Aller au contenu

Panama Papers, sociétés offshore & journalimse


Adrian

Messages recommandés

J'aimerais connaître sur quelles bases légales les régulateurs se fondent :

Le Monde.fr - Le régulateur financier britannique demande des explications aux banques

Le régulateur donne aux banques jusqu’au 15 avril pour détailler leurs liens avec le cabinet Mossack Fonseca.

http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/07/panama-papers-le-regulateur-financier-britannique-demande-des-explications-aux-banques_4898244_4890278.html

Lien vers le commentaire

Almodovar cela me fait rire vu qu'il est, dans mon souvenir, de gauche. Pour le reste cela ne change pas mon opinion sur cette affaire, c'est une saloperie qui va tous nous nuire en matière de liberté.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Et allez, ça va pas coûter cher tout ca et ca va pas filer d'infos à la concurrence :

Le Monde.fr - Bruxelles veut renforcer les obligations de transparence des entreprises

La Commission européenne a modifié un projet de directive qu’elle présentera le 12 avril. Elle veut obliger toutes les entreprises à publier profits et impôts pays par pays. Dans les 28 pays de l’Union mais aussi, si elles y sont présentes, dans les paradis fiscaux.

http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/08/apres-les-panama-papers-bruxelles-veut-renforcer-les-obligations-de-transparence-des-entreprises_4898825_4890278.html

Lien vers le commentaire

Etat de droit...

Société Générale dans le collimateur de la justice. Le Journal du Dimanche révèle ce 10 avril que la banque a fait l'objet d'une perquisition, mardi 5 avril, menée par les enquêteurs de l'OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales).

Ces derniers se sont présentés au siège de Société Générale Private Banking, boulevard Haussmann et ont été saisis par le parquet national financier d'une enquête préliminaires visant la banque pour des soupçons de blanchiment, indique le journal dominical. Une source judiciaire indique au JDD que les enquêteurs "ont figé des éléments de preuve".

"Amalgames scandaleux"

Le but de la manœuvre est en fait de connaître les véritables propriétaires des sociétés offshore ouvertes par la banque rouge et noire. Mardi, les Panama papers révélaient en effet que Société Générale en avait ouvert 979 entre 1977 et 2015 via le cabinet d'avocat Mossack Fonseca, au cœur de ce dossier brûlant. Le Monde, l'un des médias ayant participé à l'enquête des Panama Papers, affirmait alors que la banque de Frédéric Oudéa, était la quatrième banque à avoir ouvert le plus de sociétés offshore par l'intermède du cabinet , derrière HSBC, le Crédit Suisse et l'UBS.

La banque avait alors réagi en accusant le quotidien "d'exploiter des données incohérentes générant des amalgames scandaleux". Elle assurait que seules quelques dizaines de sociétés offshore étaient encore actives et qu'elles étaient gérées de façon "totalement transparente".

"La Société Générale n'a plus aucune implantation dans les paradis fiscaux. Il ne faut pas confondre une implantation détenue et opérée par une banque, et les sociétés et structures qui sont détenues par nos clients", avait ensuite affirmé Frédéric Oudéa, le directeur général de Société Générale au Figaro.

Il assurait que sa banque connaissait systématiquement les ayants-droits de ces structures et qu'elle ne travaille en offshore qu'avec des clients dont "les motifs sont clairs" et ne sont pas nécessairement fiscaux, citant notamment des "situations familiales complexes".

Grand soir fiscal

Il n'empêche que les clients de Société Générale qui pourraient être coupables d'évasion fiscale risquent gros. Un avocat fiscaliste explique que le fisc, s'il trouve des comptes bancaires dissimulés au Panama, "regardera quel a été le niveau de dépôt le plus important de ces dix dernières années" et réclamera 60% de ce montant. Un autre avocat va jusqu'à évoquer une sorte de grand soir fiscal où le fisc déboulerait dans chaque banque à la recherche des 60%.

La situation actuelle est encore loin de ce scénario. Mais la pression s'accentue sur Société Générale. Frédéric Oudéa a été convoqué mardi par le ministre des Finances Michel Sapin qui lui a demandé de "tout mettre sur la table". Selon le ministre, Frédéric Oudéa s'est engagé, durant cette réunion, à donner "toutes les informations" sur les sociétés offshore à Bercy, mais aussi aux gendarmes des banques, l'ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution).

Cette dernière a demandé la semaine dernière un reporting complémentaire aux établissements français sur leurs activités dans des pays considérés comme des paradis fiscaux. Société Générale s'était engagée dès 2010 à ne plus travailler avec les paradis fiscaux, ce qu'elle a d'ailleurs rappelé dans un communiqué, mardi.

Lien vers le commentaire
You also know because the information wasn't leaked to the internet, it was leaked to the press.

 

 

 

400 journalists spent over 1 years sifting through the files yet did not ONE account belonging to Soros? No Bush, no Clinton accounts despite the fact that they are deeply embedded in the Pananamian banking system?

 

 

Lien vers le commentaire

L'absence d'infos sur le lanceur d'alerte du Panama fait peser quelques doutes en effet...

Si c'est un coup tordu de Poutine (mais pour quel gain?) je dis chapeau l'artiste.

C'est un coup des amérloques et c'est absolument limpide.

Du reste, leurs manoeuvres générales visant à transformer les US en paradis fiscal fonctionnent plutôt pas mal.

Lien vers le commentaire

et alors regardez ce qui sort juste au bon moment !!!

 

http://www.cnbc.com/2016/04/12/soros-european-union-in-mortal-danger.html

 

 

In an essay written for the New York Review of Books, Soros also claimed that a humanitarian catastrophe is unfolding in Greece.

"The asylum seekers are desperate. Legitimate refugees must be offered a reasonable chance to reach their destinations in Europe," the investor wrote in the publication.

"EU leaders need to embrace the idea that effectively addressing the crisis will require "surge" funding, rather than scraping together insufficient funds year after year. Spending a large amount at the outset would allow the EU to respond more effectively to some of the most dangerous consequences of the refugee crisis."

 

 

quel hasard !!

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

Du côté des américains, des lanceurs d'alerte qui dénoncent l'armée ou les services secrets.

Du côté Francais, des lanceurs d'alertes qui dénoncent l'optimisation fiscale. J'aime comme on veut nous faire croire qu'ils sont en grave danger.

Le Monde.fr - Edward Snowden, Antoine Deltour… Que deviennent les lanceurs d’alerte ?

Alors que s’ouvre mardi le procès du Français à l’origine des « LuxLeaks », ces personnes s’exposent souvent à des représailles après avoir révélé des documents confidentiels.

http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/12/julian-assange-edward-snowden-herve-falciani-que-deviennent-les-lanceurs-d-alerte_4900688_4890278.html

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...
  • 4 weeks later...

Ah !

Le Monde.fr - « Panama papers » : un informaticien soupçonné de vols de données arrêté à Genève

Un informaticien du bureau genevois du cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca a été arrêté pour vol présumé de données informatiques.

http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/06/15/panama-papers-un-informaticien-soupconne-de-vols-de-donnees-arrete-a-geneve_4951184_4890278.html

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...