Aller au contenu

Commandante Donald Trump : troll, puis candidat puis président puis putschiste


Messages recommandés

Hop :

 

Le Monde - Les Etats-Unis infligent de nouvelles sanctions à l’Iran

Le département du Trésor a sanctionné des réseaux et des personnes accusés d’avoir participé à des cyberattaques d’institutions financières américaines.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/09/14/les-etats-unis-infligent-de-nouvelles-sanctions-a-l-iran_5185829_3222.html

 

Trump says Iran is violating 'spirit' of Iran nuclear deal
http://uk.reuters.com/article/uk-iran-nuclear-trump/trump-says-iran-is-violating-spirit-of-iran-nuclear-deal-idUKKCN1BP2VC

Lien vers le commentaire

"Kof kof" la Corée est un danger pour la paix...

 

Haley says U.N. has exhausted options on North Korea
http://uk.reuters.com/article/uk-northkorea-missiles-haley/haley-says-u-n-has-exhausted-options-on-north-korea-idUKKCN1BS0IL

 

Citation

"We have pretty much exhausted all the things that we can do at the Security Council at this point," Haley told CNN's "State of the Union," adding that she was perfectly happy to hand the matter to Defence Secretary James Mattis. "We're trying every other possibility that we have but there's a whole lot of military options on the table."

Lien vers le commentaire
Citation

Donald Trump at UN: US may 'have no choice but to totally destroy North Korea' – live

 

https://www.theguardian.com/world/live/2017/sep/19/donald-trump-united-nations-general-assemly-live-updates-news?CMP=twt_gu

 

Je serais le president français, j'ordonnerais de prendre des distances avec l'OTAN.

 

Trump est tellement à la ramasse sur les sujets domestiques que la diplomatie américaine est en roue libre. Escalade, insultes, sanctions... On croirait voir un vulgaire dictateur de république bananière.

 

At U.N., Trump says U.S. may have to 'totally destroy' North Korea
http://uk.reuters.com/article/uk-un-assembly-trump/at-u-n-trump-says-u-s-may-have-to-totally-destroy-north-korea-idUKKCN1BU0B7

Lien vers le commentaire

Concernant l'alternative, Hillary Clinton

 

http://www.zerohedge.com/news/2017-09-19/hillary-clinton-women-only-voted-trump-because-their-husbands-told-them

 

Pendant la campagne et le emailgate, les Républicains avaient des pancartes "Lock her up !".

Si les pancartes n'ont pas été brûlées, je suis sur que certains démocrates pourraient les recycler.

Lien vers le commentaire

 Un discours néoconservateur tout ce qu'il y a de plus classique. La PLS de Rockwell and co ne s'arrête pas. 

 

 Mais il y a de bons passages : 

 

Citation

 Le problème au Venezuela n’est pas que le socialisme ait été mal mis en œuvre, mais que le socialisme a été mis en œuvre avec fidélité. 

De l’union soviétique à Cuba au Venezuela, partout où le véritable socialisme ou le communisme a été adopté, il a porté l’angoisse, la dévastation et l’échec. Ceux qui prêchent ces idéologies discréditées ne contribuent qu’à la souffrance continue des personnes qui vivent sous ces systèmes cruels. 

 

  • Yea 2
Lien vers le commentaire

Apparemment, Trump s'inspire désormais de Duterte :

 

Citation

« Quand quelqu’un manque de respect notre drapeau, est-ce que vous n’aimeriez pas voir l’un de ces propriétaires de la NFL vous écouter lorsque vous réclamez le renvoi de ce fils de p… ? »

 

 

Le Monde - Donald Trump s’en prend aux joueurs de NFL qui dénoncent le racisme

Lors d’une réunion électorale en Alabama, Donald Trump a lancé que les joueurs qui ne respectent pas le drapeau méritent de perdre leur emploi.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/09/23/donald-trump-s-en-prend-aux-joueurs-de-nfl-qui-denoncent-le-racisme_5190084_3222.html

 

Edit : On est vraiment trombé bien bas :

 

Trump renews clash with U.S. sports world
http://uk.reuters.com/article/uk-usa-trump-sports/trump-renews-clash-with-u-s-sports-world-idUKKCN1BZ05B

Lien vers le commentaire
Le 23/09/2017 à 11:05, Tramp a dit :

