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Humanisme

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Tout ce qui a été posté par Humanisme

  1. Oui. Merci !!! Je vais le lire et voir si je peux le faire avec mes CM1.
  2. Salut ici, je cherche un roman jeunesse traitant de la liberté, c'est avec un garçon. J'ai déjà vu le titre mais je ne l'ai pas noté. Si l'un de vous pouvait me donner le titre...
  3. Recteurs : l’indemnité de responsabilité passe à 25 620 € par an http://www.vousnousils.fr/2014/12/31/recteurs-lindemnite-de-responsabilite-passe-a-25-620-e-par-an-559864
  4. Refuser de subventionner des artistes d'extrême gauche, du fascisme. http://www.liberation.fr/culture/2014/12/01/au-nom-du-vrai-public-la-censure-de-la-culture_1154531
  5. Vers une révolution de l'évaluation des élèves ? Comment rendre l'évaluation scolaire « bienveillante» ? Comment faire pour qu'elle ne soit plus cet instrument de tri au service d'un système élitiste, mais le moyen de faire progresser tous les élèves sans les casser ? C'est une petite révolution que propose le Conseil supérieur des programmes (CSP) en réponse au chantier ouvert par le ministère de l'éducation. Dans le document remis jeudi 27 novembre par le CSP à la ministre de l'éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, et queLe Monde a pu consulter, ce sont tous nos repères en matière d'évaluation qui se trouvent chamboulés : fini l'inflation des contrôles, la profusion de notes et de moyennes. Fini, aussi, le diplôme national du brevet tel qu'on le connaît aujourd'hui, avec sa semaine d'épreuves au mois de juin. Rien ne dit que le ministère ira dans son sens. Le CSP, chargé il y a un an de réécrire les programmes, n'est qu'une instance consultative. Si l'ancien ministre Vincent Peillon avait voulu en faire une structure forte et indépendante de son ministère, ses successeurs ont émis des signaux contradictoires. Ainsi du lancement par Benoît Hamon, avant l'été, d'une Conférence nationale sur l'évaluation des élèves qui empiète sur les missions du CSP. Les coefficients seraient aussi rejetés au motif qu'aucune matière ne serait supérieure à une autre La contribution du conseil n'en est pas moins majeure. D'une part, parcequ'elle rend concrète l'expression un rien galvaudée d'« évaluation bienveillante »; d'autre part, parce qu'elle est le reflet d'un consensus parmi ses 18 membres - 8 parlementaires et 10 experts -, représentants de la société civile. Premier consensus, celui sur les notes. « Notre école pourrait parfaitement faire sans », affirme Michel Lussault, le président du CSP. Ce géographe a fait siennes les conclusions des chercheurs en docimologie - la science de la notation : les notes ne sont ni neutres ni objectives. De plus, elles sont stigmatisantes pour les élèves faibles, et ne disent pas grand-chose des progrès de chacun. Le CSP leur préfère un barème de 4 à 6 niveaux, sur le modèle de ce qui se pratique dans de nombreux pays. En Allemagne, les notes vont de 6 (pour très faible), à 1 (pour très bon). Aux Etats-Unis, les enseignants utilisent six lettres, de A à F. En Finlande, pays souvent cité comme modèle, on ne note pas avant le collège et la seule note sous la moyenne est 4 sur 10. Plus de notes, plus de moyennes non plus. « On ne peut pas racheter sa faiblesse dans une discipline par sa force dans une autre », souligne Michel Lussault. Pour l'universitaire, une moyenne ne dit rien : « Un élève fort en mathématiques et faible en sport n'est pas un élève moyen au bout du compte. » Dans la même veine, le président du CSP rejette le recours aux coefficients, considérant qu'aucune compétence ou connaissance n'est plus importante qu'une autre. Le vieux brevet des collèges, né après-guerre, changerait radicalement de forme : aux quatre épreuves de fin d'année - français, maths, histoire-géographie et histoire des arts -, le CSP préférerait en voir instituer une seule, transversale, « anonymée et définie nationalement », peut-on lire dans le document. En sus, deux projets personnels - l'un réalisé en 4e, l'autre en 3e - seraient présentés à l'oral, et plusieurs évaluations organisées de la 5e à la 3e. « Mais pas plus de cinq par an,précise M. Lussault. Il faut en finir avec la course à l'armement en matière d'évaluation. Moins on en fait, plus elles sont de qualité. » Côté enseignants, l'architecture qui se dessine aurait le mérite de mettre fin à la dualité d'un système dont ils font, aujourd'hui, les frais. Depuis 2006, ils doivent à la fois faire