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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 30/07/2019 dans toutes les zones
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Va lire sa page wikiberal, ça suffira. Ah, aussi, il pense que Hayek n'était pas libéral. En général, je cesse d'écouter les gens quand ils disent de telles inepties.1 point
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Pour protéger un porte-feuille temporairement mieux vaut acheter des options (de vente) ou vendre des futures (quand ton portefeuille baisse, le future augmente et vice versa). Si tu penses qu’un truc va se casser la gueule, tu le vends et tu prends ta plus value, ne met pas un stop loss qui ne sera peut être pas exécuté.0 point
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@Axpoulpe @Loi bonne session de surf aujourd'hui dans le Finistère, presqu'île de Crozon. Ça déroulait pas mal ! Vous avez surfé un peu cet été ?0 point
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Oui, ça m'est déjà arrivé, mais pas souvent, je cale mes stop sur le supertrend en général. T'as le stop limit pour ces cas-là.0 point
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Comme dit Frenhofer, ce n'est en rien garanti. Quand l'ascenseur descend, si il n'y a personne aux étages pour le réclamer ... ben il continue de descendre sans s'arrêter. Et même s'il s'arrête à un étage, encore faut-il qu'il y ait assez d'acheteurs pour vouloir absorber tous les "ordres " dans la cabine. Entre le concept théorique de la chose et son éventuelle exécution pratique, il y a souvent une bonne épaisseur de plumes perdues. Sans parler des exécutions parce que soi-disant le cours est passé pendant 30 secondes en-dessous. C'est un métier. Enfin plutôt une industrie.0 point
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Ça dépend de la profondeur de marché mais pour que tu puisses vendre tes actions il faut un acheteur en face évidemment. Si tout le monde vend alors le prix sera potentiellement plus bas car peu d'acheteurs. Un stop_loss n'est pas une garantie d’exécution.0 point
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Les quelques fois que j'ai lu spiked ils m'ont eu l'air de faire dans le populisme libertarien un peu gras comme Ron Paul a pu le faire à une époque, mais en plus vulgaire et moins stylé (parce que Papi Paul il était populiste et gravement classe)0 point
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C'est... difficile de catégoriser Sp!ked. Ils ont commencé trotskystes (continuateurs du magazine Living Marxism, pour être exact), puis se sont brutalement mis à l'individualisme libéral à tendance isolationniste, et même, selon les ragots, à se faire financer par les Koch.0 point
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https://www.iea.org/newsroom/news/2019/july/bitcoin-energy-use-mined-the-gap.html0 point
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il est aussi un tout petit peu raciste, anti immigration, propriétarisme tendance loréaliste. Chaque fois que lu un truc de lui, j'ai plutôt vu un tea-party boy droitard anti gauchiste qu'un libéral. En gros, chaque fois qu'il ouvre la bouche quelque part, Dieu tue un chiot libéral. J'ai rarement vu, a part peut-être Némo à la télé, quelqu'un donner une image aussi désastreuse du libéralisme.0 point
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Bon, c'est décidé, je vais faire de la veille stratégique sur tout le mandat de BJ. Au moins pour calmer mon dépit que les Britanniques aient un souverainisme libéral et pas nous autres Français: https://www.contrepoints.org/2019/07/30/350115-boris-johnson-nest-pas-le-trump-britannique-cest-un-liberal "À cela s’ajoute une forte critique de ce qui est appelé le Nanny State (État nounou) et qui consiste pour l’État à intervenir dans tous les domaines de la vie quotidienne très souvent à travers des taxes : en l’espèce, Johnson s’oppose à la taxation sur les produits alimentaires jugés peu néfastes pour la santé*. Un point qui le différencie de ses prédécesseurs conservateurs May et Cameron. À l’heure actuelle, peu de conservateurs ont ces discours. Loin d’être un populiste d’extrême droite comme certains veulent le faire croire, Johnson tient un discours orienté vers la liberté qui contraste avec le développement des politiques illibérales qui gangrène la droite classique en Occident. Certes, il ne s’agit que de discours et Johnson peut tout à fait faire le contraire. Toutefois, les positions défendues par Johnson sont devenues rares dans les discours politiques actuels