Thon rouge et privatisation de la mega-faune

[Brock]

oui mais il y en marre aussi de ces gens qui veulent etre des exemples de moralite.Je n'en peux plus de ces gens.

On a affaire a une veritable bigoterie ecologique et economique, ou tout le monde est mis dans la meme case, celle des pecheurs, des egoistes mechants et vicieux.

[Johnathan R. Razorback]

Il y en marre aussi de ces gens qui veulent etre des exemples de moralité donner des leçons de "morale" éco-collectiviste.

 

Corrigé.

 

[Brock]

ok, mais il faut voir le niveau des lecons

[Bisounours]

J'ai bien aimé le parallèle avec les gâteaux au chocolat. Et au fait c'est quoi un SUV par rapport à un cross over et toussa ?

Et j'ajoute un truc : si il n'y a plus de thon rouge, il se passe quoi ? Vous pensez quoi de ces problèmes de poissons qui disparaissent, je cause en termes d'alimentation, parce que au niveau de la chaine alimentaire, d'ailleurs, j'y connais rien. Moi j'ai le vague sentiment que ça va pas faire crever l'humanité mais c'est pas très scientifique comme démarche

[Brock]

Y a plus un dinosaure non plus, le sushi de dino est devenu super dur a trouver!

[Bisounours]

Oui, bon, c'est un peu ce que j'ai répondu à mon interlocuteur vois tu mais ça l'a fait moyennement niveau arguments plus solides...

Parce que bon, je m'en fous du thon rouge, moi, je me doute qu'on ira pêcher un autre truc.

[Brock]

Surtout que les pecheurs qui depeuplent l'ocean sont subventionnes deux fois sur trois.

[Mathieu_D]

Mmmmoui bon j'en veux quand même un peu à nos lointains ancêtres qui ont bouffé toute la mégafaune, ces salauds.

Si on peut être plus sympa avec notre descendance, ce serait sympa.

[Tramp]

C'était des concurrents. On a bien fait. L'important est de domestiquer la planète au service de l'humanité. Être cute et fluffy est devenu un avantage évolutif majeur.

[Mathieu_D]

C'était des concurrents. On a bien fait. L'important est de domestiquer la planète au service de l'humanité. Être cute et fluffy est devenu un avantage évolutif majeur.

Ce n'était pas des concurrents mais de la nourriture et j'aurais aimé y goûter aussi. Y zont tout bouffé et nous ont rien laissé ces cons.

[ModernGuy]

Ce n'était pas des concurrents mais de la nourriture et j'aurais aimé y goûter aussi. Y zont tout bouffé et nous ont rien laissé ces cons.

Ça c'est les premiers symptômes d'une morsure de bobo décroissant pendant un festival d'été. Bientôt il va nous expliquer qu'il faut préserver les ressources pour les générations futures.

Passez moi le fusil: il vaut mieux abréger ses souffrances tout de suite.

[Tramp]

C'est dangereux les gros animaux et ça bouffe beaucoup limitant la place pour du plus petit gibier plus nombreux.

[Tramp]

Je crois aussi que la mégafaune n'était pas très adapté à un environnement moins riche en oxygène.

[ModernGuy]

Non mais vous êtes surs ? une balle dans la nuque, c'est propre, rapide, il ne sentira rien...

...non ?

[FabriceM]

Et j'ajoute un truc : si il n'y a plus de thon rouge, il se passe quoi ? Vous pensez quoi de ces problèmes de poissons qui disparaissent, je cause en termes d'alimentation, parce que au niveau de la chaine alimentaire, d'ailleurs, j'y connais rien. Moi j'ai le vague sentiment que ça va pas faire crever l'humanité mais c'est pas très scientifique comme démarche

Y a plus un dinosaure non plus, le sushi de dino est devenu super dur a trouver!

Voilà. Les êtres vivants, ça va, ça vient.

 

Voilà. Et puis ça fera des déjections de poissons en moins, des océans plus propres. Et si un jour ça nous manque de manger du thon rouge, on pourra toujours faire une campagne kickstarter pour recréer l'espèce.

