Aller au contenu

Presse française 10x plus subventionnée qu'en Europe


Messages recommandés

Salut.

 

Est lá un journal français fiable? Et libérale?

 

(Je connais contrepoints).

 

Merci.

 

"Is there" a good french newspaper you mean ? Is there is translated by "Y a t'il" or "Est-ce qu'il y a"

Non, malheureusement. Peut être "l'Opinion" si on est pas trop exigeant. Et à la télé, il y a quelques journalistes à BFM Business comme Nicolas Doze

Lien vers le commentaire

"Is there" a good french newspaper you mean ? Is there is translated by "Y a t'il" or "Est-ce qu'il y a"

Non, malheureusement. Peut être "l'Opinion" si on est pas trop exigeant. Et à la télé, il y a quelques journalistes à BFM Business comme Nicolas Doze

 

Oui, "Is there a good/trustworth" journal?

 

Merci pour votre réponse. Je vais vérifier.

Lien vers le commentaire

Ou peut-être que les journaux "de droite" ne visent pas le même segment (la Croix/les Echos et Valeurs Actuelles n'ont pas nécessairement le même lectorat), alors que les journaux de Gauche visent le même public, d'où concurrence accrue? Si ce même public se fait un peu moins nombreux, la pénurie se fait sentir plus vite et plus fort.

Lien vers le commentaire

Il y a longtemps que "La Croix" n'est plus à droite (au moins 20 ans!). Quant à "Les Echos", le journal me semble plutôt centre gauche.

Valeurs est clairement de droite mais expose la face sale, celle qui pue. Comme c'est la moins représentée et qu'elle exacerbe le côté pourri des individus, il est logique que ce torchon progresse.

Les autres journaux ont investi le même créneau: le politiquement correct, le petit doigt sur la couture du pantalon. ça lasse.

Lien vers le commentaire

Au final, 80% de journalistes de gauche dans un pays où celle-ci fait 50% aux élections présidentielles, il y avait un petit problème de surproduction de contenus de gauche.

Maintenant je dis pas, l'offre de droite n'est pas géniale non plus.

Lien vers le commentaire

L'opinion est ce qui s'en rapproche le plus.

 

Mais c'est surtout un truc de droiteux-affairistes.

 

Oui, "libéral, européen, pro-business". 

 

 

VA qui fait de plus en plus d’audience, c'est quand meme pas bon signe non plus.

 

 

 

La politique du magazine par Yves de kerderel et J-C Dassier (un mec de l'OM, comme par hasard).

 

On est allé voir pourquoi Valeurs actuelles a été rebaptisé Valeurs poubelle

12 septembre 2013

 

Il y a eu "La déferlante Marine Le Pen", "L’école malade de la gauche", "L’incapable" avec une large photo de François Hollande ou encore la dénonciation de "La chasse à l’homme" menée contre Nicolas Sarkozy.

 

Mais il y a surtout eu "Roms : l’overdose", cette une du 22 août de Valeurs actuelles qui a indigné les réseaux sociaux et entrainé un communiqué du Parti socialiste : le magazine y était rebaptisé “Valeurs poubelles”.

 

Valeurs actuelles connait sa réputation. “On nous traite de journal très à droite ou d’extrême-droite”, constate sans s’en émouvoir Yves de Kerdrel, à la fois directeur général et directeur de la rédaction du magazine, diffusé aujourd'hui à 92.000 exemplaires. Quelques mois plus tôt, le magazine ne faisait pourtant pas de vague. A titre de comparaison, son numéro d’août 2010 parlait déjà des Roms mais avec cette une bien plus neutre :”Enquête sur les Roms, qui sont-ils ? Que font-ils ?”

 

ans une conférence hebdo de Valeurs actuelles, les questions politiques et de société tiennent une place centrale. Ce sont elles qui éveillent les journalistes - une quinzaine réunie autour de la longue table ovale, peu de jeunes premiers - et qui suscitent le débat. On y parle peu querelles de personnes et beaucoup valeurs politiques.

 

On y évoque Marseille et "la tolérance zéro" qu’il faudrait appliquer dans les quartiers, "comme à New York", parce que "l’éducation c’est bien, mais c’est dans dix ans". On s’interroge sur les valeurs qui divisent la droite, sur l’impact de la Manif pour tous dans l’évolution de l’UMP, on parle "ligne Buisson" et, d’ailleurs, on aimerait bien lui accorder une interview. On réfléchit au "communautarisme", à ces parties de France "laissées à l’abandon". On se souvient que la démographe Michèle Tribala - celle qui estime par exemple que "l’islam reste une menace" - a planché sur la naturalisation.

