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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 22/12/2018 dans toutes les zones

  1. https://www.cato-unbound.org/2018/12/10/stephen-davies/great-realignment-understanding-politics-today The question now is not so much that of social conservatism versus social liberalism. Instead the key issue is that of identity, and in particular the tension between globalism and cosmopolitanism on the one hand and nationalism and ethnic or cultural particularism on the other. This is often described as a polarity between “openness” and “closedness” and has been noticed in most contemporary democracies (Spain and Portugal are the major exceptions). Increasingly this new aligning issue is becoming the primary one and is supplanting the economic division (which as said persists) as the big political division. This new alignment again produces four blocs of voters. One, which has already clearly emerged in most countries, may be described as “national collectivists.” They are nationalist and patriotic, anti-cosmopolitan and anti-globalism; they are economic nationalists and support an active economic role for government and a large and generous but strictly national welfare state; they are cultural traditionalists and (often) social conservatives, and they support traditional ideas of identity, particularly masculinity and femininity. Alongside them are the free market conservatives who we may describe as national liberals—their philosophy could be described as “capitalism in one country.” This is an increasingly unstable position politically, and this group is facing a squeeze from several directions. The other two blocs are currently in a race to see which emerges as the main alternative to the “national collectivists.” The first and in most countries the largest group may be described as “cosmopolitan liberals.” They are broadly free market, strongly cosmopolitan and globalist, socially liberal, and egalitarian. The second are the radical left. They are strongly in favor of an interventionist economic policy, also strongly globalist and cosmopolitan, but also committed to a kind of radical identity politics. All of these four blocs have shared sociological features and are often geographically separate as well, which makes their political significance greater. The “national collectivists” are typically older, white, often working class, and people who have not attended university, while the radical left and liberal cosmopolitans are typically younger, university educated, and more affluent or professional. The national collectivists are disproportionately found in rural areas, small towns, and ex-industrial areas while the “cosmopolitan liberals” and radical left live in major metropolitan areas. University education in this case is a proxy for a related division, which is position in the meritocratic labor market and the degree to which people work in sectors that are globally competitive and traded.
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  2. Il est littéralement impensable que des gens puissent agir comme ils l'entendent, indépendamment de tout texte législatif, pour un haut fonctionnaire. Ça ne fait pas partie de son univers mental, un peu comme les Européens montant à cheval aux yeux des Amérindiens à l'époque des premiers contacts.
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  3. Quand je me met en couple j'ai le sentiment d'une très forte entropie.
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  4. Le coeur du problème est, à mon avis, qu'il existe un cercle vicieux aggravé par la mentalité française On a d'un coté des activistes libéraux comme Koenig et Gave qui en bons français ont des relents importants d'Etatisme (plus qu'un libéral classique): le coté bobo de Koenig le pousse vers les socdem et le fait d'étre catholique pour Gave le pousse vers le conservatisme. En face, on a une base de libéraux, qui disons le honnêtement, est composée de beaucoup de "libéraux de salons" qui sont plus prompts à râler sur tout ce qui n'est pas libéral à 100% qu'a essayer de changer les choses sur le terrain. Du coup, on se retrouve avec des activistes libéraux qui de toute façon se font traiter de tout les noms par cette base libérale (qui en plus ne représente pas grand chose en nombre) dès qu'il sortent quelque chose de pas orthodoxe mais qui attire des personnes moins libérales. Pas difficile de comprendre vers qui ils vont se tourner... Tu penses à qui? Car SFL restent libéraux à mon gout.
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  5. Oui oui ne pas penser que Koenig est un gars super malencontreusement égaré et Gave la réincarnation de Hitler en pire est évidemment un signe qu'on ne connaît rien à la tradition libérale. Merci de nous montrer la lumière.
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  6. Pour Koenig ou Gave, le souci n'est pas de pencher à gauche ou à droite... mais plutôt de savoir si leurs positions s'inscrivent dans la tradition libérale ou non. Quand Koenig défend le revenu universel, il s'inscrit clairement dans une tradition libérale : celle d'une réduction de l'Etat-providence (telle qu'elle était conçue par des gens comme Friedman ou Hayek). On peut considérer que ce n'est pas une bonne idée (c'est ce que je pense personnellement) mais je ne vois pas comment on peut prétendre que ce n'est pas libéral... sauf à ne rien connaître de la tradition libérale. De même, quand Koenig défend l'idée d'un libéralisme top-down (ce qu'il a maladroitement nommé "jacobinisme libéral"), il ne fait que s'inscrire dans une tradition libérale incarnée par Guizot et les doctrinaire sous la restauration, en opposition à la conception d'un libéralisme bottom-up défendu par Benjamin Constant. Là aussi, on peut considérer que ce n'est pas une bonne idée (c'est ce que je pense personnellement) mais je ne vois pas comment on peut prétendre que ce n'est pas libéral... sauf à ne rien connaître de la tradition libérale. En revanche quand on écoute les propos de Gave ces dernières années, on peine à trouver quelques idées libérales... comme je l'expliquais déjà il y a quelques semaines : Pour moi, il n'y a donc pas photo. Je ne suis pas toujours convaincu par les stratégies de Koenig, mais il fait clairement partie de la famille libérale. En revanche, Gave, avec ses positions xénophobes, liberticides et étatistes a parfaitement trouvé dans Debout la France la famille qui lui convient.