passer le brevet, qui sert à vérifier la maîtrise des programmes scolaires, et remplir le livret personnel de compétences (LPC), qui valide, lui, l'acquisition du « socle commun » - ce bagage que tout élève doit avoir acquis à la fin de sa scolarité obligatoire, à 16 ans. Dans le projet du conseil, plus de LPC, dénoncé par toute la profession comme une « usine à gaz » : « La validation du socle commun vaut attribution du diplôme national du brevet. » Reste l'autre versant de l'évaluation, celle qui ne sert pas à certifier - autrement dit, à valider un niveau -, mais à percevoir les progrès de chaque élève, repérer ses lacunes, organiser une remédiation si nécessaire. Pour ce faire, le CSP propose d'instaurer des bilans en cours d'année, mais surtout à la fin de chaque cycle - celui des apprentissages fondamentaux, celui de consolidation et celui des approfondissements -, soit en CE2, 6e et 3e. « Ces bilans n'ont pas vocation à conditionner le passage des élèves dans la classe supérieure » ni à « faire l'objet d'une exploitation administrative », indique le document. Moins de stress pour les élèves et leurs parents, sans doute. Sauf qu'ils ne pourraient plus miser sur les stratégies de compensation, telles que le système actuel les autorise, pour faire grimper leur moyenne générale.C'en est fini des élèves bons en sciences, mais faibles dans le domaine littéraire, et qui tirent malgré tout leur épingle du jeu. Ils devraient désormais avoir le niveau requis partout. Dans son projet de socle commun, le CSP a défini des « blocs de compétences » ayant trait à la langue française, aux langues étrangères, aux langages scientifiques, aux capacités de s'organiser, de raisonner, d'analyser, de créer, etc. « Ce refus de compenser montre que nos ambitions sont très élevées. Le socle, ce n'est pas une culture scolaire au rabais, c'est la meilleure pour tous », martèle Michel Lussault. Une réponse à ceux qui, nombreux, continuent de voir dans le « socle commun » le danger d'un nivellement par le bas. http://www.lemonde.fr/education/article/2014/11/29/vers-une-revolution-de-l-evaluation-des-eleves_4531457_1473685.html Bourdieu a encore de l'influence.
  6. La réussite éducative sans les notes : http://www.laviemoderne.net/mirabilia/99-il-a-apris-alire-et-a-ecrire http://www.laviemoderne.net/mirabilia/72-loto-dictee
  7. A l'UMP, il y a des gens pour bientôt prendre leur carte au FDG. http://www.leparisien.fr/lille-59000/operation-mairie-morte-a-beauvais-contre-le-plan-d-austerite-du-gouvernement-12-09-2014-4129993.php
  8. Tout va bien dans le meilleur monde de l'Education nationale. "Depuis plusieurs années, des disciplines sont «déficitaires», des trous que l’administration comble avec des contractuels. Ils atteignent déjà 20% du corps enseignant dans les lycées professionnels, et dans la voie générale, certaines académies comme Versailles ou Créteil y recourent aussi très largement." "Dans le but de relancer la machine, on a eu beau organiser exceptionnellement deux sessions en 2014, rien n’y a fait. Soucieux de ne pas trop ravaler leurs exigences, les jurys, dont certains admettent une baisse de niveau dans ces années maigres, ont dû se résoudre à laisser bon nombre de postes vacants. Au dernier concours 2014, 67% des places en maths ont ainsi trouvé preneurs, et seulement la moitié en lettres classiques. A la session précédente, l’anglais était touché (65% des postes pourvus), comme les maths (50%) et les lettres, classiques (31%) mais aussi modernes (80%)." http://www.liberation.fr/societe/2014/09/01/rentree-les-nouveauxs-profs-manquent-a-l-appel_1091731
  9. Nouvel épisode sur les emprunts toxiques™ des collectivités territoriales. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/08/24/20002-20140824ARTFIG00134-emprunts-toxiques-les-collectivites-furieuses-contre-le-gouvernement.php http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/08/24/20002-20140824ARTFIG00138-emprunts-toxiques-l-ain-et-ses-45-de-dette-pourrie.php
  10. On a vraiment des lois rigolotes en France. http://www.lavoixdunord.fr/region/solre-le-chateau-une-famille-avec-cinq-enfants-sous-le-ia12b45228n2333435
  11. Soit d'extrême gauche, gagne 400.000€ en un an et vient demander que le financement de ta thèse soit faite par le contribuable. http://www.courrier-picard.fr/region/edouard-louis-de-retour-a-amiens-ia0b0n414020#.U9yfjd8p_y0.twitter
