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  • l'expérience montre que lorsqu'une partie de l'Etat est en difficulté économique, la variable d'ajustement est le peuple français, jamais l'Etat (alors que dans une entreprise, une famille, c'est celui à qui il manque de l'argent qui réagit en baissant ses dépenses). Par conséquent si tout le monde réclame par exemple le RSA, mais que l'Etat ne peut pas faire face par manque de budget, alors le RSA verra son montant gelé pour quelques années le temps de résorber la difficulté. Et ce alors que le coût de la vie augmente. La victime sera ici à 100% le peuple français.
Justement, c'est vrai tant que le peuple peut être une variable d'ajustement. Y'a quelques bonnets rouges qui montrent qu'ils ne veulent plus trop. Après, on y croit, on n'y croit pas, mais c'est un autre débat.

De toute façon, le peuple est TOUJOURS la victime. Tout le temps. L'état, c'est aussi une partie du peuple.

  • Proposer une telle chose diminue les chances de redressement du pays :
Tu pars du principe qu'il y a une chance de redressement et que celle-ci se traduit par une action concrète.

J'attends de voir ça.

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je ne vois pas ce qu'il y a de si terrible a reconnaitre qu'on ne peut rien faire , rien de rien de rien.

+1

Mais il y a tout de même une chose à faire: sauver ses miches. C'est un sujet d'action très concret, avec des réponses concrètes, et c'est même primordial son on veut pas mourir étouffé sous les décombres quand le toit va s'écrouler.

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je ne vois pas ce qu'il y a de si terrible a reconnaitre qu'on ne peut rien faire , rien de rien de rien.

La deconfiture de la fRance est d'un ordre inaccessible a l'individu.C'est un torrent, Saint-Laurent sized.Les liberaux avec leur petite barque sont au maximum esthetiques.

Voire, s'ils deviennent un rien visible, un chiffon rouge utile aux collectiviseurs.

 

Pour ma part, j'en reste aux sages paroles de Dardanus : à la fin, ce qui se passe, c'est ce que personne n'avait prévu.

 

Ni jeun'reveur ni groblasé.

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Tu pars du principe qu'il y a une chance de redressement et que celle-ci se traduit par une action concrète.

J'attends de voir ça.

Parce qu'il y a toujours un espoir jusqu'à la dernière seconde. J'en ai vu des boîtes passer cinq fois à un cheveu de la faillite et qui ont été revendues très cher après redressement.

Et même quand il n'y à plus aucun espoir on peut toujours appeler le capitaine Flam.

Bref : le scénario de la chute de la France plait a beaucoup trop de monde à mon goût. Il n'a rien de certain en plus.

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C'est pas très compliqué d'envoyer des douzaines de lettres pour des associations bidons qui demanderaient des subventions. Chaque lettre qui pénètre par un bout du ministère suit un parcours complexe avant refus, et rien n'interdit de faire du spamming (ce n'est même pas illégal).

Si tu souhaites donner une excellente raison au ministre de recruter pour pallier cet afflux c'est une bonne idée.

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Parce qu'il y a toujours un espoir jusqu'à la dernière seconde. J'en ai vu des boîtes passer cinq fois à un cheveu de la faillite et qui ont été revendues très cher après redressement

Mais on ne parle pas d'une entreprise, on parle d'un corps parasitaire qui a patiemment placé ses pions partout depuis des décennies. Dans une boîte, tout le monde coopère pour atteindre le même but. Ici on parle de reformer des structures qui travaillent contre les citoyens avec l'argent des citoyens.

En gros, pour que ça se produise, il faudrait un homme providentiel à Matignon, avec la pleine confiance du président pour faire passer tous les décrets nécessaires en court-circuitant le parlement. Ensuite il faudrait que l'administration applique ces décrets avec diligence, sachant qu'une partie de ces décrets aurait pour but d'alléger l'administration.

