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Valeurs et société


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Écraser à coups de marteau le crâne d'un bébé. C'est bien ? C'est mal ? Un peu des deux ? Quel est l'âge du capitaine ?

C'est surtout que ça fait souffrir inutilement et qu'on se demande d'où vient cette hargne et comment on pourrait l'éviter du fait que ça ne présente aucun intérêt.

Parce que décréter que c'est bien ou que c'est mal, vous donnera peut-être l'âge du capitaine, à partir duquel vous pourrez débattre sur la peine à attribuer selon la loi du Talion, mais n'empêchera certainement pas qu'une autre fois le crâne d'un autre bébé sera cette fois écrasée dans un étau.

Chacun son truc, mais moi la loi du Talion, j'aime pas, parce que ça ne résout rien et que j'aimerais bien par contre qu'il y ait un peu moins d'écraseurs de crânes, ça me ferait bien plaisir !

Et puis ça fausse les calculs anthropométriques.

Ah ça, c'est terrible ;-)

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Chacun son truc, mais moi la loi du Talion, j'aime pas, parce que ça ne résout rien et que j'aimerais bien par contre qu'il y ait un peu moins d'écraseurs de crânes, ça me ferait bien plaisir !

Ca l'empêche de nuire définitivement, ça dissuade les mecs qui voudraient devenir écraseur de crâne de bébé parce qu'ils veulent pas finir au bout d'une corde.

C'est pas en le souhaitant qu'il y aura moins d'écraseur de crâne de bébé.

Franchement si tu ne penses pas qu'écraser le crane d'un bébé est mal, va directement à l'asile le plus proche.

Modifié par jamkan
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Ca l'empêche de nuire définitivement, ça dissuade les mecs qui voudraient devenir écraseur de crâne de bébé parce qu'ils veulent pas finir au bout d'une corde.

C'est pas en le souhaitant qu'il y aura moins d'écraseur de crâne de bébé.

Franchement si tu ne penses pas qu'écraser le crane d'un bébé est mal, va directement à l'asile le plus proche.

Tu parles, depuis le temps qu'on l'exerce cette loi du Talion, cette dualité, si c'était eficace, on n'assisterait pas en permanence aux pires horreurs.

Le problème est que tous les jours il se passe des trucs horribles, que nos prisons sont pleines et que ça n'a pas l'air de vouloir s'arranger.

Alors franchement, ça va améliorer quoi exactement que je déclare que c'est mal d'écraser la tête d'un bébé ?

Ca va te rassurer et t'éviter de m'envoyer à l'asile, mais pendant ce temps les écraseurs de tête de bébés continuent toujours.

C'est sûr on est hyper doués pour juger et papoter sur ce qui est bien ou sur ce qui est mal. Mais pour réfléchir au-delà et chercher des solutions en remontant à la source, c'est bizarre, il n'y a plus grand monde…

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Tu parles, depuis le temps qu'on l'exerce cette loi du Talion, cette dualité, si c'était eficace, on n'assisterait pas en permanence aux pires horreurs.

Le problème est que tous les jours il se passe des trucs horribles, que nos prisons sont pleines et que ça n'a pas l'air de vouloir s'arranger.

Alors franchement, ça va améliorer quoi exactement que je déclare que c'est mal d'écraser la tête d'un bébé ?

Ca va te rassurer et t'éviter de m'envoyer à l'asile, mais pendant ce temps les écraseurs de tête de bébés continuent toujours.

C'est sûr on est hyper doués pour juger et papoter sur ce qui est bien ou sur ce qui est mal. Mais pour réfléchir au-delà et chercher des solutions en remontant à la source, c'est bizarre, il n'y a plus grand monde…

Elle n'est pas appliquait, justement.

Je ne suis pas sur qu'elles soient pleines de criminels. Légaliser les drogues (pas de crime sans victime toussa) suffirait à faire beaucoup de place je pense.

Je n'aime pas les relativistes, et je pense sincèrement que les gens qui pensent qu'il n'y a ni bien ni mal ont un grain. Sérieusement, tu penses que le fait d'écraser des cranes de bébés n'est pas mal ?

