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Commandante Donald Trump : troll, puis candidat puis président puis putschiste


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“I wasn’t particularly impressed,” Sanford said. “It was the normal stream of consciousness that’s long on hyperbole and short on facts. At one point, somebody asked about Article I powers: What will you do to protect them? I think his response was, ‘I want to protect Article I, Article II, Article XII,’ going down the list. There is no Article XII.”

Rep. H. Morgan Griffith (R-Va.), who said he was “uncomfortable” with Trump’s language, gave him a pass on the Constitution flub.

“When he made the comment about the Constitution, I love this article and that article, I assumed he was talking about the amendments, because he was off on the numbers,” he said.

https://www.washingtonpost.com/news/powerpost/wp/2016/07/07/trump-meets-with-hill-republicans-as-controversy-over-star-of-david-tweet-continues/?tid=a_inl&utm_term=.4dbcd4aa73bb

 

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Donald Trump: la nouvelle droite conservatrice au pouvoir
http://www.bilan.ch/jerome-gygax/politique-internationale/donald-trump-nouvelle-conservatrice-pouvoir
 

Le socle de l’idéologie de la « nouvelle droite » après la Seconde Guerre mondiale reposait en premier lieu sur le manifeste de Friedrich A. Hayek: « The Road to Serfdom » (« Le chemin de la servitude », 1944) qui prétendait marier les lois du « marché libre » et la « liberté politique ». Quelques années plus tard, il rédigeait un manifeste « The Constitution of Liberty » (1960) dressant les contours d’un ordre politique en adéquation avec les lois du marché. De son côté l’immigrée russe Ayn Rand, avec « The Fountainhead » (1943) puis « Atlas Shrugged » (1957) se dressait contre les dérives de la démocratie sociale[6]. Ludwig von Mises et Milton Friedman complétaient ce duo. Ce dernier présidait au club du Mont Pèlerin sur les bords du lac Léman, noyau d’une élite conservatrice pour le « laissez faire »[7].

 

 

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Bilan... ce magazine enchaîne les ramassis de conneries encore plus vite qu'un député français enchaîne les taxes.

Cet odieux torchon passe son temps à combiner l'incompétence des médias français avec un populisme digne de l'UDC ou des Socialistes.

A jeter ou brûler ou recycler... au petit coin.

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En plus il a l'air d'avoir fait des recherches sur le sujet ce con :

Docteur en relations internationales de l’Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID, Genève), Jérôme Gygax est historien, chercheur associé à la fondation Pierre du Bois pour l’histoire du temps présent. Ses travaux portent sur l’histoire des idées, les nouvelles formes de diplomatie, l’utilisation des médias dans la naissance du soft power.

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C'est pour dire que "Person of the Year" n'est pas un titre honorifique et n'annonce un quelconque endorsment de la part de Time magazine mais présente juste la personne qui a le plus marqué l'année. Et en effet, c'est Trump.

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C'est pour dire que "Person of the Year" n'est pas un titre honorifique et n'annonce un quelconque endorsment de la part de Time magazine mais présente juste la personne qui a le plus marqué l'année. Et en effet, c'est Trump.

 

Tout le monde sait ça. (Enfin certains non mais je m'en tape).

C'est bien pour ça que cette couv du Times m'as fait marrer. ;) Elle tombe juste.

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