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Table de cuisine

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Tout ce qui a été posté par Table de cuisine

  1. Descends de ta tour d'ivoire kamarade et viens dans la boue. Plein de lecteurs t'attendent.
  2. Certains ont besoin de combats idiots pour combler leur existence.
  3. http://www.boursorama.com/actualites/conference-de-hollande--filippetti-veut-un-changement-de-politique-economique-6ec1322bcefdda5903092407b8904a90
  4. Ah ok, désolé, je croyais juste qu'elle était conne mais non en fait.
  5. Réduire un peu les impôts, beaucoup les dépenses. Libérer les secteurs englués par le corporatisme. Prévenir plutôt que de guérir.
  6. Tous les trisos, le Pen en tête, sont contents. Ca devrait évoquer quelque chose aux Français non ?
  7. Moui, fin' on vit mieux avec un RSA à Bangkok qu'avec un SMIC à Paris. Les zapprentis sorciers utilisent le PIB quand ça les arrange. A contrario, la répartition du Bonheur National Brut ne fait l'objet d'aucune complainte. Bizarre, non ?
  8. C'est (partiellement) vrai. Donc on fait quoi ? On utilise la puissance publique pour rétablir l'équilibre ? Mais à quoi bon, si les riches contrôlent la puissance publique ? Tout comme si le problème se trouvait dans la puissance.
  9. Tous les étudiants déjà.
  10. C'est aussi mon cri du coeur. Pourtant il est complètement contreproductif. Il faut savoir juger les évènements présents comme nécessaires.(dans le sens inéluctable) Bon, l'alcool doit jouer aussi.
  11. Une expérience de confidentialité poussée jusqu'à l'absurde. Terme choisi à défaut de mieux, le vocabulaire correspondant à ma pathologie n'existe tout simplement pas.
  12. Oulah ! Déjà les petits surnoms ? Attendez de connaitre mes vues sur l'avortement au moins !
  13. Bonjour. J'aime beaucoup ce lieu de discussions impétueuses où la qualité des débats est inégalée (dans le meilleur et dans le pyrrhe). En espérant ne pas avoir affaire à des spécistes qui rejetteront ma nature inerte de table de cuisine, je vous propose de me joindre à vous.
  14. Ces deux semaines ont été un ascenseur émotionnel à qui on a coupé les câbles. On croyait que les français se soumettraient à une élémentaire prise de conscience. Celle que le prix de la liberté est la vigilance éternelle. Mais non. On parle de liberté sans se donner la peine de la définir (il faudrait réfléchir pour ça). On ne veut pas voir l'éléphant qui saccage le salon et pourtant on lui demande de refaire la déco. On est dans un schéma orwelllien tout ce qu'il y a de plus classique, dommage que ça finisse mal. Les repas de famille s'annoncent douloureux.
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