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  7. L’immense différence à mon goût, c’est que lorsque les libéraux sont de gauche, ils proposent en général des idées de gauche ... libérales. Ou du moins compatibles avec le libéralisme. Tandis que ceux de droite proposent souvent des mesures liberticides (restriction de la liberté de circuler, de passer des contrats avec des étrangers, etc) et des guerres.
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  8. ... attention, car cette loi (2° principe de la thermodynamique) ne dit rien quant à la répartition du désordre. En particulier elle ne dit pas, ni ne sous-entend, que ce désordre serait réparti de manière homogène. Bref, rien n'interdit en théorie des îlots d'ordre au milieu d'une mer de désordre. (ça tombe bien, car c'est pile ce que l'on observe.)
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  9. comme dit par Azref, il y a un problème de seuil qui provoque des changements légaux, fiscaux et réglementaire assez balaises. C'est un sujet ultra récurrent chez Stepahne Soumier, JM Daniel et Nicolas Doze de BFM Business.
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  10. Trois mannequins russes (identités inconnues) :
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  11. Je lis la plupart du temps que la législation française aide les petites boites, et massacre ces dernières dès le passage d'un certain seuil. Les grosses entreprises, elles, ont eu le temps de se développer avant que la France ne rende cela impossible, d'où la relative fossilisation de nos classements des plus grosses boites. Je ne sais pas si c'est vrai, mais ça parait plausible.
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  12. L’entropie c’est un mot décrivant le déclin progressif de toute chose, de l’ordre vers le désordre. Des étoiles à ton tapis de bain, tout s’use et se décompose.
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  13. Le Plus Important est de recadrer la discussion
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  14. Sur les ronds points à mal utiliser des objets censés augmenter la sécurité de tous avec pour bilan plus de morts en 2018 qu'il n'y en a eu en actions terroristes.
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  15. Non c'est pas la pharmacie c'est la contructions de camions mais chut je n'ai pas dit que je travailles chez Violvo
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  16. Apparemment il y en a moins, d'après http://media.education.gouv.fr/file/etat20/35/5/EE_2010_effectifs_MEN_160355.pdf Cela dit, ce serait pas mal d'avoir des exemples percutants concernant les dépenses de l'État. Par exemple, au début du mouvement des Gilets Jaunes, j'ai surpris quelques personnes en leur révélant le coût annuel d'un élève du secondaire (11,100€/an) ou en comparant le budget du ministère de la culture avec celui de la justice (11 milliards vs 7 milliards).
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  17. Tu sais que tu vieillis quand: 1 - tu achètes une station météo 2 - tu t'intéresses aux oiseaux de ton jardin 3 - tu commences à apprécier les randonnées. C'est prouvé. C'est scientifique.
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  18. Marche en montagne en décembre avec des enfants ? Tu restes à la brasserie-chalet la plus proche en faisant un régime à base de pommes de terre, de porc fumé et de vin blanc. Demande confirmation à qq1 du forum qui a un PhD et tu peux dire à ta femme que c’est ton docteur qui te le recommande. De rien.
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  19. Quand vous voyiez de l'intérieur ce genre de boîte, vous vous dites pas qu'il y a une opportunité pour les concurrencer ?
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  20. C'est très méchant envers Rincevent et Lancelot, ça !
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  21. Tu n'as jamais foutu les pieds dans une grande boîte française toi ? Ce sont justement les têtes qui se ressemblent le plus entre privé et public. Plus on descend, plus c'est différent. Un manager du privé est "arrivé" parce qu'il était agressif et savait où il voulait aller ; un manager du public est là parce qu'il a réussi un concours. Les cultures sont forcément très différentes. Les bullshit jobs, c'est le résultat de l'incapacité des RH à fournir des perspectives au-delà des postes junior . Ah mais ça c'est un truc très simple qui touche autant le public que le privé quand on ne se pose pas de questions de pérennité de l'entreprise. Ca s'appelle le baby boomer. Le baby boomer n'a pas fait évoluer ses compétences depuis 40 ans, les jeunes se demandent ce qu'il peut bien produire dans la journée (mais ça a l'air de l'occuper) et grâce aux augmentations de l'époque où on en donnait, il est pas si mal logé que ça (surtout que le baby boomer a bien profité du 1% logement).
