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Humanisme

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  1. Oui. Merci !!! Je vais le lire et voir si je peux le faire avec mes CM1.
  2. Salut ici, je cherche un roman jeunesse traitant de la liberté, c'est avec un garçon. J'ai déjà vu le titre mais je ne l'ai pas noté. Si l'un de vous pouvait me donner le titre...
  3. Recteurs : l’indemnité de responsabilité passe à 25 620 € par an http://www.vousnousils.fr/2014/12/31/recteurs-lindemnite-de-responsabilite-passe-a-25-620-e-par-an-559864
  4. Refuser de subventionner des artistes d'extrême gauche, du fascisme. http://www.liberation.fr/culture/2014/12/01/au-nom-du-vrai-public-la-censure-de-la-culture_1154531
  5. Vers une révolution de l'évaluation des élèves ? Comment rendre l'évaluation scolaire « bienveillante» ? Comment faire pour qu'elle ne soit plus cet instrument de tri au service d'un système élitiste, mais le moyen de faire progresser tous les élèves sans les casser ? C'est une petite révolution que propose le Conseil supérieur des programmes (CSP) en réponse au chantier ouvert par le ministère de l'éducation. Dans le document remis jeudi 27 novembre par le CSP à la ministre de l'éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, et queLe Monde a pu consulter, ce sont tous nos repères en matière d'évaluation qui se trouvent chamboulés : fini l'inflation des contrôles, la profusion de notes et de moyennes. Fini, aussi, le diplôme national du brevet tel qu'on le connaît aujourd'hui, avec sa semaine d'épreuves au mois de juin. Rien ne dit que le ministère ira dans son sens. Le CSP, chargé il y a un an de réécrire les programmes, n'est qu'une instance consultative. Si l'ancien ministre Vincent Peillon avait voulu en faire une structure forte et indépendante de son ministère, ses successeurs ont émis des signaux contradictoires. Ainsi du lancement par Benoît Hamon, avant l'été, d'une Conférence nationale sur l'évaluation des élèves qui empiète sur les missions du CSP. Les coefficients seraient aussi rejetés au motif qu'aucune matière ne serait supérieure à une autre La contribution du conseil n'en est pas moins majeure. D'une part, parcequ'elle rend concrète l'expression un rien galvaudée d'« évaluation bienveillante »; d'autre part, parce qu'elle est le reflet d'un consensus parmi ses 18 membres - 8 parlementaires et 10 experts -, représentants de la société civile. Premier consensus, celui sur les notes. « Notre école pourrait parfaitement faire sans », affirme Michel Lussault, le président du CSP. Ce géographe a fait siennes les conclusions des chercheurs en docimologie - la science de la notation : les notes ne sont ni neutres ni objectives. De plus, elles sont stigmatisantes pour les élèves faibles, et ne disent pas grand-chose des progrès de chacun. Le CSP leur préfère un barème de 4 à 6 niveaux, sur le modèle de ce qui se pratique dans de nombreux pays. En Allemagne, les notes vont de 6 (pour très faible), à 1 (pour très bon). Aux Etats-Unis, les enseignants utilisent six lettres, de A à F. En Finlande, pays souvent cité comme modèle, on ne note pas avant le collège et la seule note sous la moyenne est 4 sur 10. Plus de notes, plus de moyennes non plus. « On ne peut pas racheter sa faiblesse dans une discipline par sa force dans une autre », souligne Michel Lussault. Pour l'universitaire, une moyenne ne dit rien : « Un élève fort en mathématiques et faible en sport n'est pas un élève moyen au bout du compte. » Dans la même veine, le président du CSP rejette le recours aux coefficients, considérant qu'aucune compétence ou connaissance n'est plus importante qu'une autre. Le vieux brevet des collèges, né après-guerre, changerait radicalement de forme : aux quatre épreuves de fin d'année - français, maths, histoire-géographie et histoire des arts -, le CSP préférerait en voir instituer une seule, transversale, « anonymée et définie nationalement », peut-on lire dans le document. En sus, deux projets personnels - l'un réalisé en 4e, l'autre en 3e - seraient présentés à l'oral, et plusieurs évaluations organisées de la 5e à la 