 

Rien d’extrême-droite là-dedans, poursuit Yves de Kerdrel qui dresse ainsi le portrait de son lectorat :

 

"Le profil type est un Français bourgeois, rural, de profession libérale, avec des préoccupations très provinciales. Il est contre le politiquement correct et contre le parisianisme".

 

En revanche, le lecteur de Valeurs actuelles vote assez peu FN. "Beaucoup moins que celui du Figaro Magazine ou de Marianne", tient d’ailleurs à souligner le directeur de la rédaction, qui n’en est pas à son premier canard :

 

"La dernière étude typologique nous a montré que seuls 13% de nos lecteurs avait l’intention de voter Front national".

 

Pour être sûr de ne pas être assimilé au FN, Yves de Kerdrel raconte même avoir refusé de faire une campagne de pub propre à Marseille, ville où se tiendront les universités d’été du parti mi-septembre, car la dernière une du magazine aurait pu créer une confusion : "il ne fallait pas prendre le risque d’être confondu avec une affiche électorale."

 

Quelques pincettes donc. Mais à part ça, le magazine assume, et même revendique, ses unes "choc". Il faut dire que cette nouvelle titraille entre dans une stratégie plus globale de nouvelle formule, imaginée avec l’arrivée d’Yves de Kerdrel en octobre 2012 et lancée en janvier 2013. Refondation de la maquette mais aussi changements éditoriaux pour mieux vendre en kiosques.

 

Et les unes choc, résumées dans la bouche de Jean-Claude Dassier, le vice-président du magazine, cela donne ça :

 

"C’est de la provocation, on le fait exprès évidemment. Dans les kiosques, il faut comprendre qu’on est rangé entre Alternatives économiques et Jeune Afrique.Quand on est petit au fond d’une classe, il faut bien être un peu turbulent pour se faire remarquer… ça n’empêche pas de rendre des copies intelligentes".

 

Partant du principe que l’acte d’achat en magasin est influencé pour moitié par la une, Valeurs actuelles a sciemment misé sur le “buzz” (et le mot vient d’eux). La stratégie a l’air de fonctionner : 47% de ventes en plus en kiosques selon le dernier bulletin annuel de l’OJD, soit 14.000 numéros en août.

 

Pendant longtemps, ces ventes en kiosques sont restées marginales - "seulement 4.000 exemplaires vendus durant vingt ans", raconte Yves de Kerdrel - pour un journal vivant de sa “culture de l’abonnement”, grâce à une base d’environ 80.000 abonnés. Depuis février 2013 tout particulièrement, la grande nouveauté pour Valeurs actuelles est donc d’être choisi au milieu des autres.

 

Sur le web, la “turbulence” est également soigneusement entretenue. C’est Louis de Raguenel, ancien conseiller numérique au cabinet de Claude Guéant et pour la police nationale, qui s’en charge :

 

"On essaye de créer de l’appétit sur les unes, les articles ou les sondages, on fait du teasing"

[...]

 

 

 

http://lelab.europe1.fr/on-est-alle-voir-pourquoi-valeurs-actuelles-a-ete-rebaptise-valeurs-poubelles-10687

 

 

Par contre, je n'ai pas vraiment suivi la vente aux amis de Sarkozy:

 

« Valeurs actuelles » en passe d’être vendu

22.04.2015

 

Etienne Mougeotte savoure son joli coup. À 75 ans, l’ancien vice-président de TF1 s’apprête à mettre la main sur Valeurs actuelles, qu’il qualifie de « magazine de droite de référence ». Mercredi 22 avril, l’hebdomadaire a confirmé des négociations exclusives entre son propriétaire, le groupe pharmaceutique Pierre Fabre, et la société Privinvest Médias, en vue d’une cession qui « pourrait être effective d’ici fin juin ».

 

Derrière Privinvest - une société créée pour l’occasion - se trouvent M. Mougeotte ainsi que son financeur, l’homme d’affaires franco-libanais Iskandar Safa, et Charles Villeneuve, lui aussi ancien cadre de TF1, et résident, comme M. Safa, de Mandelieu-la-Napoule (Alpes-Maritimes).

 

Une surprise

 

L’arrivée du trio dans ce dossier est une surprise. Selon nos informations, les premiers contacts dateraient de trois semaines à peine, à l’initiative de Jean-Claude Dassier, lui aussi ancien cadre de TF1, et administrateur de Valeurs actuelles. Autre passerelle : Etienne Mougeotte connaît bien Yves de Kerdrel, le directeur du titre, pour l’avoir côtoyé au Figaro. M. De Kerdrel devrait d’ailleurs rester en place une fois la vente actée.