En fait le scénario c'est "François Hollande se rend compte qu'il faut donner un sursaut, redynamiser le pays, libérer les forces vives de la nation. Il décide de nommer Denis Payre premier ministre".

Ça ferait un chouette film, catégorie fictions...

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Mais on ne parle pas d'une entreprise, on parle d'un corps parasitaire qui a patiemment placé ses pions partout depuis des décennies. Dans une boîte, tout le monde coopère pour atteindre le même but. Ici on parle de reformer des structures qui travaillent contre les citoyens avec l'argent des citoyens.

En gros, pour que ça se produise, il faudrait un homme providentiel à Matignon, avec la pleine confiance du président pour faire passer tous les décrets nécessaires en court-circuitant le parlement. Ensuite il faudrait que l'administration applique ces décrets avec diligence, sachant qu'une partie de ces décrets aurait pour but d'alléger l'administration.

En fait le scénario c'est "François Hollande se rend compte qu'il faut donner un sursaut, redynamiser le pays, libérer les forces vives de la nation. Il décide de nommer Denis Payre premier ministre".

Ça ferait un chouette film, catégorie fictions...

Un fonctionnaire français fonctionne simplement : tu peux lui demander de pondre un décret sur la recette de la ratatouille, un rapport sur les retraites de la fonction publique ou bien faire la rafle du Vel d'Hiv il exécutera tout. Reste à lui donner le ordres adéquats.

Sans parler du fait que sur 100 fonctionnaires 10 au moins sont intelligents. Si il ne doivent plus qu'être 10 au lieu de 100 ces 10 la s'arrangeront pour sauver les meubles pendant que les 90 autres dégageront.

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Un fonctionnaire français fonctionne simplement : tu peux lui demander de pondre un décret sur la recette de la ratatouille, un rapport sur les retraites de la fonction publique ou bien faire la rafle du Vel d'Hiv il exécutera tout. Reste à lui donner le ordres adéquats.

Sans parler du fait que sur 100 fonctionnaires 10 au moins sont intelligents. Si il ne doivent plus qu'être 10 au lieu de 100 ces 10 la s'arrangeront pour sauver les meubles pendant que les 90 autres dégageront.

Je ne crois pas un seul instant que ça soit possible, et je ne vois pas comment les conditions pour en arriver là pourraient être remplies. L'avenir nous dira tout.

 

... n'hésite pas à détailler !

Le post de Théor est une bonne liste détaillée, mais je ne garderais que la partie agorisme, à laquelle j'ajouterais: expatriez-vous. Pas forcément loin, mais dans un pays qui va un peu mieux et qui est capable de se réformer.

Sauvez vos miches, tout ce qui vous attend en France ce sont de longues années de sacrifices et de souffrance pour entretenir un système en déliquescence.

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Mais on ne parle pas d'une entreprise, on parle d'un corps parasitaire qui a patiemment placé ses pions partout depuis des décennies. Dans une boîte, tout le monde coopère pour atteindre le même but. Ici on parle de reformer des structures qui travaillent contre les citoyens avec l'argent des citoyens.

Que nenni, un fonctionnaire, il bosse pour les memes raisons q'un salarié, et grosso merdo de la meme maniere, il faut ce qu'on lui demande, il obéis à sa hierarchie, et en échange, tous les mois, il à du pognon, rien de plus, rien de moins.

Il ne faut pas confondre les syndicats de fonctionnaires avec les fonctionnaires.

Si tu donne de l'autonomie relative locale à des cadres fonctionnaires (pas les grouillots, les responsables de site en gros), et des objectifs, et un budget, et une rémunération aux objectifs, ils bossent comme dans le privé, et ceux qui n'y arrive pas se font remplacer par celui de leurs sous-fifres qui à la bonne mentalité, c'est pas un probleme.

Qu'il y ai une inertie considérable, c'est indubitable, mais c'est lié à la masse considérable des entreprises publiques, pas à un statut particulier.