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Elle n'est pas appliquait, justement.

Je ne suis pas sur qu'elles soient pleines de criminels. Légaliser les drogues (pas de crime sans victime toussa) suffirait à faire beaucoup de place je pense.

Je n'aime pas les relativistes, et je pense sincèrement que les gens qui pensent qu'il n'y a ni bien ni mal ont un grain. Sérieusement, tu penses que le fait d'écraser des cranes de bébés n'est pas mal ?

Lol de lol, bon alors on se repose jamkan ;-)

Je pense que c'est très très mal d'écraser le crâne d'un bébé et même mieux, c'est horrible et monstrueux.

Mais je pense surtout qu'une fois que j'ai dit ça, rien n'est résolu et donc retour à la case départ.

Là, ça va mieux comme ça ?

En aparté : M'enfin qui a mis sur le tapis cette histoire de crâne de bébé écrasé ? En voilà une drôle d'idée quand même…

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C'est surtout que ça fait souffrir inutilement et qu'on se demande d'où vient cette hargne et comment on pourrait l'éviter du fait que ça ne présente aucun intérêt.

Toi, tu trouves que c'est hargneux. Qui es-tu pour juger ainsi ?

Il y en a qui éprouve un plaisir certain à faire éclater des crânes d'enfant contre les murs.

Mon petit doigt me dit que pour toi est glop ce qui te plaît et pas glop ce qui t'ennuie.

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Tiens, à propos de valeurs, un jour qui ne devait pas être fait comme les autres, j'avais écrit ça :

L'économie en chiffres est à peu près un mystère.

Qui fait tourner la planche à billets et sur quels critères ?

Si bien que lorsqu'il s'agit des monnaies, leur fluctuation est probablement liée à un savant calcul, entre un PIB sans cesse en activité, comparé à un autre PIB et le tout influencé par l'achat et la vente de ces mêmes monnaies.

Jusque là, ça parait relativement simple, même si évidemment il faudrait encore être capable de formuler, même comprendre l'équation de ce savant calcul.

Mais qu'importe, du point de vue du strict bon sens, tout parait clair et juste quand même.

Là où ça se complique terriblement, c'est dés lors qu'il s'agit de détailler l'influence de telle action par rapport à une autre et donc d'analyser précisément chaque action sur la répercussion monétaire qu'elle pourrait engendrer, selon chaque acteur et ses motivations personnelles et collectives.

Par exemple, quelle est l'influence de la spéculation sur les monnaies ?

Monsieur X achète 1000€ en devise Euro, avec au départ de la devise Dollar.

Si la devise Euro = la devise Dollar, l'opération est blanche, il n'est ni gagnant ni perdant d'un point de vue personnel.

Mais d'un point de vue collectif, le capital 1000 Dollars appartenait au pays représentant le Dollar via son ressortissant Monsieur X. La zone Dollars a donc perdu 1000€ au profit de la zone Euros. Le PIB de la zone Dollars est donc diminué de 1000 Dollars, si bien que la monnaie Dollar est dépréciée d'autant.

Donc, lorsque le même Monsieur X rachètera 1000€ en devise Euro avec de la devise Dollar, la valeur Euro sera plus forte que la valeur Dollar.

De même, s'il s'agit d'acheter non plus de la monnaie mais une matière, si la valeur de cette matière est chiffrée en Euros ou en Dollars, cette valeur ne sera donc pas la même, puisqu'il faudra procéder à une conversion. Et précisément cette conversion n'est pas gratuite d'une zone à l'autre, puisqu'elle nécessite une intervention. Si bien que cette conversion vient directement renforcer la valeur matière.

Concrètement, admettons que au départ :

Si 1€ = 1$ alors 1000€ = 1000$

Si Monsieur X vend ses 1000$ au profit de l'Euro, alors il fait baisser de Y% la valeur du Dollar

Soit 1€ = 1$ - Y%

Ensuite Monsieur X veut acheter pour 1000€ de matière.

La matière est valorisée en Dollars.

Admettons que :

1000 matières = 1000 Dollars

Sachant que pour convertir ses Euros en Dollars, il aura un coût, il dépensera plus d'Euros qu'il n'en a investi au départ.