3e. « Mais pas plus de cinq par an,précise M. Lussault. Il faut en finir avec la course à l'armement en matière d'évaluation. Moins on en fait, plus elles sont de qualité. » Côté enseignants, l'architecture qui se dessine aurait le mérite de mettre fin à la dualité d'un système dont ils font, aujourd'hui, les frais. Depuis 2006, ils doivent à la fois faire passer le brevet, qui sert à vérifier la maîtrise des programmes scolaires, et remplir le livret personnel de compétences (LPC), qui valide, lui, l'acquisition du « socle commun » - ce bagage que tout élève doit avoir acquis à la fin de sa scolarité obligatoire, à 16 ans. Dans le projet du conseil, plus de LPC, dénoncé par toute la profession comme une « usine à gaz » : « La validation du socle commun vaut attribution du diplôme national du brevet. » Reste l'autre versant de l'évaluation, celle qui ne sert pas à certifier - autrement dit, à valider un niveau -, mais à percevoir les progrès de chaque élève, repérer ses lacunes, organiser une remédiation si nécessaire. Pour ce faire, le CSP propose d'instaurer des bilans en cours d'année, mais surtout à la fin de chaque cycle - celui des apprentissages fondamentaux, celui de consolidation et celui des approfondissements -, soit en CE2, 6e et 3e. « Ces bilans n'ont pas vocation à conditionner le passage des élèves dans la classe supérieure » ni à « faire l'objet d'une exploitation administrative », indique le document. Moins de stress pour les élèves et leurs parents, sans doute. Sauf qu'ils ne pourraient plus miser sur les stratégies de compensation, telles que le système actuel les autorise, pour faire grimper leur moyenne générale.C'en est fini des élèves bons en sciences, mais faibles dans le domaine littéraire, et qui tirent malgré tout leur épingle du jeu. Ils devraient désormais avoir le niveau requis partout. Dans son projet de socle commun, le CSP a défini des « blocs de compétences » ayant trait à la langue française, aux langues étrangères, aux langages scientifiques, aux capacités de s'organiser, de raisonner, d'analyser, de créer, etc. « Ce refus de compenser montre que nos ambitions sont très élevées. Le socle, ce n'est pas une culture scolaire au rabais, c'est la meilleure pour tous », martèle Michel Lussault. Une réponse à ceux qui, nombreux, continuent de voir dans le « socle commun » le danger d'un nivellement par le bas. http://www.lemonde.fr/education/article/2014/11/29/vers-une-revolution-de-l-evaluation-des-eleves_4531457_1473685.html Bourdieu a encore de l'influence.
  6. La réussite éducative sans les notes : http://www.laviemoderne.net/mirabilia/99-il-a-apris-alire-et-a-ecrire http://www.laviemoderne.net/mirabilia/72-loto-dictee
  7. A l'UMP, il y a des gens pour bientôt prendre leur carte au FDG. http://www.leparisien.fr/lille-59000/operation-mairie-morte-a-beauvais-contre-le-plan-d-austerite-du-gouvernement-12-09-2014-4129993.php
  8. Tout va bien dans le meilleur monde de l'Education nationale. "Depuis plusieurs années, des disciplines sont «déficitaires», des trous que l’administration comble avec des contractuels. Ils atteignent déjà 20% du corps enseignant dans les lycées professionnels, et dans la voie générale, certaines académies comme Versailles ou Créteil y recourent aussi très largement." "Dans le but de relancer la machine, on a eu beau organiser exceptionnellement deux sessions en 2014, rien n’y a fait. Soucieux de ne pas trop ravaler leurs exigences, les jurys, dont certains admettent une baisse de niveau dans ces années maigres, ont dû se résoudre à laisser bon nombre de postes vacants. Au dernier concours 2014, 67% des places en maths ont ainsi trouvé preneurs, et seulement la moitié en lettres classiques. A la session précédente, l’anglais était touché (65% des postes pourvus), comme les maths (50%) et les lettres, classiques (31%) mais aussi modernes (80%)." http://www.liberation.fr/societe/2014/09/01/rentree-les-nouveauxs-profs-manquent-a-l-appel_1091731
