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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 14/06/2018 dans Messages

  1. Merci pour la référence, je lirai ça avec intérêt. Mon analyse est celle-ci : on oublie trop souvent que le libéralisme historique est entré en crise dès la fin du 19eme, et qu'il a totalement disparu dans les pratiques (et presque totalement dans les esprits) au milieu des années 30, que les premiers régimes libéraux à se saborder (au nom du planisme) furent l'Angleterre et les USA, que le parlementarisme libéral en Italie et en Allemagne furent des échecs totaux et offrirent une piètre opposition au fascisme et au nazisme. Les rares libéraux qui subsistaient prenaient soin de se distinguer du "libéralisme manchestérien" (ex Hayek au début de sa carrière), cet affreux ultralibéralisme qui avait tout foiré. Après cette disparition effective du libéralisme (au profit de l'Etat social est celui que nous connaissons maintenant depuis plus de 50 ans), on retrouve plusieurs attitudes (toujours par rapport à l'activité de gouverner) : la première consiste à vouloir ressusciter ou théoriser le libéralisme classique pour limiter la casse (Mises et Hayek par exemple), la seconde consiste à vouloir réformer le libéralisme pour intégrer dans le domaine de la théorie ses faiblesses (colloque Lippman, socialisme libéral ou libéralisme social, new liberalism), la troisième, plus tardive est une remise en cause radicale du compromis Etat démocratique et libéralisme. Et c'est là que commencent à se faire entendre les libertariens (leur âge d'or c'est les années 70) : plutôt que de vouloir faire revivre en théorie le libéralisme politique classique, ils vont opérer (ou approfondir) une critique interne à la tradition libérale en s'appuyant sur l'économie : si celle-ci a disparu, ce n'est pas seulement à cause de ses méchants ennemis, mais aussi de ses faiblesses internes (et de ses faux amis : la démocratie, la redistribution, le gouvernement représentatif, le constitutionnalisme, etc). En opérant cette critique, le libéralisme intégral devient plus accueillant pour un certain nombre de personnes qui justement rejetait la synthèse du libéralisme classique parce qu'incompatible avec leur vue (je pense en particulier, parce que je connais un peu, le catholicisme et le constitutionnalisme libéral, ce dernier introduisant dans l'ordre politique des éléments hostiles à la doctrine, etc ou encore le développement de l'Etat social comme substitut aux solidarités organiques).
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  2. Teaser : Pour info, une instance peertube pour les libéraux, libertariens, libertariens-geeks, marchands d'armes, etc, est en train de se monter. Pour l'instant ça se présente pas trop mal, mais il faut sans doute encore un peu de temps pour tout bien raccommoder. L'instance devrait être éclectique, mais quand même fortement orientée libéralisme (sous tous ses aspects). Qss infos sur peertube ici : https://opentruc.fr/wiki/Peertube
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  3. Les polytechniciens sont sympas quand ils bossent pour toi. Faut juste éviter de leur filer des responsabilités.
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  4. Bref, t'es communiste dans le sens que tu donnes à communiste pour le plaisir de cogner sur du catho
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  5. Tu sais que hors contexte, une telle phrase ferait super bizarre.
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  6. Je ne crois pas que ce soit la bonne métaphore, en tous cas pas pour ma part. À mes yeux, je vois plutôt GK comme un type qui voudrait m'apprendre un sujet qu'il vient de découvrir grâce à moi. À mes yeux, Keonig s'améliore avec le temps, et j'ai confiance en lui pour que ça continue dans les prochaines années. Mais le fait est que, au moment où Koenig est apparu dans le paysage médiatique, il était l'instrument de la classe politico-médiatique, qui l'a immédiatement étiqueté porte-parole du libéralisme radical parce que 1- il vient du sérail, et 2- ses idées soit n'ont rien de radical ou d'innovant (l'émancipationnisme, d'oh), soit sont déjà engagées dans le pipeline de l'élite et de la haute administration (le revenu universel). Ça ne retire en rien à ses qualités intellectuelles (très supérieures, personne n'en doute), ni au travail qu'il fournit (pondre plusieurs tribunes par semaine, pendant des années, c'est remarquable). Mais je ne me vois pas adouber le même type que la classe politico-médiatique, parce que les intérêts de cette dernière n'ont rien de libéraux, que je refuse que nous en soyons les idiots utiles, et que je refuse que ce soit elle qui définisse notre porte-parole et nos idées à notre place.