 

Les trois hommes sont à l’affût des opportunités dans la presse. Ils avaient tenté de racheter le groupe Nice-Matin à l’automne dernier et manifesté, fin 2014, un intérêt pour L’Express, avant son rachat par Patrick Drahi. « Nous avons l’idée de commencer à constituer un groupe média », dit M. Mougeotte.

 

Riche, M. Safa est un « acteur multi-investisseur », comme le qualifie un expert du secteur, déjà présent dans les chantiers navals, le transport maritime, l’immobilier, le pétrole et le gaz. « Mougeotte et Villeneuve l’ont sans doute convaincu qu’il y avait des opportunités » dans les médias, pense cet expert.

 

Valeurs actuelles en est une. Son propriétaire, le groupe Pierre Fabre, cherchait depuis plusieurs mois à céder son activité presse, rassemblée dans le groupe Valmonde (Valeurs actuelles, Jours de Chasse et Jours de Cheval), qu’il a redressé après l’avoir racheté, en 2006, au groupe Dassault.

 

Surtout, Valeurs actuelles est le seul « news magazine » à s’être développé depuis 2012 et l’arrivée de la gauche au pouvoir. Récemment distingué par l’OJD pour avoir connu la plus forte progression de diffusion en 2014 (+ 16,5 % avec 110 096 exemplaires de diffusion France payés), il est rentable.

 

Sous la direction d’Yves de Kerdrel, arrivé en 2013, le journal incarne une opposition frontale et multiplie les couvertures « choc » sur l’islam ou l’immigration, autant de signaux envoyés à un électorat de droite radicalisé et parfois tenté par le Front national.

 

 

Cette ligne éditoriale l’a, par deux fois, conduit devant la justice. Le titre a été condamné en mars pour provocation à la discrimination, la haine ou la violence envers les Roms et diffamation pour un dossier intitulé « Roms l’overdose ». En février, il a également été condamné pour provocation à la discrimination envers les musulmans, pour une couverture présentant une Marianne voilée. Valeurs actuelles a fait appel de ces deux condamnations.

 

L’ombre de l’extrême droite

 

La cession à venir a-t-elle un sens politique ? Les enregistrements de Patrick Buisson, dévoilés dans la presse, ont révélé la grande proximité entre Nicolas Sarkozy et M. Mougeotte, quand celui-ci dirigeait Le Figaro. Aujourd’hui, celui-ci concède conserver des « échanges épisodiques » avec l’ancien président, « comme avec Juppé, Le Maire, Fillon ou des gens du FN, car ils sont dans le jeu politique. »

 

À l’automne, deux hommes d’affaires ayant des connexions avec l’extrême droite, Alain Lefebvre et Jean-François Michaud, avaient examiné le dossier. L’autre candidat connu au rachat de Valeurs actuelles a été le patron du groupe Fiducial, Christian Letouche, qui a parfois côtoyé l’extrême droite (il avait notamment participé, en 2003, à l’université du Mouvement national républicain de Bruno Mégret).

 

À un an de la primaire à droite, le lectorat de Valeurs actuelles, qui gravite entre la droite traditionnelle et le Front national, est un enjeu majeur. Mais « ce ne sera ni une succursale, ni une écurie présidentielle, promet M. Mougeotte. Que le meilleur gagne ! »

 

 

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/04/22/valeurs-actuelles-en-passe-d-etre-vendu_4620614_3236.html

Lien vers le commentaire

Tiens, vous savez si Charlie Hebdo, le Figaro ou le Monde ont été condamnés pour incitation à la haine raciale?

Pour l'amour du LOL, c'est important.

Charlie Hebdo, oui, son dirlo a été condamné (pour un truc qui fait qu'il n'aurait pas droit aux subventions dans le nouveau cadre).

Lien vers le commentaire

Oui, "libéral, européen, pro-business". 

 

Droiteux affairistes je sais pas, ces 3 mots leurs conviennent très bien. Il y a effectivement un ton libéral et une critique en fond de l'Etat. Après, c'est pas du h16 non plus, ni du militantisme, c'set du libéralisme modéré (mais réel).

 

Il y a longtemps que "La Croix" n'est plus à droite (au moins 20 ans!). Quant à "Les Echos", le journal me semble plutôt centre gauche.

 

Je le classerai plutôt centre-droite, perso. Eux non plus n'hésitent pas à balancer quelques boulets. Je vois mal un journal de gauche parler sans tabou de supprimer le smic, les 35h, etc.Bon par contre sur le RC, c'est franchouille.