Apparemment, Trump s'inspire désormais de Duterte :

 

 

 

Le Monde - Donald Trump s’en prend aux joueurs de NFL qui dénoncent le racisme

Lors d’une réunion électorale en Alabama, Donald Trump a lancé que les joueurs qui ne respectent pas le drapeau méritent de perdre leur emploi.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/09/23/donald-trump-s-en-prend-aux-joueurs-de-nfl-qui-denoncent-le-racisme_5190084_3222.html

 

Edit : On est vraiment trombé bien bas :

 

Trump renews clash with U.S. sports world
http://uk.reuters.com/article/uk-usa-trump-sports/trump-renews-clash-with-u-s-sports-world-idUKKCN1BZ05B

 

Il arrive à faire passer des sportifs professionnels pour des intellectuels de haut vol. Ce mec est impressionnant.

Lien vers le commentaire

 Fabry :

 

Citation

J'ai répondu il y a quelques jours aux questions d'Atlantico sur le discours de Trump aux Nations Unies.

Lien : http://www.atlantico.fr/decryptage/vers-grand-retour-blocs-nouvel-ordre-mondial-qui-se-met-en-place-pendant-que-occident-divise-reve-multilateralisme-philippe-3169326.html

Voici le texte intégral de cet entretien, pour ceux qui n'y ont pas accès.

1-Après un discours fleuve de Donald Trump à l'Assemblée générale des nations unies, les positions américaines semblent affirmées dans un monde qui semble aujourd’hui refermer la page de la fin de la guerre froide, se structurant autour de deux blocs, entre un monde occidental mené par les Etats Unis, et un bloc composé d'un bloc nouveau; entre Chine, Russie, Iran, et d'une Turquie encore hésitante. Quel a été le processus de formation de ce "nouvel ordre mondial", en quoi est il en train de devenir une réalité ?

L'idée des deux blocs pourrait donner faussement l'illusion que nous sommes revenus à quelque chose comme la bipolarité de la guerre froide. Ce n'est certainement pas le cas : les Etats-Unis demeurent la seule hyperpuissance mondiale ; ni la Chine, ni la Russie ne peuvent rivaliser non seulement en termes de puissance militaire globale, mais surtout en termes de réseau d'alliance : chacun de ces pays est plutôt isolé dans sa région, et cela vaut aussi pour l'Iran et, de plus en plus, la Turquie. Par ailleurs, contrairement à l'époque de la Guerre froide, ce groupe de contestataires de l'ordre international ne bénéficie pas du ressort d'une idéologie puissante permettant de séduire des partisans à l'étranger et de redouter un effet domino ; on ne séduit pas grand-monde en invoquant seulement le droit de défendre ses intérêts, voire ambitions, nationales et la realpolitik. Enfin, il faut garder à l'esprit que chacun des états appartenant à ce front contestataire de l'ordre américain, spécifiquement les deux géants russe et chinois, ont leur propre agenda et sont plutôt des alliés objectifs qu'autre chose.

En réalité, ce à quoi l'on assiste n'est pas la formation d'un nouvel ordre mondial, c'est seulement une fronde contre l'ordre mondial existant. Quel est cet ordre mondial ? Une monarchie tempérée des Etats-Unis d'Amérique sur le monde. Je m'explique : ce à quoi nous assistons au niveau mondial depuis 1945 et la mise en place de l'ONU est parfaitement similaire à ce qui s'est passé, à une autre échelle, dans tous les grands pays d'Europe, à savoir la construction d'un Etat central par la monarchie. Partout, les monarchies européennes ont réussi à construire un Etat en dépassant la féodalité, qui est un éclatement de la puissance publique en une multitude d'acteurs. Au départ, le monarque n'était qu'un aristocrate parmi d'autres, souvent élu par un conseil de pairs, les « grands » qui gouvernaient leurs territoires de façon autonome. Le dépassement de la féodalité a été possible par la constitution d'assemblées représentatives du royaume : les Etats Généraux en France, le Parlement modèle en Angleterre, le Reichstag dans le Saint Empire, le Zemski Sobor en Russie, le Riksdag en Suède, le Rigsdag au Danemark, etc. L'institution de ces assemblées a permis partout aux princes, suzerains dans l'ordre féodal, de devenir véritablement souverains, détenteurs d'un pouvoir d'une autre nature, qui ne dépendait plus du consentement des pairs. La plupart des sujets des royaumes y trouvaient leur compte, et soutenaient généralement ce mouvement. Les grands seigneurs féodaux, en revanche, y perdaient leur autonomie et leur pouvoir, et dans toutes les histoires nationales européennes, on retrouve des périodes de fronde aristocratique, dont le souverain sortait généralement vainqueur et son pouvoir renforcé, car non seulement la défaite affaiblissait les contestataires, mais elle rappelait au reste du corps social combien l'ordre féodal était instable et dangereux, et l'ordre monarchique sûr et apaisé, ce qui facilitait de nouvelles avancées du pouvoir monarchique.