Soit 1000 matières = 1000€ + Z% = x Dollars

Le coût matière sera donc d'autant plus fort ou plus faible que la monnaie est elle-même plus forte ou plus faible.

Sachant que l'achat et la vente de cette monnaie impacte directement le coût matière, non plus en fonction de la quantité matière disponible, demandée et transformée, mais en fonction à la fois de la puissance de la monnaie corrigée par un taux de change, qui ce taux de change est étroitement lié aux taux d'intérêts sur les emprunts.

Qui détermine ce taux de change et les taux d'intérêts et selon quels critères ?

A priori, c'est l'état. Mais seulement à priori, puisqu'en réalité ce sont plutôt les banques et notamment les banques centrales qui interviennent.

L'encyclopédie nous dit que l'existence du commerce de banque d'une civilisation, suppose des conditions non seulement économiques et monétaires (existence d'une activité commerciale à financer et de capitaux à employer) mais aussi morales (non interdiction religieuse du prêt à intérêt). Le commerce de banque apparait dans l'histoire dés le IVe s. av. J.-C., en Grèce et les banquiers sont laïcs.

Les conditions économiques et monétaires sont donc actuellement contrôlées par les banques, tandis que les conditions morales sont censées être contrôlées par l'état.

L'état étant devenu le 1er emprunteur et le 1er débiteur, l'état a en réalité perdu tout contrôle valable sur les conditions morales de cette activité commerciale.

En effet, le volume d'emprunts en cours excède toujours plus celui de l'argent en circulation pour le rembourser. D'où un surendettement (une impuissance) des états et d'un nombre croissant d'individus, ainsi qu'un pouvoir sans cesse accru pour les principaux détenteurs de capitaux : pouvoir d'achat, de rente, de décision sur les orientations de l'économie.

D'où un régime dans lequel les forts taux d'intérêts n'ont de cesse à alimenter les premiers prêteurs, l'emprunt ne servant plus qu'à couvrir l'emprunt (rembourser la dette) et non plus à créer de nouvelles richesses.

D'où un afflux de monnaie excédentaire, qui alimente les bulles spéculatives, moteurs d'un marché condamné à croître toujours pour survivre.

D'où la circulation de monnaie coincée essentiellement au coeur de ces bulles spéculatives, bloquant ainsi tout autres leviers de croissances, qui pourraient être autres que des croissances mécaniques et matérielles, comme par exemple une croissance éthique, intellectuelle, harmonieuse et heureuse.

Nous revoilà donc face à une grande question davantage d'ordre moral que d'ordre strictement et purement économique, quand bien même les deux activités sont très étroitement liées.

En bon père de famille, comme le veut l'expression (désuète !), nous viendrait-il à l'idée de contracter un emprunt pour en rembourser un autre et ainsi de suite, jusqu'à ne plus léguer que dettes dont les générations suivantes hériteront comme un fardeau ? Est ce cela que nous voulons léguer à nos enfants ?

En réalité, nous sommes les représentants d'une civilisation dont le commerce de banque génère une croissance, croissance de dettes, quelle belle morale.

Mais enfin, après tout, si la dette ne s'arrête jamais, alors qu'importe la dette ?!

Sans vouloir remettre en cause l'existence du commerce de banque, comme certaines organisations le proposent, n'est ce pas plutôt le rôle de l'état qu'il faut repenser ?

Partant de là, il serait facile de confier le soin de répondre à cette question aux représentants de l'état lui-même.

Seulement, l'état c'est nous !

Qu'attendons-nous de l'état ?

Comment aider l'état à jouer son rôle ?

De quelle civilisation sommes-nous porteurs ?

Est ce que les acteurs de la banque et de la spéculation se posent ce genre de questions ?

Quelles sont leurs réponses dans un cadre autre qu'individuel, donc un cadre collectif ?

Quelle responsabilité de l'individu dans un cadre collectif ?

