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  1. Définir les races socialement Il est désormais difficile d'argumenter qu'un concept est socialement construit tant la notion a été idéologiquement galvaudée. Cependant il arrive que le label soit correct. Les démarcations raciales telles que nous les connaissons nous semblent évidentes et solides, pourtant elles changent dans le temps et dans l'espace selon les buts politiques et les rapports de force. Ainsi, par exemple, le concept de race aryenne ne recoupait pas tous les européens ni tous les blancs. Durant le génocide au Rwanda les Hutus n'utilisaient pas comme critère la couleur de peau mais d'autres attributs comme la taille pour reconnaître les Tutsis. Aux États-Unis, une personne aux origines visiblement mêlées (peu importe la proportion) tend à être catégorisée comme non blanche (Ho, Sidanius, Levin, & Banaji, 2011) tandis qu'en Amérique Latine une personne tend à être catégorisée comme blanche dès qu'elle a des origines européennes visibles (Skidmore & Smith, 2005). Toutes les catégorisations raciales existantes sont réelles et utiles du point de vue de ceux qui les utilisent mais leur intérêt du point de vue scientifique se limite à leur rapport à l'Histoire et la société. Définir les races biologiquement Qu'en est-il alors des différences biologiques entre blancs et noirs ? Elles sont le signe que des sous-populations se sont retrouvées en relative isolation. Il faut noter ici que les processus d'évolution biologique ne se limitent pas à la sélection naturelle pour la survie, mais comprennent également des phénomènes sociaux non adaptatifs (sélection sexuelle) ainsi que des phénomènes réellement aléatoires tels que la dérive génétique (Hartl et al., 1997; Lande, 1976). Ces différences ne reflètent donc pas nécessairement des adaptations au milieu. Notons également que, statistiquement, deux groupes qui diffèrent selon n'importe quel critère arbitraire présenteront également un ensemble d'autres différences. À cet égard le critère "couleur de la peau" n'a aucun intérêt particulier justifiant de l'utiliser comme base pour définir des races. Fish (2002) propose par exemple un autre critère : les populations vivant dans des climats froids comme les Inuits tendent à développer des corps plus ronds pour conserver la chaleur. D'autres populations vivant dans des climats chauds comme les Masai tendent à développer des corps plus émaciés, ce qui maximise leur rapport surface/volume et leur permet d'émettre plus de chaleur. Selon cette nouvelle taxonomie les maigres et les gros sont deux races, chacune comprenant des individus blancs et noirs, et on pourrait trouver un grand nombre d'indices génétiques permettant en moyenne de les différencier. La légitimité scientifique d'une telle approche est exactement équivalente à celle s'appuyant sur la couleur de peau. Définir les races génétiquement La couleur de peau est un indicateur plutôt faible d'un point de vue génétique. La variabilité génétique est plus importante à l'intérieur de ces catégories qu'entre elles (Foster & Sharp, 2002), et elle est d'ailleurs beaucoup plus forte en Afrique par rapport au reste du monde (e.g. Tishkoff & Kidd, 2004; Tishkoff & Williams, 2002). Il y a 2% de différence entre l'ADN d'un humain et celui d'un chimpanzée, 0.1% de différence entre deux humains et 0.01% de différence entre les populations européenne, africaine et asiatique (Barbujani & Colonna, 2010; Jorde & Wooding, 2004), sachant que 98% de l'ADN humain est composé de régions non codantes (Elgar & Vavouri, 2008) et que dans les régions codantes les différences entre populations ne sont typiquement pas systématiques mais plutôt des variations de fréquences d'allèles. Lorsque de telles différences systématiques existent, elles concernent plutôt des traits simples comme la couleur de peau. Les traits comportementaux complexes comme l'intelligence tendent à dépendre de l'interaction entre un grand nombre de gènes, la contribution de chacun étant limitée (Chabris, Lee, Cesarini, Benjamin, & Laibson, 2015; Davies et al., 2011; Kirkpatrick, McGue, Iacono, Miller, & Basu, 2014). La recherche en génétique moléculaire et en imagerie cérébrale a pour l’instant échoué à détecter aucune relation entre les gènes et l'anatomie du cerveau d'une part, la race ou le quotient intellectuel d'autre part (Balaresque, Ballereau, & Jobling, 2007; Mekel-Bobrov et