Aller au contenu

BirdyNamNam

Membre Adhérent
  • Compteur de contenus

    1 305
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    2

Tout ce qui a été posté par BirdyNamNam

  1. Il a été magnifique hier soir. Belle intervention. La seconde partie du mandat est relancée !
  2. Oui, mais ca n'est pas ce que fait Macron. Il donne des armes à la Chine, justement. Au lieu de la fermer et de laisser faire plus compétent et plus puissant que lui, une nation qui peut rivaliser. Et je continue de croire que quand t'as pas une thune, c'est à dire pas les moyens de ton ambition, et que pour autant tu veux continuer à faire semblant d'exister, tu en es réduit à te renier sans cesse et être dans l'incohérence. Bref, il ne vaut pas un clou ce type.
  3. Si on veut faire du pur virtue signaling sans considérations pour les conséquences pour les populations concernées, Je ne crois pas. Et si c'était simplement reconnaître que la liberté des peuples de disposer d'eux même est le plus important ? Depuis quand une union monolithique comme la Chine est une chance pour un peuple qui s'en est sorti que par son propre travail ? On cède devant la chine, car on est faible, on mendie un peu de thunes car nous sommes devenus incapables de nous reformer pour prendre notre destinée en main. On est toujours prisonnier de son créancier et c'est comme ça qu'on devient immoral.
  4. Rendre la culture plus accessible, une honte.
  5. @Lameador parle du corps là non ? Elle a quelques atouts tout de même...
  6. Je suis tombé là dessus dans Aphorisme sur la sagesse dans la vie. / Section 2 - concernant notre conduite envers nous meme J'ai kiffé grave. "Et tout d'abord toute société exige nécessairement un accommodement réciproque, un tempérament: aussi, plus elle est nombreuse, plus elle devient fade. On ne peut être vraiment soi qu'aussi longtemps qu'on est seul; qui n'aime donc pas la solitude n'aime pas la liberté, car on n'est libre qu'étant seul. Toute société a pour compagne inséparable la contrainte et réclame des sacrifices qui coûtent d'autant plus cher que la propre individualité est plus marquante. Par conséquent, chacun fuira, supportera ou chérira la solitude en proportion exacte de la valeur de son propre moi. Car c'est là que le mesquin sent toute sa mesquinerie et le grand esprit toute sa grandeur; bref, chacun s'y pèse à sa vraie valeur. En outre un homme est d'autant plus essentiellement et nécessairement isolé, qu'il occupe un rang plus élevé dans le nobiliaire de la nature. C'est alors une véritable jouissance pour un tel homme, que l'isolement physique soit en rapport avec son isolement intellectuel: si cela ne peut pas être, le fréquent entourage d'êtres hétérogènes le trouble; il lui devient même funeste, car il lui dérobe son moi et n'a rien à lui offrir en compensation. De plus, pendant que la nature a mis la plus grande dissemblance, au moral comme à l'intellectuel, entre les hommes, la société, n'en tenant aucun compte, les fait tous égaux, ou plutôt, à cette inégalité naturelle, elle substitue les distinctions et les degrés artificiels de la condition et du rang qui vont souvent diamétralement à l'encontre de cette liste par rang telle que l'a établie la nature. Ceux que la nature a placés bas se trouvent très bien de cet arrangement social, mais le petit nombre de ceux qu'elle a placés haut n'ont pas leur compte; aussi se dérobent-ils d'ordinaire à la société: d'où il résulte que le vulgaire y domine dès qu'elle devient nombreuse. Ce qui dégoûte de la société les grands esprits, c'est l'égalité des droits et des prétentions qui en dérivent, en regard de l'inégalité des facultés et des productions (sociales) des autres. La soi-disant bonne société apprécie les mérites de toute espèce, sauf les mérites intellectuels; ceux-ci y sont même de la contrebande. Elle impose