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Elections législatives de 2017 en France.


Messages recommandés

J'y crois, j'ai déjà vu des commentaires du même acabit sur les réseaux sociaux. 

Si on veut se faire du mal, il faut voir les commentaires de la page facebook du Monde ou des Echos, c'est rempli de râleurs idiots. 

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Il y a 3 heures, Fagotto a dit :

Valls a un gros pouvoir de nuisance, via son influence  local, PS, ministère de l'Intérieur, + ses relais médiatiques, sans apporter gran-chose de positif.

 

En tant qu'ex-vallsiste, que j'ai soutenu pendant 6 ans, je peux te dire que son influence se limite à la cummune d'Evry. Et là encore, il est probable qu'il subisse un sérieux revers électoral aux législatives. 

Manuel Valls a bâti sur du sable son réseau. Il avait une bonne cote médiatique en tant que ministre de l'Intérieur, il a pu ainsi forcer son entrée à Matignon en abusant de la fragilité d'Hollande. Les élus l'ont ensuite soutenu par discipline majoritaire, et ce jusqu'à la défaite. Mais les Aubrystes le haïssent, les Hollandais le tolèrent tout juste. Il a des fidèles mais on fait vite le tour, compter en tout 10 personnes. 

Le type s'est toujours montré froid, dur, clivant dans ses rapports à autrui, même avec ses propres soutiens. L'ambiance dans son équipe de campagne était des plus sinistres.

 

Depuis quelques semaines, il fait le tour des plateaux TV et des radios, mais il ne représente déjà plus que lui-même. Aujourd'hui, il lâche le PS pour EM (alors qu'il était censé diriger le parti ou son groupe parlementaire) il n'est plus chez lui nulle part. 

 

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2 minutes ago, Ninja said:

 

En tant qu'ex-vallsiste, que j'ai soutenu pendant 6 ans, je peux te dire que son influence se limite à la cummune d'Evry. Et là encore, il est probable qu'il subisse un sérieux revers électoral aux législatives. 

Manuel Valls a bâti sur du sable son réseau. Il avait une bonne cote médiatique en tant que ministre de l'Intérieur, il a pu ainsi forcer son entrée à Matignon en abusant de la fragilité d'Hollande. Les élus l'ont ensuite soutenu par discipline majoritaire, et ce jusqu'à la défaite. Mais les Aubrystes le haïssent, les Hollandais le tolèrent tout juste. Il a des fidèles mais on fait vite le tour, compter en tout 10 personnes. 

Le type s'est toujours montré froid, dur, clivant dans ses rapports à autrui, même avec ses propres soutiens. L'ambiance dans son équipe de campagne était des plus sinistres.

 

Depuis quelques semaines, il fait le tour des plateaux TV et des radios, mais il ne représente déjà plus que lui-même. Aujourd'hui, il lâche le PS pour EM (alors qu'il était censé diriger le parti ou son groupe parlementaire) il n'est plus chez lui nulle part. 

 

D'ailleurs, Cavournas l'a abandonné. 

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C'est Valls qui a lâché Carvounas, fidèle parmi les fidèles. Il l'envoie chez Hamon après la primaire, pour faire le jeu du rassemblement, et récupérer les miettes après le plantage.

Sauf qu'il finit par l'abandonner en pleine mer, en lâchant la candidature PS, puis maintenant en lâchant le PS tout court. 

Carvounas n'a pas particulièrement envie de participer à un suicide collectif façon temple solaire.

 

Et dire qu'il y a encore quelques semaines, la consigne qu'il nous avait donnée était de rester coûte que coûte au PS, car En Marche n'accueillerait pas les vallsistes. Et aujourd'hui il fait le trottoir. 

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Ca me serre le cœur cette histoire, rien que d'en parler. J'étais jeune et con, j'étais le rebelle du PS qui parlait business, compétitivité, sécurité, quand les autres gugusses se gargarisaient de démocratie participative, économie sociale et solidaire etc.

Je suis resté au PS si longtemps seulement par fidélité pour un homme que j'admirais, qui avait toujours cassé les codes, imposé la réalité socio-éco aux bisounours. 

 

Mais c'est dans l'adversité que les hommes se révèlent. Il est faible, il est près à toutes les humiliations pour garder une place sur l'échiquier. 

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1 minute ago, Ninja said:

Ca me serre le cœur cette histoire, rien que d'en parler. J'étais jeune et con, j'étais le rebelle du PS qui parlait business, compétitivité, sécurité, quand les autres gugusses se gargarisaient de démocratie participative, économie sociale et solidaire etc.

Je suis resté au PS si longtemps seulement par fidélité pour un homme que j'admirais, qui avait toujours cassé les codes, imposé la réalité socio-éco aux bisounours. 