al., 2007; Richardson, 2011; Timpson, Heron, Smith, & Enard, 2007). QI et différences raciales Dans les études visant à lier race et intelligence, cette dernière est généralement définie suivant Boring (1923) comme "la quantité que les tests de QI mesurent". Une telle définition a le mérite d'illustrer l'absence d'accord théorique parmi les experts sur la nature de l'intelligence (Sternberg et al., 2005), qui se reflète également dans la multiplicité des tests de QI qui ne mesurent jamais exactement la même chose (Mackintosh, 2011). Par conséquent, s'il est généralement admis que le score des américains noirs est environ 15 points (un écart-type) plus bas, en moyenne, que celui des américains blancs pour les tests de QI (Cottrell, Newman, & Roisman, 2015; Neisser et al., 1996; Roth, Bevier, Bobko, Switzer, & Tyler, 2001), il est utile de compléter le tableau par d'autres types de mesures. Par exemple l'écart entre noirs et blancs est beaucoup plus important pour les connaissances techniques comparé aux tests de mathématiques ou de rapidité cognitive (Alderton, Wolfe, & Larson, 1997; Hough, Oswald, & Ployhart, 2001;Kehoe, 2002; Outtz & Newman, 2010; Wee et al., 2014), sachant que le QI incorpore généralement les deux. Par ailleurs l'écart pour la performance au travail est trois fois moins élevé que l'écart de QI (McKay & McDaniel, 2006). En outre l'écart de QI semble diminuer aux États-Unis (Dickens & Flynn, 2006; Mackintosh, 2011; Nisbett, 2005; Nisbett et al. 2012), ce qui se traduit par une augmentation des performances scolaires (très corrélées au QI) des élèves noirs par rapport aux blancs (Hedges & Nowell, 1998). Pour finir Fryer & Levitt (2013) n'ont trouvé aucune différence significative chez des enfants entre 8 et 12 mois. QI et héritabilité L'héritabilité est définie comme la proportion de variation d'un attribut entre les individus d'une population corrélée à la variation génétique dans cette population. Si le QI a une héritabilité de .50 alors on peut dire que 50% de la variation des scores de QI est potentiellement attribuable à des influences génétiques. La corrélation entre deux variables étant indépendante de leur niveau moyen, augmenter tous les QI d'une population de 200 points ne changera en rien le score d'héritabilité. Cette mesure est donc muette sur l'évolution possible des scores de QI (leur modifiabilité). La taille est un exemple de caractéristique extrêmement héritable (à un niveau supérieur à .90) mais également très modifiable comme l’illustre l'augmentation de la taille moyenne des dernières générations. L'héritabilité étant toujours mesurée pour une population, elle n'a aucun pouvoir explicatif sur les différences entre populations. La différence de taille entre deux populations peut être complètement liée à des facteurs environnementaux (nutrition, maladies...) sans que le score d'héritabilité de ces populations soit affecté. L'héritabilité peut être calculée avec plusieurs méthodes, la plus récente et directe étant la "genome-wide association study". L'héritabilité du QI a été estimée par l'une de ces études entre .40 et .50 (Davies et al., 2011) et par une autre à .35 (Kirkpatrick et al., 2014). Un tel score n'est pas surprenant pour une mesure qui se veut aussi générale que le QI. En effet il est connu que les traits définis les plus largement sont les plus héritables (Johnson et al., 2011). À titre de comparaison, Polderman et al. (2015) ont passé en revue 2748 études sur les jumeaux et trouvé une héritabilité moyenne de .48 pour environ 18 000 traits complexes. L'âge de la population considérée peut altérer l'héritabilité. Par exemple l'héritabilité de la satisfaction au travail a été mesurée à .312 à 21 ans, .187 à 25 ans et .198 à 30 ans (Li et al., 2016). Dans le cas du QI elle tend à augmenter jusqu'à atteindre des valeurs autour de .70 à l'âge adulte, ce qui a été nommé l'effet Wilson (Bouchard 2013). Cela peut s'expliquer en partie par le fait que, lorsqu'ils ont la liberté de le faire, les individus tendent à avoir un parcours de vie correspondant à leurs capacités physiques et intellectuelles (Kristof-Brown & Guay 2010). D'autres facteurs tels que l'éducation et l'environnement familial peuvent également altérer l'héritabilité du QI (Bates et al. 2013, Taylor et al. 2010). QI et brassage génétique La proportion d'origines blanches dans la population noire américaine atteint 