et laissent une ouverture libérale. […] La mauvaise réputation que Boris Johnson possède auprès des dirigeants pro-européens et de Bruxelles dépasse le simple fait que le Premier ministre soit un des leaders du Brexit. En fait, Johnson représente l’inverse des dirigeants européens et plus précisément de la France. Les nouvelles nominations aux institutions européennes y placent des partisans de l’interventionnisme, alors que Johnson se montre opposé à la réglementation. De plus en plus de voix s’élèvent dans les gouvernements européens pour réguler le capitalisme, Johnson souhaite davantage de libre-échange et plus de libéralisme économique. On oppose parfois l’Europe de Colbert, étatique, dirigée par la France et l’Europe à celle d’Adam Smith, libérale, dirigée par le Royaume-Uni. Il semble que cette division va être plus que jamais d’actualité avec des tensions entre les deux pays, tant les visions de Macron et de Johnson s’opposent. D’autant plus que, si jusqu’à présent l’Allemagne avait un rôle de médiateur, l’affaiblissement politique de la chancelière Merkel va empêcher un apaisement. En outre, il ne faut pas considérer le Royaume-Uni si isolé qu’on ne le croit sur le continent. Un certain nombre de pays d’Europe centrale et du nord sont économiquement liés aux Britanniques et n’apprécieront pas que la France bloque des accords européens avec Boris Johnson. Si ce dernier met en œuvre une politique basée sur le libre-échange, il deviendra le pire cauchemar des partisans d’une Europe centralisée. Si le Brexit réussit, d’autres États feront de même et sortiront de l’UE. Si des membres de l’UE ou des institutions européennes bloquent des projets de libre échange avec le Royaume-Uni, les États membres dépendants de l’économie britannique se retourneront contre les bloqueurs. Dans les deux cas, ces situations seront sources de divisions profondes au sein de l’UE. Celle-ci était à la base un marché commun et c’est avant tout grâce au succès de celui-ci qu’elle perdure : mettre en danger celui-ci signerait la mort de celle-ci. En conclusion, il va être très intéressant et essentiel de suivre la politique interne et internationale de Boris Johnson. Bien sûr, il reste un politicien et sa politique peut être catastrophique. Néanmoins, le nouveau Premier ministre anglais a une carte à jouer et peut relancer une dynamique qui n’a plus été vue à l’œuvre depuis Margaret Thatcher. " * à noter que BJ a reçu sur ce point et sur d'autres le soutien du site de gauche souverainiste et marxisant Spiked: https://www.spiked-online.com/2019/07/04/boris-is-right-about-sin-taxes/ Incroyable pays dans lequel on peut voir l'extrême-gauche écrire que: "Surely we, as individuals, are the best people to decide what we should eat or drink ? It seems that for public-health crusaders, it is government, informed by so-called experts (ie, lobbyists), who should fashion the ‘choice environment’ on our behalf – leading to taxes, restrictions and even outright bans."0 point
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Voilà. Au moins, Guillaumat est polyglotte, en plus d'avoir une bonne maîtrise du corpus autrichien dans son ensemble. Et pour me faire dire du bien de Guillaumat, il faut se lever tôt, hein.0 point
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Je me refais l'intégrale de Kaamelott (sur Youtube hors France avec un VPN). Mais que c'est bon. Y'a pas beaucoup d'oeuvres qui peuvent me tirer une petite larme mais le livre V en fait partie, en plus de quelques épisodes des livres précédents (e.g. les Pupi).0 point
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Je vous invite à lire et partager ce texte étonnant (partagé sur le discord libéral) du collectif Police Contre la Prohibition : http://police.etc.over-blog.net/2018/10/politique-du-chiffre-et-delit-dusage-de-stupefiants.html0 point
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Yép, et encore une fois la méthodologie est douteuse : on ne pas comparer le minage d'or (qui ne fait qu'extraire l'or) et le minage de bitcoins qui en « extrait » mais qui permet de vérifier la validité des bitcoins et de leurs transactions. Quelle énergie est utilisée pour vérifier la consistance des pièces et des lingots d'or ? Pour déplacer l'or ? Pour le faire fondre et le séparer en des pièces plus petites ?0 point
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En passant : Viandes crues, viandes cuites : quels effets de la cuisson sur la composition en nutriments des viandes ? - 2017 Red meat and colorectal cancer: a critical summary of prospective epidemiologic studies. - 2011 Red Meat and Colorectal Cancer: A Quantitative Update on the State of the Epidemiologic Science - 20150 point