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  7. Le point commun fort c'est surtout qu'historiquement les féministes radicales sont d'anciens marxistes qui ont changé de lutte. Je renvoie encore une fois à Erin Pizzey qui a vécu et qui raconte cette invasion transition.
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  8. Limite c'est plutôt positif. On est face à des gamins intelligents issus de familles qui connaissent les codes. Ils attendent donc pour avoir ce qu'ils veulent vraiment. Même quand tu as HIV tu peux préférer Ginette parce que tu es un mec chiant ou une autre prépa du top avec internat. Pour Lakanal, c'est pas étonnant non plus. C'est une très bonne prépa mais pas du top: Ginette, Hoche, LLG, HIV seront préférés ; Chaptal ou Condorcet si ils préfèrent Paris. Plus les arbitrages PC / MP, 600 places ne me paraît pas étonnant. Je m'inquiète plus sur les décisions paniquées de ceux qui postulent dans des formations de moindre standing et sont en liste d'attente partout avec le nouveau système.
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  9. et bien je sortirais: la ligne verte sixième sens retour vers le futur ce qui ne laisse pratiquement que des films d'avant 2000. c'est curieux comme j'ai l'impression d'etre un vieux c.., peut-être que ça doit être pas très éloigné de la réalité.
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  10. Comprends tu ce qu'est un homme, un mammifère, un français, un amateur de pinard, un groumblf ?
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  11. Est libéral ce qui vise à réduire le pouvoir de l'État, à instaurer l'égalité entre les individus. Ce que tu dis ne va pas à l'encontre du libéralisme mais ce n'est pas libéral pour autant. Sinon, les pommes, le jazz et les volets peints en bleu sont libéraux... Les féministes ont eu des idées libérales à une époque. Il en reste quelques unes. Ça suffit à réfuter ton hypothèse sur le féminisme forcément liberticide à terme.
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  12. Pour le Bataclan, je pense en effet comme @Bisounours que si cette salle a tous les droits de programmer qui elle veut, elle a quand même eu une idée folle de programmer CE rappeur dans CETTE salle particulière. Si on avait pu avoir un débat moins hystérique sur la question, peut-être le Bataclan se serait-il ravisé en admettant un erreur de jugement de sa part (*). Mais maintenant, cette attitude semble impossible, car on aurait alors droit à : "Le Bataclan s'auto-censure sous la pression de l'extrême-droite, plus de liberté d'expression en France" etc. Il est difficile de trouver un précédent parfaitement analogue. On peut se rappeler que Gallimard a suspendu récemment (sans y renoncer pour la suite) sa publication des pamphlets antisémites de Céline. Et encore, on est très loin de la situation Médine / Bataclan. Pour ma part, je pense que Gallimard avait absolument tous les droits de faire cette publication sans avoir à s'en justifier autrement que ce qu'il comptait faire dans l'appareil critique (historique, littéraire) de la publication. Je pense plutôt à une autre affaire Céline, celle où le ministère de la Culture l'avait inclus dans sa liste des auteurs à célébrer nationalement en 2011 (cinquantenaire de sa mort). Une polémique a surgi, et Céline a été retiré de la liste. Ca paraissait plus justifié, car il ne s'agissait pas seulement de l'éditer, mais de le célébrer par la nation qui avait souffert des agissements nazi antisémites. Une chose est sûre, il est impossible d'aboutir à une solution intelligente quand le débat tourne à l'hystérie et à des concours de bites morales. C'est d'ailleurs pourquoi Antoine Gallimard a remballé provisoirement son projet : "La raison de cette suspension est simple : on ne construit rien de valable dans un incendie, on ne peut pas se faire entendre dans un amphithéâtre en ébullition." (*) Il y a peut-être aussi des questions de contrats. Je n'ai rien lu là-dessus, mais peut-être Médine est-il dans un package de spectacles qui tournent de salles en salles...
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  13. Si. A condition d'avoir des catégories assez fines et de ne pas réduire les gens aux catégories avec lesquelles on les présente.