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Que nenni, un fonctionnaire, il bosse pour les memes raisons q'un salarié, et grosso merdo de la meme maniere, il faut ce qu'on lui demande, il obéis à sa hierarchie, et en échange, tous les mois, il à du pognon, rien de plus, rien de moins.

Il ne faut pas confondre les syndicats de fonctionnaires avec les fonctionnaires.

Si tu donne de l'autonomie relative locale à des cadres fonctionnaires (pas les grouillots, les responsables de site en gros), et des objectifs, et un budget, et une rémunération aux objectifs, ils bossent comme dans le privé, et ceux qui n'y arrive pas se font remplacer par celui de leurs sous-fifres qui à la bonne mentalité, c'est pas un probleme.

Qu'il y ai une inertie considérable, c'est indubitable, mais c'est lié à la masse considérable des entreprises publiques, pas à un statut particulier.

Le corps parasitaire c'est pas uniquement les fonctionnaires mais aussi les décrets, règlements, régulations, et bien évidemment leurs syndicats. C'est tout ça qu'il faut réformer.

 

De plus tu parles d'entreprises publiques, et c'est effectivement assez similaire au fonctionnement d'une privée (avec juste 50% de gras en plus), mais il faut aussi penser aux administrations. La plupart des postes administratifs seraient inutiles si une réforme sérieuse était entreprise, et ils ne se laisseraient certainement pas mettre au chômage aussi facilement.

 

Ouvrez les yeux, c'est la mentalité française qui est comme ça. Même une boîte privée comme Doux, faut voir jusqu'à quels extrêmes sont prêts à aller les syndicats et les employés pour tenter de sauver leurs emplois. Vous imaginez le tableau si demain vous annoncez que 5.000 postes administratifs vont être supprimés ?

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Outre le caractère moralement très discutable de la proposition il existe plusieurs petits soucis :

  • l'Etat n'est pas réductible à une bête, la métaphore simplifie considérablement le problème. Par exemple, parlons un instant du ministère de la culture, comment le faire plier? Quelles paperasses pourraient le couler? C'est nébuleux.
  • l'expérience montre que lorsqu'une partie de l'Etat est en difficulté économique, la variable d'ajustement est le peuple français, jamais l'Etat (alors que dans une entreprise, une famille, c'est celui à qui il manque de l'argent qui réagit en baissant ses dépenses). Par conséquent si tout le monde réclame par exemple le RSA, mais que l'Etat ne peut pas faire face par manque de budget, alors le RSA verra son montant gelé pour quelques années le temps de résorber la difficulté. Et ce alors que le coût de la vie augmente. La victime sera ici à 100% le peuple français.
  • Proposer une telle chose diminue les chances de redressement du pays : en effet demain, si on a tellement demandé d'avoir un logement HLM que les OPHLM les gérant font faillite, à qui on va revendre ces entités pour les privatiser? A personne, on aura juste fait perdre de l'argent au peuple français.
  • Etc.

 

Attends, je vais reciter mon message:

 

Nope. La position d'H16 est très claire sur le sujet: prendre un max d'aides sociales et payer aussi peu d'impôts que possible pour affamer la bête et la submerger de paperasse pour l'étouffer. On peut ne pas être d'accord mais ça se défend. Comme Lucilio qui proposait de voter systématiquement contre l'UMP pour couler la droite et faire de la place sur l'échiquier politique.

 

Dans une optique cynique et en se bouchant très très fort le nez, c'est une méthode comme une autre de tuer la bête: l'obliger à choisir entre se réformer ou bien l'amener jusqu'aux extrêmes limites de ses ajustements, qui le planteront inévitablement.

 

Après, on peut dire que ça va à l'encontre des principes libéraux, que ça sera les français qui en feront les frais, tout ça, et je comprends bien ces arguments. Mais on peut aussi dire que ne pas précipiter la chute s'est prolonger le calvaire inutilement et là aussi ce seront les français qui en feront les frais.