 

Mais c'est dans l'adversité que les hommes se révèlent. Il est faible, il est près à toutes les humiliations pour garder une place sur l'échiquier. 

Même son discours agressif et chiant sur la laïcité, tu adhérais ? 

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Dans ma circonscription le sortant est un LR qui en est à son troisième mandat. Il devrait se représenter car il a démissionné du mandat de maire en décembre 2016 pour être en conformité avec la loi sur le non-cumul.

Mais son blog n'est même pas à jour et il ne fait pas encore mention de sa nouvelle candidature ! ! !

En revanche, le premier à faire coller des affiches depuis le lendemain du second tour des présidentielles est un mélanchoniste  qui invite déjà à un meeting jeudi soir !

Cela montre la forte détermination des mélanchonistes à se présenter comme le vrai "rempart" au libéralisme de Macron .

Aucun autre candidat ne s'est, pour l'instant manifesté dans la circonscription..

Pour le sortant LR (politicien professionnel clientéliste et roublard) , cela prouve qu'il a du prendre un gros coup sur la tronche avec l'élimination de Fillon, et il doit se ch... dessus à l'idée d'être battu par un(e) jeune inconnu(e) estampillé (République En marche).

 

 

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1 hour ago, Ninja said:

 

En tant qu'ex-vallsiste, que j'ai soutenu pendant 6 ans, je peux te dire que son influence se limite à la cummune d'Evry. Et là encore, il est probable qu'il subisse un sérieux revers électoral aux législatives. 

Manuel Valls a bâti sur du sable son réseau. Il avait une bonne cote médiatique en tant que ministre de l'Intérieur, il a pu ainsi forcer son entrée à Matignon en abusant de la fragilité d'Hollande. Les élus l'ont ensuite soutenu par discipline majoritaire, et ce jusqu'à la défaite. Mais les Aubrystes le haïssent, les Hollandais le tolèrent tout juste. Il a des fidèles mais on fait vite le tour, compter en tout 10 personnes. 

Le type s'est toujours montré froid, dur, clivant dans ses rapports à autrui, même avec ses propres soutiens. L'ambiance dans son équipe de campagne était des plus sinistres.

 

Depuis quelques semaines, il fait le tour des plateaux TV et des radios, mais il ne représente déjà plus que lui-même. Aujourd'hui, il lâche le PS pour EM (alors qu'il était censé diriger le parti ou son groupe parlementaire) il n'est plus chez lui nulle part. 

 

 

Tant mieux si il est grillé, tant mieux.

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Hier, LCI donnait un premier sondage( Kantor) sur les législatives 2017 mais en indiquant des pourcentages de voix sur toute la France.

Donc, très difficile d'en déduire des nombre de sièges, étant donné que ce n'est pas un scrutin à la proportionnelle.

Cela donnait

 

En Marche : 24%

LR  :             22%

FN   :            21%

Front de gauche :  19%

PS   :                      10%

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Il y a 2 heures, Jukebox a dit :

Si on veut se faire du mal, il faut voir les commentaires de la page facebook du Monde ou des Echos, c'est rempli de râleurs idiots. 

Hm, ça peut très difficilement pas descendre plus bas que les coms youtube.

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L'enjeu de ces élections législatives est certainement bien plus important qu'il ne l'était en 2012. Jamais un président fraîchement élu n'avait été aussi incertain de gagner la majorité parlementaire.

 

Maintenant relativisons un peu. Le positionnement politique d'Emmanuel Macron lui permettrait de travailler plus ou moins avec Les Républicains mais aussi avec l'aile réformiste du PS (ou ce qu'il en reste). Le seul danger, finalement, il provient de Mélenchon et de ses sbires. Ces derniers semblent prêts à tout pour rafler un nombre important de sièges. Or, en tant que libéral et progressiste de conviction, je pense que la priorité doit être celle de faire massivement barrage aux idées collectivistes et très dangereuses de la France Insoumise. Tout militant des libertés individuelles devrait intégrer cet objectif, à mon avis.

 

Avec une cohabitation Macron/droite, au mieux rien n'avancera.

 

Avec une cohabitation Macron/Mélenchon, le pays est assuré d'exploser.

 

Après, je vais quand-même relativiser mes propos. Les chances de voir LFI gagner ces législatives sont infimes. Déjà, la sempiternelle alliance Mélenchon/cocos a pris du plomb dans l'aile, visiblement. De plus, les législatives se jouent avant tout sur l'ancrage local des candidats. En tant que jeune mouvement, LFI sera quand-même pénalisé, d'autant plus qu'il n'y aura pas de liste commune avec le PCF. Bye bye les bastions communistes !