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  22. Mon point était surtout de dire que ça vaut pas la peine de s'exciter sur le danger que court le libéralisme d'être mal compris parce que untel ou untel exprime des idées pas conformes. Le poids d'un Koenig ou d'un Gave ou d'un Madelin c'est quantité négligeable et les résultats sur l'opinion c'est moins que rien. Le libéralisme n'est pas plus en danger que le vrai communisme par l'oeuvre du grand Staline. Oui le socialo communisme a gagné la bataille des idées et des valeurs, mais comment ? Comment analyser cette victoire ? Résulte t elle d'un plan déterminé ou bien est ce le sens de l'histoire ? Quels enseignements faut il en tirer ? Faut il s'en inspirer ? Comment renverser la vapeur ? Comment réintroduire les valeurs du libéralisme dans le débat public ? Je suis tout à fait d'accord que la bataille doit être menée sur ce champ là aussi (le champ des valeurs) en plus du champ de l'action, reste que je trouve assez ridicule de s'imaginer que le libéralisme est en danger dès qu'untel ou untel s'exprime en dehors des clous.
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  23. Ton hamoniste préféré = discours de basse entropie Tu peux prévoir ce qu'il dit dans le futur en l'ayant écouté parler 10 minutes
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  24. Ils ne sont pas devenus écolos par magie. Il y a eu tout un travail en amont.
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  25. Je pense que c'est un peu vrai. Il y a des conditions nécessaires et suffisantes à l'émergence des idées libérales parce qu'elles sont les plus pratiques (début de l'histoire des USA ) ou parce que les autres, plus coûteuses, ne peuvent pas être mises en place ( après un reset politico- économique, crises eco grave, crise de la dette, post dictature etc...) Quand l'état est tout petit, naissant ou quand il n'a pas les moyens de ses ambitions, le libéralisme est une option naturelle.
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  26. Voici les infos précises pour mon "verre du 10 janvier" :
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  27. Encore une fois, les écolos ne gagnent quasiment jamais une élection. Ils disposent de 3 députés seulement. C’est vraiment rien comparé à leur influence politique. Et ce n’est pas la politique que l’on déteste, ce sont les politiciens. Tout le monde était enthousiaste à propos de Ron Paul, ici, par exemple.
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  28. C'était comme ça aussi quand je bossais dans une assurance. J'en ai retiré que toutes les grosses boites fonctionnaient comme ça.
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  29. Pour en revenir au sujet de départ, je ne suis pas surpris de voir Gave raconter des conneries. Je suis surpris (ou plus exactement intrigué) de voir autant de gens ici continuer à le lire en espérant y trouver des choses intéressantes. Mais bon, chacun est libre de perdre son temps comme il l'entend.
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  30. Tu as surtout établi une fausse dichotomie. L'introduction d'un "libéralisme pur" dans le débat public serait la meilleure façon possible de déplacer la fenêtre d'Overton dans une direction plus libérale et d'avoir ainsi une chance d'obtenir des réformes qui iraient dans le bon sens. Regarde les communistes. Leur présence bien ancrée dans le débat public contribue fortement à l'accroissement du socialisme. C'est pas pour rien que depuis le XXe siècle pratiquement tous les pays du monde ont adopté la majeure partie des points du manifeste communiste sans qu'ils aient eu besoin de gagner des élections ou de faire des révolutions dans tous les pays du monde. Ils ont juste eu besoin que le communisme gagne sa place dans le débat public, rendant ainsi les formes moins radicales de socialisme tout à fait raisonnables en comparaison. Autre point qui joue en faveur des socialistes : ils sont profondément convaincus que leur cause est la plus morale, ce qui les rend moins sujets au compromis. Tandis que les libéraux modérés ont tendance à ne justifier le libéralisme que sur des bases technocratiques ou pragmatiques, allant parfois jusqu'à concéder que les idéaux socialistes sont nobles mais que leur seul problème réside dans le fait qu'ils soient irréalisables. En bref, les libéraux "modérés/pragmatiques" ont besoin des purs/mangeurs d'enfants/utopistes pour que leurs réformes paraissent plus raisonnables aux yeux du public. Parce que tant que les ultra-libéraux Macron et Fillon représentent la limite acceptable du libéralisme on ne risque pas de voir les idées libérales avoir une quelconque influence dans le débat politique et ces fameuses réformes marginales ont peu de chances de se produire.