le devoir de témoigner une patience sans bornes pour toute sottise, toute folie, toute absurdité, pour toute stupidité; les mérites personnels, au contraire, sont tenus de mendier leur pardon ou de se cacher, car la supériorité intellectuelle, sans aucun concours de la volonté, blesse par sa seule existence. En outre, cette prétendue bonne société n'a pas seulement l'inconvénient de nous mettre en contact avec des gens que nous ne pouvons ni approuver ni aimer, mais encore elle ne nous permet pas d'être nous-mêmes, d'être tel qu'il convient à notre nature; elle nous oblige plutôt, afin de nous mettre au diapason des autres, à nous ratatiner pour ainsi dire, voire même à nous difformer. Des discours spirituels ou des saillies ne sont de mise que dans une société spirituelle; dans la société ordinaire, ils sont tout bonnement détestés, car pour plaire dans celle-ci il faut absolument être plat et borné. Dans de pareilles réunions, on doit, avec une pénible abnégation de soi-même, abandonner les trois quarts de sa personnalité pour s'assimiler aux autres. Il est vrai qu'en retour on gagne ces autres; mais plus on a de valeur propre, plus on verra qu'ici le gain ne couvre pas la perte et que le marché aboutit à notre détriment, car les gens sont d'ordinaire insolvables, c'est-à-dire qu'ils n'ont rien dans leur commerce qui puisse nous indemniser de l'ennui, des fatigues et des désagréments qu'ils procurent ni du sacrifice de soi-même qu'ils imposent: d'où il résulte que presque toute société est de telle qualité que celui qui la troque contre la solitude fait un bon marché. À cela vient encore s'ajouter que la société, en vue de suppléer à la supériorité véritable, c'est-à-dire à l'intellectuelle qu'elle ne supporte pas et qui est rare, a adopté sans motifs une supériorité fausse, conventionnelle, basée sur des lois arbitraires, se propageant par tradition parmi les classes élevées et, en même temps, variant comme un mot d'ordre; c'est celle que l'on appelle le bon ton, «fashionableness». Toutefois, quand il arrive que cette espèce de supériorité entre en collision avec la véritable, la faiblesse de la première ne tarde pas à se montrer. En outre, «quand le bon ton arrive, le bon sens se retire [24].» "
  7. Ca texte est plus général que spécifique, je pense. Et de toutes manières en politique, la trahison est de mise. Il l'a pratiquée lui même. C'est donc la faute à un système, pas la faute de moins de 20 députés.
  8. Bien plus haut que ce que je m'imaginais
  9. Pour ma part, j'ai des références que les personnes de ma génération n'ont déjà pas, alors les plus jeunes... Très peu connaissent réellement Chaplin, les Monty Python, ... J'ai fait connaitre tout ca à mes gosses, du coup, ils sont un peu décalés. Mais, on a quand même de belles surprises. Une copine de ma fille est venue dormir à la maison, et nous a sorti une référence au Chevalier Noir de Sacré Graal. On s'est marré pendant une heure. Mais, c'est extrêmement rare.
  10. Pareil. Trop relou les matches à 140 points.
  11. Et tout ça avec votre argent, messieurs, dames !
  12. Et puis ils sont jeunes ! J'imagine qu'ils vont faire face de socio.
  13. Oui, ils sont très premier degré.
  14. Je ne pense pas qu'on les entende car il y a dissonance cognitive. C'est comme hurler contre la capitalisation tout en omettant que tout le monde peut en profiter. Jamais ils ne le disent.
  15. Je ne tiendrais pas un match entier, bien trop long. Mais, le résumé de 20 minutes est parfait !
  16. Gros prétendant au titre du coup. Même histoire que lorsqu'il est allé à SF
  17. Genre : t'avais raison, rien à ajouter. Essayerais d'être plus clair la prochaine fois...
  18. Je ne suis pas fan, mais Il est impressionnant quand même. Je ne sais plus où est-ce que j'ai vu qu'il dépense 1 m€ par an pour sa santé.
×
×
  • Créer...