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  14. Il n'y a pas de conservateurs en France. Le conservatisme est beaucoup plus embryonnaire que le libéralisme. Des comparaisons internationales du Pew Research Center ont montré par exemple que la France est l'un des pays les plus progressistes au monde. La plupart des gens qui se déclarent conservateurs ne le sont pas : ce sont le plus souvent des populistes étatistes (soit réactionnaires, soit xénophobes, soit nationalistes... ou un peu de tout ça à la fois). S'il s'agissait d'une stratégie d'alliance du libéralisme avec un vrai conservatisme, on pourrait en parler. Mais là il s'agit d'une volonté de marier la carpe et le lapin...
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  15. Tu ne lis jamais les commentaires de Contrepoints non plus ?
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  16. Boah faut faire copain avec tout le monde a priori, "droitard" ça recouvre quand même pas mal d'individus différents, ranger les gens dans des cases ça aide pas. Encore une fois faut pas se crisper, les préjugés c'est utile mais faut pas se reposer uniquement la dessus. Je sais pas de quel libéral tu parle, personnellement j’étais content que Trump gagne (pas par espoir qu'il soit libéral, mais parce qu'Hillary n’était pas mieux et que lui au moins avait un bon potentiel trollesque), mais je préfère Macron en particulier humainement (Trump est détestable, Macron plutôt sympa et intelligent). Je connais aucun libéral qui soit fan de Trump, mais je suis pas sur facebook, en revanche Macron me semble bien apprécié des libéraux "modéré" (pas sur lib.org donc).
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  17. @Largo Winch on pèse rien sur la scène politique, à quoi servirait de "faire des compromissions avec des sociaux-démocrates" ?
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  18. Tu ne pouvais pas mieux servir mon propos, @PABerryer Ce n'est pas en s'accoquinant avec les droitards que les libéraux seront écoutés. Effectivement l'audience d'un droitard comme Gave est nulle, contrairement à celle d'un Koenig qui préfère s'adresser aux soc-dem qu'aux droitards. Mais bon, tout le monde prend Koenig pour un con... Les libéraux ont toujours été des quiches en stratégie politique. 50 ans de stratégies ratées de l'aleps ne suffisent pas apparemment : la prétendue alliance du libéralisme avec le conservatisme n'a jamais fonctionné et ne fonctionnera jamais. Car les gens de droite qui s'affichent "conservateurs" ne le sont pas conservateurs, en fait. C'est une arnaque, ce sont juste des gens de droite étatistes et populistes, profondément anti-libéraux.
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  19. Cet enchaînement d'hommes de paille. Jubal dit que c'est bien de commencer à se parler et tu t'arrêtes à se parler. Dire que ça suffit, non, mais c'est mieux que l'ambiance d'août dernier où ça comparait la taille des gros boutons.
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  20. Cela fait longtemps que ce que je lis sur gave ici se traduit par: "La vieillesse quelle déchéance."
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  21. GK est autant charrié pour ses idées que sa coupe de cheveux. De plus, ce qui est critiqué est son approche du libéralisme, pas son libéralisme en tant que tel. Charles Gave est plus sévèrement tancé de droitard. Pour finir nous parlons plus de celui qui est le plus présent dans les médias ce qui peut induire un bias pros Gave qui n'existe pas
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  22. Je pense pas que ce soient des droitards, même si bon on a vu des trucs genre Riposte Laïque prendre ce chemin, là étant des militants plus formés voire pros je pense pas qu'ils iront jusque là. Par contre ça me parait une voie sans issue pour le libéralisme, pour rester poli. On parle d'un fan club de Valls qui se lance dans des batailles d'handicapés sur twitter autour de questions qui se rapportent à l'Islam à 99%, perso je vois pas ce qu'il y a à gagner là-dedans. On est plusieurs à l'avoir dénoncé.
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  23. C'est celaaaa oui. Vas-y montre nous par exemple comment tu fais pour convaincre le droitard qui sévit en commentaire de ce billet de CP : https://www.contrepoints.org/2018/06/14/318139-commerce-international-donald-trump-se-tire-une-balle-dans-le-pied Au passage, il n'y a plus que ça sur CP : des commentaires de droitards anti-libéraux. Ça craint. Ce journal n'a plus qu'un lectorat populiste. Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire.
