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Décès de Steve Jobs


Sam

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Des anars à la française, ils préfèrent ceux qui ont le pouvoir à ceux qui ne font que du commerce.

On retrouve sans surprise l'absence du sens des responsabilités : si un ouvrier chinois se suicide, ce n'est pas un choix personnel mais forcément à cause du méchant patron qui l'exp'oite. L'ouvrier, lui n'a aucun choix alternatif, nada, que dalle. Des gardes sont venus le chercher un matin armés de baïonnettes et l'ont envoyé de force chez Apple (on lui a également interdit de démissionner). Si je suis la fabuleuse logique de l'anar français, il aurait donc fallu qu'une puissance supérieure intervienne pour faire cesser ce scandale. Mais… ce n'est pas ce qu'on appelle du socialisme par chez nous ? De l'anarchisme étatique, ça laisse songeur…

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À ce propos, je me suis amusé à regarder ce qu'ils en pense chez l'Humanité, régalez-vous

(badurl) http://www.humanite.fr/social-eco/steve-jobs-le-gourou-dapple-est-mort-481006 (badurl)

Un des commentaires pourtant écrit par un "camarade" illustre pourquoi Staline en a zigouillé autant parmi les siens.

Le monde a changé camarade , tous ces outils ont transformé notre rapport au monde, les relations entre les gens, les rapports sociaux. Et Jobs en a été un des principaux architectes depuis le milieu des années 70.

Ce n'est pas Bull, ni Thomson ou Matra.

Ce qui me gêne le plus finallement c'est le rapport utilitaire aux "sciences" qui ressort de cet article. Newton tout comme le prix nobel de physique cohen tannoudji, ne méritent pas notre respect car ils n'ont pas découvert de vaccin, ils n'ont pas sauvé des vies.

On est bien parti pour faire la révolution avec des raisonnements pareil. Bravo l'huma.

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Pour rappel, on peut être un geek génial en même temps qu'être 'achement à côté de ses pompes :

The trouble with Steve Jobs

Jobs likes to make his own rules, whether the topic is computers, stock options, or even pancreatic cancer. The same traits that make him a great CEO drive him to put his company, and his investors, at risk.

By Peter Elkind, editor at large

In October 2003, as the computer world buzzed about what cool new gadget he would introduce next, Apple CEO Steve Jobs - then presiding over the most dramatic corporate turnaround in the history of Silicon Valley - found himself confronting a life-and-death decision.

During a routine abdominal scan, doctors had discovered a tumor growing in his pancreas. While a diagnosis of pancreatic cancer is often tantamount to a swiftly executed death sentence, a biopsy revealed that Jobs had a rare - and treatable - form of the disease. If the tumor were surgically removed, Jobs' prognosis would be promising: The vast majority of those who underwent the operation survived at least ten years.

Yet to the horror of the tiny circle of intimates in whom he'd confided, Jobs was considering not having the surgery at all. A Buddhist and vegetarian, the Apple (AAPL, Fortune 500) CEO was skeptical of mainstream medicine. Jobs decided to employ alternative methods to treat his pancreatic cancer, hoping to avoid the operation through a special diet - a course of action that hasn't been disclosed until now.

For nine months Jobs pursued this approach, as Apple's board of directors and executive team secretly agonized over the situation - and whether the company needed to disclose anything about its CEO's health to investors. Jobs, after all, was widely viewed as Apple's irreplaceable leader, personally responsible for everything from the creation of the iPod to the selection of the chef in the company cafeteria. News of his illness, especially with an uncertain outcome, would surely send the company's stock reeling. The board decided to say nothing, after seeking advice on its obligations from two outside lawyers, who agreed it could remain silent.

In the end, Jobs had the surgery, on Saturday, July 31, 2004, at Stanford University Medical Center in Palo Alto, near his home. The revelation of his brush with death remained - like everything involving Jobs and Apple - a tightly controlled affair. In fact, nary a word got out until Jobs' tumor had been removed. The next day, in an upbeat e-mail to employees later released to the press, he announced that he had faced a life-threatening illness and was "cured." Jobs assured everyone that he'd be back on the job in September. When trading resumed a day after the announcement, Apple shares fell just 2.4%.