 

Ayant milité au sein du mouvement En Marche, je peux vous assurer que le plus grand ennemi d'En Marche, c'est... En Marche.

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il y a 50 minutes, Random a dit :

Ayant milité au sein du mouvement En Marche, je peux vous assurer que le plus grand ennemi d'En Marche, c'est... En Marche.

Que veux-tu dire, tu peux développer?

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il y a 6 minutes, Azref a dit :

Que veux-tu dire, tu peux développer?

 

Pour faire court, le mouvement est prisonnier de son organisation interne particulièrement injuste et inefficace. Quelques faits observés :

 

• Toutes les décisions sont prises par une poignée de bureaucrates depuis le quartier général parisien. Les comités n'ont aucune liberté de décision, dès qu'ils veulent entreprendre quelque-chose, ils doivent requérir l'aval de la hiérarchie, qui est paradoxalement difficile à joindre et peu réactive.

• Les actions terrain sont extrêmement mal organisées. Les militants sont un peu jetés dans la fosse aux lions. Par exemple, on leur demande de faire du porte à porte sans les former, avec pour seule aide une image dotée de quelques conseils totalement primaires et inutiles.

• Le mouvement est pollué par l'arrivée d'individus carriéristes qui ne poursuivent que des objectifs de pouvoir, de gain d'importance. Quitte à renier leurs convictions, leurs principes, voire à manipuler les militants. Ces carriéristes sont en général préformatés politiquement (je tairai volontairement leur provenance universitaire) et installent une sorte de mépris envers les militants non-carriéristes qui sont très vite réduits au rôle de sous-mains, tandis que l'on confie aux carriéristes le monopole de la prise de parole publique. Évidemment, certains sont très intelligents et courtois, mais c'est frustrant. Surtout pour un mouvement qui se veut citoyen et désintéressé, à la base, par le pouvoir.

• Attention, En Marche revendique plus de 250 000 membres mais dans les faits, le mouvement tourne avec relativement peu de militants en local. Il y a relativement peu de participation. Les jeunes désertent les actions terrain et ne se montrent que dans les soirées où il y a des caméras. L'huile de coude, ce sont plutôt des personnes relativement âgées qui la dépensent. Paradoxal pour un mouvement qui prétend redonner confiance aux jeunes. 

 

En somme, autant d'éléments qui vont encore écorner progressivement la motivation et la participation des militants dits "normaux". À la fin, il ne restera à En Marche que ceux qui sont là pour le pouvoir, pour leurs intérêts avant tout. C'est pour ça qu'à mon avis, En Marche a de bonnes chances de s'autoflinguer et de ne pas remporter ces législatives...

  • Yea 8
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il y a 10 minutes, Random a dit :

 

Pour faire court, le mouvement est prisonnier de son organisation interne particulièrement injuste et inefficace. Quelques faits observés :

 

• Toutes les décisions sont prises par une poignée de bureaucrates depuis le quartier général parisien. Les comités n'ont aucune liberté de décision, dès qu'ils veulent entreprendre quelque-chose, ils doivent requérir l'aval de la hiérarchie, qui est paradoxalement difficile à joindre et peu réactive.

• Les actions terrain sont extrêmement mal organisées. Les militants sont un peu jetés dans la fosse aux lions. Par exemple, on leur demande de faire du porte à porte sans les former, avec pour seule aide une image dotée de quelques conseils totalement primaires et inutiles.

• Le mouvement est pollué par l'arrivée d'individus carriéristes qui ne poursuivent que des objectifs de pouvoir, de gain d'importance. Quitte à renier leurs convictions, leurs principes, voire à manipuler les militants. Ces carriéristes sont en général préformatés politiquement (je tairai volontairement leur provenance universitaire) et installent une sorte de mépris envers les militants non-carriéristes qui sont très vite réduits au rôle de sous-mains, tandis que l'on confie aux carriéristes le monopole de la prise de parole publique. Évidemment, certains sont très intelligents et courtois, mais c'est frustrant. Surtout pour un mouvement qui se veut citoyen et désintéressé, à la base, par le pouvoir.

• Attention, En Marche revendique plus de 250 000 membres mais dans les faits, le mouvement tourne avec relativement peu de militants en local. Il y a relativement peu de participation. Les jeunes désertent les actions terrain et ne se montrent que dans les soirées où il y a des caméras. L'huile de coude, ce sont plutôt des personnes relativement âgées qui la dépensent. Paradoxal pour un mouvement qui prétend redonner confiance aux jeunes. 

 

En somme, autant d'éléments qui vont encore écorner progressivement la motivation et la participation des militants dits "normaux". À la fin, il ne restera à En Marche que ceux qui sont là pour le pouvoir, pour leurs intérêts avant tout. C'est pour ça qu'à mon avis, En Marche a de bonnes chances de s'autoflinguer et de ne pas remporter ces législatives...

