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Carl Barks

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Tout ce qui a été posté par Carl Barks

  1. Les deux sont aussi affreux l'un que l'autre, franchement.
  2. Exactement, alors que le gros rap du début-milieu des années 2000 (50 Cent, T.I.), c'était des supers tubes.
  3. Pareil. #TeamAznavour, ici. Notamment, tout les albums coécrits avec Georges Garvarentz dans les années 60-début des 70s. Ca, ça envoie: Après, je ne comprends pas trop le niveau de détestation autour de Biolay. Ca me semble surtout assez insignifiant, à part deux ou trois morceaux que j'aime bien (Padam, de mémoire, pas mal).
  4. Clairement oui, au point où les autorités anglaises s'inquiétaient beaucoup des foyers de subversion que constituaient les coffee houses et ont beaucoup fait pour décourager leur développement. Enfin, moi, je suis oecuménique, le thé, c'est très bien aussi !
  5. Bonjour Nicolas, Je découvre que tu as fait l'objet d'un portrait dans la presse et j'y apprends que tu ne bois jamais de café. Pourquoi donc ? Goût ? Effets de la caféine ? Je demande en tant qu'amateur de café, mais je ne te jette pas la pierre.
  6. Oh oui. Je me referais bien tout l'album, tiens.
  7. Bah, la musique est super cool aussi. Je la mets souvent quand je me sens fatigué
  8. Ouais, plus mille. Matrix, ça a marché parce que c'était une idée de base efficace même si déjà traitée plein de fois en mieux (du sous-sous-Philip K Dick, quoi) PLUS une esthétique qui en jetait à l'époque mais est devenue ringarde à grande vitesse.
  9. Ah, mon Dieu, j'ai son jingle en tête maintenant.
  10. Il en a dit des conneries, Le Maire, mais à ce point, c'est un record.
  11. En même temps, il change de position d'un livre à l'autre, non ?
  12. Bah, ça l'est, il faut dire et le film est complètement fauché, en plus. Même j'aime beaucoup le côté tensions et huis clos. Sinon, on n'a pas cité de comédie musicale. Je dirais qu'un On the Town s'impose sur la décennie.
  13. Sachant que Biden a gagné de très peu dans pas mal d'Etats, même un effet marginal aurait pu donner ses chances à Trump (et enfoncer les records d'écarts entre défaite au vote populaire et victoire sur les grands électeurs).
  14. Ah moi, j'aime beaucoup L'Ange des Maudits mais c'est vrai que ça ne rentre pas forcément dans la catégorie classique... A vrai dire, pour citer du Lang, j'attendais les années 50 et The Big Heat, à mon avis son chef d'oeuvre aux US.
  15. Excellente liste, déjà, mais c'était une sacrée décennie filmique et il y en a toujours à rajouter. Casablanca est assez surestimé à mon goût mais bon, on la tellement cité et référencé qu'il faut bien le voir... Dans le genre Bogart, je préfère 100 fois To Have and have not. Pour aller avec le Dictateur en comédie anti nazi, To be or not to be est à la fois très drôle et un sacré suspense. En film noir, White Heat doit encore tomber dans la décennie 1940 (Ma ! Top of the world!). En film d'horreur, Car People, c'est fondateur. Pour pleurer un peu, The Ghost and Mrs Muir. Sinon, en France, j'ai de bons souvenirs du Corbeau et de Quai des orfèvres de Clouzot mais pas vu depuis des années. Les trucs Prevert/Carné, je passe mon tour, mais ce sont des classiques... Ah oui, au Royaume-Uni, les Chaussons Rouges.
  16. Entretemps, il y a eu le démarrage raté de la campagne de vaccination et je pense que ça va faire des dégâts. Ensuite, oui, il restera du temps pour que les effets se tassent d'ici à mai 2022. Edit: ah bah, non, ça a l'air d'aller en fait: https://www.lesechos.fr/politique-societe/emmanuel-macron-president/sondage-exclusif-emmanuel-macron-garde-un-socle-solide-dans-lopinion-1279046
  17. C'est intéressant. Tabarot a l'air d'une horreur, effectivement, même si on n'en entend plus bien parler au niveau national depuis la période où elle était l'âme damné de Copé.
  18. Estrosi n'a pas été moins à droite que Ciotti, il a été pour le rétablissement de la peine de mort et la remise en cause du droit du sol. Mais il a fini par se recentrer à fond pour draguer Macron (et faire la guerre à Ciotti, oui).
  19. Tout de suite, les accusations de lepénisme.
  20. Comme président élu, ça s'entend, comme candidat démocrate, j'en doute. McGovern en 1972 me semble avoir été particulièrement à gauche. Le centre de gravité politique des USA de ces années-là me semble d'ailleurs pencher nettement à gauche, avant que la présidence de Reagan ne remette du poids à droite. A mon avis, on garde une perception historique de Johnson comme plus centriste qu'il ne l'était, à cause de l'enjeu spécifique de la guerre du Vietnam qui a rendu très visible les oppositions d'extrême-gauche.
  21. Je ne suis pas vraiment d'accord sur le Tea Party. Ses figures de proue - et je citerais plus un Ted Cruz qu'un Ron Paul qui m'a toujours semblé à l'écart du mouvement - avaient peut-être déjà leur carte au Parti Républicain mais elles y étaient marginales et ont gagné la lumière (voire un siège au Congrès) à cette occasion. Au passage, je ne suis pas anti-Tea Party dans l'esprit, ça partait d'une bonne intention mais ça a vite vrillé en délires pénibles (d'où, à mon avis, la position distanciée de Ron Paul, on y revient). Bien d'accord sur les démocrates, mais j'avais en tête des gens encore plus à gauche que Warren et Harris, genre les amis d'AOC: https://en.wikipedia.org/wiki/The_Squad_(United_States_Congress)
  22. Malheureusement, Sanders est loin d'être le seul visage de la frange socialiste des Démocrates. Quant à Trump, la radicalisation d'une partie des Républicains ne l'a pas attendu. Le Tea Party, c'était avant lui.
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