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Nathalie MP

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Tout ce qui a été posté par Nathalie MP

  1. Je vous propose le space pen : http://www.fisherspacepen.co.uk/ Mais si vous voulez un truc vraiment techno, alors il faut aller du côté du colonel Moutarde (cousu à Lille !) : http://www.lecolonelmoutarde.com/fr/noeuds-papillon-3
  2. Bah, vous lisez pas mon blog, c'est clair ! Enigme 3 https://leblogdenathaliemp.com/2015/07/12/cinq-enigmes-et-un-casse-tete-pour-le-week-end-du-14-juillet/
  3. Qui est Valls ? Com' Kommandantur et ambition : http://www.contrepoints.org/2016/12/08/274267-manuel-valls-com-ambition-coups-de-menton
  4. Royal à Cuba : C'est propre, la sécurité est excellente et mon pote Raul a ratifié l'Accord de Paris : Quel beau pays (des prisonniers politiques ? Mais non, c'est de la pure médisance !) "Hé oh la gauche, ta foutue morale est en lambeaux" : https://leblogdenathaliemp.com/2016/12/05/he-oh-la-gauche-ta-foutue-morale-est-en-lambeaux/
  5. François Hollande a annoncé qu'il ne se représenterait pas (article du 02/12/16) : "Hollande s'en va : le changement, c'est enfin maintenant !" https://leblogdenathaliemp.com/2016/12/02/hollande-sen-va-le-changement-cest-enfin-maintenant/ Mais contrairement aux félicitations qu'il s'est décernées à longueur d'allocution renonçante, il a un BILAN qui n'est pas tout à fait aussi flatteur qu'il croit (article du 7 mai 2016 MAJ) : "Il y a 4 ans, François Hollande devenait Président" https://leblogdenathaliemp.com/2016/05/07/il-y-a-4-ans-francois-hollande-devenait-president/
  6. Mondialisation et pauvreté Au cours des quarante dernières années, la pauvreté mondiale a connu un recul massif sans précédent. Marian Tupy, reason.com, 22 novembre 2016 Vous vous rappelez combien il faisait bon vivre dans les années 1970 ? Si c’est le cas, votre expérience fut assez différente de celle de Monsieur Tout le Monde. En réalité, ce sont la libéralisation et la mondialisation de l’économie qui commencèrent à la fin des années 1970 et qui se sont accélérées dans les années 1980 qui ont permis un recul massif et sans précédent de la pauvreté mondiale. Contrairement à ce que l’on croit généralement, les taux de pauvreté des Etats-Unis n’ont pas augmenté du fait de la mondialisation libérale de l’économie. Comparés au reste du monde et aux évolutions historiques, ils continuent à fluctuer à l’intérieur d’un couloir étroit de faible valeur absolue. Regardons d’abord ce qui s’est passé au niveau mondial. En 1981, année où Ronald Reagan devint le 40ème Président des Etats-Unis, 44,3 % de la population mondiale vivait dans une situation d’extrême pauvreté, c’est-à-dire avec moins de 1,90 $ par jour et par personne. L’an dernier, ce taux était tombé à 9,6 %, soit une chute de 78 %. En Asie de l’Est, région du monde qui englobe la Chine, l’extrême pauvreté est passée de 80,6 % à 4,1 % de la population sur la même période, ce qui représente un recul de 95 %. Même en Afrique subsaharienne, dont les performances à ce titre sont bien moindres, on a pu observer une réduction de 38 % sur les mêmes critères. (Graphique 1) Ces progrès se sont-ils réalisés aux dépens du travailleur américain ? Ils ont certes provoqué des relocalisations et autres perturbations économiques, mais le taux de pauvreté américain est resté relativement stable. Il est du reste important de garder à l’esprit qu’aux Etats-Unis l’extrême pauvreté est en voie de totale disparition. De ce fait, le taux de pauvreté y est défini par le US Census Bureau en « comparant le revenu avant impôt à un seuil fixé à trois fois le coût de 1963 d’un régime alimentaire minimum. Le seuil est révisé annuellement pour tenir compte de l’inflation. Il est de plus ajusté en fonction de la taille de la famille, de sa composition et de l’âge du chef de famille. » (Graphique 2) Selon l’économiste Angus Deaton, prix Nobel d’économie 2015, et selon Michael Tanner du Cato Institute, lequel s’est appuyé sur les données du US Census Bureau, le taux de pauvreté américain a oscillé entre 15,2 % et 11,3 % au cours des quatre dernières décennies. Il a dépassé 15 % de la population en trois occasions (1983, 1993 et 2010) dans des circonstances de post récession, mais ces pics se sont résorbés dès que l’économie est repartie. (Graphique 