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  24. Ben voyons. Il n'y a qu'à voir le traitement réservé à Gaspard Koening... jugé par tout le monde sur lib.org comme anti-libéral. A lire les commentaires sur ce forum, c'est même à cause de lui que le libéralisme ne perce pas en France. En revanche, je ne vois pas beaucoup de critiques d'un tocard comme Charles Gave qui fricote ouvertement désormais avec les idées d'extrême-droite.
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  25. Le problème des libéraux est de faire copain-copain avec des droitards par antigauchisme primaire, et de refuser la moindre compromission avec des sociaux-démocrates ouverts à l'économie de marché et à la mondialisation. Le libéral trouve sympathique Trump et détestable Macron. J'évolue typiquement dans un univers professionnel "macroniste" (les profs de gestion de l'université), on a là des gens qui trouvent important qu'il y ait un Etat-providence mais qui ont bien conscience des gabegies de l’État social, sont pro-entreprise, convaincus des bienfaits de l'économie de marché, et attachés à la plupart des libertés individuelles. C'est grosso-modo le profil de la classe moyenne et de beaucoup de cadres d'entreprise. Bref on a potentiellement là plein de gens qu'on pourrait faire basculer dans les idées libérales avec de l'argumentation. Mais c'est certainement pas en faisant copain-copain avec des droitards, des gens totalement hermétiques aux idées libérales (hormis les baisses d'impôts), qu'on y parviendra.
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  26. Dire que cette initiative c'est de la merde est parfaitement libéral. Personne n'a appelé à l'interdire. Et je contesterais que les féministes puissent avoir des idées non liberticides à terme. En l'occurrence on ne manque pas d'exemples pour constater que les quotas légaux ne les gênent absolument pas. Sans parler de la mentalité liberticide qui vient avec n'importe quelle idéologie collectiviste.
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  27. «Events like this build a supportive environment to help empower young women to put forward ideas, and feel their contribution is valued. By supporting them to feel at home with the editing process, and encouraging them to think about the remarkable women that are still in need of a Wikipedia biography, we can make a real difference.» Toute cette tribune est à côté de la plaque et d'un paternalisme décomplexé (mansplaining indeed ). Surtout, ça crée un lien de cause à effet entre deux sujets complètement distincts: peu de biographies de femmes car peu de rédactrices sur Wikipedia, paraît-il. On ne demande donc pas aux femmes de participer à Wikipedia sur les sujets qui les intéressent mais pour faire avancer la cause des femmes. J'ai l'impression que ça sous-entend que les femmes ont besoin d'une caution féministe pour s'intéresser à tel ou tel sujet parce que les pauvres petites ont besoin de pouvoir s'identifier et que ça touche leurs petites personnes (ça doit être ça l'empowerement). Accessoirement, il n'y a pas que des biographies sur Wikipedia ou des articles sur le féminisme mais des tas de sujets peu perméables au militantisme/clientélisme navrant. Possible même que ça intéresse des femmes (mais pas «les femmes»).
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  28. Les deux problèmes sont distincts (d'ailleurs, le A ne passe pas exactement par là). Saint-Laz', c'est la signalisation qui a sauté ; le RER A, c'est un rail qui s'est cassé quelque part entre Auber et La Défense. Un rail cassé, quoi. Un truc en acier massif qui pèse peut-être 50 kilos par mètre posé, et qui a donc peut-être une section d'environ 60 cm². Il faut au moins des années sans aucun entretien pour qu'un tel rail casse, c'est dire l'état général des voies...