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

Je ne savais où poster ceci...sur les comptes twitter d'informations : http://www.liberation.fr/futurs/2015/11/17/sur-twitter-le-sprint-a-l-info_1414127

 

 

«On ne s'improvise pas agence» Grégoire Lemarchand, responsable des réseaux sociaux au sein de l’AFP, observe ces nouveaux acteurs avec un brin de défiance. «Généralement, ils vont prendre ce que nous diffusons chez nos clients, mais bon, c’est le jeu, personne n’est propriétaire de l’information. Ce qui est plus gênant, c’est qu’ils sont souvent mis par les internautes sur un pied d’égalité avec les autres médias.»

 

Ubérisation de l'information :mrgreen: ...ça ne plait pas à l'AFP tout comme UberPop ne plaisait pas aux taxis. "On ne s'improvise jamais" "il faut du savoir-faire qu'on n'acquiert pas comme ça" blabla...same as usual.

  • Yea 4
Lien vers le commentaire

Oui, "libéral, européen, pro-business".

La politique du magazine par Yves de kerderel et J-C Dassier (un mec de l'OM, comme par hasard).

http://lelab.europe1.fr/on-est-alle-voir-pourquoi-valeurs-actuelles-a-ete-rebaptise-valeurs-poubelles-10687

Par contre, je n'ai pas vraiment suivi la vente aux amis de Sarkozy:

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/04/22/valeurs-actuelles-en-passe-d-etre-vendu_4620614_3236.html

Mougeotte a déjà réussi à couler le figaro et risque donc de faire de même avec VA, c'est un type qui roule pour Hollande pas possible autrement.

Lien vers le commentaire

Personne n'aime perdre ses privilèges.

Mais ce monsieur Lemarchand reste assez honnête, il n'a pas l'air de demander des interdictions ou une intervention extérieure.

Pas besoin, il bosse pour une boîte publique. Le contribuable renflouera.

Lien vers le commentaire

Mougeotte a déjà réussi à couler le figaro et risque donc de faire de même avec VA, c'est un type qui roule pour Hollande pas possible autrement.

Il fut quand même un temps où il était surnommé Rougeotte, hein.

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

Un soupçon de mauvaise foi :

Le Monde.fr - Elections régionales : Marine Le Pen s’embourbe dans sa guerre contre « La Voix du Nord »

La candidate du FN affirme que le quotidien, qui lui est défavorable, est « lié » à son adversaire Xavier Bertrand, quitte à une nouvelle fois déformer les faits.

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/11/30/marine-le-pen-promet-de-supprimer-des-subventions-a-la-presse-inexistantes_4820714_4355770.html

Lien vers le commentaire
  • 5 months later...

 

Les salariés de L'Humanité, qui craignent la disparition de leur journal, se rendront mercredi au Sénat pour réclamer une aide d'urgence et une réorientation des aides à la presse au profit des journaux "en réelles difficultés".

Les salariés, qui seront devant le Sénat mercredi à 18H30 à l'occasion de l'examen de la proposition de loi sur l'indépendance et le pluralisme des médias, ont demandé à être reçus par Catherine Morin-Desailly, la présidente de la commission Culture, Éducation et Communication, indiquent-ils dans un communiqué envoyé mardi.

"L'Humanité, notre journal, connaît depuis plusieurs mois une crise financière grave qui met son existence en péril. Outre qu'elle aurait des incidences sur l'emploi de plus de 200 salariés, journalistes, employés et cadres, sa disparition serait une grave atteinte au pluralisme des idées et à l'expression de la démocratie", écrivent les salariés dans un courrier envoyé à la sénatrice.

Ils y réclament "une aide d'urgence, débloquée sur les fonds d'aide à la presse, comme cela s'est fait par le passé pour d'autres titres, qui permette à notre journal de restaurer sa trésorerie immédiatement".

Autre demande : "un plan de réorientation des aides à la presse, reprises en main par l'Etat, qui garantisse la survie de l'Humanité comme de tous les journaux en réelles difficultés".

"Devant le phénomène de concentration des titres aux mains de quelques-uns, nous estimons qu'il est du rôle des pouvoirs publics de prendre toutes les mesures pour garantir l'existence et la liberté de la presse en veillant à une répartition des aides plus équitable, ce que la loi que vous êtes en train d'examiner passe sous silence", poursuit ce courrier signé des salariés de la Société nouvelle du journal l'Humanité et de l'intersyndicale.

Le quotidien, qui vient de fêter ses 112 ans et emploie plus de 200 salariés, journalistes, employés et cadres, fait face à de graves difficultés financières qui l'ont obligé à lancer plusieurs appels aux dons.

Le directeur du quotidien, Patrick Le Hyaric, avait estimé le mois dernier que le journal perdait 50 centimes d'euros par exemplaire vendu.

Fin 2015, L'Humanité vendait en moyenne 37.000 exemplaires par jour, une baisse de 3% par rapport à 2014.

 

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...