3) En fait, c’est en 2000 que les Etats-Unis ont connu leur plus faible taux de pauvreté depuis 1974, précisément au moment où l’ouverture de l’économie américaine était à son plus haut (selon les mesures de l’Indice de liberté économique mondiale du Fraser Institute). Depuis, l’économie américaine est devenue moins libre. Serait-ce la raison pour laquelle les Etats-Unis ont eu tant de mal à se remettre de la « Great Recession » (crise de 2008) et cela expliquerait-il pourquoi le taux de pauvreté américain n’est pas redescendu à sa normale aussi rapidement qu’auparavant ? (Graphique 4) Auteur : Marian L. Tupy est analyste au Cato Institute et rédacteur pour le site http://www.humanprogress.org/ Article d’origine : http://reason.com/archives/2016/11/22/globalization-and-poverty
  7. Bonjour, Je vois que la proposition date du 22/11. Cet article a-t-il déjà été traduit ? Sinon, je veux bien le faire. Cordialement, Nathalie MP
  8. Article du 29 janvier 2016 : (relu ultérieurement et par hasard par Luc Frémiot, procureur de Douai) : Jacqueline Sauvage, grâce présidentielle et légitime défense : https://leblogdenathaliemp.com/2016/01/29/jacqueline-sauvage-grace-presidentielle-et-legitime-defense/
  9. Fascination de la gauche pour Castro : Article de mai 2015 (Voir partie 4) https://leblogdenathaliemp.com/2015/05/13/tournee-dans-les-caraibes-promenons-nous-dans-lhistoire-avec-francois-hollande/
  10. Eloge débiles : Celui de Hollande en Visite à Cuba en 2015 : "« Je voulais avoir ce moment d’Histoire. C’est l’histoire de Cuba, et c’est l’histoire du monde ! » https://leblogdenathaliemp.com/2015/05/13/tournee-dans-les-caraibes-promenons-nous-dans-lhistoire-avec-francois-hollande/ Partie 4 : "Le quatrième et dernier thème concerne la « fascination » de la gauche pour la révolution cubaine, son chef Fidel Castro et son homme de main Che Guevara. Selon Marisol Touraine, « Fidel Castro représente quelque chose dans l’imaginaire de la gauche française », tandis que Ségolène Royal parle d’une rencontre « mythique » et Christiane Taubira d’un moment « symbolique ». On se rappellera que Danielle Mitterrand, épouse du Président François Mitterrand, était au mieux avec le lider maximo et l’accueillait (en 1995) sur le perron de l’Elysée en lui faisant la bise. Usant de son entregent pour faire libérer des prisonniers, elle expliquait : « Il y a des prisonniers à Cuba. Politiques ? Je ne sais pas. » Quand l’imaginaire de ce qui n’existe pas se mêle à l’aveuglement de ce qui existe. Et voilà notre Président de la République pris dans la même fascination, dans le même imaginaire de la révolte et de la libération de Cuba, comme s’il voulait gauchiser sa stature politique en prévision du congrès du Parti socialiste qui aura lieu le mois prochain. S’il est le premier président français de la Vè République, le premier dirigeant européen (excepté Felipe Gonzales, ex-chef socialiste du gouvernement espagnol, en 1986) à faire ce voyage de Cuba, comme il se plait à le répéter aux journalistes qui l’accompagnent, il a malgré tout dans le reste du monde un certain nombre de prédécesseurs politiquement intéressants. D’après un petit diaporama publié par L’Obs à l’occasion de cette visite, François Hollande succède directement à Vladimir Poutine (Russie, janvier 2015), au Président chinois en juillet 2014, au Premier ministre vietnamien en mars 2014, puis à Dilma Rousseff (Brésil), Cristina Kirchner (Argentine), Daniel Ortega (Nicaragua) et Nicolas Maduro (Vénézuela) en janvier 2014, et enfin à Hugo Chavez (Vénézuela) en 2011. Laissons Dilma Rousseff de côté et extasions-nous une fois de plus sur le soin empreint d’humanisme avec lequel François Hollande choisit ses cercles d’amis. Après ses visites au Qatar et en Arabie saoudite au début du mois, on finit par se demander en ne riant qu’à moitié s’il ne va pas prochainement nous annoncer son déplacement en Corée du Nord, Rafale et Mistral sous le bras. Pourtant en 2003 il tenait des propos plutôt durs à l’égard du régime castriste. Dans une tribune intitulée « Dire la vérité », le premier Secrétaire du Parti socialiste qu’il était alors s’y désolait en ces termes : « La belle révolution de 1959 contre la dictature de Batista, celle qui avait fait lever tant d’espérance au-delà même de l’Amérique latine, celle qui avait inspiré tant de rêve