  9. Nouvel épisode sur les emprunts toxiques™ des collectivités territoriales. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/08/24/20002-20140824ARTFIG00134-emprunts-toxiques-les-collectivites-furieuses-contre-le-gouvernement.php http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/08/24/20002-20140824ARTFIG00138-emprunts-toxiques-l-ain-et-ses-45-de-dette-pourrie.php
  10. On a vraiment des lois rigolotes en France. http://www.lavoixdunord.fr/region/solre-le-chateau-une-famille-avec-cinq-enfants-sous-le-ia12b45228n2333435
  11. Soit d'extrême gauche, gagne 400.000€ en un an et vient demander que le financement de ta thèse soit faite par le contribuable. http://www.courrier-picard.fr/region/edouard-louis-de-retour-a-amiens-ia0b0n414020#.U9yfjd8p_y0.twitter
  12. Parcs éoliens : alerte à la corruption des élus Le Service central de prévention de la corruption met en garde les pouvoirs publics sur un « phénomène d'ampleur » en France. Delphine de Mallevoüe ÉOLIENNES Le stade des suspicions est dépassé. C'est désormais institutionnel : la prise illégale d'intérêts d'élus dans le développement de la filière éolienne est pour la première fois reconnue, non seulement comme un fait mais aussi une pratique répandue sur tout le territoire français contre laquelle les pouvoirs publics se doivent d'agir, et vite. C'est un constat et une alerte formulés par le Service central de prévention de la corruption (SCPC), une instance interministérielle dépendant du ministère de la Justice, qui fait entrer ces dérives pour la première fois dans son rapport d'activité 2013 concernant la prévention de la corruption en France et dans les collectivités territoriales. Cet ouvrage à la distribution encore confidentielle a été adressé la semaine dernière à tous les parquets de France pour informer les procureurs de ce nouvel état des lieux du conflit d'intérêts. À la page 119 du document, que s'est procuré Le Figaro, le SCPC décrit un « phénomène d'ampleur » . « Le développement de l'activité éolienne semble s'accompagner de nombreux cas de prise illégale d'intérêts impliquant des élus locaux » , révèle le rapport, sur « une grande partie du territoire national » . Le SCPC indique être le « destinataire d'un nombre croissant de procédures engagées (...) qui font état de dérives graves entraînant des recours devant les juridictions administratives et de plaintes déposées auprès de plusieurs parquets » . Le rapport précise que « l'ingérence des élus » survient dans diverses étapes de la procédure d'implantation des éoliennes. Pour définir une zone de développement éolien, autoriser un permis de construire, etc. Toujours avec la même motivation : « les revenus substantiels tirés de l'implantation d'éoliennes sur des terrains leur appartenant (à titre personnel, NDLR) et par un régime fiscal favorable » . Des baux allant de vingt à trente ans en moyenne, pouvant rapporter à l'élu ou sa famille jusqu'à 100 000 euros annuels dans ses caisses personnelles. Les exemples sont innombrables. Pas-de-Calais, Normandie, Hérault, Bretagne... On y met parfois les grands moyens, comme cet élu du Tarn qui avait agité son réseau pour obtenir un rendez-vous avec le ministre de la Défense. Il espérait le convaincre de changer le tracé d'un couloir aérien militaire pour ne pas renoncer au parc éolien prévu sur ses propres terres. Une pratique qui commence à se heurter aux poursuites judiciaires, introduites avec pugnacité par les Nimby (citoyens opposés à l'éolien dans leur paysage) et des associations de défense de l'environnement. Et les condamnations tombent : 4 mois de prison avec sursis et une amende de 8 000 euros pour des élus de Haute-Loire, 1 000 euros pour une maire de l'Orne, etc. En janvier dernier, six élus ont même été placés en garde à vue à Cahors, où ils comparaîtront en correctionnelle en octobre prochain. Prise illégale d'intérêts, tentative, recel ou complicité de recel de prise illégale d'intérêts, le rapport du SCPC souligne que le délit ne relève « pas toujours de simples négligences » mais d' « agissements délibérés » . Or la loi est claire. Comme le rappellent les articles 432-12 du Code pénal et l'article 2131-11 du Code général des collectivités territoriales : le fait, pour un élu, «de recevoir (...) directement