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C'est spontané. C'est l'indépendance (penser de façon autonome et vouloir vivre de façon indépendante) qui ne l'est pas. Et plus tu vis dans un Etat collectiviste qui t'impose des contraintes absurdes, plus tu as envie d'en imposer à ton tour aux autres par compensation / vengeance / désir de sentir qu'il te reste une forme de puissance.0 point
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Je suis toujours impressionné par les gens qui veulent rendre obligatoire le port d'une carte d'identité dans l'espace public. A quel moment dans sa vie acquiert-on une telle mentalité d'esclave?0 point
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"Il faudra inlassablement persévérer. Il n’y aura pas d’alternative. Il n’y aura pas moyen de clore le débat, parce que de nouvelles générations apparaitront, et chacune aura les mêmes idées folles." -- Milton Friedman0 point
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La droite nationaliste se trompe : l’immigration ne fait pas baisser les salaires Alex Muresianu, Reason, 25 juillet 2019. Parallèlement aux argumentations selon lesquelles les immigrants constitueraient une menace « culturelle » et « démographique » pour les États-Unis, certains membres éminents de la nouvelle droite nationaliste prétendent qu’un accroissement de l’immigration touchera durement les travailleurs américains au portefeuille. « Les nouveaux arrivants concurrencent d’abord les Américains qui ont perdu leur emploi. Résultat : salaires en baisse », déclarait par exemple Tucker Carlson au cours d’un monologue anti-migrants prononcé l’an dernier lors de son émission sur Fox News. De la même façon, des universitaires tels qu’Amy Wax, professeur de droit controversée de l’Université de Pennsylvanie, soutiennent que l’immigration, notamment lorsqu’elle est peu qualifiée, a cassé les salaires des travailleurs américains. Au premier abord, ces raisonnements semblent imparables. Mais un article paru récemment dans le Journal of Development Economics aide à comprendre pourquoi les nouveaux immigrants n’ont en réalité pas d’impact négatif sur la situation économique des travailleurs natifs. Après avoir étudié le flux des réfugiés syriens en Jordanie, les chercheurs ont constaté que « les Jordaniens vivant dans des zones à haute concentration de réfugiés n’ont pas rencontré plus de difficultés sur le marché du travail que leurs compatriotes moins exposés aux flux de réfugiés. » Ce résultat est d’autant plus révélateur que le degré d’immigration enregistré par la Jordanie depuis le début de la guerre en Syrie est extrêmement élevé : plus de 1,3 million de Syriens sont arrivés en Jordanie entre 2011 et 2015 pour une population jordanienne de 6,6 millions de personnes. Les conclusions de cette étude corroborent la grande majorité des recherches économiques concernant l’impact de l’immigration sur le niveau des salaires. A ce sujet, l’exode de Mariel de 1980 constitue un cas d’étude typique. En 1980, alors que les conditions économiques cubaines étaient particulièrement dégradées, Fidel Castro permit à 125 000 personnes environ de quitter le pays. Parties du port de Mariel, elles se dirigèrent vers le sud de la Floride, ce qui augmenta la population active de Miami de 7 % en l’espace de quelques semaines. Étant donné la soudaineté de cette évolution et étant donné que la plupart de ces migrants n’étaient pas très qualifiés, l’exode de Mariel offre une excellente opportunité d’étudier comment l’immigration affecte les salaires. Or la plupart des études aboutirent à la conclusion que l’arrivée des migrants de Mariel n’avait pas eu pour effet de réduire les salaires des Américains. En 1990, par exemple, l’économiste de Berkeley spécialisé dans le marché du travail David Card concluait que l’exode de Mariel « n’avait eu en fait aucun impact sur les salaires ou les taux d’emploi » des travailleurs faiblement qualifiés de Miami. L’économiste de Harvard George Borjas obtint un résultat différent. Dans un article de 2017, il montrait que les salaires des travailleurs qui avaient quitté le lycée sans diplôme avaient chuté de 10 à 30 % après le flux d’immigration de Mariel. Cependant, une nouvelle étude publiée dans The Journal of Human Resources (le Journal des ressources humaines) a mis en évidence le fait que les salaires des lycéens décrocheurs de Miami n’avaient pas changé comparativement aux salaires des décrocheurs