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frigouret

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Tout ce qui a été posté par frigouret

  1. Le Nobel c'est Elinor Ostrom. Je veux bien concevoir que je sois un peu schématique, mais c'est le sujet qui veut ça, on est sur les fondements , donc une approche théorique,,pas au cas par cas.
  2. Non je ne suis pas monolithique, je comprend que la propriété pleiniere est une force de contrepoids face à l'État, mais j'en constate aussi les défauts, alors je cherche.
  3. Pourquoi tyran ? Ne pouvons nous pas collectivement définir les règles de l'usufruit de façon honnête, loyal, libérale ?
  4. Si tu crois qu'en amour , ya pas besoin de hors d'oeuvre Va donc cherchez ailleur, qui peut faire ton bonheur Pour gagner une guerre ,il faut faire des manœuvres Met du miel sur ton piège, pour attraper mon cœur . @ Roucou C'est dommage ces injonctions discourtoises, ça me desoblige, allez un petit effort, je répondrais, mais là j'ai des scrupules de formes
  5. Beaucoup d'agressivité et peu d'argumentation, dommage.
  6. Alors on peut en res terlá.
  7. http://lanredec.free.fr/polis/Scott-Bader_tr.html Ceci est le compte rendu d'une expérience d'entreprise qui, je trouve, illustre assez bien avec notre discussion.
  8. On retombe bien là sur le classique " tragédie des biens communs" . Mais je ne prétend pas que la terre doit être "res nullius" à défaut d'être "res propria", mais plutôt "res communis" ce qui est différent de "res publica". La gestion des biens communs ne se limite pas au dilleme étatisation/privatisation, un petit tour sur le wiki (beral ou pedia ) vous apprendra qu'un récent prix Nobel préconise la gestion de ces biens par des acteurs locaux, je ne peux m'empêcher de rapprocher cette conception d'avec les propositions autogestionnaire du fédéralisme libertaire.
  9. Rincevent me dit que la propriété naît du travail. Mais pourquoi ne s'abolit elle pas avec la fin du travail. "J'ai travaillé cette terre libre, j'en suis donc propriétaire" est une proposition fausse, je ne suis proprietaire que des fruits , pas de l'instrument. Que se passe t-il ensuite ? Le propriétaire va par exemple , en vertu de son "droit", réclamer un fermage pour l'exploitation de cette même terre, pourquoi ? Cette prétention au droit d'aubaine me semble injustifiable.
  10. La violence virtuel est ridicule et lâche , mais je peux t'apporter des fleurs quand tu veux. Au sujet bordel ! J'aime pas les chatouillages de trouduc désolé.
  11. Je vois pas pourquoi t'essais de me choper sur Malthus alors que c'est vraiment périphérique et accessoire dans cette discussion. Je marche pas. Et si le sujet à déjà été épuisé par les "grands" à quoi bon remettre le couvert sur ce forum ?
  12. Tu dois avoir des dons paranormaux, félicitations. Bon je suis en bonne voie pour servir de tête de turc ici, ça sert à souder la meute remarque. Je ne suis pas méchant pourtant, je m'interesse au sujet de départ, soyez doux .
  13. Bon, on sort du sujet. De pirouettes en pirouettes on va parler de tout et de n'importe quoi, alors oui personnellement je pense qu'il faut faire attention aux terres arables, à leurs répartitions et aussi que la démographie n'est pas à prendre par dessus la jambe, mais j'aimerai bien rester sur les fondements de la propriété privé, si ça vous dit bien sur. On pourrait prendre un modèle théorique peut être ? Des naufragés arrive sur une île, c'est le premier qui a posé le pied le proprio ? Peut être celui qui a planté un drapeau ? Ou sculpté un galet ? Et pour la nuit des temps les autres vivrons sous son empire .
  14. Non pas du tout, malheureusement, nous avons sûrement besoin de plusieurs dizaines de mètre carré pour assurer la nourriture d'une personne (mes calculs sont un peu à la louche, mais les ordres de grandeurs me semblent justes). D'ailleurs il faudrait prendre en compte que le libéralisme est né dans un contexte de découverte de nouvelles terres, ressource que l'on pouvait juger infini, et de nouvelles énergies, que l'on pouvait aussi supposer infini à l'époque, je me trompe ?
  15. Sachant que la surface agricole utile mondiale et de 5 milliards d'hectares, que la surface des USA et d'environ de 10 000 000 de kilomètres carré, si mes calculs sont justes, la population mondiale occupe d'ors et déjà , uniquement à des fins de logement, 1/5 ème de l'espace utile . Je vous laisse juge.
  16. Oui, et la réponse de Proudhon à Locke est cinglante " vous vous payez à nos dépens d'un travail que nous ne vous avons point imposé ". Je maintien que le proviso amène la conclusion de Proudhon.
  17. La possession oui, et c'est effectivement une question de viscères puisque le casse croûte en depend. Mais on comprendra que le droit de propriété peut jouer contre le droit de possession , et c'est bien la raison, il me semble ,pour laquelle Locke émet son proviso.
  18. La privatisation est elle aussi fondée par le droit, qu'un aréopage d'individus ecrit pour toi. Exit la liberté.
  19. Bien sur, mais l'accès à pa terre reste un probleme pour d'innombrable humain, y compris en France.
  20. Oui c'est ça, avoir accès à la propriété usufruitiere. Je.viens de finir "les raisins de la colère" qui parle justement d'une famine aux USA , de la spoliation , et de l'errance de ces familles à la recherche de terres , cas flagrant des désordres que le non respect du proviso peut engendrer. Il y a cette citation de Molinari : " Dès l'origine des sociétés, une lutte incessante s'est établie entre les oppresseurs et les opprimés, les spoliateurs et les spoliés; dès l'origine des sociétés, l'humanité a tendu constamment vers l'affranchissement de la propriété. L'histoire est pleine de cette grande lutte! D'un côté, vous voyez les oppresseurs défendant les privilèges qu'ils se sont attribué sur la propriété d'autrui, de l'autre, les opprimés réclamant la suppression de ces privilèges iniques et odieux " Comment ne pas comprendre que la privatisation de ce bien commun qu'est la terre , peut conduire aux mêmes situations iniques que les libéraux reprochaient à l'ancien régime.
  21. Lorsque l'on consulte l'article consacré à la tragédie des bien communs sur le Wikipedia, on constate qu'il existe trois réponses. En effet je trouve que vous opposez sans cesse privatisation et etatisation, alors que la troisième voie, celle de la gestion par les acteurs locaux, nous conduirait peut être vers des solutions n'ayant les défauts des deux autres.
  22. Dans un monde fini toutes les ressources sont en quantités limitées et beaucoup sont vitales. S'affranchir des contraintes naturelles, quelle blague. Vous ne voyez donc pas que la condition de Locke place de fait la propriété dans le droit "juridique" , dans les droits corrélatifs de l'individu et de la collectivité.
  23. En quantité et en qualité suffisante ? Es tu bien bien sur ?
  24. Libre à vous, mais en ce cas ne parlez plus de la propriété comme d'un droit naturel . Parlez plutôt de droit de la guerre, de privilège par exemple. Et peut être du même élan abandonnez l'étiquette de libéral, puisque dans les faits vous prenez la posture de ceux que les libéraux ont historiquement combatu.
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