Apple entertained no further questions about Jobs' health, citing the CEO's need for privacy. No one learned just how long Jobs had been sick - or that he had contemplated not having the surgery at all. "It was very traumatic for all of us," recalls one of those in whom Jobs confided, speaking on condition of anonymity because of the topic's sensitivity. "We all really care about Steve, and it was a serious risk for the company as well. It was a very emotional and very difficult time. This was one page in the adventure."

http://money.cnn.com/2008/03/02/news/companies/elkind_jobs.fortune/index.htm?cnn=yes

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Je suis désolé mais encore une fois on ne parle pas d'inventivité mais de changer la vie des gens.

Toi oui, ceux que je citais, non. Tu lis un peu ce que je dis ou tu veux simplement me contredire pour le plaisir ?

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Jny connais pas grand chose, mais j'ai l'impression que Smartphone tablettes et cie, qui je crois n'ont pas été inventés par Apple, ne se vendaient pas avant qu'Apple ne se mette à les vendre.

Outre en poussant le coté intuitif au maximum et en donnant un design très étudié, Apple a su montrer pour le lambda l'utilité, l'intérêt que pouvait avoir de tels produits. Elle a su aussi faire de ces objets des objets personnels qu'on avait envie de manipuler, nous a montré comment les manipuler.

Ce serait plutôt là que le génie d'Apple se trouverait selon moi…

Effectivement, Microsoft essayait depuis une douzaine d'années d'imposer le format Tablet PC (avec un succès vraiment relatif…). Il a également montré que c'était technologiquement et commercialement viable de jeter la rétro-compatibilité aux oubliettes sur un segment de marché et donc de recommenr à zéro et faire racheter les logiciels aux utilisateurs, sans rendre ces derniers mécontents.

Apple, c'est une boîte de hardware, qui a compris que pour vendre du matériel en masse, il fallait vendre du logiciel qui mettait en valeur son matériel. Le cerveau humain est ainsi fait que l'objet matériel qu'il peut manipuler aura toujours plus de valeur qu'un objet immatériel (logiciel ou livre ou musique…). Que ce soit pour iTunes ou l'AppStore, et malgré ce qu'un socialiste jaloux ou un anar fait passer comme message, Apple ne fait pas des montagnes de fric, juste ce qu'il faut pour payer les factures du matériel et investir pour l'année qui suit. Ces magasins virtuels ne sont là que pour faire vendre plus d'iPhone, d'iPod, d'iPad et de Macs.

Les journalistes (qui sont à l'ouest) nous font le coup du "Apple sera le nouveau Microsoft". Ça peut faire sourire. Apple se concentre sur le matériel, car les marges sont là. Apple ne peut pas se transformer en boîte qui vend de l'immatériel (films, musique, ebooks et applis), parce que les marges sur le logiciel sont très faibles. Comme le faisait remarquer Chitah sur un autre fil, le coût marginal des octets tend vers zéro. Microsoft a réussi à appliquer une très forte marge sur ses deux vaches à lait (Windows et Office) en tordant le bras à IBM et en "forçant" l'installation de leurs logiciels sur tous les PC vendus, à leurs conditions. Et même ça, ça n'a marché qu'un temps, puisque sur le mobile, ils sont absents.

On parlait de l'autisme sur un autre fil. Les 3 têtes d'Apple manifestent des signes de troubles sociaux, virant au monomaniaque pour ces trois là. Ils ont réussi à transformer en force (pour leur propre job) ce défaut (Jonathan Ives au design, Jobs à la direction, et Cook pour la gestion du matériel).

Jobs était tyrannique, monomaniaque, et buté. Il faisait travailler jusqu'à 5 équipes en parallèle en interne sur le même produit, avec seulement une ou deux variations entre modèles. Puis on laissait tomber les 2 qui marchaient le moins bien, et on recommençait. Et ainsi de suite.

