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Vilfredo

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Tout ce qui a été posté par Vilfredo

  1. Bah oui mais par état aussi https://www.nytimes.com/interactive/2021/us/florida-covid-cases.html https://www.nytimes.com/interactive/2021/us/texas-covid-cases.html https://www.nytimes.com/interactive/2021/us/alabama-covid-cases.html https://www.nytimes.com/interactive/2021/us/illinois-covid-cases.html https://www.nytimes.com/interactive/2021/us/indiana-covid-cases.html j'ai pris des états au hasard et quand il y a une forte hausse des cas, je trouve une forte hausse des hospis, et quand il y a un frémissement des cas, un frémissement des hospis
  2. En attendant faut reconnaître que c'est aux US qu'on a encore à peu près le droit de vivre normalement et que c'est aux US qu'il y a pas si longtemps un président disait We will never be a socialist country. Donc le degré de collectivisation politique du gouvernement là-bas n'est pas ce qui m'inquiète vraiment pour l'instant. Le pire truc c'est Biden qui donne des bonbons pardon 100$ à ceux qui se vont vacciner. On est assez loin de Punishment Park. Par contre, aux US, on a beaucoup plus d'hospitalisations, ça n'a pas l'air de suivre le schéma de cassage de corrélation type UK. https://ourworldindata.org/covid-hospitalizations
  3. Oui Proust a sans doute eu recours à un homme comme matériau pour Albertine. Bon.
  4. Dans mon souvenir Bérénice est une nymphette plus qu’innocente sans aucune sexualité même imaginaire et elle meurt d’amour à la fin mais soit je relirai pour voir même si comme ça j’ai du mal à la comparer à cette grosse chaudière d’Albertine. Le rapport est peut-être dans la façon qu’a le narrateur de la créer en l’aimant (c’est le “culte du moi” qui veut qu’on crée la réalité avec notre esprit, dont l’activité est menacée par le corps “barbare” ce qui explique la beauté des femmes, puisqu’elles ne pensent jamais), comme c’est suggéré au chap. 3 par une phrase qui m’avait marqué (mais c’est une citation de Shakespeare donc aucun crédit à Barres): “elle faisait de chaque défaillance une beauté.”
  5. Pourtant la vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie par conséquent réellement vécue, c'est la littérature.
  6. C'est toi qui dois avoir raison. Je fais souvent des associations bizarres et un nombre étonnant de mes connaissances ont quasiment de la prosopagnosie (en tout cas chouchou et <ami INFJ>) donc ça passe crème et j'oublie que dans le vrai monde c'est bizarre. Par exemple je trouve que Vincent Kartheiser ressemble à Irvine Welsh en jeune (et plus choupi bien sûr).
  7. D'accord. Je vais pas te cacher que j'ai lu Sous l'oeil des barbares (Le Culte du Moi #1) hier et que j'ai balancé pendant 2h entre "mwahahahaha" et "putain comment je vais faire pour écrire un article sur ce mec". Ah bah tiens Bézou et moi sommes connectés! Match made in heaven. Ah génial ? A l'enterrement de Proust, Mauriac raconte que Barrès disait "c'était notre plus jeune élève". Je vois pas le rapport entre Barrès et Proust mais Proust avait un peu des goûts de chiottes (il lisait Anatole France et Alfred de Vigny... et aussi Pierre Loti mais ça en fait c'est pas mal) donc peut-être que Barrès va avec dans les romanciers vieillots qu'il kiffait...
  8. La démonstration repose tout de même sur une conception très phallocentrée de l'orgasme
  9. Mais @Ultros avait tout vu! Dommage qu'on puisse pas en faire un post de référence avec 10 ans de retard.
  10. Le Schtoumpfissime a effectivement une forte composante contre-révolutionnaire (Peyo est indiscutablement burkéen cherami). Ils sont aussi anticapitalistes (Le Schtoumpf financier) et à l'évidence sous un régime paternaliste et anti-intellectuel (le schtroumpf à lunettes), probablement homosexuels par ailleurs. Mais leur position isolée, autarcique, leur refus des discriminations raciales (cf. Salade de schtroumpfs) ou sexuelles (La Schtroumpfette -- je ne parle pas du personnage mais de l'album) peut aussi les rapprocher du socialisme utopique ou de l'approche maoïste de la division du travail entre hommes et femmes aboutissant à une uniformisation sexuelle, là où le fascisme accentue au contraire les fonctions traditionnelles de chacun et poursuit une politique expansionniste et nataliste. Au contraire, ils sont en permanence menacés par Gargamel, symbole vivant de l'homme rousseauiste dépravé par la société, la ville, et pourtant profondément asocial. Ses menaces constantes d'intervention dans le village, auxquelles les petits Schtroumpfs répondent par un pacifisme résolu, évoquent immanquablement une forme d'anti-américanisme ou d'isolationnisme quasi-stalinien (cerise sur le gâteau, faut-il rappeler que le bonnet du Grand Schtroumpf est rouge?).
  11. Tiens, lançons un vrai débat: les Schtroumpfs, fascistes ou communistes?
  12. Bah zut alors on est d'accord sur un truc. Je déteste que le romancier me dise ce qu'il faut que je lise et la fin du roman c'était un peu Hesse qui me prend le doigt et me montre ce dont chaque truc est le symbole. Gné.
  13. Je suis le seul qui a l'impression d'entendre Francis Blanche dans le sketch du Sâr Rabindranath Duval?
  14. Effectivement on voit pas bien où est la masculinité dans toussa. Ce n'est pas parce que c'est un homme qui le fait que c'est masculin. Mais c'est troublant parce qu'il me fait penser à une version gay et british de Matt LeBlanc. Ce qui n'est pas une mauvaise chose, à bien des égards.
  15. Vilfredo