 

Mon avis: le pays est déjà planté et les Français en feront, quoi qu'il arrive les frais: soit une longue agonie peut être ponctuée par des tentatives de redressement du pays qui dureront des années et des années, et qui, si elles réussissent, permettront aux français de bouffer de la vache enragée pendant tout aussi longtemps, soit un gros pétage de câble qui nous coulera d'un coup sec mais qui amènera peut être un inespéré sursaut.

 

Mais d'une manière ou d'une autre, et ce, quoi qu'il arrive, le peuple français fera pour longtemps les frais du collectivisme. Ça, c'est inéluctable.

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Je suis bien d'accord, et comme je disais déjà, que chacun fasse comme bon lui semble. En revanche, je tiens à pouvoir être fier de me dire publiquement libertarien, et j'entends bien que derrière ce mot se trouve donc un véritable projet de société minarchiste (voir plus) plutôt qu'une guérilla révolutionnaire.

Et si un jour je prends la parole publiquement pour défendre le libertarianisme, je nierais toute accointance avec ceux qui invitent à la triche, voir à prendre les armes ou à poser des bombes, même sur le ton de la plaisanterie. Ce n'est pas un projet de société, ce n'est pas comme ça qu'on trouvera des soutiens, et ce n'est pas non plus comme ça qu'on s'affichera comme une alternative crédible face à l'étatisme.

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Je suis bien d'accord, et comme je disais déjà, que chacun fasse comme bon lui semble. En revanche, je tiens à pouvoir être fier de me dire publiquement libertarien, et j'entends bien que derrière ce mot se trouve donc un véritable projet de société minarchiste (voir plus), pas une guérilla révolutionnaire.

Et si un jour je prends la parole publiquement pour défendre le libertarianisme, je nierais toute accointance avec ceux qui invitent à la triche, voir à prendre les armes ou à poser des bombes, même sur le ton de la plaisanterie. Ce n'est pas un projet de société, ce n'est pas comme ça qu'on trouvera des soutiens, et ce n'est pas comme ça qu'on paraîtra crédible face à l'étatisme.

 

Aucun libertarien ni libéral ci-présent n'a parlé de faire acte de violence. Pas un seul, et pas une seule fois. Par conséquent, je ne vois pas de quelle guerilla tu peux bien parler ni qui tu peux viser avec ce genre de phrases.

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Je n'ai pas parlé que de la violence, j'ai aussi parlé de l'incitation à la triche (ex : profiter et abuser des services sociaux). On est d'accord sur la finalité, pas sur les moyens.

Concernant la violence, dans ce fil, on a une allusion à poser une bombe à Bercy, sur le ton de la plaisanterie. Sinon sur Liborg, on croise parfois des photomontages du style un gars qui tire au lance-roquette sur Bercy ou d'autres allusions de ce style.

Entre nous, pourquoi pas, on se connaît et on sait où on veut en venir (notamment pour H16 qui fait un super boulot) mais ça nous fait passer pour de dangereux extrémistes partout ailleurs. A mon sens, on a suffisamment de moyens de pression (principalement agoristes) pour ne pas tomber dans cette rhétorique décrédibilisante.

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Je n'ai pas parlé que de la violence, j'ai aussi parlé de l'incitation à la triche (ex : profiter et abuser des services sociaux). On est d'accord sur la finalité, pas sur les moyens.

Concernant la violence, dans ce fil, on a une allusion à poser une bombe à Bercy, sur le ton de la plaisanterie. Sinon sur Liborg, on croise parfois des photomontages du style un gars qui tire au lance-roquette sur Bercy ou d'autres allusions de ce style.

Entre nous, pourquoi pas, on se connaît et on sait où on veut en venir (notamment pour H16 qui fait un super boulot) mais ça nous fait passer pour de dangereux extrémistes partout ailleurs. A mon sens, on a suffisamment de moyens de pression (principalement agoristes) pour ne pas tomber dans cette rhétorique décrédibilisante.