Il a poursuivi dans leurs bureaux et au téléphone chez eux les gars qui travaillaient sur le "clic" sonore que doit faire le bouton Home de l'iPhone. Le son n'était jamais le bon, pas assez organique ou sensuel. Il a continué pendant 15 jours, jusqu'à ce que le son lui convienne. L'iPhone blanc est sorti avec 1 an et demi de retard, parce que la température de la couleur blanche n'était pas la même lorsque le téléphone était allumé ou éteint. Et ainsi de suite…

Je pense qu'on peut lui accorder d'avoir rendu l'informatique utilisable par le grand public. Même si la technologie fait toujours son petit chemin toute seule, s'il n'y a pas des gens en cours de route pour forcer et accélérer les choses, nous ne profiterions pas de ces trucs quand même bien utiles (rappelons que lorsque le Mac sort en 1984, après l'échec du Lisa, Bill Gates et ses équipes, tout comme le management d'IBM prévoient qu'ils vont se planter, parce que "le grand public n'a pas besoin d'interface graphique, c'est trop compliqué et fait chuter la productivité". Douglas Engelbart invente la souris en 1967. Vingt ans après, il faut que Jobs force la main à son chef matériel pour que la souris équippe les machines Apple, parce que personne ne croit à ce périphérique dans le domaine informatique…)

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Bon oui apple ressemble parfois carrément à une religion et alors? ça vaut mieux que la croyance en la religion de l'Etat non?

Je n'ai pas émis de jugement sur le fait de savoir si c'était bien ou pas ou mieux. Peu m'importe, je faisais juste une constatation. Après quand la croyance devient religion je pense qu'il y a un problème oui. Que ça soit envers l'état, l'environnement ou une société capitalistique.

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Free software founder, Richard M. Stallman is glad Jobs is gone

By Steven J. Vaughan-Nichols | October 7, 2011, 9:13am PDT

richard-stallman-in-2007.jpg

Summary: Free software’s founder says, “I’m not glad he’s dead, but I’m glad he’s gone.”

Some stuff you can’t make up. While many of us sorrow at Apple founder Steve Jobs’ death, and others acknowledge Jobs’ genius while also admitting that he had his flaws, Richard M. Stallman, aka rms, founder of the Free Software Foundation (FSF), stated on his blog that “I’m not glad he’s dead, but I’m glad he’s gone.”

Stallman’s complete posting, reads:

Steve Jobs, the pioneer of the computer as a jail made cool, designed to sever fools from their freedom, has died.

As Chicago Mayor Harold Washington said of the corrupt former Mayor Daley, “I’m not glad he’s dead, but I’m glad he’s gone.” Nobody deserves to have to die - not Jobs, not Mr. Bill, not even people guilty of bigger evils than theirs. But we all deserve the end of Jobs’ malign influence on people’s computing.

Unfortunately, that influence continues despite his absence. We can only hope his successors, as they attempt to carry on his legacy, will be less effective.

OK, we get it that the father of free software isn’t going to think anything nice about proprietary software’s biggest champion, but come on! As my grandmother used to say, “If you don’t have anything good to say, then don’t say anything at all.”

I’m glad to say that the vast majority of open-source developers don’t agree with Stallman’s myopic views. Yes, free software is important. Yes, the GPL was essential for the creation of the modern technology world which runs on such open-source projects as Linux, the Apache Web server, and the MySQL databases. But we also know that Jobs was also essential to our modern computing world. Jobs was our generation’s Disney, its Edison. The bottom line is almost everyone I know in open-source circles admired Jobs. RMS is the exception not the rule.

By choosing to use the occasion of Jobs’ death for one more public jab at proprietary software, Stallman did neither his personal causes nor the larger ones of free and open-source software any good.

http://www.zdnet.com/blog/open-source/free-software-founder-richard-m-stallman-is-glad-jobs-is-gone/9707

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Aaaah, Stallman. Le type qui veut que les gens soient libres malgré eux. Et qui préfère vivre dans une caverne où tout est façonné libre que d'acheter le courant, pas libre pour vivre dans une maison moderne.