  12. Parcs éoliens : alerte à la corruption des élus Le Service central de prévention de la corruption met en garde les pouvoirs publics sur un « phénomène d'ampleur » en France. Delphine de Mallevoüe ÉOLIENNES Le stade des suspicions est dépassé. C'est désormais institutionnel : la prise illégale d'intérêts d'élus dans le développement de la filière éolienne est pour la première fois reconnue, non seulement comme un fait mais aussi une pratique répandue sur tout le territoire français contre laquelle les pouvoirs publics se doivent d'agir, et vite. C'est un constat et une alerte formulés par le Service central de prévention de la corruption (SCPC), une instance interministérielle dépendant du ministère de la Justice, qui fait entrer ces dérives pour la première fois dans son rapport d'activité 2013 concernant la prévention de la corruption en France et dans les collectivités territoriales. Cet ouvrage à la distribution encore confidentielle a été adressé la semaine dernière à tous les parquets de France pour informer les procureurs de ce nouvel état des lieux du conflit d'intérêts. À la page 119 du document, que s'est procuré Le Figaro, le SCPC décrit un « phénomène d'ampleur » . « Le développement de l'activité éolienne semble s'accompagner de nombreux cas de prise illégale d'intérêts impliquant des élus locaux » , révèle le rapport, sur « une grande partie du territoire national » . Le SCPC indique être le « destinataire d'un nombre croissant de procédures engagées (...) qui font état de dérives graves entraînant des recours devant les juridictions administratives et de plaintes déposées auprès de plusieurs parquets » . Le rapport précise que « l'ingérence des élus » survient dans diverses étapes de la procédure d'implantation des éoliennes. Pour définir une zone de développement éolien, autoriser un permis de construire, etc. Toujours avec la même motivation : « les revenus substantiels tirés de l'implantation d'éoliennes sur des terrains leur appartenant (à titre personnel, NDLR) et par un régime fiscal favorable » . Des baux allant de vingt à trente ans en moyenne, pouvant rapporter à l'élu ou sa famille jusqu'à 100 000 euros annuels dans ses caisses personnelles. Les exemples sont innombrables. Pas-de-Calais, Normandie, Hérault, Bretagne... On y met parfois les grands moyens, comme cet élu du Tarn qui avait agité son réseau pour obtenir un rendez-vous avec le ministre de la Défense. Il espérait le convaincre de changer le tracé d'un couloir aérien militaire pour ne pas renoncer au parc éolien prévu sur ses propres terres. Une pratique qui commence à se heurter aux poursuites judiciaires, introduites avec pugnacité par les Nimby (citoyens opposés à l'éolien dans leur paysage) et des associations de défense de l'environnement. Et les condamnations tombent : 4 mois de prison avec sursis et une amende de 8 000 euros pour des élus de Haute-Loire, 1 000 euros pour une maire de l'Orne, etc. En janvier dernier, six élus ont même été placés en garde à vue à Cahors, où ils comparaîtront en correctionnelle en octobre prochain. Prise illégale d'intérêts, tentative, recel ou complicité de recel de prise illégale d'intérêts, le rapport du SCPC souligne que le délit ne relève « pas toujours de simples négligences » mais d' « agissements délibérés » . Or la loi est claire. Comme le rappellent les articles 432-12 du Code pénal et l'article 2131-11 du Code général des collectivités territoriales : le fait, pour un élu, «de recevoir (...) directement ou indirectement, un intérêt quelconque (...) dans une opération dont il a, au moment de l'acte (...), la charge d'assurer la surveillance, l'administration, la liquidation ou le paiement, est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende » . Mais l'influence en amont aussi, comme le simple fait de « proposer, préparer, présenter des rapports ou avis, en vue de décisions prises par d'autres personnes mais qui lui bénéficient » , affirme un juriste. Une loi que certains envisagent avec désinvolture, parfois les représentants de l'État eux-mêmes, comme cette étonnante préfète de Mayenne qui, l'an passé dans un courrier officiel, estimait que « cette pratique » était « inévitable dans certaines communes rurales en raison de leur population et de leur taille » . À la décharge des élus, le SCPC a constaté que le lobbying des opérateurs éoliens exerçait une forte pression sur eux, notamment au travers de « chartes morales d'étroite collaboration » . Les opérateurs, qui pourraient être poursuivis pour complicité, se défendent : parfois, le bail privé de l'édile est « la condition sine qua non pour qu'il donne son accord au projet