24% (Bryc, Durand, Macpherson, Reic, & Mountain, 2015). Un moyen d'établir directement l'influence raciale dans le QI est de vérifier que les noirs américains avec le plus de gènes européens ont en moyenne un meilleur QI que ceux qui n'en ont pas. Witty & Jenkins (1935) ont sélectionné parmi 8000 enfants noirs les 63 avec le plus gros QI, qu'ils ont ensuite classé selon leurs origines telles que rapportées par leurs parents. La distribution des origines était étonnamment similaire dans les deux groupes, avec notamment 14.3% d'enfants d’origines principalement blanches chez les haut QI contre 14.8% dans le groupe contrôle. L'enfant avec le plus haut QI du groupe (une fillette au score exceptionnel de 200) n’avait aucun ancêtre blanc rapporté. Scarr et al. (1977) ont reproduit l'expérience avec une méthode plus moderne : ils ont évalué les origines de 362 enfants noirs avec des marqueurs sanguins et n'ont trouvé aucune corrélation avec 5 tests d'intelligence (le seul résultat s'approchant de la significativité était une tendance pour les enfants les plus blancs à moins bien répondre sur un des tests). Loehlin et al. (1973) ont également utilisé des marqueurs sanguins chez deux groupes indépendants pour un total de 84 adolescents noirs américains, et n'ont trouvé aucune corrélation significative avec le QI. Moore (1986) a mesuré le QI de 46 enfants noirs ou de race mixte ayant été adoptés soit par des parents noirs, soit par des parents blancs. Les scores des enfants avec 50% d’ADN blanc étaient virtuellement les mêmes. Il y avait en revanche un avantage de 13 points en moyenne pour les enfants vivant dans des foyers blancs. Dans la même veine l'étude de Willeman et al. (1974) montre un avantage moyen de 9 points de QI pour les enfants d'une mère blanche et d'un père noir par rapport aux enfants d'une mère noire et d'un père blanc, les proportions génétiques étant le même dans les deux cas. Eyferth (1961) a étudié les Besatzungskinder, des enfants illégitimes de soldats américains (et quelques français) élevés par des mères allemandes suite à la Seconde Guerre Mondiale. Le QI moyen des enfants de père noir (96.5) et de ceux de père blanc (97.2) était encore une fois identique, sans avantage pour les enfants purement blancs. La Minnesota Transracial Adoption Study (Scarr & Weinberg, 1976) est parfois citée en contre-exemple des études précédentes. Elle s'intéressait à 145 enfants noirs, de parents mixtes ou blancs, entre 4 et 12 ans, adoptés par des familles blanches de classe moyenne. Les QI moyens des trois groupes étaient 96.8, 109 et 111.5 respectivement. Notons qu'il n'y a encore une fois pas de différence entre les mixtes et les blancs, en revanche le score des noirs est significativement plus faible. Cette différence est néanmoins expliquée dans l'article : les enfants noirs ont été adoptés plus tardivement et leurs parents (à la fois génétiques et adoptifs) étaient en moyenne moins éduqués que ceux des autres groupes. Les mêmes enfants ont été testés à nouveau 10 ans plus tard (Weinberg, Scarr, & Waldman, 1992) avec comme nouveaux résultats 95.4, 109.5 et 117.6. L'augmentation du score des blancs est encore une fois expliquée dans l'article : un nombre disproportionné d'enfants blancs avec les scores de QI les plus bas n'ont pas pu être re-testés, biaisant la moyenne vers le haut. QI et environnement Des études comparatives internationales, utilisant souvent comme proxy du QI des mesures comme les scores PISA qui lui sont très corrélées (Rindermann, 2007), montrent un lien significatif entre le QI moyen et divers indices de développement comme le PIB par habitant, le nombre d'années d'études, l'espérance de vie, le taux de pauvreté, la liberté économique et le degré de démocratisation (Lynn & Vanhanen, 2006). On peut dès lors s'interroger sur la causalité entre ces facteurs. Le QI tend à augmenter de génération en génération (les néerlandais ont par exemple gagné 20 points de QI entre 1952 et 1982), ce qui a été nommé l'effet Flynn (Flynn, 1999). Comme nous l'avons vu précédemment cela ne contredit en rien l'héritabilité du QI (Dickens & Flynn, 2001). Cet effet est surtout présent dans les pays en voie de modernisation et devient moins important, négligeable voire négatif dans les pays les plus développés (Nisbett et al., 2012; Meisenberg & Woodley, 2013). Il est connu que l'éducation a pour effet d'augmenter le QI (Neisser et al., 1996), un effet