C'est un grand codeur, il a fait beaucoup avancer le modèle du libre (il l'a même créé et rendu viable), mais il a fait l'erreur de croire qu'il faut se radicaliser, être intégriste pour faire passer le message…

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C'est un grand codeur, il a fait beaucoup avancer le modèle du libre (il l'a même créé et rendu viable), mais il a fait l'erreur de croire qu'il faut se radicaliser, être intégriste pour faire passer le message…

Tiens tiens, ça me fait penser quelqu'un, mais à qui… Murray, es-tu là ? ;)

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Aaaah, Stallman. Le type qui veut que les gens soient libres malgré eux. Et qui préfère vivre dans une caverne où tout est façonné libre que d'acheter le courant, pas libre pour vivre dans une maison moderne.

C'est un grand codeur, il a fait beaucoup avancer le modèle du libre (il l'a même créé et rendu viable), mais il a fait l'erreur de croire qu'il faut se radicaliser, être intégriste pour faire passer le message…

Stallman, c'est nawak de chez nawak, c'est le Raël de l'informatique. :facepalm:

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Le Parti de Gauche dénonce "l'élan d'idôlatrie" après la mort de Steve Jobs

Le 5 octobre dernier, les utilisateurs des produits Apple apprenaient le décès de Steve Jobs. À l'annonce de son décès, les hommages se sont multipliés.

Le site Numerama relaye un communiqué de presse du parti de Gauche. Le parti de Jean-Luc Mélenchon déclare que "rien ne peut légitimer l'élan d'idolâtrie qui a traversé, ces derniers jours, la sphére politicomédiatique".

Avant d'ajouter que "le Parti de Gauche souhaiterait autant d'intérêt et de compassion pour les ouvrier(e)s employé(e)s dans les ateliers de la sueur d'Asie, les forçats du lithium ou de l'indium en Amérique Latine et en Afrique, les milliers de victimes de la famine dans la corne de l'Afrique et tou(te)s les exploité(e)s de tous les continents".

Pour le parti, Steve Jobs a mis en place "un système fermé, verrouillé, où règne l'ordre moral bourgeois, où la monétarisation à outrance est la norme, où l'obsolescence programmée de produits imparfaits de plus en plus gourmands en énergie et en ressources rares permet l'optimisation des profits".

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-218976-le-parti-de-gauche-denonce-l-elan-d-idolatrie-apres-la-mort-de-steve-jobs.html

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Haha, sacré Jean-luc…

Comme quoi, l'article si décrié de l'Humanité (voir http://www.contrepoi…doles-quon-peut), n'était pas que le délire d'un "simple petit pisse-copie", mais bien le témoignage assumé de ce que pense (ou plutôt refuse) une large majorité des militants du Parti (Front ?) de Gauche et sans doute de leurs sympathisants…

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Comme quoi, l'article si décrié de l'Humanité (voir http://www.contrepoi…doles-quon-peut), n'était pas que le délire d'un "simple petit pisse-copie", mais bien le témoignage assumé de ce que pense (ou plutôt refuse) une large majorité des militants du Parti (Front ?) de Gauche et sans doute de leurs sympathisants…

Haha, j'avais raté cet article de Contrepoints, je sais pourquoi je ne lis pas l'Huma', par contre…

J'comprendrais jamais ces types qui gueulent qui y a pas d'emploi et qui dans la même phrase, ou peu s'en faut, gueulent contre ceux qui en créée.

Perso', j'ai jamais été fan d'Apple, top cher par rapport à la concurrence et je n'avais pas l'utilité de leurs produits (a part un ipod, pour le design), donc la mort de Steve, j'en tape un peu, je ne le considère pas comme un héros, mais de la à cracher dessus comme ça…c'est vraiment des merdes, quand même.

