Bisounours Posté 10 mai 2016 Signaler Share Posté 10 mai 2016 ben pourquoi alors ça existe plus rff ? Lien vers le commentaire
Tramp Posté 10 mai 2016 Signaler Share Posté 10 mai 2016 Ca existe encore, ca a encore la dette de la SNCF mais ils n'ont plus besoin de faire semblant d'être indépendant de celle-ci depuis une nouvelle directive européenne. Ils ont fusionné avec infra qui s'occupait déjà de la maintenance et de la construction pour eux. Lien vers le commentaire
NicolasB Posté 10 mai 2016 Signaler Share Posté 10 mai 2016 Brétigny : pour la SNCF, le déraillement est dû à un défaut de qualité de l'acier Mmmmmmmh ce petit gout de vomi dans la bouche. Et la qualité de l'acier, ça ne se vérifie pas? le fournisseur d'acier a des responsabilités. Les fissures qui ne se voient pas? Je rêve... Il me semble que pour vérifier les fissures, il y a des moyens de détection avec des électroaimants (j"ai oublié le nom mais j'effleure la métallurgie depuis peu). En tout cas, c'est ce qu'on utilise dans l'industrie moyenne série. Les boulons manquants, ça s'est beaucoup plus dur à piéger... mais avec un process un visseur puis un contrôleur (une tierce personne), ça devrait faire quelques erreurs. Par contre, il est clair qu'il y a un gros 2P2M dans le traitement plutôt désinvolte de la communication avec les autorités pour l'enquête. Qu'aurait on dit si c'était une entreprise privée dans les journaux franchouilles??? Lien vers le commentaire
Tramp Posté 10 mai 2016 Signaler Share Posté 10 mai 2016 Suffit de voir comment sont traités des entreprises qui ont des activités parfaitement légales off-shore. Lien vers le commentaire
DeadBot Posté 10 mai 2016 Signaler Share Posté 10 mai 2016 RFF n'était pas un "concurrent" de la SNCF, c'était une entité créé ex-nihilo pour assurer la pérennité de la SNCF. Visiblement, le résultat a été médiocre puisque quelques années plus tard, ils reviennent sur leur décision. Désolé, je m'étais mal exprimé : en parlant de concurrence, je ne faisais pas allusion à RFF mais à d'éventuelles autres entreprises de transport ferroviaires (fret + passagers) qui partageraient le même réseau avec la SNCF. Une des conditions pour que ça fonctionne me semble être la séparation entre l'exploitant du réseau (qui serait tenu de traiter toutes les entreprises de transport de manière équitable) et la compagnie de transport historique et monopolistique. Si les deux entités ne font qu'une et sont donc juge et partie, j'ai du mal à concevoir comment l'ouverture à la concurrence pourrait se concrétiser. À moins d'être particulièrement naïf, il est évident que la SNCF Réseau privilégiera toujours la SNCF Mobilités pour les sillons (plages horaires) et les redevances au détriment des nouveaux entrants, en particulier s'il s'agit de fourbes étrangers. Avec le réseau actuel bien en sécurité dans l'escarcelle de la SNCF et une probabilité nulle de voir de nouvelles voies privées se construire, une concurrence ferroviaire effective en France n'est pas près de pointer le bout de son nez. Lien vers le commentaire
Tramp Posté 10 mai 2016 Signaler Share Posté 10 mai 2016 La SNCF est tellement endettée qu'elle devra céder des actifs ce qui fera plusieurs acteurs du chemin de fer. Et le train est en concurrence avec l'autocar, l'avion, la voiture/camion et le bateau/péniche. Lien vers le commentaire
Neuron Posté 15 mai 2016 Signaler Share Posté 15 mai 2016 Le nouveau nom en 2019 sera "Réseau Ferré Privilégié de France" Lien vers le commentaire
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