Aller au contenu

sans

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    8 575
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par sans

  1. Dans une émission d'économie de la TNT, le matin. Petite audience, et constituée de gens qui essayent de réfléchir. Les gens qui essayent de réfléchir sont moins sujets au socialisme. Pour choper le votant moyen et pavlovien, il faut viser Grand Journal de anal+, petit journal, on est pas couché… Ou alors, choper un poste d'intellectuel qui s'invite partout genre BHL, Finky, Onfray… Mais j'ai jamais su comment on chopait un de ces postes et qui les distribuait.
  2. Miettes. Ce qui est intéressant c'est ce qu'on donne a manger aux votants. Un Simonnot tous les deux ans, ça ne rattrape pas un Domenach, un Khan, un Plenel qui eux sont quotidiens.
  3. Ouais, mais c'est comme ça qu'on dit au gens qui voter. Un votant moyen qui n'a pas réfléchis sur les idéologie et les doctrines économiques, si a la télé il ne voit que des collectivistes encadré par des journalistes qui disent que Merluche est un grand tribun et que le libéralsime c'est la religion de l'égoïsme, peu de chance de le voire voter libéral.
  4. Les néo-cons on en trouve au contraire de plus en plus. Des libéraux par contre, un vrai libéral qui se revendique du libéralisme et qui prône le libéralisme, non pas au nom de l'utilitarisme mais au nom de la morale, on en trouve pas. (Sauf Salin, une fois l'an) Et encore, ceux-là sont à droite/extrême-droite sur la ligne sociétale (sécuritarisme, anti-racisme, assimilation toussa…) mais largement de gauche sur la ligne économique.
  5. J'y crois pas tellement, même si l'histoire est très plaisante. Comment la biographe serait-elle au courant ? Je vois mal Sarko ou Mme de P (tasse ?) révéler cette information. Ou alors il est simplement tombé sur ce fil : http://www.liberaux….ion-sovietique/ Et il en a renié le bolchevisme. Ouais, son ton de voix est sympa à entendre. On sent qu'il croit la totalité de ce qu'il raconte.
  6. En gros qu'il y a le libéralisme économique = liberté d'entreprendre, libre échange (sauf pour les frontières, il aime bien les frontières) ect… = BIEN Et le libéralisme philosophique = réduction de tout à la logique marchande = y compris le corps des enfants = pédophile en Taihland = PAS BIEN Pourquoi ? Bon, un marxiste de moins ça change rien, on s'en cogne. Mais je ne pense pas qu'il simule. C'est assez contraire à ses intérêts, son publique est largement constitué de marxistes et de supporteurs de Le Pen la socialiste. En fait c'est assez simple à comprendre. Il a passé sa jeunesse à vivre en piquant du fric à des filles de bourgeois. Alors pour avoir une validation éthique à ce mode de vie parasitaire, il a décidé que la morale, c'était l'abolition de la propriété privée. A présent qu'il fait son beurre en dirigeant une maison d'édition, puisqu'il fait bosser des gens pour lui (vilain capitaliste) il se rend compte qu'en fait, le libéralisme c'est bien. Logique absolue.
  7. Va savoir. http://www.youtube.com/watch?v=P6Yrrrfx0hc Ce qui est drôle, c'est que pour ne pas tout à fait revenir sur ses propos, il explique que ce qu'il dénonce n'est pas le libéralisme économique, qui est finalement très bien (à présent qu'il est chef d'entreprise, finalement, font chier les taxes) mais le libéralisme philosophique (concept fictif inventé pour l'occasion) Enfin, un marxiste de moins, c'est toujours ça.
  8. Sans doute. C'est pour ça que W et Chirac étaient sur de l'emporter au Moyen-Orient, tendis qu'Obama et Sarkozy, non-buveurs notoires, ont préparé leur départ. Bien, je viens d'acquérir une nouvelle clef de compréhension géopolitique.
  9. Voilà qui devrais en rassurer plus d'un. Mais il était bien non-fumeur, le salaud ? Il se prépare à la fin du monde, et il s'est converti au libéralisme.
  10. D'autant que ça fait un bail que le rôle du président n'est pas de diriger.