et de générosité partout dans le monde, s’est transformée en cauchemar politique : pouvoir personnel, voire familial, refus d’élections libres, censure, répression policière, enfermement des dissidents, camps de travail, peine de mort, bref, l’arsenal complet d’une dictature. » Les exilés cubains vivant aujourd’hui en France auraient certainement aimé qu’il se relût avant de se précipiter chez un dictateur certes âgé, certes souffrant des articulations, mais dont le régime, transmis à son frère Raul en 2006, présente encore aujourd’hui des caractéristiques totalitaires, ainsi que l’explique l’écrivain Zoé Valdés. De nombreux journalistes et écrivains sont en prison actuellement, et le stylo que le Président français a offert à Raul Castro en symbole de la liberté d’expression paraît bien dérisoire. Bien loin de ses préventions de 2003, François Hollande a expliqué, non sans une certaine satisfaction pleine de vanité : « Je voulais avoir ce moment d’Histoire. C’est l’histoire de Cuba, et c’est l’histoire du monde ! » Eh bien, rappelons-nous justement quelques épisodes marquants de l’Histoire de Cuba et voyons s’il y a lieu d’en être si fasciné (*). Arrêté et emprisonné pendant deux ans sous la dictature de Batista, Fidel Castro prend le pouvoir en janvier 1959 suite à une marche de guérilleros menés par Che Guevara sur La Havane. La capitale fait un accueil triomphal au nouveau régime, mais tout va basculer très vite dans le sens d’une dictature soviétophile très éloignée des projets libéraux exprimés avant la prise de pouvoir. Les partisans de Batista sont fusillés systématiquement, la constitution de 1940 n’est pas restaurée, au profit d’un gouvernement par décrets, et la réforme agraire se transforme en confiscation des terres par l’armée castriste. Peu à peu, tous les démocrates quittent le gouvernement. La première grande vague d’exils a lieu en 1961. Elle concerne surtout les classes moyennes, mais le monde ouvrier ne sera pas non plus épargné : les syndicats sont marginalisés par noyautage des communistes et Castro parvient à imposer l’interdiction du droit de grève. L’église catholique avait accueilli avec satisfaction la chute de Batista, mais très vite elle doit se replier sur elle-même car nombre de prêtres sont expulsés, les collèges religieux sont fermés et les revues diocésaines interdites. Le monde artistique sera touché de la même façon. La thèse de Castro est simple comme le totalitarisme : « Dans la Révolution, tout, en dehors, rien. » La dictature est en place et elle a son Saint-Just en la personne de Che Guevara, être froid et sectaire, convaincu que « la solution des problèmes de ce monde est derrière le rideau de fer. » C’est lui qui met en place dès 1960 le premier camp de travaux forcés et qui aime assister aux exécutions des opposants en fumant un cigare. Guevara sera aussi ministre de l’économie à laquelle il ne connaît rien. Il finira par ruiner la banque centrale cubaine. Au total, plus de cent mille cubains ont connu les camps ou les prisons, et de 15 000 à 17 000 personnes ont été fusillées. Voilà le « moment d’Histoire » que François Hollande s’est offert. Bien sûr, l’argument du gouvernement consiste à dire que les choses ont changé, que Raul Castro a amorcé une ouverture du régime ainsi qu’en témoigne le dégel des relations avec les Etats-Unis. Dans cette optique, il importe que la France se positionneau premier rang des partenaires de Cuba. Quelques contrats, avec le groupe Accor notamment, ont d’ailleurs été signés lors de ce voyage et François Hollande s’est prononcé officiellement pour la levée de l’embargo imposé par les américains. Mais à vrai dire, Cuba n’a guère d’autre choix que de tenter de se rapprocher des Etats-Unis. Son économie est exsangue et ne survivait jusqu’à aujourd’hui que grâce aux pétro-dollars en provenance du régime ami du Vénézuela. Or avec la chute du prix du pétrole, ce dernier n’est plus en mesure d’assurer sa propre solvabilité, encore moins celle de Cuba. En se rapprochant des Etats-Unis, Raul Castro cherche moins à assouplir le régime castriste qu’à retrouver des marges de manoeuvres en vue de consolider son propre pouvoir. Etait-il si urgent de se précipiter à Cuba, était-il si nécessaire de rencontrer Fidel Castro ? Tout ce qui est « dans l’Histoire » est-il bon à prendre ? A mon avis, non.