[Neomatix]

Vous pensez quoi de ces problèmes de poissons qui disparaissent, je cause en termes d'alimentation, parce que au niveau de la chaine alimentaire, d'ailleurs, j'y connais rien. Moi j'ai le vague sentiment que ça va pas faire crever l'humanité mais c'est pas très scientifique comme démarche

Ils ne disparaîtront pas. Le jour où la rareté du thon rouge fera suffisamment augmenter son prix, des piscicultures de thon rouge verront le jour, et la reproduction de la population sera vivement encouragée par son propriétaire. Tant qu'il y aura de la demande durable, il y aura de l'offre.

Mais si la rareté est artificiellement entretenu par des quotas et des interdictions, le prix explosera, encouragera le braconnage intensif de cette espèce (personne ne pouvant capturer des espèces pour les mettre en élevage de manière viable) jusqu'à disparition totale.

C'est d'autant plus vrai en mer où le comptage des espèces est très compliqué et peu fiable (cf dauphin de Chine, éteint mais peut-être pas ?).

[FabriceM]

Ils ne disparaîtront pas. Le jour où la rareté du thon rouge fera suffisamment augmenter son prix, des piscicultures de thon rouge verront le jour, et la reproduction de la population sera vivement encouragée par son propriétaire. Tant qu'il y aura de la demande durable, il y aura de l'offre.

Mais si la rareté est artificiellement entretenu par des quotas et des interdictions, le prix explosera, encouragera le braconnage intensif de cette espèce (personne ne pouvant capturer des espèces pour les mettre en élevage de manière viable) jusqu'à disparition totale.

C'est d'autant plus vrai en mer où le comptage des espèces est très compliqué et peu fiable (cf dauphin de Chine, éteint mais peut-être pas ?).

 

La conclusion logique de ton raisonnement devrait être que les quotas sur la pêche feront appaitre plus rapidement l'élevage de poisson, aux dépends de consommateurs exposés à une rareté artificielle et au profit des braconneurs. Pas que les quota provoquerons une disparition totale. Le contenu de ta parenthèse n'a aucun sens.

[Neomatix]

La conclusion logique de ton raisonnement devrait être que les quotas sur la pêche feront appaitre plus rapidement l'élevage de poisson, aux dépends de consommateurs exposés à une rareté artificielle et au profit des braconneurs. Pas que les quota provoquerons une disparition totale. Le contenu de ta parenthèse n'a aucun sens.

La parenthèse était dans le cas de l'interdiction. J'ai mal formulé.

Tout dépend de la taille des quotas, et de leur champ d'application. D'autant plus que les quotas peuvent augmenter facilement (comme cette année en Norvège), contrairement à une population sauvage pêchée intensivement. Baser un business model d'élevage sur ça est donc très risqué.

La variation de la population entraînée par les cadres légaux imprévisibles et non-uniformes que sont les quotas de pêche limitent donc fortement l'émergence d'alternatives viables. Et à plus long terme, le recours à l'interdiction totale de pêche une fois la population presque éteinte (à la suite de quotas trop hauts, inadaptés, non-uniformes) empêche l'élevage, et condamne l'espèce.

Seuls des quotas mondiaux, stables, fiables et basés sur la population réelle auraient un début d'efficacité, mais c'est totalement impossible.

[Rincevent]

Ils ne disparaîtront pas. Le jour où la rareté du thon rouge fera suffisamment augmenter son prix, des piscicultures de thon rouge verront le jour, et la reproduction de la population sera vivement encouragée par son propriétaire. Tant qu'il y aura de la demande durable, il y aura de l'offre.

Mais si la rareté est artificiellement entretenu par des quotas et des interdictions, le prix explosera, encouragera le braconnage intensif de cette espèce (personne ne pouvant capturer des espèces pour les mettre en élevage de manière viable) jusqu'à disparition totale.

C'est d'autant plus vrai en mer où le comptage des espèces est très compliqué et peu fiable (cf dauphin de Chine, éteint mais peut-être pas ?).