    Supa Playlist!

    Je découvre avec délice John Prine. (Tout cet album mais pas que) (Linda Goes to Mars est recommandé par Bill Murray pour lutter contre la dépression)
  16. Pas exactement. J'ai donné mes organes pour acheter de la bouffe pour nourrir ma famille et ensuite quand on a été à court de bouffe, j'ai chassé celui à qui je les avais vendus pour donner mes organes à manger à ma famille et pour moi manger les siens. C'est plutôt pour me prostituer que j'ai eu du mal. Mais j'ai eu du succès auprès des petites philosophes qui rêvaient d'un corps sans organe. Alors après j'ai pris les leurs pour les donner à bouffer à ma famille. Le premier qui veut m'en empêcher au nom des droits sociaux, je lui bouffe ses organes.
  17. Ah ok je comprends mieux. C'est vraiment bien Colette Baudoche d'ailleurs? C'est ce que lit Lucien dans L'Enfance d'un chef (le livre où j'ai lu le nom de Barrès pour la prmeière fois je crois bien).
  18. M'enfin personne ici ne songe à contraindre qui que ce soit. Ceci posé, on essaye quand même de voir à quel point le vaccin marche. J'en étais resté dans le débat aux posts de Lex montrant que le rapport coût/bénéfice pour les jeunes était légèrement positif même si les probas restaient faibles et aux dernières données sur l'Islande notamment montrant que la contamination ne serait pas vraiment freinée pour certains variants par Pfizer. Voyons la suite (et comme dirait Keynes, when the facts change, I change my mind; what do you do, sir?). Quel que soit le résultat de la discussion, la contrainte reste hors de question.
  19. D'ailleurs @Mathieu_D d'où te vient cet intérêt pour Barrès? Il me semble que c'est pas la première fois que tu en parles. (Je demande parce que c'est quand même plus très lu aujourd'hui et qu'il ne semble pas faire partie des vieux réacs qui reviennent à la mode.)
  20. Ah mais on m'a dit le plus grand bien du Jeu des perles de verre (comme ça je le fais un peu remonter et il se retrouve à la même place de ta liste de priorités, qu'est-ce qui est au sommet de la liste d'ailleurs?)
  21. @Pegase j'ai pensé à toi en lisant ceci sur Mises et l'individualisme méthodologique https://lawliberty.org/classic/individualism-rightly-understood/
  22. Youpi oh chouette alors, moi qui m'ennuyais ce midi! J'ai fait tout ça (comme tout le monde à un moment ou un autre) et je ne le regrette pas. Par qui? This is to think, that men are so foolish, that they take care to avoid what mischiefs may be done them by pole-cats, or foxes; but are content, nay, think it safety, to be devoured by lions.
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