d'installation » , avouait il y a quelques mois au Figaro l'ingénieur d'une grande compagnie d'énergie qui a assisté à ces tractations. Inquiet, le Service appelle en conclusion « l'attention des pouvoirs publics sur la gravité de ce phénomène » et rappelle qu' « il est impératif d'empêcher et de sanctionner toute confusion entre l'intérêt public, que doivent servir les élus dans le cadre de leur mandat, et l'intérêt personnel qu'ils peuvent retirer d'une opération » . Le rapport alerte en outre du risque d' « atteintes à la probité beaucoup plus graves, comme celui de la corruption » , puisque ce phénomène a déjà « été constaté dans certains pays européens où serait impliquée la criminalité organisée » . Il réclame un audit pour « évaluer sérieusement ce risque » . De quoi dégripper peut-être l'enquête parlementaire qui avait été demandée à l'automne dernier sans voir le jour... http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/07/03/01016-20140703ARTFIG00301-parcs-eoliens-alerte-a-la-corruption-des-elus.php
  13. Des Français se portent au chevet d'une économie vénézuélienne mal-en-point Alors que l'économie est en récession et que les héritiers de l'ex-président Hugo Chavez connaissent leurs premiers déchirements, des Français volent au secours de Caracas. Le limogeage du ministre du plan, Jorge Giordani, a déclenché une polémique à ce sujet au Venezuela. Dans une lettre ouverte diffusée le 18 juin, l'architecte du " socialisme du XXIe siècle ", qui dénonce les malversations du régime, prétend avoir pris ses distances avec le président, Nicolas Maduro, à la suite de divergences avec des " conseillers français ". Aucun nom n'est cité, mais plusieurs sources y reconnaissent en premier lieu Matthieu Pigasse (actionnaire à titre individuel du Monde), associé de la Banque Lazard , qui n'a pas souhaité répondre à nos questions. La banque d'affaires a organisé à Londres, le 13 juin, une présentation du nouvel homme fort de l'économie vénézuélienne, Rafael Ramirez, patron de l'entreprise pétrolière nationale, PDVSA, ministre du pétrole et des mines, et vice-président de l'aire économique. Une réunion à laquelle M. Pigasse participait, après s'être rendu au Venezuela en début d'année. Ce matin-là, dans le cadre luxueux de l'Hôtel Claridge's, M. Ramirez a rencontré une cinquantaine de décideurs, qu'il a tenté de rassurer sur la situation de son pays, rongé par l'inflation et la dette. Il a admis que le taux officiel du dollar était trop bas et que la coexistence de plusieurs systèmes de change n'était pas tenable. Quelques jours plus tard, le 24 juin, sur le forum de discussion chaviste Aporrea, l'Allemand Heinz Dieterich livrait son interprétation sur cette " French connection ". Ce théoricien d'extrême gauche a longtemps eu l'oreille de M. Chavez et garde ses entrées à Caracas. A son avis, M. Pigasse est " le plus important " des " conseillers socialistes français auxquels Giordani fait allusion dans sa lettre d'adieu ". D'après M. Dieterich, le gouvernement Maduro ne pouvait pas faire appel à Christine Lagarde et au Fonds monétaire international (FMI), bête noire des chavistes, sans déstabiliser les militants. Mais, en faisant appel à Lazard, l'intention serait la même : redresser les comptes du Venezuela par " capitulation face au capital financier " et mettre ainsi fin à quinze ans de chavisme. Ce n'est pas la première fois que M. Pigasse s'intéresse à l'Amérique latine. Il avait conseillé l'Argentine du président péroniste Nestor Kirchner sur la restructuration de la dette extérieure, après le défaut de 2002. Cristina Kirchner, qui a succédé à son mari décédé, n'a pas encore soldé le contentieux avec tous ses créanciers. Or, la présidente argentine est une obligée de Chavez : en 2007, le zèle d'une douanière de Buenos Aires avait permis de saisir une valise avec 800 000 dollars en liquide, arrivée de Caracas sur un avion de PDVSA. L'argent devait renflouer la campagne électorale de Mme Kirchner. Ce n'est pas la première fois que les Vénézuéliens font appel à des Français. En avril 2013, Caracas s'est procuré l'expertise de la Fondation Jean-Jaurès, proche du Parti socialiste, pour le scrutin présidentiel. Selon M. Giordani, l'élection de M. Maduro a été remportée de justesse grâce à l'utilisation des ressources de l'Etat " à des niveaux extrêmes ". Le directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein, refuse de parler de ses prestations. Il est proche de M. Pigasse, avec lequel il a signé l'ouvrage Le Monde d'après. Une