Après, je rejoins Mélenchon sur un (et un seul) truc : les conditions des ouvriers chinois sont, pour ce que je crois en savoir, épouvantables. Mais est ce la faute d'Apple ? Non (même si ils en profitent).

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…les conditions des ouvriers chinois sont, pour ce que je crois en savoir, épouvantables.

Elles sont tellement épouvantables que ce sont des centaines de millions de paysans chinois qui viennent travailler dans ces usines - souvent de manière "illégale" (passeport intérieur et toussa).

Mais bon, on sait qu'un socialaud préférera toujours un paysan qui crève de faim dans une ferme collectivisée, qu'à un ouvrier qui s'en sort mieux dans une usine capitaliste.

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Elles sont tellement épouvantables que ce sont des centaines de millions de paysans chinois qui viennent travailler dans ces usines - souvent de manière "illégale" (passeport intérieur et toussa).

Mais bon, on sait qu'un socialaud préférera toujours un paysan qui crève de faim dans une ferme collectivisée, qu'à un ouvrier qui s'en sort mieux dans une usine capitaliste.

Regardez, avec le communisme chinois on sort de la ferme productiviste où on nous interdit de bosser pour avoir de la main d'oeuvre moins chère pour aller à l'usine productiviste.

Je propose que l'on importe le PCC en France, vu comme cela à l'air cool. :mrgreen:

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Elles sont tellement épouvantables que ce sont des centaines de millions de paysans chinois qui viennent travailler dans ces usines - souvent de manière "illégale" (passeport intérieur et toussa).

Mais bon, on sait qu'un socialaud préférera toujours un paysan qui crève de faim dans une ferme collectivisée, qu'à un ouvrier qui s'en sort mieux dans une usine capitaliste.

Bien sur qu'elle sont meilleurs qu'ailleurs en Chine, mais tu les voudrais ces conditions de travail ? Non. Bon, c'est tout ce que je voulais dire.

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Bien sur qu'elle sont meilleurs qu'ailleurs en Chine, mais tu les voudrais ces conditions de travail ? Non. Bon, c'est tout ce que je voulais dire.

Tu voudrais qu'ils aient quoi comme conditions de travail ? La Chine, c'est toujours un pays pauvre.

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Tu voudrais qu'ils aient quoi comme conditions de travail ? La Chine, c'est toujours un pays pauvre.

Disons, grosso merdo les même que les nôtres, à niveau de dvp égal bien sur. Je ne vois pas de raison de laisser supposer qu'il est normal que des gamins (et des adultes) travaillent peu ou prou comme des esclaves 12 ou 14h/jour sous prétexte qu'ils sont pauvres ou que c'est pire 500km plus à l'intérieur du pays. Sans demander qu'ils aient 2000€ par mois pour 20h de travail semaine, un 14ieme mois et 200 jours de congé par an, il y a un minimum.

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Disons que pour l'instant ils n'ont pas le choix entre l'occident et leurs usines mais entre leurs usines et leurs champs. Et si ils continuent à se développer, tout en se libéralisant peu à peu (soyons optimistes), ils finiront par nous rattraper, puis nous dépasser, puis ils nous aideront en nous envoyant des sacs de riz.

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Disons, grosso merdo les même que les nôtres, à niveau de dvp égal bien sur. Je ne vois pas de raison de laisser supposer qu'il est normal que des gamins (et des adultes) travaillent peu ou prou comme des esclaves 12 ou 14h/jour sous prétexte qu'ils sont pauvres ou que c'est pire 500km plus à l'intérieur du pays. Sans demander qu'ils aient 2000€ par mois pour 20h de travail semaine, un 14ieme mois et 200 jours de congé par an, il y a un minimum.

Ce qu'on voulait te dire c'est qu'on n'a pas entendu le parti de gauche dénoncer les conditions de travail bien plus déplorables dans les fermes collectivisées estampillées Parti Communiste. Certe, les conditions de travail dans les usines ne sont pas géniales et n'existeraient pas ici, mais ce sont les conditions standards là-bas, un jour tout cela s'améliorera et c'était bien pire avant aussi.

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