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  1. En quoi c'est immoral j'ai posé un débat dont je voulais voir les réponses ? Ce n'est pas immoral de défendre quelque chose qu'on ne pense pas....
  2. En fait je ne suis pas chartaliste je cherche des arguments contre le chartalisme et se faire passer pour un chartaliste m'a paru la meilleure solution ^^
  3. Strawman Et sinon je suis ouvert à toutes critiques seulement personne ne parle de mmt dans les médias et sur contrepoints donc je vais à la soruce poru trouver la critique libérale que je trouve relativement convaincante sauf l'histoire de robinson.
  4. Et sur le constat empirique des crises http://chouard.org/blog/2014/05/30/chartalisme-les-peuples-crevent-par-manque-dargent-cest-letat-qui-doit-creer-largent-avant-quon-le-lui-rende-en-impots-et-pas-le-contraire/ http://frappermonnaie.wordpress.com/2011/12/10/8-lemployeur-en-dernier-ressort/ de plus que pensez vous de cette proposition
  5. je dis qu'a termes les actifs du secteur privée vont diminuer et provoquer une dépression comme cela c'est produit aux USA
  6. Je ne suis pas économiste je copie colle je veux des réponses comme dr grump en apporte plus bas. D'ailleurs docteur grump? Comment peut on concilier cette idée avec le monétarisme et/ou l'école autrichienne?
  7. Je ne dis pas l'epargne est impossible je dis qu'a termes les actifs du système financier ,quand au fait que ce soit incompréhensible c'est logique je ne suis pas économiste ^^ Répondez à l'article point par point s'il vous plait http://frappermonnaie.wordpress.com/les-bases/#Secteur-prive-domestique-et-secteur-etranger
  8. La critique de Robert Murphy à côté de la plaque aussi... Comme il ne peut pas contredire l'équation des soldes sectoriels, il va chercher Robinson Crusoe. Le hic, c'est que le système Robison n'est pas un système monétaire et c'est une économie fermée sans État. Dans ce cas là en effet le secteur privé n'a pas besoin de quiconque pour épargner. Mais les ostrogoths, on est dans un système monétaire avec État à économies ouvertes... Le Crusoephilie est donc vraiment à côté Secondement la petite critique sur l'investissement : je ne pense pas qu'un économiste autrichien puisse sérieusement attaquer la MMT là-dessus. L'épargne d'aujourd'hui sont les investissement de demain : faire en sorte que les gens épargnent plus qu'ils n'investissent en t assure une croissance de long terme au secteur privé sur t+x. Si le solde était négatif, cela voudrait dire que l'économie carburerait au crédit. Bulle, tout ça, on connaît la chanson Je tiens à dire aussi que la critique de la dépense publique qui augmenterait les taux est complètement fausse pour un pays souverain dans sa monnaie : la banque centrale maîtrise les taux de A-Z, que ce soit le taux interbancaire comme le taux sur les Bons du Trésor. https://frappermonnaie.files.wordpress.com/2012/06/fredgraph.png https://frappermonnaie.files.wordpress.com/2012/06/fredgraph.png Et je ne suis ^pas la pour faire de la morale mais pour voir quels sont vos arguments économiques à ce modèle (car ca m'interesse) donc les nazis, fascistes etc... à la limite je peux vous traiter d'ultralibéraux, néolibéraux, turbolibéraux, mangeurs d'enfants on en sera pas plus avancé...
  9. Tout d'abord évitons de donner une connotation morale au débat en cours il risquerait de dériver 1) Le cours des devises n'est pas forcé dans un système de change libres et je ne vois pas le rapport entre masse monétaire et valeur ajoutée . Mais le crédit public et le deficit budgétaire est nécessaire à l'economie et ca la ou une monnaie centrale est essentielle car de fait il permet au secteur privée d'avoir des actifs nets de fait chaque péru En fait, il est beaucoup plus simple et clair d’interpréter la relation entre le Trésor, la banque centrale et les banques membres ainsi : l’État crée la devise lorsqu’il dépense, en créditant le compte en banque (centrale) du bénéficiaire ; il détruit la devise en l’encaissant ; mais comme cela choque et provoque des jalousies, il déguise cela en crédit, sous forme de bon du Trésor, et la banque centrale se charge de substituer de la devise souveraine à ces bons dès que nécessaire, et à re-camoufler la devise en crédit dès que les autres réalisent qu’ils sont tenus par leur statuts d’utilisateurs de cette devise souveraine, et non qu’ils tiendraient le Trésor en lui faisant crédit (en effet, sans action de la part de la banque centrale, les taux d’intérêt chuteraient à zéro) Ensuite, les banques complexifient les relations entre les gens et cette monnaie souveraine le plus souvent camouflée via un dédale de crédits qui les rémunère grassement. Il est tellement vrai que le fonctionnement réel de l’économie nécessite que la dette publique ne soit qu’un déguisement, que c’est ainsi que la banque centrale américaine a décidé de fonctionner, pour se protéger et ses banques avec elle. Les banquiers, banquiers centraux en tête, jugent scandaleux que le Trésor puisse simplement créer de la monnaie sans dette, mais mis à part une commission qu’il prélèvent par les détours qu’ils exigent, c’est bien au même résultat qu’ils aboutissent. Nous avons vu qu’il est nécessaire pour le secteur non-gouvernemental d’obtenir des actifs nets, c’est-à-dire recevoir plus qu’il ne doit. Cela signifie, par construction comptable, que le secteur gouvernemental doit dépenser plus qu’il ne reçoit, soit la définition du déficit public. Le déficit public n’est pas l’état pathologique des finances publiques, mais la nécessaire injection de devises