quantifié à plus de 3 points par année d'étude en Suède (Falch & Sandgren Massih, 2011) et en Norvège (Brinch & Galloway, 2012). Les longues périodes de déscolarisation causent au contraire un déclin (Ceci, 1991). Von Stumm & Plomin (2015) ont trouvé que, sur 14835 enfants, la différence entre statut économique et social haut et bas entraînait un écart moyen de 6 points de QI à 2 ans qui se retrouvait presque triplé à 16 ans. Bakhiet et al. (2018) ont constaté qu'entre 5 et 12 ans le QI d'enfants de pays arabes devenait de plus en plus bas par rapport à celui d'enfants anglais. Ils nomment ce résultat l'effet Simber et proposent une explication en termes de Life History Speed (Figueredo et al. 2006) : lorsque l'environnement est imprévisible et dangereux (stress, mauvaise nutrition, parasites...) la maturation est plus précoce, ce qui se traduirait par le ralentissement puis l'arrêt du développement du QI à un âge où il continue de progresser chez les enfants occidentaux. Cas pratique : l'Italie Il a été proposé (Piffer & Lynn, 2014) que la présence historique de populations phéniciennes et arabes dans le sud de l'Italie aurait entrainé un mélange avec des gènes nord-africains dans ces régions (détectable à l'aide de marqueurs génétiques) qui expliquerait l'écart de 10 points de QI en moyenne (dérivé des scores PISA) entre les italiens du sud et les italiens du nord et par suite les différences de développement économique et social. Ce raisonnement a aussi été appliqué par exemple pour l'Espagne (Lynn, 2012). Daniele (2015) met en évidence qu'entre 2003 et 2013 le score italien moyen au PISA augmente de 19 points pour les mathématiques et de 14 points pour la lecture, une tendance portée quasi-exclusivement par les régions du sud tandis que dans les régions du nord la variation est négligeable ou négative. Une évolution similaire a existé en Allemagne où, après la réunification et sans qu'on puisse l'attribuer à la génétique, un écart de QI existait entre les régions de l'est et de l'ouest qui a été comblé par une augmentation de 0.5 points par an à l'est (Roivainen, 2012). Concernant l'influence des gènes arabes sur le développement économique, il est aisé de trouver des régions d'Europe avec une haute fréquence de marqueurs génétique nord-africains (Gérard et al., 2006) (par exemple la Sardaigne ou la Sicile) ayant un niveau de prospérité égal ou supérieur à d'autres régions où ils sont absents (par exemple le Kent). Au sujet du QI on peut noter que la proportion d'ancêtres africains est importante dans les populations juives, incluant les Ashkénazes (Moorjani et al., 2011). Références Alderton, D. L., Wolfe, J. H., & Larson, G. E. (1997). The ECAT battery. Military Psychology, 9, 5–37. Bakhiet, S. F. A., Dutton, E., Ashaer, K. Y. A., Essa, Y. A. S., Blahmar, T. A. M., Hakami, S. M., & Madison, G. (2018). Understanding the Simber Effect: Why is the age-dependent increase in children's cognitive ability smaller in Arab countries than in Britain? Personality and Individual Differences, 122, 38-42. Balaresque, P. L., Ballereau, S. J., & Jobling, M. A. (2007). Challenges in human genetic diversity: demographic history and adaptation. Human Molecular Genetics, 16, R134–R139. Barbujani, G., & Colonna, V. (2010). Human genome diversity: frequently asked questions. Trends in Genetics, 27, 285–295. Bates TC, Lewis GJ, Weiss A. (2013). 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  2. Moi, j'ai toujours du BTC et du BCH et très content de leur perf. J'ai aussi de l'ETH et laisse pour le moment tout filer jusqu'à fin juin. Mais au vue des performances du BCH, je prévois de basculer l'ETH vers du BCH. J'aime beaucoup sa volatilité qui apporte pas mal de rendement. Après, pour l'analyse fondamentale des deux, c'est très simple: BTC: 134 milliards d'euros BCH: 23 milliards d'euros C'est bon, elles passent toutes les deux mes critères de sélection Et autre critère intéressant: même ma femme est investie en BCH
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  3. C'est ce qui arrive quand on confond l'idée et le bout de papier sur laquelle elle est écrite. Après quelques générations on a perdu la capacité de défendre l'idée et on se fait démonter par d'autres qui, contrairement à nous, ne fétichisent pas le bout de papier et ne le considèrent pas comme un argument en soi. Il y a une leçon ici pour certains un peu trop attachés à la DDHC...