 

H16 ne nous a pas incité à tricher mais à prendre un max d'aides sociales et a envoyer un max de paperasse dans les rouages des administrations, et ni l'un ni l'autre ne sont illégaux. Par contre, le agoristes visent à passer par le marché noir pour ne pas déclarer et ne pas payer d'impôts, ce qui, pour le coup, est vraiment illégal.

Alors d'un point de vue légal, ce sont les "agoristes" qui trichent.

Et sans vouloir jouer les rabats-joie, on peut mesurer toute l'efficacité de nos moyens de pressions.

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Bref : le scénario de la chute de la France plait a beaucoup trop de monde à mon goût. Il n'a rien de certain en plus.

 

Ah là je te rejoins tout à fait. La réalité est bien plus inventive que nous.

 

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Je suis assez d'accord avec la position d'H16 qui consiste à encourager tout le monde à prendre tout ce à quoi on a droit. Je regrette mais dans la mesure où nous payons tous très cher en impôts, cela me semble tout à fait sain que de vouloir le meilleur retour sur investissement possible. Pour la suite, chercher à enrayer la machine, outre l'aspect cathartique non négligeable, cela permet également de mettre en lumière l'absurdité de certaines organisations, ce qui ne peut pas être une mauvaise chose. Pensez à l'aspect pédagogique, ne serait-ce que pour vos proches. Ca compte.

 

Sur les fonctionnaires, je suis assez bien placée pour dire que ça dépend de plein de paramètres, notamment de l'employeur. Il existe de véritables poches à incompétence où là, le rapport n'est pas de 1 à 10 quand on envisage les compétents sur le lot. On a des centaines de cas irrécupérables. Je regrette mais il faut être réaliste. On parle de gens totalement imperméables à toute notion d'efficacité, de culture du résultat voire même de professionnalisme. Ce n'est pas le cas partout et on trouve plein de gens, certes peu efficaces, mais qui seraient tout à fait adaptables si les conditions étaient différentes.

Je suis d'accord avec Nick. Le fait de ne pas pouvoir perdre son emploi, ça change énormément. Au pire, on peut perdre son poste, ses responsabilités, l'intérêt de son travail au quotidien. Généralement, d'ailleurs, ce genre de punition est infligé non pas aux flemmards mais aux autres, mais c'est une réflexion personnelle, connexe et purement bâtie sur ma frustration personnelle.

On ne peut pas faire comme s'il n'y avait pas d'historique, comme si on n'avait pas des milliers de fonctionnaires qui n'ont jamais bossé de leur vie et à qui on n'a jamais demandé aucun compte. Chitah, je ne pense vraiment pas qu'il suffise de donner les ordres adéquats pour que ça se fasse. Je suis peut-être vraiment très très cynique mais il y a trop de cas irrécupérables.

 

Le préalable essentiel me semble être la disparition du statut. Après, on en rediscutera. Cela dit, on peut réfléchir aux modalités de la disparition du statut. C'est un autre sujet, qui m'intéresse fortement d'ailleurs. J'en avais parlé dans un autre sujet me semble-t-il.

 

Et pour l'adhésion au PLD, ça doit être défiscalisable à 75% comme pour tous les partis politiques mais je pense qu'il faut le souligner et communiquer si le bureau arrive à faire défiscaliser une partie des dons à l'association.

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Le statut de fonctionnaire empeche-il réellement les licenciements ?

Je pose la question parce que c'est pas si évident que ça, l'absence de réduction de voilure humaine dans la fonction publique est elle légale ou traditionnelle ?

Accesoirement, il n'est pas du tout impossible d'appliquer une politique RH selective et méritocratique sur une population impossible à licencier.

D'autant plus que la démission est toujours possible, il suffit de l'inciter fortement (et je ne parle pas uniquement de harcelement moral, je parle avant tout de "package" de départ), acheter la paix sociale n'est un probleme que quand ça préserve les institutions pourries, si c'est juste pour éliminer des obstacles, ça ne me choque pas outre mesure.

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