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Copeau

Sage
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Tout ce qui a été posté par Copeau

  1. Deux claques d'accord, mais sur les fesses.
  2. Un mécène de luxe pour les vestiges du mur de Berlin Vingt-cinq ans après, les rares vestiges encore existants du mur de Berlin ont bien souffert. Contribuez à leur sauvegarde... en achetant une montre à 13 000 euros ! La montre Berlin DNA signée de l'horloger suisse RJ-Romain Jerome commémore à sa manière la chute du mur de Berlin. Trop capitaliste pour célébrer les 25 ans de la chute du mur de Berlin ? Peut-être, mais le symbole est beau. Il suffit de regarder au sol, quand on visite Berlin, pour y voir la trace du Mur inscrite au fil des rues. De même, le cadran de cette montre de luxe représente la ville vue du ciel, traversée par la ligne du Mur de la honte qui divisa et sépara tant de familles durant des décennies. Cette Berlin-DNA a été créée en collaboration avec l'East Side Gallery. Une collaboration qui a permis à RJ-Romain Jerome de récupérer des fragments du Mur, qui ont ensuite été incorporés dans le cadran de chaque montre, proposée à 13 000 € pièce. "Avec ce partenariat, nous souhaitons créer un précédent en préservant une oeuvre d'art mais également un monument historique", a expliqué Manuel Emch, CEO de RJ-Romain Jerome. À la suite de la réunification de l'Allemagne en 1990, l'East Side Gallery avait réuni 118 artistes venus des quatre coins du monde pour peindre la surface du Mur de 1,3 km de long. Connu pour être la galerie à ciel ouvert la plus longue du monde, ce monument historique est également l'un des plus visités d'Allemagne. Mais il est aujourd'hui menacé par la pollution, le vandalisme et la destruction. C'est pourquoi RJ-Romain Jerome s'est engagée à reverser une partie des ventes de chaque montre Berlin-DNA à l'East Side Gallery. "L'East Side Gallery est à la fois une oeuvre d'art et une oeuvre inscrite dans l'histoire. Cette association est rare de nos jours, souligne Manuel Emch. Le Mur est un rappel constant de la passion et de l'engagement du peuple pour la liberté et traduit l'euphorie ressentie dans les heures qui ont précédé la réunification ! Les images de centaines de personnes arrachant le Mur à mains nues après les décennies d'oppression ont marqué les esprits et sont devenues légendaires." Le cadran gris révèle la ville de Berlin vue du ciel, sur lequel les immeubles ainsi que les rues ressortent en trois dimensions. Le tracé du mur de Berlin est délimité par un trait rouge rehaussé de Super-LumiNova vert. La rivière Spree est quant à elle indiquée par un trait bleu. Le design du cadran est inspiré par la chute du Mur qui a eu lieu dans la pénombre de la nuit. C'est pourquoi RJ-Romain Jerome a travaillé la totalité du cadran en Super-LumiNova afin que les rues et les parcs de la ville s'illuminent dans l'obscurité. Sur le fond des boîtes de la collection limitée à 25 pièces se cache l'une des peintures les plus célèbres du Mur de l'East Side Gallery : The Brother Kiss de l'artiste russe Dmitri Vrubel. Inspirée d'une photo prise en 1979 lors de la cérémonie du 30e anniversaire de la Deutsche Demokratische Republik, The Kiss illustre le baiser entre le leader soviétique Leonid Brejnev et le président de l'Allemagne de l'Est Erich Honecker. L'imprimé de cette fameuse peinture se trouve sur chaque fond de boîte de la Berlin-DNA et est accompagné de la signature de l'artiste. La montre est également mise en valeur grâce à son bracelet en crocodile Hornback noir, rappelant la noirceur de la montre.
  3. J'en profite pour rappeler une vieille revendication : il serait bon qu'on puisse via le wiki offrir en téléchargement divers bouquins. Qu'on puisse, par exemple sur cette page, télécharger le bouquin en choisissant dans l'idéal son format (pdf, epub, mobi, ...)
  4. De rien : j'ai ajouté la demande de présentation + le tag {{bienvenue}} en page commentaire de chaque user.
  5. moi je trouve que c'est utile en cas d'impression, mais si on peut trouver une autre méthode je suis preneur. Par ailleurs si ça n’apparaît plus sur WP, ça apparaissait à l'époque où on avait mis ça sur WL.