Mouais, pour que le marché fonctionne, ça suppose que la propriété de chacun soit bien définie et respectée.

Il faut encore progresser dans la propriété des bancs / fonds / animaux marins, et les traités internationaux vont rarement dans le bon sens.

[Melkion]

Ils ne disparaîtront pas. Le jour où la rareté du thon rouge fera suffisamment augmenter son prix, des piscicultures de thon rouge verront le jour, et la reproduction de la population sera vivement encouragée par son propriétaire. Tant qu'il y aura de la demande durable, il y aura de l'offre.

 

Ca c'est la théorie. La pratique est qu'il est très difficile d'élever le thon rouge en captivité. De plus c'est une espèce carnivore, il faut donc aller pêcher maquereaux et sardines pour nourrir le thon, ce qui augmente les coûts de manière drastique. Dans la nature il fait ça tout seul, ça ne coûte rien au pêcheur. Il faut des réservoirs pour chaque étape du cycle de vie, de l'alevin à l'adulte, contrôler l'eau régulièrement... Après la carpe et le saumon, ce qui fonctionne bien ce sont les poissons poubelles comme le panga, ou le tilapia qui se reproduit en masse, dont les contraintes d'élevage sont très faibles.

[NoName]

Je crois aussi que la mégafaune n'était pas très adapté à un environnement moins riche en oxygène.

il paraît

 

 

Ils ne disparaîtront pas. Le jour où la rareté du thon rouge fera suffisamment augmenter son prix, des piscicultures de thon rouge verront le jour, et la reproduction de la population sera vivement encouragée par son propriétaire. Tant qu'il y aura de la demande durable, il y aura de l'offre.

Mais si la rareté est artificiellement entretenu par des quotas et des interdictions, le prix explosera, encouragera le braconnage intensif de cette espèce (personne ne pouvant capturer des espèces pour les mettre en élevage de manière viable) jusqu'à disparition totale.

C'est d'autant plus vrai en mer où le comptage des espèces est très compliqué et peu fiable (cf dauphin de Chine, éteint mais peut-être pas ?).

mouais bof

 

l'important dans l'utilisation raisonnée des ressources c'est le droit de propriété

[Nihiliste frustré]

On cultivera des muscles de thon dans des boites de pétri, mais il faudra d'abord faucher les anti-OGM.

[Mathieu_D]

Ça c'est les premiers symptômes d'une morsure de bobo décroissant pendant un festival d'été. Bientôt il va nous expliquer qu'il faut préserver les ressources pour les générations futures.

Passez moi le fusil: il vaut mieux abréger ses souffrances tout de suite.

Je suis très amer de ne pas pouvoir manger de steacks de mamouth à cause de ces cons de préhistoriques.

Que dire des amérindiens qui ont bouffé jusqu'au dernier castor géant ?

[Tramp]

Paraît que l'éléphant c'est pas bon. Donc le mammouth ça doit être pareil en plus coriace.

[sans]

Le castor géant doit avoir plus ou moins le même goût que le castor normal.

[ModernGuy]

Le mammouth y doit y avoir moyen d'en trouver du congelé, mais ces cons de paléontologues vont encore gueuler qu'il faut pas faire de BBQ avec des specimens archéologiques. Putains de gauchistes.

[poney]

T'es plus haut, tu baignes pas dans les 30cm de neige, t'as un pare-buffle en cas de zippage.

 

 

Bon, sinon, les Mammouths, je suis sur que d'ici 20 ou 25 ans, on en reverra, ça va pas tarder avant qu'on un clone réellement un.

 

Ca sera cool !

[Tramp]

Les écolos nous en empêcheront.

[Bézoukhov]

T'es plus haut, tu baignes pas dans les 30cm de neige, t'as un pare-buffle en cas de zippage.

 

 

Bon, sinon, les Mammouths, je suis sur que d'ici 20 ou 25 ans, on en reverra, ça va pas tarder avant qu'on un clone réellement un.

 

Ca sera cool !

 

Il sera sûrement conservé dans une steppe artificielle climatisée au Qatar.

 

[Brock]

ribs de mammouth!