Cela va plus loin que le simple droit de démissionner et de trouver un nouvel emploi. L’enjeu est d'établir un marché de l’embauche extrêmement compétitif, de telle sorte que les employeurs se doivent d’être des personnes honnêtes s’ils veulent attirer et retenir la main d’œuvre. Ils doivent se comporter correctement au risque de perdre des talents au profit de leurs concurrents. C’est l’argent qui incite, instruit et forme les individus à devenir de meilleures personnes. Ce serait une économie dans laquelle personne ne se verrait imposé ou ne serait forcé d’endurer des humiliations faute d’alternatives.

 

La voie capitaliste

 

Rendre possible une telle échappatoire était au cœur de la révolution libérale du XVIIIe siècle: plus  de servage, plus d'esclavage, plus de servitude. C’est ce qui nous a donné le capitalisme, le seul système économique qui ait réussi à éliminer l'exploitation dans les relations entre le travail et le capital (Marx avait compris l’exact inverse).

 

Regardons ce que Ludwig von Mises écrivait en 1927 sur le pouvoir du travail par rapport au pouvoir du capital dans un marché libre:

 

« L'embauche d'un travailleur dans une entreprise privée n'est pas un témoignage de bienveillance mais un marché dans lequel les deux parties, l'employeur et l'employé, trouvent leur compte. L'employeur doit s'efforcer de payer à l'employé une rémunération en rapport avec son rendement. S'il ne le fait pas, il court le risque de voir l'employé passer chez un concurrent payant mieux. L'employé doit s'efforcer de s'acquitter de ses fonctions de telle sorte que son salaire soit justifié et qu'il ne coure pas le risque de perdre sa place. L'emploi n'étant pas une faveur mais un marché, l'employé n'a pas à craindre d'être congédié parce qu'il serait tombé en défaveur. Car l'entrepreneur qui congédie pour une telle raison un employé capable et méritant ne nuit qu'à lui-même et non à l'employé, qui trouvera une utilisation correspondante. »

 

C'est beau, n’est-ce pas? Absolument. Cet idéal semble fabuleux à condition que nous parvenions à le mettre en pratique. En tout premier lieu, Mises souligne le problème que pose le fait d’intervenir dans un marché libre. Toute d’intervention donne naissance à des modes de management bureaucratiques censés remplacer les forces du marché ; ce qui ne fait que réduire les droits réels des salariés même lorsque cela se produit au nom du droit du travail.

 

Quelles sont donc ces interventions qui ont fait reculer les droits des travailleurs et qui ont donné aux patrons l’impression de ne pas tant être l’une des parties d’une transaction commerciale que d’ "accorder des faveurs" réclamant contrepartie à leurs salariés ? La liste est longue mais on y trouve la couverture santé et les congés payés obligatoires, les charges patronales, les permis d'exercer, le salaire minimum et le reste de ce qui constitue le soi-disant "droit du travail" qui ne fait que piéger les salariés dans des emplois qu'ils ne peuvent quitter.

 

Tous ces règlements étouffent la concurrence sur le marché du travail. Ils nuisent à l’employabilité des salariés et les incitent à s’accrocher à leur poste actuel. Pour bien faire comprendre mon argument: l’Obamacare a massivement contribué à faciliter le harcèlement sexuel.

 

Garder son travail à tout prix

 

Pensez à votre propre situation. Si vous quittiez votre emploi aujourd'hui, combien de temps vous faudrait-il pour en trouver un autre? Combien de temps seriez-vous sans revenu? Dans certaines branches du Tertiaire comme la restauration ou l’hôtellerie, cela prend généralement quelques semaines. Mais dès que vous aspirez à des postes plus élevés, vos perspectives s’assombrissent. Il faut parfois de six semaines à deux mois pour décrocher un nouveau travail.

 

L'indemnité de licenciement, par tradition, ne couvre que deux semaines de revenus. Ensuite, il faut songer à ce problème crucial que représente la couverture santé. La course contre la montre démarre tout de suite. Vous devrez vous rendre sur le mal nommé "marché" dominé par l’Obamacare ou payer une pénalité à l’Etat. Et puis, vous devrez peut-être déménager, et cela représente un coût certain. Pendant ce temps, vous essayerez de passer le plus d’entretiens possible et de faire bonne impression alors même que vous êtes en panique au sujet de votre vie, de votre statut social et de vos finances comme jamais auparavant.

 

Vous pensez à tout ça et vous vous dites:

 

« Bon, je pense que je vais garder mon travail. C'est vrai, mon patron est un abruti. Il me met mal à l’aise. Il a toutes sortes de problèmes. Mon manager m’a déjà fait de vagues insinuations qui m’ont gêné. Il me crie dessus sans raison, juste pour montrer son pouvoir. Mon superviseur trolle sur mes réseaux sociaux et pose des questions personnelles qui ne le regardent pas. Mais que puis-je faire? Personne ne veut être au chômage.»

 

Cette stagnation au niveau du marché de l’emploi explique de manière notable pourquoi les employeurs  ont un pouvoir disproportionné sur leurs salariés. C'est un facteur contributif majeur qui permet et perpétue l'exploitation. Plus il y a de choix sur le marché du travail, plus les salariés sont en mesure d'exiger de la part de la direction un management honnête, respectueux et bienséant.