Pistes pour s'aider à se faire une opinion et à trouver des réponses ( Les liens mettent en avant deux manières différentes de voir les choses, les uns en renforçant la présence et le pouvoir de l'état, les autres en dénonçant les limites de l'état, avec à la clé des propositions différentes…) :

http://ami.du.laissez-faire.eu/_mises.php5

http://www.fauxmonnayeurs.org/

http://fr.wikipedia.org/wiki/Interventions_sur_le_march%C3%A9_des_changes

http://www.societal.org/dette/interets.htm

http://wiki.societal.org/tiki-index.php?page=Accueil

http://www.memo.fr/article.asp?ID=THE_ECO_002

http://fr.ekopedia.org/%C3%89cosoci%C3%A9talisme

http://lautbry.tripod.com/cpce/fr/ideologie/liberalisme.htm

http://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice_Allais

http://fr.liberpedia.org/Maurice_Allais

http://ami.du.laissez-faire.eu/theorie.php5

Ce n'est pas la guerre, c'est un équilibre en mouvement à réinventer sans cesse. Cet équilibre nous concerne.

Nous voyons bien au travers des pays où la civilisation du commerce de banque ne procure pas l'emprunt, que la dette de l'état n'en est pas pour autant moins lourde, voire peut-être plus grande encore et plus insoluble sur le long terme.

C'est donc que l'emprunt, la dette et la croissance ne sont pas nécessairement un frein, ni à l'individu, ni à la collectivité.

Ce ne serait donc pas tant sur une limite à définir selon de savants critères qu'il faudrait se baser, mais bel et bien sur les motivations de chacun qui dans l'ensemble forment un tout.

En effet, si la responsabilité du prêteur est pointée du doigt, ne faut-il pas en parallèle pointer du même doigt la responsabilité de l'emprunteur ?

Car de la même manière que le prêteur prête pour y gagner, l'emprunteur emprunte pour la même raison.

En cas d'échec, la responsabilité de l'un comme de l'autre est engagée et l'un comme l'autre doivent donc en supporter les conséquences.

A la base, il s'agit d'un échange, dont la logique voudrait qu'il se réalise dans un schéma gagnant/gagnant.

Les motivations de notre système individuel et collectif, sont elles logiques, généreuses et justes ?

Il parait clair que même si l'on n'y entend rien, ni en chiffres, ni en matière d'économie, chacun et donc l'ensemble est parfaitement capable de s'impliquer, de s'investir et de participer à rendre notre système plus juste, plus équilibré, plus équitable, plus généreux. A plus forte raison si l'on est directement acteur des chiffres et de l'économie, à condition de respecter la déontologie de l'échange.

La solution au devenir de notre système réside en cette déontologie de l'échange qui pourrait se concevoir comme lors d'une négociation gagnante :

  • Personne ne se sacrifie ou n'est sacrifié.
  • Le projet a pris en considération le contact entre les deux, individuel et collectif.
  • La relation a été définie comme une source de satisfaction mutuelle.
  • Les besoins et leur importance ont pris la place principale.
  • On a créé une solution pour satisfaire les besoins des deux partenaires.

La négociation créatrice à partir des besoins est la seule qui ne fait que des gagnants.

Ainsi vient de ce que l'une ou l'autre des parties, parfois les deux, négligent leurs besoins et le plus souvent, au seul prétexte pessimiste qu'il ne peut pas y avoir toujours que des gagnants.

Mais aussi et encore, du fait que bien souvent, il y a confusion dans les esprits, entre besoin, caprice, préférence, goût et désir.

Ainsi, nous n'avons certainement pas besoin de limites, mais de repères. La monnaie ne doit pas être limitée, ni la volonté de croissance, car limiter la monnaie et la croissance ne fournit pas une repère, même si cette limite satisfait un désir de garder les pieds sur terre sans partir dans l'infini des chiffres, le désir n'est pas le besoin. Le repère est donc bien de donner une valeur à la monnaie, en cohérence avec des réalités tangibles, contrôlées et vérifiées. Ainsi, nous avons besoin de palper la monnaie, de la contrôler et la vérifier. Même si notre préférence, notre caprice, notre goût nous pousse à la spéculation, la spéculation est difficilement palpable. Elle ne peut donc répondre entièrement à notre besoin.