d’autres villes américaines qui n’avaient pas connu de flux d’immigration massifs. Mais, vous demandez-vous, comment cela est-il possible ? Après tout, selon les lois économiques de base toute augmentation de l’offre de travail devrait faire baisser le prix du travail. Il se trouve cependant que l’augmentation de l’immigration ne se réduit pas à augmenter l’offre de travail – elle augmente aussi la demande de travail. Les immigrants ne sont pas que des travailleurs. Ils participent à la création de nouvelles entreprises et ils achètent des biens et services produits par des entreprises existantes. De fait, les immigrants jouent un rôle non négligeable dans l’entrepreneuriat américain. Ils représentent 15 % de la population mais sont à l’origine de 25 % des nouvelles entreprises. Si des migrants hautement qualifiés ont fondé les plus grands groupes américains dans des proportions bien supérieures à leur nombre dans la population, les nouveaux arrivants faiblement qualifiés sont également responsables de la création tout aussi disproportionnée de petites entreprises à faibles revenus. C’est la raison pour laquelle les salaires des travailleurs américains n’ont pas baissé. Si vous considérez que les migrants ne contribuent qu’à l’offre de travail et pas à la demande de travail, vous commettez ce que les économistes appellent l’erreur de la quantité fixe de travail (en anglais : lump of labor fallacy). Compte tenu du comportement des immigrants entrepreneurs, permettre l’entrée de plus d’étrangers aux États-Unis pourraient même être une solution partielle à la faible croissance des salaires, mais en aucune façon sa cause. Texte d’origine : The Nationalist Right Is Wrong: More Immigration Doesn't Reduce Wages0 point
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Jean Jouzel prophétise : dans une dizaine d'année, les pics de chaleur en France pourront aller jusqu'à 45°C. Et dans une trentaine d'années ils dépasseront 50°C voire 55°C, et en Europe, les décès liés aux catastrophes climatiques seront multipliés par 50, pour atteindre 150 000 décès par an ! https://www.franceculture.fr/sciences/jean-jouzel-il-y-a-un-risque-qu-il-ne-soit-trop-tard-pour-lutter-contre-le-rechauffement-climatique-de-facon-efficace En bref, Jean Jouzel nous explique qu'on aura en France, dans seulement 3 décennies, les températures de Death Valley ou de la Libye, les endroits les plus chauds actuellement de la planète...0 point
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Si ça se confirme on part sur un très bon cru: https://www.contrepoints.org/2019/07/27/349953-boris-johnson-ou-le-conservatisme-incertain "Sur la question qui consume la Grande-Bretagne depuis trois ans et demi, Johnson a fait preuve d’une rare constance. Sans son appui, il est douteux que le camp du Leave ait remporté le référendum de 2016. Depuis, Johnson a soutenu une variante intransigeante du Brexit, au nom de laquelle il est allé jusqu’à démissionner du poste de ministre des Affaires étrangères. Il faut également noter que Johnson a cherché à donner un socle doctrinal à cette position : en quittant l’UE coûte que coûte, avec ou sans accord, déclare-t-il sans relâche, le Royaume-Uni entend renouer avec sa tradition d’individualisme et de libre-échange. Dans une interview récente au journal India Today, il se proclamait « libertarien, tolérant, anti-réglementation, pro-immigration… et favorable à l’autonomie individuelle ». Son premier discours en tant que Premier ministre promettait de rétablir « le rôle historique d’une Grande-Bretagne entreprenante, ouverte sur le monde et véritablement globale »."0 point
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J'aurais bien quelques remarques à faire sur le sujet, mais ça va encore gueuler. Je me contenterai de remarquer qu'il en va de même avec la plupart des Français à l'étranger.0 point
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Oui alors non. Les seules fois où je regarde la TV c'est quand je vais déjeuner chez ma grand-mère. Mais c'est plutôt l'heure où t'as les pubs pour les incontinentes et les cors aux pieds. Ah il y a aussi les 12 coups de midi, encore plus scripté qu'un match de boxe. Ils donnent plein de questions faciles à Paul, l'Asperger, parce que ça fait une belle histoire l'"autiste" qui gagne 200k€. En même temps ils mettent des débiles profonds en face. L'autre jour à la question "Qui dirigeait la Luftwaffe pendant la 2nde GM ?" une candidate a répondu "Margaret Thatcher". FFS, retirez-leur le droit de vote.0 point
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