  11. Je ne vois pas par quelle magie le fait d'avoir une tradition d'état centralisé empêche de ne pas avoir d'état centralisé. Ce sont les rapports de forces qui font évoluer l'histoire.
  12. Ouais, mais c'est pas sa femme, c'est sa petite copine. Et je suis pas sur que ce soit lié, si mes souvenirs sont bons Napoléon non plus ne tenait pas sa femme.
  13. C'est un peu comme ce qu'on appelle le plafond de verre non ? Les choses sont telles que quelqu'un de complètement honnête ne peut pas grimper assez haut pour appliquer ces principes honnête. Ou alors il laisse tomber son honnêteté, et une fois arrivé en haut il n'applique rien du tout, n'étant plus honnête.
  14. D'où le besoin de sélectionner ce qui est moral, et ce qui est utile pour accéder au pouvoir. Si on s'amuse à se cantonner au seul axiome de non-agression en guise de morale, on peut très bien accéder aux pouvoir. Sauf à considérer que quelques cadavres sont nécessaires, ce que je ne sais pas. Ah, j'y pense : en France, pour accéder au pouvoir il faut systématiquement passer par un poste de fonctionnaire, payer avec avec le sale argent des taxes. Oui, dans ce cas je comprend qu'il soit nécessaire de fouler au pieds ses principes. Triste.
  15. Pas moi en particulier. Mais c'est sûr que s'il y avais un Ron Paul français au pouvoir, ça serait parfait. On pourra vérifier la théorie qui dit que le pouvoir corrompt systématiquement. Personnellement, je n'y croit pas.
  16. Oui, je comprend bien leur absence de limite. C'est plutôt sur l'utilité que pourrait avoir le meurtre dans le cadre politique. Il me semble que les situations ou il faille s'en servir sont assez rares. Oh, ont peut toujours rêver de reprendre le pouvoir et d'envoyer Framby, Sarko et le reste au camp de travail forcé pour voire s'ils trouvent ça bien de s'approprier le fruit du travail d'autrui. Trop dur ? Bien, je suggère au moins de les recouvrir de plume et de goudron sur la place publique.
  17. Ouep. Oh, je vois. En effet, j'arrive à envisager des moyens comme la corruption ou le mensonge (assez classiques) mais d'autre comme le vol ou l'assassinat me semblent impensables. Cependant, je ne suis pas persuadé de l'utilité du vol ou du meurtre… Naïveté peut-être ?
  18. Ce que je veux dire, c'est qu'un code moral (exprimé verbalement ou pas) même rigide, n'est pas forcement en opposition avec le fait de traîner dans la boue un adversaire socialiste par tous les moyens. Je vais même aller plus loin : tout faire pour éjecter un socialo-communiste du pouvoir, qui n'est ni plus ni moins qu'un voleur qui fait la promotion de l’extorsion, c'est même extrêmement moral.
  19. Tout dépend de ce qu'on entend par morale. On peut très bien avoir une morale très rigide, tout en hésitant pas à écraser ses adversaires par tout les moyens. D'autant que le but, en rentrant en politique, c'est de rendre la domination plus morale (ou moins immorale). A oublier ses principes, on risque de finir avec le pouvoir en ayant perdu l'intention de l'utiliser à bon escient.
  20. Le libéralisme n'implique pas de rejeter la morale. Le libéralisme, c'est de ne pas appliquer ta morale aux autres par la force.
  21. La sienne. Capitaliste c'est un nom trop équivoque et qui inspire la méfiance, à coup de pavlovisme médiatique.
  22. Je vois. Bien. Avec tout le respect que j'ai pour les consommateur de Red Bull. Votre boisson, c'est d'la merde.
  23. Oh, tout le monde sait que les Adélies sont une bande de strauss-khaniens. Les Empereurs eux forment de gentils petits couples monogames à chaque saisons, avec en prime le mâle qui couve les oeuf, et même des petits couples homosexuels de temps à autres. Oui, les Empereurs sont des bobos parisiens.
  24. Oui, sauf que l'état a mis son grain de sel et que l'artisan qui prend un apprenti est obligé de le payer, ce qui démotive quelque peu. Question de point de vue, je dirais plutôt que c'est le problème que pose le contrat.
×
×
  • Créer...