  6. Je vais donc vous proposer des petites revues de mes montres. Et je vais, précisément, ne pas commencer par une suisse mais par une japonaise. De l’une des marques les plus connues, en l’espèce Seiko. Voici donc la Seiko Scuba SBDC005, dite « Sumo », de par ses dimensions, ou plus exactement SumOr ou SumOrange, par opposition à la SBDC001 (Sumo noire, dite « Blackmo ») et la SBDC003 (Sumo bleue, dite « Blumo »). Ces montres sont des icônes horlogers, et en particulier des montres de plongée, grande spécialité de Seiko même si toutes les marques ont à leur catalogue des montres capables de descendre sous l’eau, parfois un peu, parfois beaucoup. © kt88y60watches La Seiko Sumo est un mythe car c’est une montre pas chère (environ 500€), robuste, fiable, dotée d’un mouvement réputé, et d’une grande polyvalence. Elle est apparue en 2007. Elle constitue l’une des « Big S » des plongeuses Seiko, qui comprend aussi la SKX (modèle de base, une centaine d’euros), la Samurai (au design anguleux très 80s, dont la production s’est arrêtée récemment), la Shogun (en titane, avec qui la Sumo partage le même mouvement), et enfin la MarineMaster 300 (plus haut de gamme, dont le mouvement vient de la SpingDrive, l’équivalent chez Seiko de marques très réputées comme Rolex, mais à un tarif tout de même 2,5 fois moins cher qu’une Submariner). La suite ici
  7. 2 ans. 2 put**** d’années. Voilà le temps qui s’est écoulé depuis mon dernier article « montres mythiques » (le Primero Zenith). C’est ridicule. Il y a pourtant tellement de choses à raconter, tellement de montres à présenter, je n’ai aucune excuse. Mais bon, tu sais ce que c’est le tourbillon de la vie, les vapeurs du Bourbon, les revues horlogères, les enfants qui grandissent, la vie qui nous sépare, tout ça… Oh je ne vais pas te faire une promesse intenable, je ne vais pas te dire que je suis reparti pour un rythme mensuel (il faut bien mettre des coquillettes dans l’assiette Minnie et du jus de pomme dans le verre Snoopy), mais je vais tâcher de ne pas complètement laisser tomber ce travail d’archivage. Ou de vulgarisation (parce qu’en me relisant aujourd’hui je constate que c’est parfois un peu vulgaire – je ne regrette rien, je persiste, et signe). Je te prie juste de m’excuser pour ce hiatus, de ne pas m’en vouloir si j’ai parfois mieux à faire (#YOLO), et de te satisfaire de ce que je suis en mesure de donner. Même si c’est au compte-gouttes… Allez, trêve d’auto-flagellation. Il y a quelques semaines on te parlait d’une plongeuse testée cet été, te disant au passage qu’il serait de bon aloi de parler des spécificités de la catégorie. Et quelle meilleure entrée en matière que de te parler de LA montre de plongée ? Pas la première, en aucun cas, mais celle qui a servi de template pour toutes les autres. Jusqu’à la norme ISO qui régit l’appellation aujourd’hui. Les vrais sauront de qui je parle. Les autres ne tiennent plus tellement le suspense est intense. Je vais évoquer la Fifty Fathoms Blancpain. Flop. Ou plutôt splash. Oui je sais, à moins de s’adresser à un parterre d’averti, quand on parle de plongée et de montres, on pense Rolex. On penseSubmariner. On pense Sea Dweller. On a tort. Car vois-tu la plus belle montre de plongée, la plus mythique, la plus virile aussi, mon graal personnel, c’est la FF de Mars Blancpain. (pour ceux qui n’ont pas compris, ça se passe ici). Ne me fait pas dire ce que je n’ai pas dit, j’ADORE la sub Rolex. En tous cas la 5513. Et la 5512. Et la 6538. Et la 1680. Et la Milsub. Ou la Explorer Dial 3-6-9. Bref, j’aime VRAIMENT la Sub. J’ai une 5513. Je n’ai pas de FF. Pas encore tout du moins, mais au cours des coquillettes et du jus de pomme de nos jours… Bon, mais arrêtes de me laisser digresser, on est là pour parler Blancpain. Comme beaucoup des modèles mythiques de l’histoire de l’horlogerie (en tous cas de l’horlogerie fonctionnelle, la fameuse tool-watch), la Fifty Fathoms a été créée pour des besoins militaires. La suite ici
  8. Bah, sinon j'ai ça aussi, approuvé par le Soviet Suprême. ¡ No pasaran !
  9. http://www.lesrhabilleurs.com/grand-prix-horlogerie-geneve-2014-palmares/ La cérémonie du Grand Prix d’Horlogerie de Genève a eu lieu hier soir et le palmarès 2014 dévoilé. Nous vous avions présenté quelques-unes de nos grandes favorites il y a quelques semaines (voir-ici) et autant vous dire que nous n’avons pas été mauvais ! Parmi les 72 montres pré-sélectionnées seulement 16 ont remporté un prix dont nous vous détaillons la liste ci-dessous. A noter bien évidemment que Breguet a remporté la plus prestigieuse des distinctions : le prix de l’Aiguille d’Or, avec son modèle « Classique Chronométrie ». Mais également que les frères Grönefeld ont remportés le prix « Tourbillon » avec leur fabuleuse montre « Parallax Tourbillon » (#proud), que Seiko fait son entrée dans le palmarès avec le modèle « Grand Seiko Hi-Beat 36000 GMT » pour la catégorie “Petite Aiguille” et que le Urwerk EMC remporte non pas 1 mais 2 prix ! Concernant le prix du jury, il revient également à Breguet (décidément !) avec sa montre Classique Dame. GRAND PRIX DE L’AIGUILLE D’ORBreguet Classique Chronométrie
  10. Yes ! La montre de Ripley ! Dommage que ce soit du pouartz. Sinon la montre des marines me fait penser à la G-Shock 5600 et autres superbes Casio ! Bon après, il y a aussi la Speedmaster des 70s qui vaut le détour...
  11. Tres bien la Bréguet ! Urwerk c'est quand même très... Moche.
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