Précisément, depuis 1945, les Etats-Unis sont le prince des nations, et l'assemblée générale de l'ONU est l'assemblée représentative mondiale, les Etats-Généraux des nations du monde. Ce n'est pas un hasard si elle siège à New York, la capitale culturelle des Etats-Unis. Quand Donald Trump a commencé son discours en disant « Welcome to New York », ce n'est pas une salutation anodine : il rappelle à tous où l'on se trouve, pourquoi c'est là qu'on se trouve, et donc qui est le patron. Dans l'esprit américain, aujourd'hui, et spécifiquement depuis la victoire totale de 1991 sur le rival soviétique, tout pays du monde est un sujet des Etats-Unis. La Chine, la Russie, l'Iran, la Corée du Nord et dans une moindre mesure jusqu'à présent, la Turquie, sont des vassaux récalcitrants.

Donald Trump a commencé son discours sur un mode « la fête est finie » en disant que l'économie américaine a recouvré ses forces et que, bientôt, l'armée américaine serait plus puissante que jamais, puis a listé les frondeurs, nominalement ou par suggestion, en expliquant que les Etats-Unis veillaient au grain et que les contrevenants seraient matés. C'est un discours fondamentalement unipolaire, qui remet les pendules à l'heure à l'adresse des tenants de la « multipolarité », qui est présentée en filigrane comme un mode de gouvernement mondial instable et dangereux.

Donc, un nouvel ordre mondial, pas vraiment. Une contestation temporaire, oui, et qui pourrait devenir bien plus violente qu'elle ne l'est actuellement, mais pas un nouvel ordre. L'ordre mondial actuel, fondamentalement, c'est la monarchie américaine appuyée sur l'ONU, et le passage de cette crise ne fera que le renforcer.

2- Comment l'Europe peut elle s'inscrire dans ce nouvel ordre mondial ? Alors que la tradition gaulliste de la France a été de ne pas vouloir s'aligner, qu'en est il aujourd'hui ? Ou en est Emmanuel Macron dans sa volonté de retrouver une diplomatie gaullo-mitterrandienne ? 

Le seul choix censé pour l'Europe est de ne pas se joindre au concert des frondeurs, qui ont en commun d'avoir une vision des relations internationales comme du gouvernement intérieur radicalement contraires aux valeurs européennes. Ce sont précisément les malheurs de l'Europe qui ont conduit à l'apparition de l'ONU, et les états européens constituent le noyau primordial des vassaux de l'Amérique, le pilier de son pouvoir mondial – ce que disait feu Brzezinski, d'ailleurs.

Inversement, cependant, être le premier cercle du prince donne des devoirs, de loyauté notamment, mais aussi des privilèges. Une voix au conseil, certes – au Conseil de Sécurité pour ce qui est du Royaume-Uni et de la France – mais aussi des fonctions spéciales. La France est un auxiliaire important dans le rôle américain de gendarme du monde : on nous délègue de nombreuses missions, en Afrique notamment. C'est grâce à cela que nous tenons encore notre rang international et que nous pouvons recevoir le président américain pour le 14 juillet, entre autres. Une autre fonction spéciale envisageable est celle de médiateur : nous pouvons ainsi recevoir l'un des frondeurs, Poutine, en grande pompe afin d'engager un dialogue, ce que le souverain américain ne peut pas faire, car il doit demeurer au-dessus et ne peut pas dérouler le tapis rouge à ceux qui contestent son autorité. Ou alors, quand il le fait, il prend soin, là encore, de rappeler qui commande. Souvenez-vous de la manière dont Barack Obama a été traité lors de son dernier voyage en Chine, privé de tapis rouge. Je pense qu'il y avait une forme de sanction dans la manière humiliante dont Trump a raconté à la presse comment il a bombardé la Syrie au moment du dessert, et l'a annoncé devant une part de gâteau au chocolat à un Xi Jinping qui a demandé à son interprète de répéter, ayant peut-être cru l'espace d'un instant que le président américain lui parlait de la Corée du Nord.