  11. Pour patienter jusqu'au résultat de ce soir : La scène se passe dans la soirée du jeudi 24 novembre 2016 au Palais de l’Elysée dans le bureau du Président de la République. Un canapé bon marché a été placé devant l’écran de télévision. François Hollande a invité son équipe rapprochée habituelle à suivre avec lui le dernier débat de la primaire de droite qui oppose François Fillon à Alain Juppé. https://leblogdenathaliemp.com/2016/11/26/soiree-tele-loukoums-a-lelysee/
  12. Juppé : les promesses d'une cohabitation à lui tout seul ! (un article de mai 2015) https://leblogdenathaliemp.com/2015/05/27/le-cas-juppe-les-promesses-dune-cohabitation-a-lui-tout-seul/
  13. Semaine politique : #Macron #Fillon #PrimaireDroite https://leblogdenathaliemp.com/2016/11/17/macron-fillon-fausse-surprise-et-vrai-suspense/
  14. Dossier Macron : https://leblogdenathaliemp.com/2016/09/01/rentree-2016-macron-garde-le-haut-et-siffle-la-fin-des-vacances/
  15. "Blinded by anti-leftism" : My point exactly. J'adore ce Mister Tucker.
  16. 1) C'est la question de fond et je suis contente de savoir qu'on est d'accord là-dessus. Et d'après moi, logiquement, on devrait s'arrêter là --------- 2) D'après RCP aujourd'hui, en voix, Trump est remonté à 45 % et Clinton est à 47 %, marge d'erreur 4,5 % donc kif/kif. Je ne vois pas pourquoi la victoire de l'un ou de l'autre serait une baffe aux sondages. En tout cas, gros suspense. "tous ceux qui n'ont pas arrêté de dresser un portrait caricatural de Trump sans avoir la décence d'en faire autant pour Clinton. " : J'ai rarement vu des partisans en campagne faire l'éloge de leur adversaire, et si les médias etc...sont majoritairement pro Clinton, les sites pro Trump, à ma connaissance, n'ont pas tressé des couronnes à Clinton. En fait les sites pro Trump parlent peu de Trump, mais ils disent bcp de mal de Clinton. (Pour ma part, j'ai fait un portrait des deux en essayant de dire combien l'un et l'autre, chacun à leur façon, pouvait difficilement passer pour libéral, et vous aussi rapidement dans votre article sur Gary Johnson. En ce qui me concerne, j'ai été immédiatement accusée de pro-clintonisme. Je trouve que l'intolérance est assez bien répartie.) 3) Comparaison avec le Brexit : beaucoup de similitudes en effet, à commencer surtout par l'apport de mauvaises réponses à des situations de difficultés économiques ou d'angoisse de déclassement. Permettez quelques remarques : - "la "vilification" de l'adversaire à un point caricatural qui empêche justement de monter au niveau argumentaire raisonnable." : c'est vrai du côté Clinton comme du côté Trump. Ce dernier ne sait dire que deux choses : "Clinton est corrompue et si je perd, c'est qu'elle aura truqué l'élection." Pour moi, ça fait longtemps qu'il a atteint son niveau d'incompétence. Il radote. - Brexit "alors qu'il s'agissait avant tout de retrouver des marges de manoeuvres législatives" : pour être bien précis il faut rajouter "sur l'immigration." Je l'avais déjà dit dans mon article sur le Brexit (avec notamment comme source une enquête de The Economist) Ca m'avait valu des remarques acides. Voici une autre source (très récente) : http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/brexit-les-motivations-de-ceux-qui-l-ont-vote-611575.html - "qui regrettent d'avoir voté Trump" : au moment du Brexit, il y eut effectivement des gens qui ont regretté d'avoir voté Brexit car ils pensaient "donner une leçon", tout en n'imaginant pas que le Brexit l'emporterait. D'ailleurs, ce