dans le système du crédit privé qui serait autrement condamné à terme par sa croissante fragilité. C’est vrai en période de croissance de l’économie car le crédit ne peut pas tout financer, c’est vrai aussi en période de récession où, quoiqu’il y ait moins de biens et de services à financer, le secteur non-gouvernemental cherche à épargner pour réduire son endettement. Voicirésumé par le professeur L. Randall Wray le cas des États-Unis (emphase originelle) : À une brève exception près, le gouvernement fédéral a été endetté chaque année depuis 1776 . En janvier 1835, pour la première et seule fois de toute l’histoire des États-Unis, la dette publique fut éliminée, et un surplus budgétaire fut maintenu les deux années suivantes pour accumuler ce que le Secrétaire au Trésor Levi Woodbury appela « un fond pour faire face aux futurs déficits. » En 1837 l’économie s’effondra en une grande dépression qui mit le budget en déficit, et le gouvernement a toujours été endetté depuis. Depuis 1776 il y eut exactement sept périodes de surplus budgétaires substantiels avec une réduction significative de la dette. De 1817 à 1821 la dette nationale baissa de 29 % ; de 1823 à 1836 elle fut éliminée (les efforts de Jackson) ; de 1852 à 1857 elle chuta de 59 %, de 1867 à 1873 de 27 %, de 1880 à 1893 de plus de 50 %, et de 1920 à 1930 d’environ un tiers. Bien sûr, la dernière fois que nous avions un surplus budgétaire était durant les années Clinton. Je ne connais pas de ménage qui fut capable d’avoir un budget en déficit pendant approximativement 190 des 230 et quelques dernières années, et d’accumuler des dettes virtuellement sans limite depuis 1837. Les États-Unis ont également connu six périodes de dépression. Les dépressions commencèrent en 1819, 1837, 1857, 1873, 1893, et 1929. (Ne remarquez-vous rien ? Jetez un œil aux dates listées au-dessus.) À l’exception des surplus de Clinton, chaque réduction significative de la dette en cours fut suivie d’une dépression, et chaque dépression fut précédée par une réduction de dette significative. Le surplus de Clinton fut suivi par la récession de Bush, une euphorie spéculative, et maintenant l’effondrement dans lequel nous nous trouvons. Le jury délibère encore pour savoir si nous pourrions réussir à en faire une nouvelle grande dépression. Bien qu’on ne puisse jamais éluder la possibilité d’une coïncidence, sept surplus suivis par six dépressions et demi (avec encore quelque possibilité pour en faire la parfaite septième) devrait hausser quelques sourcils. Et, au passage, nos moins graves récessions ont presque toujours été précédées par des réductions du budget fédéral. Je ne connais aucun cas de dépression engendrée par un surplus du budget des ménages. 2)Tout d'abord ce n'est pas une équation orientée c'est une équation qui s'est toujours vérifiée( cf graphiques dans mon premier post ) Ensuite j'ai lu les théories de monsieur bastiat et il dit grosso modo que de fait l'on ne s'appauvrit pas par l'echange international ou ais je dis cela? Ce qu'il est dit dans l'article c'est que pour que le secteur privée épargne sans deficit public et bien il faut des excedents budgétaires donc des deficits publics étrangers. Car si j'admets qu'on ne s'appauvrit pas car des biens de même valeur le fait est qu'il y a sortie et entrée de devise c'est incontestable. De plus quelqu'un pourrait démonter mon article
  10. Non, dans le pratique la souveraineté des états est violée tout les jours et les frontières ne sont pas intangibles mais passons. C'est tout à fait possible 100% de volontaires si c'est appliqué à petite échelle. ==>Les frontières ne sont pas intangibles dans le cadre de traité et de reconnaissances internationales mais bref passons Personnellement, je ne vois rien à répondre à un gars qui débarque (charte du forum, toussa) avec ces gros sabots : LIBERAUX ! (trembleeeez manants), qu'avez vous à répondre (de vos crimes ?) alors que tout ce qui est désigné sous le vocable "libéral" dans ce torchon cet article est un condensé de toutes les bêtises et les erreurs qu'on peut lire sur nous. En fait, il ne cause pas du tout de nous. Alors, de mon point de vue : gros sabot + injonction à répondre + homme de paille = je retire le gros clochard et je présente mes excuses, mais je garde le reste. ==> Excuses acceptez ! Mais le but était de parler d'economie et de monnaie pas d'autres choses
  11. C'est plus un sophisme qu'une analogie (un strawman pour etre précis) je n'ai pas dit que j'imposais une monnaie car primo je ne suis pas au gouvernement ^^ secondo relisez ma citation la monnaie s'impose d'elle même dans la limite ou c'est la seule que l'Etat accepte en paiement des impôts (après on peut débattre de la coercition de l’impôt je suis d'accord j'ai remplis ma feuille d’impôt j'ai pu le voir ^^) mais de fait dans la limite ou l'Etat accepte une monnaie et pas une autre pour payer ses impôts et régler ses contrats publics celle ci s'imposera toute seule .
  12. @anton_k cf mon apvé initial sur les soldes sectoriels Vous savez comme moi que c'est rigoureusement impossible , de plus je pensais débattre autour de l'economie que d'un débat sur la légitimité de l'Etat souverain qui n'est pas le propos la souveraineté des Etats et inviolabilité théorique de leurs territoires sont des normes depuis 1648 et je ne pense pas que c'est pret de changer , le chartalisme critique les politiques monétaires / budgétaires actuelles pas le droit international actuel même s'il y aurait des choses à dire .
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