crise sans précédent (Plon, 2009). Après la présidentielle, à l'automne 2013, le gouvernement vénézuélien a aussi sollicité l'économiste Jacques Sapir, de l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). Marxiste souverainiste, ce dernier a publié son rapport sur son site, RussEurope, le 17 février. D'autres universitaires français ont établi des accords de coopération avantageux avec le Venezuela. Des intellectuels, des journalistes, des dirigeants politiques, ont bénéficié de l'hospitalité et des largesses de Caracas. Au Venezuela, l'argent du contribuable et les dividendes du pétrole circulent sans formalités, hors budget, souvent en liquide. Ce qui a valu au pays d'être considéré comme le plus corrompu d'Amérique latine, selon l'ONG Transparency International. Les " conseillers français " disposent de deux interlocuteurs privilégiés au Venezuela : les diplomates Temir Porras et Maximilien Arvelaiz, qui ont côtoyé M. Maduro pendant les années où il était ministre des relations extérieures de M. Chavez. M. Arvelaiz, alias " M. Max ", franco-vénézuélien, s'est vu confier une mission stratégique : prendre la tête de la représentation diplomatique à Washington et normaliser les relations avec les Etats-Unis. M. Porras, lui, a suscité des remous, début juin, en diffusant le texte " Que faire à cette étape de la révolution? ". " C'est un document important, car il prône un virage "pragmatique", social-démocrate ", explique Colette Capriles, professeur à l'université Simon-Bolivar, à Caracas. M. Porras et M. Pigasse ont fréquenté les bancs de l'ENA, mais pas à la même époque, le Vénézuélien étant plus jeune : la connexion française, encore. http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/07/03/des-francais-se-portent-au-chevet-d-une-economie-venezuelienne-mal-en-point_4450052_3234.html
  14. Pôle emploi dans les quartiers™, ça ne sert à rien. http://www.marsactu.fr/societe/pole-emploi-dans-les-quartiers-cest-pas-gagne-35260.html
  15. Venezuela : dissensions entre orthodoxes et pragmatiques au sein du "chavisme" Le soir même de l'annonce de son éviction, "Le Professeur" publiait sur un site internet un long texte dénonçant "le manque de leadership" de la présidence générant un sentiment de "carence du pouvoir" et accusant le président de céder au patronat, qui souhaite la fin d'un modèle économique basé sur les expropriations et les contrôles des prix et des changes. http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/06/28/venezuela--dissensions-e_n_5539160.html
  16. Bygmalion: le groupe UMP à l'Assemblée a payé 638.000 euros pour son site Internet en 2010 http://www.huffingtonpost.fr/2014/06/24/bygmalion-groupe-ump-assemblee-paye-638000-euros-site-internet-2010_n_5525979.html ...
  17. AMIENS‬ Maladie, accidents de travail... Plus de 19% des agents de la Métropole sont en arrêt de travail http://www.courrier-picard.fr/region/plus-de-six-cents-agents-en-arret-a-amiens-metropole-ia167b0n394237 Dans une entreprise de la même taille, ce chiffre est à combien?
  18. http://www.bfmtv.com/economie/jeunes-vont-moins-moins-cinema-798909.html Va falloir subventionner plus le cinéma français.
  19. Enquête sur la nuit du lynchage de Darius : En dépit de témoignages contradictoires, la police commence à dessiner le scénario qui a conduit à l'agression du Rom de 17 ans, déficient mental Vendredi 13 juin, peu après 23 h 30, à Pierrefitte-sur-Seine. Dans l'obscurité de cette nuit estivale traversée par la lueur d'un gyrophare, deux paires de bras plongent dans un chariot de supermarché sur les abords de la nationale 1. Au fond de ce dernier, un corps inerte, le crâne déformé par les coups. Les bras le soulèvent et le déposent sur la chaussée pour tenter de le soulager. Ce corps, c'est celui de " Darius ", un jeune Rom de 17 ans, qui vient d'être abandonné entre la vie et la mort après s'être fait lyncher. Dans l'attroupement qui s'est formé autour de lui, entre des uniformes de pompier et un véhicule de police, on entend des mots en roumain, d'autres en français. Quelqu'un filme la scène. Un homme, vraisemblablement français, décrit l'état de l'adolescent : " Il respire encore un petit peu. Il est mal. Il est mal. Il peut pas parler, il arrive pas à parler. Il a des bosses sur le front des deux côtés. " " Il est demi-mort ", lance une femme avec un fort accent de l'Est. " Ses yeux, ils sont un petit peu ouverts, reprend le jeune homme. Il a bougé un peu la main gauche, et puis c'est tout. " " Qu'est-ce qui s'est passé? ", demande un