Donc, pour en revenir à Emmanuel Macron, il me semble qu'il a bien compris ce nouveau rôle et s'emploie à le tenir depuis le début de son mandat.

3- Dans son discours, Donald Trump a mis à l'honneur "l'Etat nation" et les "patriotes" de tous les pays, marquant une nouvelle fois son retrait de toute forme de multilatéralisme. Comment ce souhait de retour à l'Etat Nation, par opposition au multilatéralisme, s'inscrit il dans ce nouvel ordre mondial ? Peut on y voir une forme de paradoxe, alors que Chine, Russie, ou encore l'Iran semblent les plus fervents défenseurs de l'Etat nation ?

Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un retrait de toute forme de multilatéralisme, au contraire. Dans son discours, Donald Trump a dit que l'intérêt des Etats-Unis primait pour lui, mais a aussitôt rappelé qu'il est de l'intérêt de tous les pays du monde d'avoir la concorde, la prospérité et des institutions internationales qui fonctionnent. La vision qu'il porte est donc bien celle d'un concert d'états-nations, mais sous l'égide américaine, au sein de l'ONU.

Alors, certes, la Chine, la Russie, l'Iran se présentent comme des défenseurs de la liberté nationale, qui devrait s'épanouir dans la multipolarité. Mais précisément, cela se recoupe avec le parallèle que je faisais plus haut : lors de ses frondes contre le pouvoir monarchique, l'aristocratie a toujours mis la liberté en avant, la liberté féodale, les « bonnes coutumes » de jadis, qu'il fallait préserver. En face de cela, les monarques s'appuyaient plutôt sur la liberté des sujets, sous la protection du gouvernement monarchique. Et le second discours était généralement plus convainquant que le premier, pour la bonne raison que pour la plupart, les petits, la liberté de quelques grands signifie l'oppression. Quand la Chine et la Russie parlent de liberté nationale, cela implique leur droit à avoir une sphère d'influence, c'est-à-dire des voisins soumis. Les voisins en question, eux, préfèrent un ordre international où ils peuvent se plaindre à l'ONU et faire appel à la puissance monarchique, en l'occurrence l'armée américaine, pour les défendre. Quand les Etats-Unis disent qu'ils oeuvrent pour la liberté de navigation dans la mer de Chine méridionale, c'est exactement de cela qu'il s'agit : ils empêchent la Chine de s'imposer à ses petits voisins. Idem en Ukraine.

Donc, en réalité, quand Trump parle de la liberté des états-nations, il faut comprendre ceux que la Chine et la Russie souhaiteraient pouvoir dominer sans que les Etats-Unis ne s'interposent avec leur « gros bâton », pour reprendre l'expression de Théodore Roosevelt , l'initiateur du mouvement vers la monarchie américaine, qui avait déclaré : « « L’injustice chronique ou l’impuissance qui résulte d’un relâchement général des règles de la société civilisée peut exiger, en fin de compte, en Amérique ou ailleurs, l’intervention d’une nation civilisée et, dans l’hémisphère occidental, [...] forcer les États-Unis, à contrecœur cependant, dans des cas flagrants d’injustice et d’impuissance, à exercer un pouvoir de police international. » Le discours de Donald Trump aux Nations Unies était tout à fait dans cette veine, et je n'arrive personnellement toujours pas à comprendre comment d'aucuns ont pu penser qu'il serait un président isolationniste.

 

Lien vers le commentaire

Plus la présidence Trump avance plus j'ai l'impression d'une plongée dans l'insignifiance. Peut être est-ce parce que je passe moins de temps à voir ce qu'il se passe aux US, mais l'écume de l'actualité a largement dépassé le point gorafien de non retour. Est ce que c'est pour masquer son incapacité à agir contre la PRK ? Ou est ce que c'est comme une voiture lancée à toute allure à laquelle on coupe le moteur et qui cale en haut d'une côte avant de repartir en arrière (il semblerait que toutes ses promesses de campagne et sa volonté de drainer le marais washingtonien ont fait long feu) ?