Interessant, merci.

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il y a 45 minutes, Random a dit :

Ces carriéristes sont en général préformatés politiquement (je tairai volontairement leur provenance universitaire)

Oh non, justement ! Le reste de ton message est trop intéressant pour que tu taises une telle information !

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1 hour ago, Mathieu_D said:

Ça pourrait être n'importe quel parti raconté comme ça.

C'est ça.

 

Pour en avoir connut quelques uns, c'est le fonctionnement de quasiment tous les partis (sauf EELV qui est un vrai bordel pour le coup).

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Sans vouloir polluer ce topic, comment éviter cette dérive? Comment structurer quelque chose tout en laissant à chacun la possibilité de disposer d'une liberté d'action? Quid de l'efficacité?

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2 minutes ago, Flashy said:

Sans vouloir polluer ce topic, comment éviter cette dérive? Comment structurer quelque chose tout en laissant à chacun la possibilité de disposer d'une liberté d'action? Quid de l'efficacité?

En décentralisant, en laissant une grande marge de manoeuvre aux délégués régionaux/départementaux qui ont la confiance du créateur/chef du parti et qui adhèrent à la vision et à l'objectif du parti. En tout cas, je ne vois pas comment le faire autrement.

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Techniques de diffusion de désinformation et l’influence russe dans l’élection présidentielle française 2017

 

Citation

 

L’impact des « fake news » est en légère baisse pendant les dernières semaines de la campagne ; toutefois, la désinformation et les récits russes se propagent toujours aux réseaux sociaux, selon une nouvelle étude de la société Bakamo.

 

« Notre second rapport sur l’élection présidentielle française démontre que les utilisateurs des réseaux sociaux partagent davantage les actualités politiques qui proviennent des sources traditionnelles, telles que les journaux et les sites officiels des partis et candidats. Néanmoins, alors que la majorité leur en fait confiance, une minorité notable reçoit toujours un régime quotidien de désinformation et de propagande russe des sites non-traditionnels. »

 

Le rapport qui s’intitule Techniques de désinformation dans l’élection présidentielle française de 2017, montre que :

  • Environ les deux-tiers de liens partagés appartenaient à des sources d’actualité traditionnelles, ainsi qu’à des sites officiels des candidats et des partis, une augmentation de plus 10% en avril par rapport à la période du 1 novembre jusqu’au fin mars.
  • Environ 20% des liens partagés sur les réseaux sociaux en avril proviennent de sources qui contestent les médias traditionnels et représentent l’univers des sites potentiels de désinformation.

Parmi ceux-ci, environ 30%, soit 7% au total, proviennent de sites qui manifestent une influence russe.

 

Dans l’étude, l’influence russe est définie comme l’activité de republication ou de citation d’articles de tels sites comme la version française de RT (précédemment Russia Today) et Sputnik News, ainsi que bon nombre d’autres blogs russes écrits en français.

 

L’étude dévoile quatre techniques de diffusion de désinformation qui apparaissent dans les articles sur l’élection présidentielle française publiés par des sources de média non-traditionnels. Ces techniques comprennent des faux-semblants de crédibilité, des sondages non-scientifiques, la soustraction des articles de leur contexte historique, ainsi que de simples canulars. Ces méthodes coexistent avec des récits russes dont l’intention est d'influencer les lecteurs français afin qu’ils reçoivent favorablement des messages inspirant de la sympathie à l’égard des positions pro-Russes et les candidats qui les soutiennent.

 

L’analyse, qui met à jour les données de la première étude de Bakamo pour traiter la période du 1er novembre au 21 avril, s’appuie sur presque dix millions de liens en relation avec l’actualité politique et électorale provenant des 800 premiers sites les plus partagés sur les réseaux sociaux.

 

 « Les sources de médias traditionnelles restent tout de même pertinentes et fiables pour leurs utilisateurs », a déclaré Deitch. « Pourtant, un lien sur cinq en avril provient toujours de sources qui défient la validité du média traditionnel. Malgré leur influence un peu réduite, ces sites et leurs lecteurs sont toujours très actifs, et n’ont pas l’air de vouloir disparaître ».

 

 

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Il y a 5 heures, Flashy a dit :

Sans vouloir polluer ce topic, comment éviter cette dérive? Comment structurer quelque chose tout en laissant à chacun la possibilité de disposer d'une liberté d'action? Quid de l'efficacité?

 

Sur le modèle d'al Qaida. Une idée et ligne directrices communes et beaucoup de place laissée aux initiatives de petites cellules. 

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