autre. " Les mecs de cité, regarde qu'est-ce qu'ils ont fait ", répond un homme à l'accent africain. Cette vidéo amateur, diffusée par un média roumain, raconte l'effroi des riverains et des Roms qui ont accompagné " Darius " avant son transfert à l'hôpital. Elle n'aidera pas, en revanche, les enquêteurs à faire toute la lumière sur l'enchaînement des événements ayant conduit à son lynchage. Une semaine après les faits, la police judiciaire de Seine-Saint-Denis se heurte toujours à l'extrême confusion des témoignages qu'elle recueille pour reconstituer la chronologie de cette nuit tragique. Certaines informations commencent néanmoins à remonter. On sait désormais que " Darius " s'appelle en réalité Gheorghe C., et qu'il faisait l'objet d'une fiche Schengen " protection de mineurs " depuis qu'il s'est échappé d'un hôpital psychiatrique roumain pour rejoindre sa famille en France sous une fausse identité. Selon ses proches - sa mère, sa tante et ses grands-parents -, l'adolescent était interné pour " déficience mentale ". Malgré l'incohérence des témoins auditionnés jusqu'ici, un scénario commence à se dessiner. Selon plusieurs témoignages, un cambriolage se serait déroulé dans le quartier des Poètes en fin de matinée. Il n'a, semble-t-il, fait l'objet d'aucune plainte et n'a donc pu être confirmé par les enquêteurs. Déjà, la description de " Darius " aurait commencé à circuler dans la cité. Cet incident serait à l'origine du premier contact de la journée entre des habitants des Poètes et les Roms qui vivent de l'autre côté de la nationale 1. Vers 17 heures, un groupe de jeunes se rend une première fois devant le campement qui jouxte le quartier. L'échange se serait déroulé sans incident majeur, selon les premiers résultats de l'enquête, même si, là encore, certains témoignages font état de coups échangés. Aucun Rom n'appellera alors la police. Vers 20 heures, un deuxième cambriolage se déroule dans le quartier. Celui-ci est confirmé, il a fait l'objet d'une plainte. L'appartement visé, situé au rez-de-chaussée, est celui d'une famille sans histoires de quatre enfants : l'un est étudiant, l'autre travaille, les deux petits sont âgés de 10 et 12 ans. Vers 20 h 15, R., le cadet de la fratrie, surprend en rentrant du foot un individu en train de remplir des sacs de matériel hi-fi et informatique. Le cambrioleur s'enfuit par la fenêtre en abandonnant son butin, n'emportant avec lui que quelques bijoux. Le jeune R. aurait alors signalé l'incident au voisinage en donnant une description du cambrioleur : un adolescent portant un tee-shirt rouge, une description qui correspond à celle de " Darius ". Il est aussitôt pris en chasse par un groupe de jeunes habitants de la cité, qui se présentent une seconde fois devant le campement, vers 20 h 20. Le commissariat de Stains, qui couvre la zone de Pierrefitte, reçoit alors une série d'appels téléphoniques signalant des incidents. Un premier, à 20 h 30, probablement passé par un habitant du camp, évoque une rixe avec des jeunes de la cité. Sept minutes après, le commissariat reçoit un second appel " difficilement intelligible ", sans doute passé par un Rom. A 20 h 45, un appel signale une " grosse bagarre ". A 20 h 49, une personne " maîtrisant le français ", probablement un riverain, évoque à son tour des incidents. A 20 h 52 : dernier appel d'un riverain évoquant des " coups de feu ". Durant cette série d'appels, le commissariat dépêche sur place une voiture de la BAC. A ce moment, " Darius " a déjà été emmené par ses ravisseurs. Mais, une fois dans le campement, les policiers s'entendent répondre qu'il ne s'est rien passé. " Des Roms ont par la suite affirmé que les agresseurs avaient menacé d'incendier le campement s'ils prévenaient la police. Il est possible qu'ils aient eu peur et aient préféré ne rien dire ", explique une source proche du dossier. Faute d'éléments suffisants, les policiers rentrent au commissariat sans se douter du drame qui est en train de se jouer. Que s'est-il passé exactement dans le campement? Les témoignages des habitants comme des riverains sont confus. La mère de " Darius " parle d'une quinzaine d'agresseurs. Un autre Rom d'une trentaine tandis qu'un troisième en a vu cinquante. Un habitant du camp affirme que les agresseurs étaient au nombre de cent, armés pour certains de mitrailleuses. Un dernier assure que " Darius " a été enlevé à 16 heures... " On est dans le flou ", constate enquêteur de la PJ. Ce que l'on peut recouper, c'est que les faits se sont déroulés entre 20 h 20 