Lien vers le commentaire
Il y a 1 heure, Kassad a dit :

Plus la présidence Trump avance plus j'ai l'impression d'une plongée dans l'insignifiance. Peut être est-ce parce que je passe moins de temps à voir ce qu'il se passe aux US, mais l'écume de l'actualité a largement dépassé le point gorafien de non retour. Est ce que c'est pour masquer son incapacité à agir contre la PRK ? Ou est ce que c'est comme une voiture lancée à toute allure à laquelle on coupe le moteur et qui cale en haut d'une côte avant de repartir en arrière (il semblerait que toutes ses promesses de campagne et sa volonté de drainer le marais washingtonien ont fait long feu) ?

 

 

Insignifiance, insignifiance... Il est quand même en train de mettre le feu aux poudres. Autant sur la scène nationale qu'internationale.

Lien vers le commentaire
Just now, Johnnieboy said:

 

 

Insignifiance, insignifiance... Il est quand même en train de mettre le feu aux poudres. Autant sur la scène nationale qu'internationale.

 

  Je ne sais pas si c'est lui qui met le feu aux poudres : ce n'est pas de sa faute si le dictateur de la PRK décide de tester  missiles et bombes H. toutes les trois secondes en se fichant du monde. Trump n'est pas non plus à l'origine des convulsions internes des US entre les SJW et les alt-rights.

 

Tout au plus on peut constater son inefficacité à gérer ces problèmes. La diplomatie US est incompréhensible c'est vrai mais c'est plus l'absence (ou les absences) du parrain sur la scène internationale qui fait que les petits s'échauffent. 

Lien vers le commentaire
il y a 32 minutes, Johnnieboy a dit :

Insignifiance, insignifiance... Il est quand même en train de mettre le feu aux poudres. Autant sur la scène nationale qu'internationale.

 

L'un n'empêche pas l'autre. Il rend les choses instables, mais au final tout le monde s'en fout.

 

Les marchés n'ont pas fait -20% depuis tout ce cirque avec la PRK, par exemple. Il y a bien eu un léger sell-off de 2/3% mais les marchés sont plus haut de 1 ou 2% depuis la fin juillet.

Lien vers le commentaire
Le 23/09/2017 à 11:05, Tramp a dit :

Apparemment, Trump s'inspire désormais de Duterte :

 

 

 

Le Monde - Donald Trump s’en prend aux joueurs de NFL qui dénoncent le racisme

Lors d’une réunion électorale en Alabama, Donald Trump a lancé que les joueurs qui ne respectent pas le drapeau méritent de perdre leur emploi.

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/09/23/donald-trump-s-en-prend-aux-joueurs-de-nfl-qui-denoncent-le-racisme_5190084_3222.html

 

Edit : On est vraiment trombé bien bas :

 

Trump renews clash with U.S. sports world
http://uk.reuters.com/article/uk-usa-trump-sports/trump-renews-clash-with-u-s-sports-world-idUKKCN1BZ05B

 

L'histoire a commené par avec Colin Kaepernick, joueur qui a considéré sa mise sur le banc de touche des 49ers comme du racisme (il est mulâtre) alors que ce n'était qu'un remplacement par de meilleurs joueurs.

Suite à la polémique et des critiques du genre : la NFL n'est pas raciste c'est juste que tu es mauvais, il a embrassé la rhétorique néo-faciste et raciste de Black Live Matters pour se sortir de ce mauvais pas.

Il a été rejoint par d'autres joueurs afro-américains après que DJ Trump a posté quelques tweets surement bien (mal) sentis sur le sujet.

 

Dans cette histoire si il y a besoin de se boucher le nez c'est surement pas à cause de DJ Trump mais de BLM et ceux qui embrassent sa cause.

 

 

 

Lien vers le commentaire
il y a 5 minutes, Riffraff a dit :

mulâtre

 

Mmmmmmh.

 

Je vois ce mot rarement employé donc je peux me tromper mais j'en ai un a priori plutôt péjoratif. Comme si tu avais un problème avec les mulatres?

 

Autre point: Trump est tout autant à côté de la plaque et mongol que BLM. Merci de ne pas dissocier les deux, ils sont le revers de la même médaille.

