Etienne

Schadenfreude.

Rockefeller? Morgan?

J'étais en train de pencher vers celui-la, il y en a dans les magasins Surcourf parisiens et sur pixmania.com.

Je me fais offrir un netbook pour Noël et je suis en train de me prendre la tête à choisir entre un Asus eeePC 1000H, un Samsung NC10 et un MSI Wind U100.

Oui. Non. Dans le champ politique, la liberté consiste pour chaque individu à pouvoir poursuivre les fins qu'il se choisit avec les moyens dont il dispose. Cela nécessite l'acceptation et la soumission à des règles - et non à un objectif transcendant les individus - qui assurent que cette poursuite individuelle des fins demeure pacifique et harmonique.

Je suis encore sorti en t-shirt dehors aujourd'hui. Logique, puisqu'il fait entre 20°C et 25°C ici.

Pour Hayek, très franchement, ça n'est pas très difficile a lire en anglais. Il y a en nettement moins de vocabulaire que dans un article de The Economist.

Nerval n'est pas n'importe qui non plus. L'immense majorité des traducteurs n'ont pas un talent littéraire hors du commun.

A Grenoble ? Il m'est arrive la même chose l'été dernière a Aubusson dans la Creuse.

Laisse-moi deviner : l'orgueil, la paresse et la gourmandise. Dommage qu'il n'y ait pas la mauvaise foi ou l'esprit de contradiction. Je ne te fais pas l'affront de citer la luxure.

Tout cela est un peu lié. C'est largement parce que culturellement, une énorme majorité des Français ne sont pas automatiquement exposés à l'anglais qu'ils ne font pas d'efforts pour l'apprendre et qu'ils ne sont pas habitués à le pratiquer. Il n'y a rien de fondamentalement plus con chez un Français que chez un Allemand ou un Scandinave, alors on se demande bien pourquoi ces derniers parlent et lisent nettement mieux l'anglais.

C'est l'exception culturelle française : quand on diffuse des films hollywoodiens en France, il faut au moins qu'ils soient doublés. En général, ça ne s'applique pas aux films britanniques, espagnols, allemands ou indépendants américains, qui sont sous-titrés. La France est le pays du monde où l'industrie du doublage est la plus développée.

Fahrenheit ? Tu es à sang froid, mon ami.

Tu veux pas décaler d'un jour, j'ai un peu 50 trucs qui s'accumulent ce jour-là.

Tout ceci veut donc dire qu'il y a de nombreuses personnes ici qui regardent le JT. Hum. J'espère que Kate n'est pas trop affectée et se remettra rapidement.

Je trouve ça très crédible. Néanmoins, je pense que le Congrès va préparer un premier sauvetage de GM qui passera mais qui ne sera pas suffisant. (Parce que les problèmes industriels de GM ne vont pas se régler du jour au lendemain.) Lorsqu'il s'agira de venir à la rescousse une seconde fois et bien, il n'y aura plus personne. A terme, GM fera faillite, mais pas tout de suite. Il ne restait plus qu'à remplacer le "r" par un "g" pour que ton orthographe de Wells Fargo ne devienne comique, vu l'endroit où cette banque a son siège.

Scyllabus : programme d'un cours atroce.

Desmarest est l'ancien PDG de Total. (Maintenant, c'est Margerie.)

J'espère que tu as fait une jolie plus-value en investissant dans ce sens. (Hein, parce que sinon, les prédictions dans l'air, ça n'engage pas à grand chose.)

J'imagine. Et moi, je tombais des nues.

Ça n'est pas le genre de la maison, tu sais bien. L'indignation est un business qui marche bien mieux que la recherche d'explications.

Certes, mais il est clair que, dans ton cas, je vois difficilement comment le choix des Jeunes Pop d'utiliser la pédophilie dans leur argumentaire peut être décrit comme autre chose qu'une provocation à dessein. Ça me semble nettement moins clair dans le cas de Longuet.

Il m'est arrivé quelque chose d'hallucinant tout à l'heure : entre deux cours, j'étais dans un des salles informatiques de la business school dans laquelle je suis en échange et je suis passé sur liberaux.org. Peu après avoir commencé ma lecture, quelqu'un que je ne me connais pas m'aborde et commence à me parler français - premier choc - pour me dire qu'il lit aussi liberaux.org - deuxième choc. En France, je veux bien que je puisse rencontrer quelqu'un qui lise liberaux.org, mais, au Texas, ça me laisse sur les fesses. (Si la personne se reconnait, coucou.)

Wikipédia.

Ce soir, à la cafétéria, j'étais assis près de deux télévisions : une dont je voyais l'image (sans en entendre le son), une dont j'entendais le son (sans en voir l'image). Sur la première, on pouvait voir le discours victorieux d'Obama de mardi soir ; sur la seconde, on pouvait entendre la musique de Tex Avery. Le mélange des deux était assez croustillant.