 

« Revenez, s’il-vous-plait ! »

 

Il y a quelques années, à une époque où l'économie était en pleine croissance et où les entreprises cherchaient avidement de la main d’œuvre, je fus témoin dans une petite épicerie d’une scène que je n'oublierai jamais. Une jeune employée arriva en retard de quelques minutes. Son patron était furieux contre elle, il se mit à lui crier dessus devant les clients, le visage rouge de colère.

 

Elle se tint là, encaissant tout. Quand il eut fini, elle enleva calmement son badge et le posa sur le comptoir. Elle lui dit "au revoir" et sortit par la grande porte.

 

Que pensez-vous qu’il se passa après? Tout de suite, le patron se rendit compte de son erreur idiote. Il se précipita vers la porte pour l'arrêter et la supplia de revenir. Je ne pouvais pas entendre la conversation, mais il parut la convaincre. Excuses, augmentations, de meilleurs horaires, la promesse de ne plus se comporter comme un abruti… je ne sus pas ce qui lui fit changer d’avis mais quelque chose la persuada de revenir et de reprendre le travail.

 

Je regardai cette scène émerveillé. Voilà, l'image d'un idéal! Le contrat de travail est un échange dont les deux parties bénéficient. Si l’une des parties veut se retirer, l'accord est rompu. Personne n'est jamais blessé. Personne n'est jamais humilié. Personne ne devrait jamais avoir à fournir un quelconque service, qui n’est pas dans le contrat, pour obtenir une contrepartie. La justice, l’honnêteté et les valeurs humanistes peuvent triompher.

 

Un marché libre est un premier pas pour mettre fin à toutes formes d'exploitation au travail, y compris le harcèlement sexuel, l'obscénité, les gestes inappropriés, les promotions canapé, les déjeuners qui durent trop longtemps et deviennent trop intimes, les textos suggestifs, les mails personnels envoyés tard le soir, les questions envahissantes sur la vie personnelle, les intimidations subtiles ou pas si subtiles que ça, ou toute autre forme de contrainte. Le chemin vers la paix et la dignité humaine est le même ici que partout ailleurs: en rendant toutes choses volontaires.

 

Vous avez envie de rétorquer que ça ne mettra pas fin au problème? En effet. Mais c’est le meilleur moyen possible pour améliorer nos vies et diminuer la souffrance humaine. Et c’est bien plus que ce que n’importe quelle loi, n’importe quel éditorial, n’importe quelle campagne d’humiliation ou n’importe quel espoir rêveur que l’humanité puisse s’améliorer d’elle-même ne pourront jamais accomplir.

 

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Le 12/11/2017 à 10:10, Séverine B a dit :

Nouvelle traduction demandée par le Ayn Rand Institute:jaifaim: pour publication exclusive chez nous : https://ari.aynrand.org/blog/2017/11/06/the-anti-intellectuality-of-donald-trump-why-ayn-rand-would-have-despised-a-president-trump

Comme la dernière fois, l'auteur souhaite relire la traduc qu'on proposera.

@Rincevent ? Ou quelqu'un d'autre ?

 

C'est important pour que nous gardions un bon contact avec cet auteur. Merci d'avance.

@Rincevent ? Ou quelqu'un d'autre ?

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Il y a 5 heures, Séverine B a dit :

C'est important pour que nous gardions un bon contact avec cet auteur. Merci d'avance.

@Rincevent ? Ou quelqu'un d'autre ?

Journée traduction pour moi, aujourd'hui. Je m'y mets. :)

  • Ancap 1
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Un énorme merci à tous nos traducteurs ! C'est assez impressionnant la belle hausse des derniers temps

 

J'en profite pour faire un petit retour bienveillant et générique : DeepL est un outil puissant, efficace, et qui permet un rendu très acceptable. Mais les standards de Contrepoints sont d'un niveau particulièrement élevé sur les traductions comme sur le reste et une relecture humaine est indispensable. Donc n'hésitez pas à utiliser cet outil mais une relecture humaine avec correction des incohérences et petites erreurs est indispensable. Faites le bien avant d'envoyer vos textes à la rédaction, c'est là toute votre valeur ajoutée, votre créativité et votre talent !

 

Pour des raisons évidentes de temps, les journalistes de l'équipe ne peuvent le faire à chaque traduction donc ne nous envoyez pas de textes traduits depuis DeepL que vous n'auriez pas relus et corrigés attentivement :)

 

Je pense que vous le faites déjà tous mais c'est un rappel de l'extrême importance de le faire :)

 

Merci encore pour vos contributions remarquables

  • Yea 3
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il y a 16 minutes, Lexington a dit :

Pour des raisons évidentes de temps, les journalistes de l'équipe ne peuvent le faire à chaque traduction donc ne nous envoyez pas de textes traduits depuis DeepL que vous n'auriez pas relus et corrigés attentivement :)

Et encore, ce n'est parfois pas suffisant. Le dernier texte de l'ARI était très, très compliqué, il a été largement relu, mais il est impératif que d'autres yeux le relisent.

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