Hors nous observons que la spéculation règne en maître sur la monnaie, au détriment de notre besoin de repères.

Ce n'est donc pas que la bourse et les acteurs du système boursier gagnent autant d'argent qu'il faut dénoncer, tant mieux, c'est qu'il sont doués, donc bravo à eux.

C'est bien plutôt qu'il manque de monnaie en circulation dans bien d'autres rouages et ce manque, manque justement au premier principe de l'échange qui consiste à ce que personne ne se sacrifie et que personne ne soit sacrifié.

Nous avons besoin de repères pour reprendre confiance et si le système de spéculation règne en maître, au point que la planche à billet ne sert plus à rien, puisque 1000€ ne vaut pas 1000€, puisque plus aucune matière ne peut être réellement quantifiée en valeur monétaire, la monnaie et la matière étant trop fluctuantes, il est normal que la confiance soit en berne. Comme il est normal que cette perte de confiance provoque par ricochet un affolement des marchés, au profit de la spéculation.

Dans ces conditions, le seul repère sur lequel l'individu comme la collectivité puissent miser, c'est l'humain.

Parce que l'humain n'a aucun intérêt, ni à se sacrifier, ni à être sacrifié.

Parce que l'humain a toujours un projet et qu'il est capable de le mettre en contact entre son besoin individuel et le besoin collectif.

Parce que l'humain est doté le plus souvent d'un caractère généreux et juste.

Parce que l'humain si on l'y sollicite est capable d'identifier ses besoins et de les mettre au coeur de sa problématique.

Parce que l'humain n'est jamais un être isolé, il est un être social.

Concrètement, l'humain n'a pas de prix, alors puisque c'est le principe de la spéculation de fluctuer et croître, spéculons sur les valeurs humaines !

Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des idées ?

Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des inventions ?

Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des créateurs ?

Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des philosophes ?

Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des autodidactes ?

Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des bénévoles ?

Pourquoi ne pas créer une valeur boursière des arts ?

Bref, créer une valeur boursière de tout ce qui n'est à ce jour pas ou peu reconnu, pas assez valorisé, qui reste en marge dans le système actuel, qui reste inexploité, en friche. Défrichons, il y a encore à faire !

Un trader, un actionnaire, une banque, l'état, n'importe quel acteur du système spéculatif et économique pourrait parrainer un ou plusieurs porteurs d'idées, porteurs d'inventions, porteur de créations, porteur de philosophie, porteur d'expériences, porteur d'aides, d'art… Et se charger de créer la valeur boursière que chaque filleul, indépendant ou groupé, représente.

Ainsi, une partie des récompenses attribuées aux seuls bénéficiaires de la spéculation pourraient être remises en circulation, selon un schéma dispensé de tout versement fiscal, afin d'en favoriser la libre circulation.

Il ne s'agirait pas d'un mécénat comme il en existe déjà, parce que le mécénat n'est pas une valeur boursière spéculative et demeure trop élitiste. Il faut faire entrer en bourse de vraies valeurs humaines, pour regagner la confiance et par ceux-là mêmes qui sont aujourd'hui montrés du doigt, pour que les deux parties, individuelles et collectives soient gagnantes.

Le tout pourrait être favorisé par le WEB, qui est capable de mettre en relation comme on peut l'observer via les sites de rencontres amoureuses. Si deux personnes d'univers complètement différents peuvent se rencontrer par l'intermédiaire d'un site de rencontres, elle peuvent tout aussi bien le faire dans un cadre strictement économique, hors des réseaux sociaux qui finalement n'ont pas véritablement de vocation hormis s'afficher, bavarder, s'amuser et en substance s'enrichir d'informations comme sur TWITTER et sans que cela soit non plus une plate forme virtuelle avec des personnages fictifs. Il faut que cela devienne réel !

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Écraser à coups de marteau le crâne d'un bébé. C'est bien ? C'est mal ? Un peu des deux ? Quel est l'âge du capitaine ?

ça dépend du bébé.

Et de la marque du marteau. J'espère que c'est un marteau d'origine française, fabriqué dans une de nos belles régions française, par un ouvrier bien français, bien syndiqué !