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  4. Les gens qui sont prêts à mourir s'en fichent un peu de se faire tuer. Le terrorisme c'est simple : il y en aura toujours. C'est comme vouloir empêcher la pluie. Faut faire avec c'est tout.
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  5. C'est pour ça que je suis pour le port d'arme. (Même si dans un cas comme celui de Las Vegas, penser à fuir plutôt qu'à sortir son arme et chercher le tireur, donnait à mon avis plus de chances, mais c'est un autre débat, chacun devrait avoir le choix de ce qu'il veut pour survivre). Sauf que ce n'est pas ça que l'on nous vend. On nous vend une société apaisée où il n'y aurait plus de fusillades car les suicidaires auraient trop peur de se faire descendre par leur victimes, et que même si ils étaient quand même assez co.. pour y aller ben ils ne feraient quasiment aucun mort car ils seraient descendus de suite par de bon citoyens. Et ça j'achète pas (ou alors pas cher du tout).
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  6. Outre que l'évidence qu'au problème des morts par arme à feu la solution ce soit plus d'arme à feu ne l'est pas pour tout le monde, surtout en France C'est le fait qu'il fasse un sketch sur scène. Un truc d'humoriste douteux et ciblant la France, le symbole des lâches pour les conservateurs qui ne nous ont pas pardonné l'opposition à l'ONU contre la guerre Irak. Alors c'est très bien vu politiquement parlant, il touche totalement son électorat. Maintenant dire: "Good Job Donald, vous avez tout à fait raison de vous foutre de la goule des français ces lâches qui sont comme des moutons à l'abattoir". Cela passerait pas pour un politique en France. Surtout qu'il serait crédible si aux USA le problème des fusillades était réglé. Là où le Bataclan est encore un drame national en France, la tuerie d'orlando c'est un épisode quasiment oublié aux USA.
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  7. Les chiens de garde deviennent de plus en plus méchants.
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  8. Quand même surréaliste qu'une déclaration de Trump devant la NRA, justifiant l'évidence d'une meilleure résistance face à un terroriste qu'un citoyen lambda désarmé, déclenche en France un tel tollé de réactions hystériques, avec en première ligne celle de Hollande qui préconiserait presque la rupture des relations diplomatiques avec les USA.
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  9. Je pensais qu'ils allaient tout lacher après la débandade contre le Barca, et au mercato suivant il claque 400 millions...
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  10. Il faut bien lire la partie en gras pour comprendre ce que Locke veut dire par propriétaire de sa propre personne.
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  12. Moi j'ai un peu le même sentiment que @Mégille, manque d'esprit critique dû à un sujet trop ancien. Quand on me dit Chirac ça m'évoque de vagues souvenirs sympathiques de mon enfance, une sorte de vieux sage bienveillant et rieur:
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  13. APPEL A LA MODERATION : J'ai été méchamment triggered. Existe-t-il un moyen de rétorsion contre les individus que je ne qualifierai pas qui t'expliquent qu'ils ne connaissent pas Chirac parce que c'est pas leur génération?