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  31. C'est un peu fatiguant ce whataboutism sur Johnson/Weld dès qu'on critique la frange trumpiste. On est capable d'avoir assez de nuances pour ne pas ressortir cet argument usé du "les autres libertariens ne sont pas parfaits non plus" qui sert juste à noyer le poisson.
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  32. Son Altesse Sérénissime le prince Hans-Adam II de et à Liechtenstein, duc de Troppau et de Jägerndorf, comte de Rietberg.
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  33. Mon Dieu faut être con pour dire ça de base Les Amish non plus ils connaissent pas le diabète et l'obésité, mais le fait de consommer 4000 calorie par jour joue sûrement un rôle
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  34. « Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas. » Ça vous dit quelque chose cette phrase ? La toute première fois que je me suis intéressé au libéralisme, j’étais ado et je me suis renseigné sur Alain Madelin. Autant vous dire que son appartenance durant sa jeunesse à Occident m’a repoussé (depuis, j’ai changé d’avis, on peut tous faire des conneries quand on est jeune). De même, il doit bien y avoir des gens qui tombent sur des textes écrits par des pseudo-libéraux et qui finissent par trouver le libéralisme repoussant à cause de ces débiles. Par exemple, il doit être difficile pour un Noir ou un Hispanique de s’intéresser aux idées libérales aux Etats-Unis lorsque tant de pseudo-libéraux se sont rangés du côté de Trump. C’est du perdant-perdant effarrant : on dévoie nos idées et, en plus, on perd de potentiels adhérents. Tout ça pour ? Rien. Ou plutôt, tout ça parce que certains sont incapables de faire passer leurs principes avant leurs peurs et obsessions. Peurs et obsessions qui deviennent donc leurs principes qu’ils tentent de justifier a posteriori par toutes les contorsions possibles et en dévoyant encore un peu plus nos idées.
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  35. Ou dans le délire inverse : réécrire le libéralisme à partir de tous les bout d’étatisme des auteurs libéraux.
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  36. Il est écrit maintenant pour son nouveau public. Qui est constitué de nationalistes. Voilà tout.
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  37. C'est pourtant assez évident pourtant, Gave n'est plus libéral, ou plutôt 95% de ce qu'il écrit n'est plus guidé par le libéralisme, c'est bien gentil d'être tolérant mais faut garder une certaine cohérence quand même. Si vous voulez manger de la merde ok mais ne prétendez pas que tous les libéraux devraient le faire parce que c'est bon pour la cause.
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  38. C’est quand même fou que l’on partage encore les élucubrations de ce type.
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  39. 'tain, je suis en rase campagne, au bord du Rhône, près de Valence, prêt à passer la nuit dans la 106 ET MON TIRE BOUCHON VIENT DE LACHER !!!!!
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  40. "La mondialisation doit être remise en cause au nom même du libre-échange"
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  41. J'ai fait 3h de partiels cet après-midi, et j'ai quelques partiels en janvier. C'est loin. Mais ça, ça me stresse pas trop. J'ai jamais été un grand stressé des exams (*); alors quand il y a aucun enjeu. (*) J'aurais été un plus grand stressé des exams, je n'aurais probablement pas commencé maths 2 de l'X par "cette matrice est inversible, donc diagonalisable". Si, si, et le pire, c'est que j'ai presque eu la moyenne à cette épreuve.
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  42. Moi j'ai toujours pas compris le probleme avec Mantes-La-Jolie. T'as 150 lycéens qui commencent a cramer des poubelles, les forces de maintien de l'ordre arrivent et calment le tout avant que ca dégénère visiblement sans lacrymo, sans blessés, sans victimes, sans dépots de plainte, et en en relachant les 2/3 avec un peu de pédagogie et un rappel à la loi. A coté de ca pas de voiture brulée, de magasin ravagé ou de lycée incendié. Comme quoi quand ils veulent (ou que la hiérarchie donne les ordres au bon moment) ils peuvent faire le boulot correctement. Mais apparemment c'est plus rigolo de s'offusquer et sortir la chose de son contexte en calant des photos de l'Holocauste et en chouinant aux HLPSDNH.
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  43. En tout, le JdG attaque le youtube culturo-gauchiste, c'est chouette :
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  44. Fake news. Ce sont des innocents, qui n'ont rien à voir avec les émeutes urbaines du 5 décembre. Les petites exactions du 6 décembre n'ont rien à voir, et ne méritaient pas un tel déploiement de violence ignoble, qui nous rappelle les heures les plus sombres. Ils étaient au mauvais endroit, au mauvais moment. @Tramp peut en témoigner. Toutes ces mains sur la tête, c'est symboliquement très très fort. Cela me rappelle des choses qu'on voudrait oublier, qu'on voudrait ne plus voir en France en 2018.
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