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Raoul.

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  1. Les pygmées de la pensée qui, percevant manifestement en moi un danger d’autant plus grand qu’ils ne savent comment m’attaquer (mon conservatisme étant allié à un libéralisme bien plus pur que le leur), agitent depuis quelque temps en sourdine la menace de l’épuration idéologique, vont avoir une occasion de se réjouir. L’administrateur de ce forum a apparemment décidé de céder à leurs prières réitérées. Il m'a laissé entendre (par MP) qu’il me faudrait à l’avenir, sous peine de bannissement semble-t-il, adapter mes propos. Je trouve cette demande d’une bassesse infinie. Mes propos, quoique fermes, quoique parfois très mortifiants, quoique souvent fort peu susceptibles de me gagner l’affection de leurs destinataires, étaient parfaitement adaptés à une discussion de forum. N’ayant aucune envie de les modérer davantage, et ne voulant plus être associé avec des gens (le prolétariat intellectuel ayatollisant même mis à part) si peu attachés à la libre discussion virile, je mets une fin anticipée à ma participation à ce forum.
  2. Faut être toqué pour réclamer l'approbation active par l'Etat des désirs sexuels de quiconque.
  3. Encore un commentaire sans substance, sans argument, sans rien. Je crois que, de toute ma présence sur ce forum, j’aurais jamais vu Prolo aligner deux pensées construites. Faut pas s’étonner, après, qu’il pleurniche contre ce qu’il ressent comme des insultes à son « intelligence ». PS : au passage, cette habitude de relever et d’afficher les fautes d’orthographe des autres utilisateurs (cf. sa signature) colle très mal avec l’image du mec bon camarade et primesautier qu’il essaie manifestement de donner. Ca révèle surtout une mentalité d’instituteur borné.
  4. C’est surtout qu’il faut être totalement toqué et complexé pour demander l’approbation officielle par l’Etat de la nature de ses désirs sexuels. J’en viens à croire que seuls les plus tracassés parmi les homos réclament cette altération grotesque du sens des mots. On a déjà abordé plusieurs fois cette question sur le fil du mariage homo : le débat ne tourne pas autour du droit des particuliers d’appeler leur union comme ils l’entendent. Un couple homo, un journaliste, un écrivain, "les gens", n’importe qui, ont le droit d’utiliser le terme de « mariage homo » dans la conversation. Personne ne leur conteste cette liberté pleine et entière. Demander à l’Etat de souscrire publiquement à ce mensonge grotesque est une autre histoire. Certaines personnes font des choix qui portent préjudice à leurs enfants. L'Etat aura rarement la légitimité pour empêcher ces choix. Cela ne justifie pas qu'il intervienne activement pour les faciliter.
  5. Il est malin, ce Chitah. Son message est rédigé de telle manière que je n'arrive pas à déterminer s'il comporte ou non des piques à mon égard. Résultat, je ne sais pas sur quel pied danser. Prolo16, lui, au moins, est parfaitement explicite.
  6. Le mariage traditionnel "reconnaît" la capacité physique d'un homme et d'une femme à procréer ensemble ou, plus exactement, il en tire les conséquences. Vous avez déjà vu des hétéros se marier pour que l'Etat "reconnaisse" officiellement leur hétérosexualité ? Evidemment que non. S'ils veulent que l'Etat reconnaisse leur hétérosexualité, ils peuvent poursuivre en diffamation ceux qui soutiendraient le contraire. A l'inverse, si le lobby homosexualiste a demandé l'instauration d'un "mariage" et non la modification du Pacs, c'est clairement dans une perspective de reconnaissance communautariste. Je vous accorde que le but du mariage n'est pas la procréation elle-même (la bénédiction du maire n'apporte pas la fertilité), mais la protection du machin procréé. En revanche, je ne pense pas que cela soit "indépendant" de la procréation. Au contraire, le mariage, via l'obligation de fidélité, permet de faire en sorte que ce soit bien le père (et non un étranger) qui obtienne en priorité les prérogatives "paternelles".
  7. Encore un nouvel exploit de la police républicaine : Soutenir mordicus que ces agissements relèvent de l'ordinaire policier devrait commencer à être difficile. Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/05/une-cellule-entonnait-le-je-vous-salue-marie-lautre-cellule-continuait-.html
  8. Prolo au sommet de son art. Illisible, vulgaire, agressif, idiot. Ca ne me dérange pas plus que ça, mais je note néanmoins avec intérêt que personne, dans le camp prog', ne vient le remettre à sa place.
  9. Alors, 1° J'ai bien précisé que le mot "privilège" ne me convenait pas trop. Mon opposition au mariage zinzin ne se fonde pas là-dessus. En revanche, thématique proche, le fait que les homos réclament une reconnaissance officielle de la part de l'Etat ne me paraît pas sain du tout. 2° L'institution, c'est le mariage ; la procréation, c'est le but de l'institution. Mais je confirme le risque d'enlisement et je rejoins votre conclusion.
  10. En fait, kéké vient de nous révéler qu'il considérait comme un couple les deux personnes représentées ("les chauves").
  11. Moins non plus je n'aime pas trop le terme de "privilège". En tout cas, j'évite de l'employer dans le cadre de cette discussion. Je me contente de soutenir que le mariage traditionnel ne rompait pas l'égalité devant la loi. L'argument de base repose sur le double fait que 1° les homos, à l'instar des hétéros, ont parfaitement le droit de se marier, même entre eux, quoique pas avec des personnes du même sexe, et 2° l'appréciation de l'égalité devant de la loi s'apprécie au regard du but d'une institution (ici, la procréation, ce qui justifie le critère du "sexe"). Cela dit, vous avez le droit de ne pas souscrire à ce raisonnement, mais prétendre qu'il n'ait jamais été donné ou qu'il s'agisse d'un pur "non-sens" et insinuer que les tenants de cet argument se déroberaient systématiquement à la discussion, c'est tout de même assez osé, surtout lorsque l'on revendique par ailleurs son goût pour le protectionnisme intellectuel.
  12. Kéké commence par claironner avec une satisfaction d'autiste qu'il "plonke" tout le monde (ce dont je doute tout de même très fortement) et assure ensuite qu'un éclaircissement qui a déjà été donné trente-six fois ne lui a jamais été fourni. Si j'étais de son camp idéologique, traîner un boulet de ce poids m'agacerait au plus point.
  13. Ils préparent un punch, pas un putsch. Les flics auraient su la différence si Sarkozy n'avait pas supprimé les épreuves de culture générale.
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