Lien vers le commentaire
à l’instant, Hayek's plosive a dit :

 

Mmmmmmh.

 

Le terme mulâtre (au féminin mulâtresse) est un terme vieilli, forgé à l'époque des empires coloniaux, et désignant les personnes métisses nées d'un parent noir et d'un parent blanc, ou encore de deux mulâtres.

 

Signé

image.png.256965c33f31dc4a4a57fc4ad179a209.png

 

Lien vers le commentaire
il y a 28 minutes, Riffraff a dit :

 

L'histoire a commené par avec Colin Kaepernick, joueur qui a considéré sa mise sur le banc de touche des 49ers comme du racisme (il est mulâtre) alors que ce n'était qu'un remplacement par de meilleurs joueurs.

Suite à la polémique et des critiques du genre : la NFL n'est pas raciste c'est juste que tu es mauvais, il a embrassé la rhétorique néo-faciste et raciste de Black Live Matters pour se sortir de ce mauvais pas.

Il a été rejoint par d'autres joueurs afro-américains après que DJ Trump a posté quelques tweets surement bien (mal) sentis sur le sujet.

 

Dans cette histoire si il y a besoin de se boucher le nez c'est surement pas à cause de DJ Trump mais de BLM et ceux qui embrassent sa cause.

 

 

 

 

 

Pardonne-moi mais tu écris n'importe quoi. Ça demande moins de temps de googler Kaepernick que d'écrire des sottises/mensonges comme les tiens. Ma question est donc : quel est ton agenda ?

Lien vers le commentaire
il y a 18 minutes, Riffraff a dit :

 

Le terme mulâtre (au féminin mulâtresse) est un terme vieilli, forgé à l'époque des empires coloniaux, et désignant les personnes métisses nées d'un parent noir et d'un parent blanc, ou encore de deux mulâtres.

 

Signé

image.png.256965c33f31dc4a4a57fc4ad179a209.png

 

 

 

Nègre, aussi, ça passe ?

Lien vers le commentaire
1 hour ago, Hayek's plosive said:

L'un n'empêche pas l'autre. Il rend les choses instables, mais au final tout le monde s'en fout.

Au contraire ça polarise à fond les pro Trump vs les anti Trump. Trump profite à fond de ses situations, il rallie sa base.

 

43 minutes ago, Johnnieboy said:

Pardonne-moi mais tu écris n'importe quoi. Ça demande moins de temps de googler Kaepernick que d'écrire des sottises/mensonges comme les tiens. Ma question est donc : quel est ton agenda ?

Pas complètement, Kaepernick a stoppé son contrat et n'a pas été réengagé depuis. Je ne sais pas si lui même pense que c'est à cause de ses positions politiques qu'il n'a pas retrouvé d'équipe mais les anti-racistes primaire type SJW pense que c'est le cas. Et ça transparait dans nos médias https://www.letemps.ch/sport/2017/09/15/colin-kaepernick-difficile-retour-sportif-engage. Pourtant aujourd'hui il n'a pas retrouvé d'équipe malgré le fait que ce week-end on a pu voir les propriétaires des équipes croiser les bras avec leurs joueurs durant l'hymne. 

 

Les protestations des joueurs ce week-end sont surtout une réaction à l'autoritarisme de Trump qui a réclamé que les joueurs qui s'étaient agenouillés pendant l'hymne soient virés.

 

Ensuite, il y a quelque chose de bizarre a qualifié BLM de fasciste dans la mesure où le mouvement est très hétéroclite et même si certains composants du mouvement puent franchement ça ne suffit pas pour qualifier l'ensemble de mouvement de néo-fasciste. 

@Riffraff

Tu entendais quoi par là ? Et tu penses quoi de Milo Yiannopoulos ?

Lien vers le commentaire
3 minutes ago, Hayek's plosive said:

Ça cristallise les tensions mais il y a un nombre grandissant au milieu qui y voit un combat d'infirmes, m'est avis.

Oui, mais à moins d'avoir une alternative viable au centre à la prochaine élection (un démocrate pas trop radical) c'est pas sûr qu'ils aillent voter et donc qu'ils en reprennent pour 4 ans de plus de ces conneries. Et c'est ce que Trump cherche in fine.

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...