coup de pied dans la fourmilière, j'en entends parler ici et dans les commentaires de votre blog. Ce phénomène existe. On peut enquêter sur lui. - "recherche dans ce vote une façon d'exprimer un mécontentement raisonné, tout ceci ne semble pas passer dans l'esprit des médias" : je trouve que ça passe dans l'esprit des médias. L'analyse qui est faite consiste à dire que les réponses proposées par Trump ou une décision de Brexit sont de mauvaises réponses à un malaise réel. C'est un peu mon avis. Voir d'ailleurs la politique sur laquelle Teresa May a embrayé immédiatement. Ce n'est pas exactement du Thatcher, plutôt du big government. - "folie du racisme, de la xénophobie, du nationalisme" : Je déteste les gens de gauche qui accusent tout et tout le monde de racisme à tout bout de champ avec tant de délectation (par exemple critiquer Christiane Taubira quand elle fait ou dit une connerie, ce serait du racisme). Parce que le seul résultat concret de tant de mauvaise foi, c'est de penser que le racisme n'existe pas sauf dans l'imagination des bienpensants. Il y a malheureusement un tabou qui s'est installé à ce sujet. Or le racisme existe et la xénophobie aussi. Quand Trump lance ses idées débiles de mur (même topo quand il tient des propos déplacés sur les femmes) croyez bien qu'il ne capitalise pas sur un esprit d'ouverture. Alors oui, on peut se moquer de tout, jusqu'au jour où on est soit même confronté à des remarques bizarres (dites sur le ton de la rigolade toujours, c'est bien pratique). 4) J'ai personnellement du mal à me moquer d'un camp quand je trouve que le camp d'en face n'a rien de plus malin à apporter comme réponse aux angoisses, au "mécontentement raisonné." Mais c'est plus une attitude personnelle liée à mon caractère qu'une attitude de principe. Cependant, penser que tout le dégueuli vient d'un seul camp, c'est peut-être un peu vite dit, parce que c'est précisément l'effet sciemment recherché par Trump : "Voyez comme les élites, les journaux etc.. sont tous contre moi." Il serait très malheureux et sa campagne marcherait moins bien s'il ne pouvait compter sur ce "dégueuli." Sauf qu'il commençait à arriver à un point où ses déclarations à l'emporte-pièce le desservaient plus que ça ne le servait, notamment dans son camp. Heureusement pour lui, les emails de Clinton ont ressurgi (et pas du fin fond du Midwest, de l'establishment).
  17. 1. Tout seul ? Quelle blague ! Trump a fait ce qu'il fallait pour ça. Quand on se dit anti-élite et qu'on est milliardaire, il faut bien s'en donner les apparences. C'est du pur populisme. Victimisation à la con. 2. "Bizarrement, le deuxième camp du bien, je le croise rarement" Bizarrement, c'est en lisant les discussions sur liborg que j'en ai pris complètement conscience. Se moquer de la morgue ou de la déconfiture des bonnes gens de gauche au matin du 8 (ou plutôt du 9) c'est ridicule dans la situation présente, vu la nullité (et la morgue) du candidat qu'on leur oppose.
  18. Il y a maintenant deux "camps du bien". Le premier, le progressiste, on le connait bien et ses manigances ne nous étonnent plus. Il est tempst de regarder celui qui se trouve sur votre droite et le regarder se tordre de douleur aussi.
  19. Les petites romanes bourguignonnes sont des bijoux, et moi aussi je croyais que je n'aimais que ça. Mais un jour j'ai découvert l'église Santa Maria del Mar à Barcelone. Gothique, très épurée, lumière ... je vous conseille la visite
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