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  14. Oui, Chirac m'est plutôt sympathique... ne serait-ce que parce que ne rien faire se rapproche de "ne pas exister" ! Je crois que tu n'as saisi la citation. Chirac est un des pires niveau sentiment anti-libéral (son passé gacuho-gaulliste), couplé à son opportunisme total la plupart c'était pas joli à voir.
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  15. Je ne vois pas en quoi Trump a manqué de respect à la mémoire des victimes des attentats cités: http://www.lemonde.fr/international/article/2018/05/05/trump-sur-les-attentats-du-13-novembre-la-ferme-desapprobation-de-la-france_5294916_3210.html Il me semble que Jesse Hugues, un des musiciens des Eagles Of Death Metal, avait déclaré la même chose concernant l'autorisation d'être armé, peu de temps après le massacre.
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  16. De gauche à droite: top: Fratelli Rossetti, APC et Berwick bottom: Berwick
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  17. Cette volonté de disséquer les poubelles de l'Internet dont se foutent 99% des gens me surprendra toujours.
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  18. Étais -tu sur les lieux pour connaître les qualités des personnes interpellées ? Moi, non. Comme je n’étais pas sur les lieux, comme je ne connais pas leur configuration, comme je n’ai pas vu la chaîne de commandement police décider, je vais rester prudent dans mes propos et donc éviter d’être un journaliste ou un analyste de clavier. Rappel sur les BB : - ceux-ci agissent en deux éléments. L’un est dédié à l’attaque des forces de police, l’autre, par petits groupes, commet les déprédations ; - ils ne se séparent jamais de la foule pour y trouver refuge ; - leur action mets en œuvre des armes de circonstance et artisanales (Molotov, boules de pétanque avec lames de rasoir soudées...) ; - enfin, ils se transforment pour échapper aux recherches. Rappel pour la police : - la doctrine depuis les évènements de Naple, consiste à ne pas être au contact de la foule. Plus il y a de contact, plus il y a de violence et de victimes ; - quand un groupe se déplace, il se déplace vis à vis de tout un dispositif. Ainsi, lors d’une émeute, on ne peut engager un élément qu’a la seule condition que cela n’ouvre pas une brèche ; - interpeler une personne peut demander 8 policiers (4 sur l’individu et 4 pour protéger l’interpellation.) ; - combattre des BB consiste à les séparer de la foule et à les encager ; - la police reçoit des ordres du représentant de l’etat. Donc, la conduite du maintien de l’ordre n’est pas seulement une manœuvre tactique mais une manœuvre sous contrainte politique. Rappel au niveau politique : - nous sommes dans le syndrome Oussekine et maintenant Fresse. Les décideurs sont terrifiés par ce point ; - annoncer un grand nombre d’interpellations, c’est donner une grande importance journalistique à l’événement ; - l’emploi de moyens, c’est diffuser des images de guerre dans une ville qui survit du tourisme. Alors, ils donnent le feu vert trop tard, beaucoup trop tard. Ne pouvant m’exprimer sur un événement que je ne connaîs pas, je peux juste donner une opinion sur plusieurs années d’observations : - tactiquement, la police et la gendarmerie ont la compétence pour faire face ; - ils sont verrouillés par des autorités politiques qui, si elles sont particulièrement conscientes de la menace, restent indécises voir pétrifiées à agir. L’affaire de l’activiste de gauche mort a Paris a été une catastrophe ; - la doctrine doit évoluer pour mettre en œuvre de nouveaux moyens complémentaires. Je pense ainsi à l’usage de véhicules ou des moyens de fermeture de rue pour sortir les voyeurs qui empêchent la manœuvre. - Il faut enfin aller au contact dans ces cas particuliers. L’idee n’est pas de faire des interpellations mais de pousser les BB lentement et , une fois encagés, les interpeler un à un tranquillement. Mais, pour tout cela, il faut une volonté qui ne vient pas. Il y aura simplement un policier mort un jour. On fera une belle cérémonie et tout le monde pleurera devant des micros.