ou indirectement, un intérêt quelconque (...) dans une opération dont il a, au moment de l'acte (...), la charge d'assurer la surveillance, l'administration, la liquidation ou le paiement, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende » . Mais l'influence en amont aussi, comme le simple fait de « proposer, préparer, présenter des rapports ou avis, en vue de décisions prises par d'autres personnes mais qui lui bénéficient » , affirme un juriste. Une loi que certains envisagent avec désinvolture, parfois les représentants de l'État eux-mêmes, comme cette étonnante préfète de Mayenne qui, l'an passé dans un courrier officiel, estimait que « cette pratique » était « inévitable dans certaines communes rurales en raison de leur population et de leur taille » . À la décharge des élus, le SCPC a constaté que le lobbying des opérateurs éoliens exerçait une forte pression sur eux, notamment au travers de « chartes morales d'étroite collaboration » . Les opérateurs, qui pourraient être poursuivis pour complicité, se défendent : parfois, le bail privé de l'édile est « la condition sine qua non pour qu'il donne son accord au projet d'installation » , avouait il y a quelques mois au Figaro l'ingénieur d'une grande compagnie d'énergie qui a assisté à ces tractations. Inquiet, le Service appelle en conclusion « l'attention des pouvoirs publics sur la gravité de ce phénomène » et rappelle qu' « il est impératif d'empêcher et de sanctionner toute confusion entre l'intérêt public, que doivent servir les élus dans le cadre de leur mandat, et l'intérêt personnel qu'ils peuvent retirer d'une opération » . Le rapport alerte en outre du risque d' « atteintes à la probité beaucoup plus graves, comme celui de la corruption » , puisque ce phénomène a déjà « été constaté dans certains pays européens où serait impliquée la criminalité organisée » . Il réclame un audit pour « évaluer sérieusement ce risque » . De quoi dégripper peut-être l'enquête parlementaire qui avait été demandée à l'automne dernier sans voir le jour... http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/07/03/01016-20140703ARTFIG00301-parcs-eoliens-alerte-a-la-corruption-des-elus.php
  13. Des Français se portent au chevet d'une économie vénézuélienne mal-en-point Alors que l'économie est en récession et que les héritiers de l'ex-président Hugo Chavez connaissent leurs premiers déchirements, des Français volent au secours de Caracas. Le limogeage du ministre du plan, Jorge Giordani, a déclenché une polémique à ce sujet au Venezuela. Dans une lettre ouverte diffusée le 18 juin, l'architecte du " socialisme du XXIe siècle ", qui dénonce les malversations du régime, prétend avoir pris ses distances avec le président, Nicolas Maduro, à la suite de divergences avec des " conseillers français ". Aucun nom n'est cité, mais plusieurs sources y reconnaissent en premier lieu Matthieu Pigasse (actionnaire à titre individuel du Monde), associé de la Banque Lazard , qui n'a pas souhaité répondre à nos questions. La banque d'affaires a organisé à Londres, le 13 juin, une présentation du nouvel homme fort de l'économie vénézuélienne, Rafael Ramirez, patron de l'entreprise pétrolière nationale, PDVSA, ministre du pétrole et des mines, et vice-président de l'aire économique. Une réunion à laquelle M. Pigasse participait, après s'être rendu au Venezuela en début d'année. Ce matin-là, dans le cadre luxueux de l'Hôtel Claridge's, M. Ramirez a rencontré une cinquantaine de décideurs, qu'il a tenté de rassurer sur la situation de son pays, rongé par l'inflation et la dette. Il a admis que le taux officiel du dollar était trop bas et que la coexistence de plusieurs systèmes de change n'était pas tenable. Quelques jours plus tard, le 24 juin, sur le forum de discussion chaviste Aporrea, l'Allemand Heinz Dieterich livrait son interprétation sur cette " French connection ". Ce théoricien d'extrême gauche a longtemps eu l'oreille de M. Chavez et garde ses entrées à Caracas. A son avis, M. Pigasse est " le plus important " des " conseillers socialistes français auxquels Giordani fait allusion dans sa lettre d'adieu ". D'après M. Dieterich, le gouvernement Maduro ne pouvait pas faire appel à Christine Lagarde et au Fonds monétaire international (FMI), bête noire des chavistes, sans déstabiliser les militants. Mais, en faisant appel à Lazard, l'intention serait la même : redresser les comptes du Venezuela par " capitulation face au capital financier " et mettre ainsi fin à quinze ans de chavisme. Ce n'est pas la première fois que M. Pigasse s'intéresse à l'Amérique latine. Il avait conseillé l'Argentine du président péroniste Nestor Kirchner sur la restructuration de la dette extérieure, après le défaut de 2002. Cristina Kirchner, qui a succédé à son mari décédé, n'a pas encore soldé le contentieux avec tous ses créanciers. Or, la présidente argentine est une obligée de Chavez : en 2007, le zèle d'une douanière de Buenos Aires avait permis de saisir une valise avec 800 000 dollars en liquide, arrivée de Caracas sur un avion de PDVSA. L'argent devait renflouer la campagne électorale de Mme Kirchner. Ce n'est pas la première fois que les Vénézuéliens font appel à des Français. En avril 2013, Caracas s'est procuré l'expertise de la Fondation Jean-Jaurès, proche du Parti socialiste, pour le scrutin présidentiel. Selon M. Giordani, l'élection de M. Maduro a été remportée de justesse grâce à l'utilisation des ressources de l'Etat " à des niveaux extrêmes ". Le directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein, refuse de parler de ses prestations. Il est proche de M. Pigasse, avec lequel il a signé l'ouvrage Le Monde d'après. Une crise sans précédent (Plon, 2009). Après la présidentielle, à l'automne 2013, le gouvernement vénézuélien a aussi sollicité l'économiste Jacques Sapir, de l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). Marxiste souverainiste, ce dernier a publié son rapport sur son site, RussEurope, le 17 février. D'autres universitaires français ont établi des accords de coopération avantageux avec le Venezuela. Des intellectuels, des journalistes, des dirigeants politiques, ont bénéficié de l'hospitalité et des largesses de Caracas. Au Venezuela, l'argent du contribuable et les dividendes du pétrole circulent sans formalités, hors budget, souvent en liquide. Ce qui a valu au pays d'être considéré comme le plus corrompu d'Amérique latine, selon l'ONG Transparency International. Les " conseillers français " disposent de deux interlocuteurs privilégiés au Venezuela : les diplomates Temir Porras et Maximilien Arvelaiz, qui ont côtoyé M. Maduro pendant les années où il était ministre des relations extérieures de M. Chavez. M. Arvelaiz, alias " M. Max ", franco-vénézuélien, s'est vu confier une mission stratégique : prendre la tête de la représentation diplomatique à Washington et normaliser les relations avec les Etats-Unis. M. Porras, lui, a suscité des remous, début juin, en diffusant le texte " Que faire à cette étape de la révolution? ". " C'est un document important, car il prône un virage "pragmatique", social-démocrate ", explique Colette Capriles, professeur à l'université Simon-Bolivar, à Caracas. M. Porras et M. Pigasse ont fréquenté les bancs de l'ENA, mais pas à la même époque, le Vénézuélien étant plus jeune : la connexion française, encore. http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/07/03/des-francais-se-portent-au-chevet-d-une-economie-venezuelienne-mal-en-point_4450052_3234.html
  14. Pôle emploi dans les quartiers™, ça ne sert à rien. http://www.marsactu.fr/societe/pole-emploi-dans-les-quartiers-cest-pas-gagne-35260.html
  15. Venezuela : dissensions entre orthodoxes et pragmatiques au sein du "chavisme" Le soir même de l'annonce de son éviction, "Le Professeur" publiait sur un site internet un long texte dénonçant "le manque de leadership" de la présidence générant un sentiment de "carence du pouvoir" et accusant le président de céder au patronat, qui souhaite la fin d'un modèle économique basé sur les expropriations et les contrôles des prix et des changes. http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/06/28/venezuela--dissensions-e_n_5539160.html
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