et 21 heures, soit une heure avant la tombée de la nuit. " Au moins une vingtaine de jeunes encagoulés ou encapuchonnés, d'origine africaine, dont au moins un était porteur d'une arme, ont fait irruption dans le camp, résume une source proche du dossier. Deux jeunes se seraient alors enfoncés dans le campement pour extraire "Darius" de sa cabane avant de l'embarquer dans un véhicule. " Sur la description du véhicule, là encore, les enquêteurs tentent de démêler le vrai de l'approximatif. Un Rom parle d'une Clio blanche, certains la disent de couleur claire, un troisième l'a vue " bleue " tandis qu'un autre a aperçu une " camionnette ". Plusieurs témoins évoquent deux coups de feu tirés à l'arme longue, qui n'ont pas fait de blessés, mais les policiers n'ont trouvé sur place qu'une seule cartouche percutée. Plus d'une heure après le rapt, à 22 h 19, le commissariat reçoit un nouvel appel. Il s'agitune proche de l'adolescent parlant français, peut-être sa tante. Elle dit avoir reçu plusieurs appels du portable de " Darius "; il lui est réclamé une rançon de 15 000 euros, la somme étant finalement ramenée à 5 000 euros. Elle affirme que les ravisseurs ont menacé de décapiter le jeune homme et de lui trancher les mains. La teneur exacte des conversations est impossible à vérifier. La négociation a-t-elle fini par porter ses fruits? Me Julie Launois-Flacelière, qui représente la famille de " Darius ", affirme que ses proches ont bien tenté de réunir la somme. " A priori, ils devaient rappeler dès qu'ils parvenaient à rassembler les 5 000 euros. Ils n'y sont pas parvenus. " A 21 h 47, le portable de l'adolescent cesse d'émettre. Alerté par le coup de téléphone de 22 h 19, le commissariat envoie immédiatement des équipes à la recherche du jeune homme. Les policiers fouillent des caves et les appartements vides de ce quartier en pleine rénovation. En vain. A 23 h 20, des pompiers en intervention sur un incendie non loin du campement sont interpellés par un jeune homme en pleurs leur expliquant qu'un gamin est mort dans la rue. Les hommes du feu se dépêchent sur place et découvrent une cinquantaine de personnes entourant le corps étendu sur la chaussée. Personne n'a songé à appeler la police. Ce sont les pompiers eux-mêmes qui alerteront le commissariat. Les Roms étaient-ils encore sous le choc des menaces proférées par les ravisseurs de " Darius "? Un riverain a déclaré aux enquêteurs qu'ils étaient sur le point d'embarquer le gamin inconscient à bord d'une Mercedes. Dans quelles circonstances l'adolescent a-t-il été retrouvé? Ce point, là encore, est entouré de nombreuses zones d'ombre. A-t-il été déposé devant le camp par les agresseurs? Dans ce cas, " pourquoi auraient-ils pris cette peine et le risque de se faire remarquer par des témoins? ", s'interroge une source proche du dossier. " Les circonstances dans lesquelles il a été retrouvé sont troublantes. " " Tout est encore très incertain, mais il n'est pas exclu qu'il ait été abandonné par ses agresseurs et ramené au camp à bord du Caddie par les Roms eux-mêmes ", confie un enquêteur de la PJ. Lors de l'enquête de voisinage dans le campement, les policiers avaient recueilli un récit sensiblement différent. Cette rumeur voulait qu'une riveraine ait aperçu deux jeunes pousser le chariot le long de la nationale 1 avant de tenter de se débarrasser du corps dans une poubelle. Toujours selon la famille, cette femme aurait elle-même récupéré le chariot avant de le déposer à proximité du campement, où il aurait été découvert par les Roms et des riverains. Mais aucun Rom n'a accepté de confirmer cette histoire sur PV, se désole un enquêteur, qui n'accorde que peu de crédit à ce témoignage indirect et plus généralement aux déclarations des habitants du camp : " Quand ils sont devant nous, ils ne disent plus rien. Ils ne veulent même pas nous mettre en relation avec ce témoin. " Il a fallu une semaine à la PJ pour identifier cette riveraine et son audition prochaine devrait permettre d'y voir plus clair. Malgré l'extrême complexité des investigations, les enquêteurs se veulent optimistes : " L'enquête sera longue, mais il y aura des interpellations. " Pendant ce temps, le jeune Rom se rétablit lentement. " Il réagit positivement à la diminution des sédatifs. Son état de santé est en phase d'amélioration ", a indiqué dimanche le parquet de Bobigny. http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/06/22/enquete-sur-la-nuit-du-lynchage-de-darius_4443188_3224.html Les cas qu'il y a dans ce pays...