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  19. Entre ça et la légalisation des drogues, carrément. Si ça se trouve, il est parmi nous en scred.
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  20. https://www.psychologytoday.com/us/blog/diagnosis-diet/201712/cooling-brain-inflammation-naturally-food Article intéressant sur le rôle que jouent certains aliments raffinés sur les processus inflammatoires qui causeraient certains désordres psychiques. Ca reprend plusieurs études, c'est cool. Sinon, je continue le zero carb, j'en ai bien chié (bien que ça ne soit pas le mot qui conviendrait ici en fait...), jusqu'au jour où je me suis dis qu'il était temps d'arrêter de prendre les pilules d'oxyde de MG pour quelque chose d'autre (citrate de MG). Y a eu du mieux, mais c'était pas encore ça. Donc là, j'ai sorti l'artillerie lourde en prenant et Chlorure de MG, et Bicarbonate de potassium. Ah bah, c'est bon, je suis frais comme un gardon. Rincevent, tu avais parlé de puzzle un jour je crois, ben voilà, j'ai réussi à mettre quelques pièce dans l'ordre J'ai par ailleurs remarqué certains changements de comportements vis-à-vis de mon alimentation. Y a toujours quelques moqueries et récalcitrant ( "Si tu es en forme, c'est parce que tu fais du sport" "ton alimentation est peut-être agréable pour toi mais est-ce qu'elle est généralisable à la planète entière?" "tu verras tes reins!"), mais on vient de plus en plus me poser des questions. J'ai dernièrement une collègue (diététicienne, je vous passe donc les prises de bec :D) qui a lu un bouquin sur le microbiome, et me disait qu'elle était sur le cul sur ce qu'elle lisait, il y avait notamment un passage sur le LC, où elle a retenu que "cette diète ne conviendrait certainement pas à tout le monde", mais qu'elle était surprise de découvrir que ce qu'elle a appris n'était pas nécessairement vrai, et c'est quand même un gros effort. DU coup, elle me ramène le bouquin demain, j'essaierai d'en dire quelques mots ici.. Et si vous avez des vidéos sympas sur le microbiome, toussa, je suis preneur, à part avoir lu des articles de ci de là, j'ai pas trop approfondi le sujet encore
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  21. Il aurait pu s’appeler Malthos.
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  22. Tiens, un concurrent de Boston Dynamics
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  23. Allez quelques bonnes nouvelles. J'ai planté il y a trois ans une aubépine près de ma cabane, aujourd'hui il doit faire quatre mètre de haut, en fleur son parfum est exquis, surtout quand un rayon de soleil vient évaporer ses essences, il y a de la rose, de l'orange, de la cannelle dedans , on le sent a dix mètre, un voyage. J'ai croisé ma chèvre provençal avec un bouc auvergnat, histoire de baisser un peu le standard des provençales qui sont trop puissantes et bagareuses. Mes petites métisses sont entrées en production ce printemps, une réussite, elles ont gardé un bon potentiel de production , leur mère est une laitière exceptionnelle, j'ai le dessus dans les combats au corps à corps , mais surtout la race auvergnate est réputée pour avoir un lait particulièrement crémeux. De fait mes cabécous sont un péché cette année , très onctueux , très parfumés . Rosa canina, la rose sauvage, commence sa floraison ( c'est la rose des parfumeurs ) , c'est un bonheur quotidien d'aller passer quelques instants en sa compagnie. Je medite alors sur ce qui fait une odeur dite profonde, en fait c'est un mélange d'odeur très agréable avec une petite pointe de parfum " repugnant". Quand on analyse bien le parfum de rosa canina on trouve un soupçon d'odeur de vomit , c'est homéopathique, mais l'esprit ne peut se décider entre les extrêmes et se plonge dans le gouffre infini de la dualité, c'est profond.
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  24. C'est parce que la musique nègre incite à la fornication qu'il explique, et il a bien raison, essayez de tirer un coup avec " maréchal nous voilà " en musique d'ambiance, quoi que en y réfléchissant bien.......
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  25. Comme disait Rothbard, Marx a au moins un mérite: il n'était pas keynésien.
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  26. huhuh le gars dans la vid n'est pas un policier, c'est un garde de securite.
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