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  30. 1): C'est là où il faut être adulte et accepter la part de tragique de la réalité. Si je me donne à fond pour mon entreprise, je risque d'être attractif et de couler mes concurrents les moins efficients... Ne serait-il pas donc pas meilleur de rester "moyen" ? Et au besoin, que le sage législateur mette une limite aux passions mercantiles débridées ? "-Madame la maréchale, y-a-t-il quelque bien dans ce monde-ci qui soit sans inconvénient ? -Aucun. -Et quelque mal qui soit sans avantage ? -Aucun ? -Qu'appelez-vous donc mal ou bien ? -Le mal, ce sera ce qui a plus d’inconvénients que d'avantages ; et le bien au contraire ce qui a plus d'avantages que d'inconvénients." -Denis Diderot, Entretien d'un philosophe avec la maréchale de ***, 1777, in Le Neveu de Rameau et autres textes, Le Livre de poche, coll. classique de poche, 2002, 317 pages, p.237. 2): Je doute qu'il y ait quelques biens que ce soit qui procurent le bonheur automatiquement / de façon nécessaire (mais je serais évidemment intéressé par toute opinion contraire). Par exemple, on peut être heureux parce qu'on a recroisé un vieil ami, mais ça n'a rien d'automatique. Dès lors, si on est conséquentialiste, la bonté des choses bonnes se légitime avant tout de manière probabiliste. S'agissant des libertés individuelles, il me semble tout à fait défendable de dire qu'elles favorisent toujours le bonheur individuel (c.a.d: on a toujours davantage de chances d'être heureux lorsqu'on est libre que lorsqu'on ne l'est pas. Ce qui me semble assez facile à démontrer via le seul examen des souffrances engendrées par la perte de liberté. Ou du moins ça prouverait aisément la thèse renversée: on a moins de chances d'être heureux dans la servitude. Mais c'est un bon point de départ). 3): Très juste. Ce sont des champions de la culpabilisation (Nietzsche dirait que le socialisme est le descendant du judéo-christianisme...). D'une manière générale je dirais qu'il ne faut pas se contenter de montrer que le collectivisme est inefficace / immoral. Il ne faut pas seulement montrer que l'argumentation de l'adversaire est viciée ou inexistante, ni qu'elle masque des intentions tyranniques, la volonté de vivre au crochet d'autrui, etc. Il faut aussi montrer que la liberté est bonne, épanouissante -et pas seulement se définir contre quelque chose. Et de ce point de vue les romans de Ayn Rand sont exemplaires.
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  31. Globalement d'accord. Vers une société sans état est le livre qui m'a rendu anarcap, et une de mes références essentielles. Je pense que l'un des grands éléments du livre est de comprendre le raisonnement de Friedman où il prend en compte les réactions de la population à une deicision, la réaction à la réaction, etc... La vraie "trouvaille" de Friedman je pense, c'est le polyjuridisme qui permet au final beaucoup plus de réalisme et moins de problèmes que le DN généralisé et unique à la rorhbard
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  32. Ce n'est pas une position trollesque : Alors qui a raison ? Les Francais ou les Americains ? Soit tu voles le producteur en allant voir un film Francais, soit tu voles les réalisateurs, dialoguistes etc... en allant voir un film Américain. Un beau bordel hein ? Les Américains envoient les auteurs se faire foutrent sans difficulté. Rassures moi, Gilles, tu ne regardes jamais de films Américains ? Imaginons la même chose avec la propriété privée : c'est qui le propriétaire de la maison ? Celui qui la paie ou bien l'architecte, le maître d'œuvre etc..
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  33. Ce n'est même pas ça qui est critiquable dans le fond même si ça fait partie d'un pan "moral" qui mérite le débat. C'est le fait qu'on ne puisse justement plus en débattre : actuellement, en France, si on n'est pas d'accord avec la doxa du Camp du Bien, toute la presse dégueule ses conneries et ses anathèmes. Et ça, c'est insupportable à la longue. C'est précisément ça qui donne une image déplorable du pays, c'est ça qui y fout une ambiance de merde, c'est ça qui fait que d'un côté, il y a des politiciens et des journaleux complètement coupés du monde réel, et c'est exactement ça qui amène doucement le pays au chaos. Je vais même plus loin : je pense que cette histoire de liberté d'expression est, ici, la tarte à la crème pratique utilisée par les pisse-copies pour justement pousser leurs agendas gauchistes. Personne n'a, à ma connaissance, demandé que soit interdit à Médine de faire ses concerts ou de censurer ses productions mais certains, à droite et ailleurs (y compris à gauche, y compris des victimes) ont demandé le respect du lieu (donc pas de concert à cet endroit là, ce qui est largement différent) [évidemment, avec l'enkystement du débat, on en vient maintenant à l'interdiction, ce qui est aussi inquiétant]. Ceci est débattable, mais ce n'est pas une atteinte à la liberté d'expression. Notez que personne n'envisage de simplement modifier la salle de concert histoire de ne pas froisser (décence, bisous, tout ça). En fait, pour la presse unanime, on n'a pas le droit de s'offusquer, point : "Vos gueules". Dans l'histoire, j'ai réellement l'impression qu'on va faire prendre des vessies pour des lanternes aux Libéraux en tentant de faire croire que cette affaire est une question de liberté d'expression alors qu'il s'agit avant tout de faire en sorte, pour les médias du Camp du Bien, de bien s'assurer qu'aucun malfaisant hors des clous ne pourra jamais empêcher ceux qu'elle a désignés comme ok de s'exprimer, et s'assurer par la même occasion qu'elle a les moyens de faire taire ceux qui s'opposent à ses visions. Belle liberté d'expression que celle-là.
