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il y a 48 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Il semble pas, sa fiche Wikipédia n'en dit rien et je trouve pas d'articles de presse sur ça.

 

Oui enfin, il est toujours chez LR tout comme Richard Ferrand ou Castaner sont inscrits dans les fichiers adhérents de la rue de Solférino. :D

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Il y a 3 heures, Neuron a dit :

Trop libéral à leur goût. 

 

il y a 46 minutes, Jukebox a dit :

Ton message est ironique, non ?

 

Stadire que bon, ya des limites quoi, ca se voit qu'il deconne...

 

Ca reste un troupeau de conservateurs keynesiens qui rejettent un autoritariste semi-facho... Meme dans leur referentiel c'est trop gros.

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Surtout que bon, après nous avoir fait l'UMP puis avoir utilisé ça pour grignoter l'UDI d'une part et le FN d'autre part, après avoir jeté Bayrou aux orties parce qu'il ne voulait pas les suivre (on en pense ce qu'on veut, mais c'est quand-même son droit) c'est un peu gonflé.

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Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnaît...

 

S'ils pensent pouvoir inverser les courant des élections prez' avec ce genre d'arguments à la graisse d'Urus, ils se mettent le doigt dans l'œil jusqu'au coude. Et que penser de la douceur angélique avec laquelle ils ont tenté de virer Fillon de la course, pendant les primaire et pendant la campagne.

 

Je veux bien croire que plus c'est gros mieux ça passe, mais là, ça fini quand même par se voir, ce comportement de cloporte.

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Copé : «LR a besoin d'être revu de fond en comble, du sol au plafond»

 

Citation

 

L'ancien président de l'UMP estime qu'il «faut qu'il y ait (plusieurs) sensibilités» qui cohabitent au sein des Républicains.

 

Jean-François Copé plaide pour une refondation des Républicains. «Je pense que le parti LR a besoin d'être revu de fond en comble. Du sol au plafond», a-t-il dit lundi sur France 2. L'ancien président de l'UMP juge qu'il «faut tout recommencer». «De toute façon au lendemain du 18 juin (le second tour des législatives, NDLR), quoiqu'il arrive, il faudra tout réorganiser», a insisté le député-maire de Meaux, qui n'est pas candidat à sa réélection au palais Bourbon.

 

«Pour faire quoi? Pour faire en sorte que les voix différentes soient mieux entendues. Pour faire (en sorte) qu'il n'y ait pas une seule ligne avec le doigt sur la couture du pantalon», a poursuivi l'ancien ministre. Alors que le parti se divise entre ceux favorables à une main tendue à Emmanuel Macron d'une part et de l'autre ceux qui plaident pour que LR se place dans l'opposition, Jean-François Copé a estimé qu'il ne faut pas que le chef, «s'il doit y en avoir un, vire tous ceux qui ne sont pas d'accord avec lui». «Nous avons tellement souffert de ça avec François Fillon et Nicolas Sarkozy, il faut changer, il faut ouvrir, il faut qu'il y ait des sensibilités, des tendances différentes comme j'avais voulu le faire quand j'étais à la tête de ce parti», a-t-il insisté. En 2012, il avait permis à des «motions» d'être soumises au vote des militants. Un projet abandonné à son départ de l'UMP, en 2014.

 

[...]

 

 

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il y a 18 minutes, coup_du_sombrero a dit :

Je suis d'accord avec Woerth au sujet du parti unique espéré par Macron lorsque je disais qu'il fera du Erdogan soft

 

C'est sûr que c'est d'une grande violence pour la concurrence quand elle n'est pas capable de proposer une offre suffisamment attractive pour conserver ses membres et séduire son marché d'électeurs.

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Il est certain qu'assécher les vieux partis trados de postes bien rémunérateurs c'est super violent. Les priver de marocains à pompes à phynance généreuses c'est ultra-violent.

en résumé, priver LR d'une victoire imperdable pour continuer à vivre en parasite et poursuivre leur carrière tranquille sans jamais ne rien faire, c'est vraiment de la violence indécente.

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  • 2 weeks later...

Chez LR, François Baroin et les illusions rapidement perdues
 

Citation

 

[...]

 

Pour regagner les suffrages des électeurs de droite, le chef des candidats LR défend un projet rédigé à la hâte qui donne la priorité absolue à «la défense du pouvoir d’achat». A l’opposé de celui de Fillon qui prétendait, lui, avoir «le courage» de demander les efforts nécessaires au redressement national. Mais Macron ne laissera pas à la droite le loisir de défendre son projet. La formation du gouvernement, dirigé par le juppéiste Edouard Philippe, portera un coup fatal à la droite. Baroin croise partout des électeurs plutôt enclins à vouloir aider le nouvel exécutif à réussir. En déplacement en Gironde au lendemain de la nomination du Premier ministre, il jure qu’il ne veut pas d’un affrontement mais d’une «coexistence tout à fait pacifique». Jugé trop dur, le terme de cohabitation est abandonné. On parle plutôt de coalition, et même d’un sympathique «covoiturage» parfaitement inoffensif. Mais rien n’y fait. Sondage après sondage, le présage d’une raclée se confirme tandis que le nouveau président fait le spectacle devant Trump et Poutine.

 

Héritier
A bout de souffle, Baroin tentera sans succès de se relancer à grand renfort de fake news : En marche ne serait qu’une «mutation du PS», où 70 % de ses candidats seraient «originaires de gauche», Macron aurait prévu de faire payer des loyers aux propriétaires, etc. Pour Baroin, il est temps que cette campagne s’arrête. On lui sait gré, à droite, d’avoir au moins retardé l’implosion. Ce chiraquien héritier de Sarkozy aura rassuré les juppéistes qui s’inquiétaient d’une OPA de Laurent Wauquiez sur le parti. En enterrant le «ni-ni» et en plaidant très en amont pour des désistements en cas de triangulaires face au FN, il leur aura rendu l’air à peu près respirable.

 

 

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https://twitter.com/BFMTV/status/874024634114551809

 

Henri Guaino, candidat dans la 2e circonscription de Paris, a tenu des propos surprenants sur BFM TV ce dimanche soir : « L’électorat qui a voté dans la 2e circonscription de Paris aujourd’hui (…) est à mes yeux à vomir. A vomir hein, vous m’entendez bien. Entre les bobos d’un côté qui sont dans l’entre-soi (…) et leur égoïsme et puis il y a cette espèce de bourgeoisie traditionnelle de droite, celle qui va à la messe, qui envoie ses enfants au catéchisme et qui ensuite vote pour un type qui pendant trente ans s’est arrangé, a triché par tous les moyens. Voilà, c’est tout. J’ai voulu aller jusqu’au bout, je suis allé jusqu’au bout. »

 

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Législatives : la déroute de Sens commun, émanation de la Manif pour tous

 

Citation

 

C'est une déroute dans la défaite. Aucun des six candidats de Sens commun, l'émanation politique de la Manif pour tous, investis par Les Républicains, n'entrera à l'Assemblée nationale. Cinq d'entre eux ont été éliminés dès le premier tour. Seul Maxence Henry est parvenu à accéder au second tour mais il est en grande difficulté face à la candidate d'En Marche ! dans la 2e circonscription du Maine-et-Loire.

 

C'est la fin d'une aventure pour Sens commun, qui a commencé lors du ralliement du mouvement à François Fillon pendant la primaire de la droite et du centre. Une alliance arrachée grâce à un putsch interne. C'était il y a moins d'un an. C'était presque une autre vie.

 

[...]

 

 

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