(au pire, un marteau d'origine belge, mais ça se discute…)

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Toi, tu trouves que c'est hargneux. Qui es-tu pour juger ainsi ?

Il y en a qui éprouve un plaisir certain à faire éclater des crânes d'enfant contre les murs.

Mon petit doigt me dit que pour toi est glop ce qui te plaît et pas glop ce qui t'ennuie.

Ouh la, va falloir qu'on ait une petite conversation sérieuse avec ton p'tit doigt !

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Je crois pas, vous n'avez pas été présentés…

Dans ce cas, ton p'tit doigt te raconte des histoires à dormir debout, à propos de quelqu'un qu'il ne connait même pas.

Umh……..à ta place, ce p'tit doigt, je m'en méfierais, c'est un p'tit malin ;-)

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Seulement, l'état c'est nous !

Non angry3.gif

Qu'attendons-nous de l'état ?

Rien dry.gif

Comment aider l'état à jouer son rôle ?

Il faut pas l'aider il faut le détruire devil.gif

Pour l'écrasage de crane de bébé, il faudrait savoir, un coup tu dis qu'il n'y a ni bien ni mal, qu'il faut aller au-delà puis tu dis que c'est très mal toufou.gif

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…ton p'tit doigt te raconte des histoires à dormir debout, à propos de quelqu'un qu'il ne connait même pas.

Il te lit.

Et apprend, grâce à toi, que le bien et le mal, ça sert trop à rien. Par contre, il découvre que tu n'aimes pas que l'on écrabouille la tête des nenfants.

Il conclut que ton système de valeurs dépend un peu beaucoup de tes hormones.

En toute confidence, il me demande pourquoi tu ne reprendrais pas un peu les bases depuis le début.

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Non angry3.gif

Rien dry.gifIl faut pas l'aider il faut le détruire devil.gif

Pour l'écrasage de crane de bébé, il faudrait savoir, un coup tu dis qu'il n'y a ni bien ni mal, qu'il faut aller au-delà puis tu dis que c'est très mal toufou.gif

jamkan, où ai-je écrit qu'il n'y a ni bien ni mal ?

C'est une pure interprétation de ta part, relis bien.

En gros, j'ai dit que la dualité, juste regarder les choses par la lorgnette du bien ou du mal ne suffit pas et qu'il faut aller au-delà.

Quant à l'état, je ne vois pas très bien comment une organisation sans état peut être organisée.

Pour moi, le rôle de l'état doit être limité au strict minimum, mais il faut un état, sinon c'est le bordel assuré.

Et plus précisément, je pense que le rôle de l'état concerne essentiellement tout ce qui a trait à la justice et au maintien de l'ordre justement.

Mais peut-être que je me trompe. Je ne prétends en aucune façon détenir une quelconque vérité.

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Il te lit.

Et apprend, grâce à toi, que le bien et le mal, ça sert trop à rien. Par contre, il découvre que tu n'aimes pas que l'on écrabouille la tête des nenfants.

Il conclut que ton système de valeurs dépend un peu beaucoup de tes hormones.

En toute confidence, il me demande pourquoi tu ne reprendrais pas un peu les bases depuis le début.

Déjà merci à ton p'tit doigt de me lire, il m'honore !

Par contre, pour les hormones, c'est clair que mon système de valeurs n'appartient qu'à moi et pas au père Noël, alors oui mes hormones y jouent un rôle ;-)

En même temps, ce qu'il y a de formidable avec les hormones, c'est qu'on en est tous dotés, alors de ce côté là, on peut se considérer comme semblables, pas égaux du tout, mais ressemblants quelque part !

Si bien que je me demande dans quelle mesure les tiens t'influencent ?

Quant aux bases dont tu parles, peux-tu m'éclairer, parce que je ne pense pas t'avoir bien compris ?

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Mon petit doigt me dit que pour toi est glop ce qui te plaît et pas glop ce qui t'ennuie.

…c'est clair que mon système de valeurs n'appartient qu'à moi…

CQFD.

Quant aux bases dont tu parles, peux-tu m'éclairer…

Aristote, Droit naturel, toussa…

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