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  34. A d'autres. On en reparle quand la presse n'est plus subventionnée, et qu'elle fait effectivement un effort ou bien pour se présenter dignement comme d'opinion, ou bien pour présenter les deux côtés du débat. Actuellement, cette merdasse prétend être objective, se nourrit de subventions, oublie de présenter l'autre côté du débat et fait tout ce qu'elle peut pour l'empêcher de s'exprimer. Il faut arrêter de se la jouer plus blanc que blanc et, à un moment, leur rentrer dans le lard, à ces connards.
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  35. Z'avez rien compris, utiliser une recette de cuisine c'est du plagiat, le débat est clos depuis longtemps
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  36. Bon allez hop, la vidéo est sortie. Je vais sur "leur" terrain bien sûr. On verra les résultats. Si quelqu'un a des trucs à ajouter où à corriger, qu'il aille en commentaires
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  37. Sachant qu'en pratique obtenir l'égalité de fait nécessite de sacrifier l'égalité de droit, ou dit moins élégamment d'adopter sciemment une politique discriminatoire sexiste, raciste etc. Pas d'égalité pour les ennemis de l'égalité. Quand j'en arrive à ce point dans les discussions avec des féministes la réponse est "oui mais c'est nécessaire dans un premier temps sinon les choses ne bougeront jamais parce que nous sommes trop ancrés dans le système".
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  38. Bon, les chiffres de l'IREF ont été vérifiés et à nouveau publiés (par M6 il me semble). Maintenant je sais ce que je dois penser de l'Express... édit: ce n’est pas M6 mais Europe1 et ici, la réponse de l’iref À l’article bidon de l’Express.
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  39. Deuxième idée qui revient beaucoup et que je ne comprend pas non plus. D'abord si les free lunch ça existe, 99% de notre richesse provient du travail, des découvertes et des investissements de nos ancêtres dont on profite gratuitement. On profite aussi de l’expérience de nos aînés, de nos interactions avec les autres etc., et tout ça gratuitement aussi. Et bien sur on profite gratuitement de la société, qui multiplie gratuitement ce qu'on gagne avec notre travail. Mais surtout en quoi c'est un problème en soi que quelque chose soit gratuit ? Si ça ne cause de tort a personne évidemment.
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  40. Ça reviens beaucoup cette idée "sans PI alors les films/musiques/oeuvres ne serait pas rentable". Je comprend pas cet argument, qu'est ce qu'on en a a faire du point de vu du droit qu'une activité soit rentable ou pas ?
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  41. Wait. Le fig a repris un de tes memes?
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  42. Je me suis toujours trouvé trop intelligent pour le soumettre à in rest de Qi qui dure plus de 15 minutes.
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  43. Un ledger public n'a d'intérêt que s'il est public. Un chef d'entreprise lambda utilisera une blockchain si - il veut que des données soient publiques - infalsifiables - que les acteurs qui participent à la création de la chaîne aient des intérêts étroitement divergents ; si ça marche avec BTC, c'est parce que chaque mineur a intérêt à tirer un maximum la couverture à lui, mais pas trop sinon ça foire le concept. Une blockchain dont les blocs sont vérifiés par des acteurs qui sont finalement alignés tous du même côté de la barrière n'a aucun intérêt.
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