  20. Quand on voit le discours que certains peuvent tenir à l'UMP, rien n'est fait pour faire changer la France... http://www.noelshack.com/2014-25-1403437988-cayeux.jpg
  21. Chez Le Figaro, on veut concurrencer l'Huma. http://www.noelshack.com/2014-25-1403340990-monde-au-rabais.jpg
  22. La polygamie pour tous par Marcela Iacub http://www.noelshack.com/2014-25-1403335387-la-polygamie-pour-tous.jpg
  23. La transition écologique n'est pas quelque chose de totalitaire : De la sobriété subie à la sobriété choisie Meike Fink chargée de mission climat et énergie au Réseau Action Climat (RAC) Des millions de ménages en France n’ont pas aujourd’hui les moyens de se chauffer correctement, de se déplacer, voire de manger convenablement. Ces ménages vivent dans une situation de sobriété énergétique subie. Même si une transition énergétique ambitieuse pourrait aider à baisser les dépenses énergétiques de ces ménages, grâce à la rénovation énergétique des bâtiments ou à la construction des infrastructures de transport collectif, la satisfaction des besoins fondamentaux demande une réaction immédiate. Le concept de la sobriété ne doit pas servir à punir ceux qui sont déjà en difficulté, mais bien se présenter comme un choix volontaire ; la sobriété choisie sera, contrairement à celle qui est subie, indispensable au succès de la transition énergétique. Pour gagner le défi de la transition énergétique vers un système de production énergétique basé à 100% sur des énergies renouvelables, il nous faut maîtriser notre consommation énergétique et la baisser d’au moins de 50% d’ici à 2050. Pour y parvenir, il nous faut déployer des solutions technologiques, mais elles seules ne suffiront pas. Malgré les avancées, et à cause de l’augmentation de leur taille, les écrans plats consomment jusqu’à 4 fois plus d’électricité qu’un téléviseur cathodique traditionnel. Sans parler de la tendance des ménages à acquérir plusieurs télés. Même l’augmentation de l’efficacité de l’isolation thermique se verra contrebalancée par l’augmentation des consommations énergétiques dues à l’augmentation des mètres carrés par ménage et à la multiplication des appareillages multimédia. Pour gagner le défi de la transition énergétique, nous devons donc, d’une manière volontaire et individuelle, changer nos modes de consommation. Le principe de la sobriété énergétique choisie est l’absence de l’obligation, c’est sa force mais aussi sa faiblesse. La sobriété énergétique choisie dérange, elle met en question notre société de consommation sans freins et sans autres limites que celle du portefeuille. Pourquoi abandonner ce chemin confortable entrepris par la majorité de la population des pays industriels ? Bien qu’il mène directement à l’épuisement des ressources de notre planète et à la catastrophe climatique, notre société nous pousse à le suivre. Alors, dans la situation actuelle, comment imaginer une plus grande sobriété ? Elle doit être volontaire et individuelle, mais elle ne peut pas être toujours à contre-courant. La sobriété ne va pas apparaître un jour si rien n’est fait pour l’aider à émerger. L’émergence de la sobriété choisie demande donc un accompagnement politique. Afin d’encourager la sobriété énergétique choisie, il sera crucial d’abandonner la promotion de l’inverse. Autrement dit, il faut limiter l’omniprésence de la publicité qui conditionne les choix de l’individu. Lutter contre l’obsolescence programmée permettra aussi un développement du partage et de la réutilisation grâce à une augmentation de la qualité, de la durée de vie et de la réparabilité des produits. Le plus important pour qu’émerge la sobriété est la création d’alternatives accessibles à tout le monde : le télétravail, l’utilisation d’une machine à laver commune au sous-sol, l’autopartage… Ces alternatives doivent être présentes dans le quotidien de tout le monde – si chaque individu doit les chercher, voire les créer, les obstacles resteront trop importants. Aussi, une augmentation progressive des prix d’énergie incitera à plus de sobriété en limitant les utilisations superflues. Il reste plus que nécessaire de donner un prix réel à l’énergie qui représente la totalité des impacts négatifs sur l’environnement. En l’absence d’une prise en compte de ces impacts par le marché, c’est notamment une fiscalité réorientée sur les principes écologiques qui remplit cette fonction. Ses recettes nous permettront aussi de protéger les besoins fondamentaux des ménages modestes pour éviter de cantonner une partie de la population à la sobriété subie. http://www.humanite.fr/comment-imaginer-une-plus-grande-sobriete-energetique-544683
  24. Un tartufe qui se plaint. http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/06/14/olivier-py-le-festival-d-avignon-risque-d-etre-mis-en-peril-par-les-intermittents_4438270_3246.html
  25. La France n'est pas le pays de la grève. http://www.lavoixdunord.fr/region/sncf-dans-le-nord-pas-de-calais-la-greve-reconduite-ia0b0n2200965 http://www.lefigaro.fr/automobile/2014/06/13/30002-20140613ARTFIG00180-reforme-du-permis-de-conduire-les-inspecteurs-sont-prets-a-faire-greve.php http://www.leparisien.fr/economie/intermittents-la-cgt-menace-de-perturber-tous-les-festivals-13-06-2014-3920235.php http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/06/13/97002-20140613FILWWW00186-la-tour-eiffel-fermee-en-raison-d-une-greve.php http://www.leparisien.fr/transports/aeroport-roissy-cdg-greve-des-agents-au-sol-d-air-france-dimanche-12-06-2014-3917369.php
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